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Actualité - Page 19

  • La réalité des nations européennes et surtout celle de la France

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    Progressivement depuis plusieurs années, le nom des nations européennes se fait de plus en plus rare dans le discours convenu de certains de nos médias mainstream. On nous parle de l’Europe, ou encore des Européens et de l’Union européenne mais de moins en moins de l’Allemagne, de l’Italie ou de la France.

    Est-ce anodin? Certainement pas. Ce sont des éléments de langage utilisés à dessein pour orienter notre opinion, Or, depuis de Gaulle, le débat pour le choix de l’Europe n’a jamais vraiment eu lieu.

    LES BONDS DE CABRI

    Lors de la campagne présidentielle de 1965, interrogé par le journaliste Michel Droit, de Gaulle donne son point de vue sur la construction européenne avec la faconde qui est la sienne: il se moque notamment de tous ceux qui, comme aujourd’hui, veulent toujours plus d’Europe comme remède universel à tous nos maux et les décrit "faisant des bonds de cabri sur leur chaise en criant l’Europe, l’Europe, l’Europe!".

    Cette image est restée en mémoire et elle résumait tout le problème. D’un côté ceux qui rêvaient de faire les Etats-Unis d’Europe, arguant que l’avenir appartenait au grands ensembles supranationaux (et probablement, même s’ils n’osaient pas encore le dire ouvertement) à un monde unifié libéré de toute frontière car c’était leur véritable objectif, et de l’autre des peuples attachés à leur origine, à leur patrie et surtout à leur souveraineté.

    QU’EST-CE QUE L’EUROPE?

    En mai 2024, juste avant les élections européennes, Julien Barroche fait une bonne synthèse de cette épineuse question: " La construction européenne est incontestablement portée par une logique fédérale, mais cela ne signifie pas nécessairement qu’elle s’achemine à terme vers la forme d’un État fédéral. Présente chez les pères fondateurs de l’Europe, au premier rang desquels Jean Monnet, une telle perspective semble d’ailleurs avoir très vite été abandonnée, du fait notamment de la résistance farouche de certains États. Lorsque Jacques Delors parlait de " fédération d’États-nations " au milieu des années 1990, il indiquait bien l’abandon d’un tel horizon en signifiant que les entités politiques composantes de l’Union n’avaient en rien vocation à disparaître. Par ailleurs, le modèle de l’Europe des États-nations, s’il structure de bout en bout le processus d’intégration, ne rend pas raison de son irréductible spécificité. Il oscille en définitive entre ces deux pôles selon un dosage complexe qui varie en fonction des domaines de compétence – ce que rend assez bien l’expression de Jacques Delors.

    S’ajoute ici une difficulté, qui réside dans le rapport très disparate que les différents États membres, en raison de la pesanteur des traditions nationales et de la diversité des expériences historiques, entretiennent avec la souveraineté. À se reporter à la genèse de la construction européenne, il est frappant de relever le contexte d’hostilité à la souveraineté de l’État dans lequel a été conçu le projet d’intégration. La souveraineté des États aurait conduit au nationalisme, au fascisme et à la guerre. Les empêcher de ressurgir et affermir la paix supposaient censément de dépasser le monde de la souveraineté. Avec ce paradoxe que les pères fondateurs ont pour certains été portés à reproduire au niveau européen le modèle classique de l’État national via la création d’un super État".

    Entre 1965 et 2024, un certain nombre d’événements s’étaient produits sur un plan strictement européen, comme l’adoption du Traité de Maastricht en 1992 (plus fédéraliste, tu meurs!) mais également l’entrée massive dans l’Union européenne d’autres pays notamment situés plus à l’Est et ayant retrouvé leur liberté après l’éclatement de l’URSS en 1991 sans pour autant résoudre la question qui, naturellement, allait se reposer.

    Le Traité constitutionnel, un échec cinglant pour les fédéralistes

    C’est en 2005 que les choses se gâtèrent pour les euro-fédéralistes, notamment en France, mais pas uniquement. Le référendum qui proposait l’adoption d’un traité constitutionnel (constitution européenne qui ne voulait pas dire son nom) rencontra une franche opposition des Français qui votèrent Non à 55%. La logique démocratique aurait dû conduire à l’abandon du  projet. Ce ne fut pas le cas et la façon d’agir des européistes jeta un énorme trouble dans la population française lorsqu’elle découvrit qu’on l’avait bernée. Pourtant les euro-fédéralistes évoluant vers l’Euro-mondialisme ont continué d’avancer leur pions.

    En 2020, Pascal Lamy, qui fait partie de cette élite répondait à la question posée de la façon suivante: "N’y a-t-il pas une influence de votre parcours et de votre expérience de la mondialisation sur cette notion?

    Oui, bien sûr, c’est une longue histoire. Cette intuition m’est venue petit à petit. L’avantage d’avoir commencé dans une école de commerce ou à l’Inspection des finances est d’avoir été vite porté à m’intéresser aux résultats, à ce que produisent les systèmes, aux effets qu’ils ont, plutôt qu’à leurs formes, aussi parfaites soient-elles du point de vue de l’esthétique conceptuelle.

    J’ai été aussi confronté très tôt à l’absence de fonctionnement du système international. J’ai eu le très grand privilège d’être sherpa, très jeune, dans le Groupe des sept (G7), qui constituait déjà une tentative de réponse, mais qui a échoué – tout comme d’ailleurs le G20, qui est aussi dans l’impasse aujourd’hui…

    Ces tentatives cherchaient à dépasser le système diplomatique en établissant des contacts au plus haut niveau, sans les intermédiaires classiques. Les chefs d’État et de gouvernement avaient envie de se débarrasser pour un moment des attributs qu’on leur confère, dans lesquels ils opèrent et ils se sentent corsetés. Mais c’était une menace existentielle pour le système westphalien qui a fini par reprendre le contrôle de ce canal direct de discussion "au coin du feu", comme on disait, entre des grands chefs qui dérangeait les habitudes.

     

    Ces paroles sont assez sidérantes car elles manifestent clairement le peu de cas que l’on fait des peuples et de leur souveraineté. Au moment où elles ont été prononcées, Donald Trump venait de perdre l’élection américaine de 2020 et il est probable que les mondialistes partisans d’un gouvernement mondial  reprenaient alors confiance dans l’avenir de leur projet auquel Trump avait porté de rudes coups. Voici ce qu’écrivait David Rockefeller dans ces mémoires et qui doit être médité:

    " … désormais le monde est préparé pour un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés".

    LA FRANCE DOIT REPRENDRE SON DESTIN EN MAIN

    L’accélération de l’histoire est prodigieuse depuis cinq ans. Les événements se sont succédé à un rythme rapide entre le COVID, la guerre en Ukraine et plus récemment la réélection de Donald Trump. Le monde est en train de changer à une vitesse fulgurante et les pays qui ne s’adapteront pas à cette nouvelle donne en subiront les conséquences. Le monde de 1991 et de la " fin de l’histoire " est en train de disparaître. Le grand projet de gouvernement mondial n’a plus aucun sens aujourd’hui. Les euro-mondialistes ont toujours combattu la vision gaullienne d’une Europe de l’Atlantique à l’Oural alors que le règne globaliste des puissances maritimes est en train de s’estomper au profit d’un autre ordre mondial multipolaire qui est en train de naître et qui va redonner vie aux souverainetés nationales. La question du fédéralisme européen, indispensable dans un monde globalisé, n’a plus de sens aujourd’hui. Remarquons au passage la clairvoyance d’un de Gaulle qui avait entrevu tout cela et s’était efforcé de donner à la France les moyens d’exercer pleinement son rôle de puissance d’équilibre dans ce nouveau monde westphalien.

    Tout semble encore possible, mais il y a un préalable essentiel et incontournable  que de Gaulle évoque dans son discours de Bruneval: " Le jour va venir où, rejetant les jeux stériles et réformant le cadre mal bâti où s’égare la nation et se disqualifie l’État, la masse immense des Français se rassemblera sur la France. "

    Jean Goychman

     

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  • ALERTE!

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    La "Grande Muette" prévient une nouvelle fois le gouvernement

    Une vingtaine de généraux et une centaine de hauts-gradés s’expriment une fois encore.

    Souvenons-nous, le 22 avril 2014 "Boulevard Voltaire" publiait un de mes articles: "La Grande muette grogne de plus en plus fort".

    Au plus haut niveau de l’Etat on n’a pas voulu l’entendre grogner.

    Les réactions ne se sont pas faites attendre: Les généraux chefs d’état-major des trois armées, Terre, Air et Mer, plus une vingtaine d’autres officiers généraux, avaient menacé de démissionner.

    Même le Ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, ami de longue date de François Hollande, avait proposé de remettre son portefeuille au Président de la république.

    Il s’agissait là de la goutte d’eau qui allait faire déborder la coupe.

    **Nous envoyons allègrement nos jeunes soldats dans des pays étrangers risquer leur peau dans des guérillas sans fin prévisibles. Le but est de sauver des vies au nom de la liberté et de la lutte contre le terrorisme mais avec des armes désuètes et du matériel obsolète. Comme nous sommes les seuls à le faire alors pour le moins donnons-leur les moyens de se défendre face à un ennemi insaisissable.

    Prenez bien garde de ne pas aller trop loin!

    **Que l’on se souvienne que le 8 janvier 1961 le 1er REP (Régiment étranger de parachutistes) se mettait en grève et refusait de partir en opération après la mort de 11 paras en estimant qu’ils étaient morts pour rien. L’Algérie allait devenir indépendante selon la volonté de De gaulle, et ils obéissaient ainsi aux paroles de l’aumônier, le père Delarue: "Vous êtes tombés au moment où, s’il faut en croire les discours, nous ne savons plus, ici, pourquoi nous mourrons!".

    EN 2014, L’EUROPE N’ÉTAIT PAS EN GUERRE… LA FRANCE NON PLUS.

    Ce n’est plus le cas en 2025.

    La "Grande muette" parle de nouveau alors prenez garde car le tonnerre gronde.

    20 généraux et une centaine de hauts-gradés s’expriment une fois encore.

    **L’heure est grave. La France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent.

    Le constat est accablant: c’est la guerre raciale. Que veulent ces partisans haineux et fanatiques.

    Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture. Il ne peut, et ne doit, exister aucune ville, aucun quartier, où les lois de la République ne s’appliquent pas.

    Des individus encagoulés saccagent des commerces et menacent les forces de l’ordre "qui ne font qu’appliquer les directives données, par vous, gouvernants.

    Nous ne pouvons être, devant de tels agissants des spectateurs passifs. "Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part".

    Nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

    Et cela provoquera, au final, une explosion et l’intervention de nos camarades d’active pour la sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.

    La guerre civile mettra un terme à ce chaos et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers ".

    Le message est clair: l’extrême gauche veut le chaos et "si elle le provoque"  elle pourrait comptabiliser ses pertes.

    Manuel Gomez

  • Mexicanisation de la France

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    le laxisme des pouvoirs publics face à l’explosion du crime organisé

    Pierre Noizat ne tourne pas autour du pot au sujet de l’origine ethnique de la nouvelle mafia "française": cet entrepreneur de cryptomonnaie et patron de Paymium, dont la fille a été victime d’une tentative d’enlèvement en plein Paris et en plein jour, regrette qu’il faille "adapter nos comportements aux criminels", ceux-là mêmes "qui disent aux femmes de porter des jupes moins courtes si elles ne veulent pas se faire violer".

    "Plein de gens n’hésitent pas à mettre des cibles sur les entreprises, sur les riches", dénonce Pierre Noizat qui fait le constat, avec beaucoup d’autres, que la société française est gangrenée par l’hyper-violence.

    Il n’a pas hésité à parler, comme Éric Larchevêque, ex-patron de la société Ledger, de "mexicanisation de la France" à l’origine de l’instillation d’une "forme de terreur" dans l’Hexagone.

    "On est en plein dedans, la violence dont ma fille a été victime est quotidienne pour plein de gens en France", déplore-t-il, évoquant le laxisme des pouvoirs publics qui "nous met tous en danger".

    "Cela fait 15 ans que je suis conscient des risques, poursuit-il, cela fait 15 ans que je suis actif sur le secteur, j’étais l’un des premiers en France et dans le monde, des gens ont pu faire des hypothèses sur mon patrimoine et se raconter des histoires".

    Pour assurer sa sécurité et celle de sa fille, il a regretté qu’aucune solution d’urgence ne lui ait été proposée et a confié avoir dû faire appel à un service de sécurité privé. "Nous n’avons pas eu le choix", a-t-il concédé, déplorant d’"être en train de sécuriser l’enfer".

    Alors que le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a réuni la semaine dernière les principaux entrepreneurs du monde de la cryptomonnaie, et ce, justement pour "travailler à leur sécurité", Pierre Noizat évoque sans détour une "opération de communication de la part d’un homme politique qui souhaite se faire élire", "pas forcément trouver des solutions".

    Face à ce qui est la cinquième affaire d’enlèvement – réussi ou non – en moins de deux ans dans le monde des cryptomonnaies, l’entrepreneur s’est montré désabusé, convaincu que le ministre ne sera pas en mesure de proposer des solutions concrètes. "Je pense que Monsieur Retailleau a un peu une mission impossible, car il doit régler un problème plus gros que lui", a-t-il assuré. "Est-ce qu’on sait réprimer le crime dans ce pays?", a-t-il interrogé ensuite.

    Les pouvoirs publics préfèrent traquer une "menace fasciste" totalement imaginaire plutôt que de s’occuper de la violence quotidienne que subissent les Français.

    Avec plus de 1 000 agressions par jour dans notre pays, le phénomène dépasse évidemment le petit monde de la cryptomonnaie. Toutes les villes françaises sont désormais touchées par l’hyperviolence. Sans surprise, Marseille est en tête du hitparade. L’année 2023 a été d’une intensité sans précédent du fait de la succession de règlements de comptes mortels entre DZ Mafia ("DZ": el Djazaïr = l’Algérie) et Yoda (une autre mafia ethnique) à Marseille, selon une note rédigée par le Service d’information, de renseignement et d’analyse sur la criminalité organisée (Sirasco).

    Selon une note de la direction nationale de la police judiciaire (DNPJ), entre 2021 et 2024, les assassinats et tentatives d’assassinat ont augmenté de 33% en France. La France dépasse aujourd’hui la Belgique et les Pays-Bas en nombre de morts, alors même que ces deux pays concentrent une densité de groupes criminels bien plus importante que dans l’Hexagone.

    C’est encore la situation à Marseille qui explique la baisse des assassinats en 2024 constatée (367 faits, 525 victimes dont 110 décédés). Cette diminution résulte en effet de "l’apaisement de cette guerre interne" entre la DZ Mafia et Yoda, mais "ne doit pas masquer une tendance qui reste nettement à la hausse, y compris dans les petites et moyennes villes autrefois épargnées par ces tensions".

    Encore une fois, le phénomène dépasse le cadre des règlements de compte inter-clans. C’est la société française dans son ensemble qui est touchée.

    Nîmes, Rennes, Dijon… La note relève qu’entre 2021 et 2024, le nombre de villes touchées par ce phénomène a augmenté: 144 communes en 2021, 173 villes recensées l’année dernière. Certains experts utilisent même le terme de "marseillisation" pour qualifier ce phénomène.

    Ce que les enquêteurs constatent à Marseille s’applique au reste de la France. Les auteurs de la note soulignent ainsi que les auteurs des assassinats sont de plus en plus jeunes. Ainsi, 23% des enquêtes élucidées impliquent des tueurs à gage de moins de 20 ans, rémunérés jusqu’à 20000 euros par contrat. Ils sont généralement recrutés sur les réseaux sociaux et ont de plus en plus recours au kidnapping et à la torture.

    "Une autre tendance marquante est le recours à la sous-traitance", relève la police judiciaire dans la note. "Les groupes criminels organisés externalisent de plus en plus leurs coups de force et représailles".

    Les policiers constatent qu’ "aujourd’hui, le ‘savoir-faire’ marseillais s’exporte sur tout le territoire tandis que des équipes professionnelles originaires d’Île-de-France agissent à Toulouse, Rennes, Amiens, Lyon, Nice, mais aussi à Marseille".

    Dans la note, la police judiciaire relève que "des clans perpignanais en conflit [ont] ainsi fait appel à des mercenaires bulgares et à une équipe de tueurs marseillais.

    Des équipes franciliennes, liées au narcotrafic, exécutaient quant à elle des contrats au bénéfice de la Mocro Maffia", à savoir la mafia marocaine.

    Nouveau phénomène marquant en 2023, les magistrats, avocats, personnalités politiques ou journalistes sont dans le viseur des narcotrafiquants. La note s’appuie sur plusieurs exemples marquants pour étayer ce propos: les menaces en novembre dernier à l’encontre de la directrice de la maison d’arrêt de Nancy et deux magistrats par un détenu membre de la DZ Mafia. Ou encore en février dernier en Côte-d’Or, à Norges-la-Ville où un commando de quatre personnes s’apprêtait à enlever un avocat à la sortie de sa maison.

    "La criminalité organisée cherche délibérément à instaurer un rapport de force avec l’État", affirme cette note qui insiste sur le rôle joué par l’organisation criminelle marseillaise:

    "En France, la montée en puissance de certains groupes comme la DZ mafia pourrait faire peser des risques (…) sur les institutions" selon le Sirasco.

    "Le degré actuel de violence de cette organisation et les menaces déjà proférées à l’encontre de représentants des institutions laissent craindre qu’ils n’attentent effectivement à la vie de certains d’entre eux. D’autres réseaux criminels ont pu projeter des actions similaires", poursuit la note.

    LA BELGIQUE ET LES PAYS-BAS SONT DEJA DES NARCO-ETATS. LA FRANCE EST EN BONNE VOIE.

    La tiers-mondisation de la France n’est que la conséquence des 500 000 entrées d’immigrés par an. Et l’explosion de l’hyper-violence sur l’ensemble du territoire n’est qu’un des dégâts collatéraux de cette submersion migratoire.

    Henri Dubost