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histoire

  • L’idéologie du bonheur avant le droit à la liberté

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    Nos élites actuelles incarnent la grandeur ou la pusillanimité, la faiblesse, la lâcheté.

    Aujourd’hui, une crise de leadership terrible est due à la crise de caractère, à une crise de la famille, parce que c’est dans la famille que les gens se forment, développent le leadership, développent le caractère. Cette crise de la famille, cette désintégration mondiale de la famille, surtout en Europe et aux Etats-Unis, aboutit à des personnes sans caractère qui ne peuvent pas être des leaders.

    Le leadership, c’est fondamentalement une question de caractère. Ce n’est pas être le roi, ce n’est pas une position sociale, ce n’est pas une fonction. Le leadership, c’est un mode d’être. Des gens véritables leaders n’ont aucun pouvoir, parce qu’ils sont magnanimes et humbles, parce qu’ils ont un sens de la grandeur et un sens du service. Aujourd’hui, en Europe et aux Etats-Unis, les leaders en place n’auraient jamais dû avoir le pouvoir. On est choqué en voyant ce misérabilisme moral.

    Des nullités crasses ne méritent pas le pouvoir, ne dirigent rien du tout, et pourtant ils ont le pouvoir, détruisent notre civilisation. Mais il y a des gens derrière eux. Ceux qui dirigent sont derrière eux. Ce n’est pas de la conspiration. Des gens extrêmement riches veulent le pouvoir pour eux-mêmes, veulent diriger notre planète, manipulent les personnes au pouvoir. Et les personnes au pouvoir ne sont pas élues par le peuple, mais par la finance. La finance contrôle les médias. Les hommes politiques arrivent au pouvoir par la finance et les médias. Ces gens très riches possèdent les moyens d’information, donnent les mots d’ordre qui sont immédiatement suivis. Donc les politiques au pouvoir sont des marionnettes, des marionnettes qui ne nous dirigent pas, des marionnettes dirigées par des gens très influents, des gens qui ont une vision désastreuse de la personne humaine, des gens qui veulent assouvir leur pouvoir.

    La soif de pouvoir, c’est une réalité, c’est le cœur humain. Il y a une décomposition complète du leadership. Il n’y a plus de leader, il y a seulement des manipulateurs, derrière la scène, qui influencent et orientent les hommes politiques.

    Un petit groupe de personnes très riches ayant une vision lamentable de l’être humain dirigent ces marionnettes. Ils sont en train de créer un chaos mondial, un chaos total parce qu’ils veulent ce chaos, afin de canaliser et infléchir la civilisation. Et au-dessus, il y a d’autres personnes, ceux qu’on appelle « les sauveurs ». Ceux qui viendront lorsque le chaos sera instauré, comme sauveurs. Ces « sauveurs » très différents, super sympathiques, beaux, gentils, doux, agréables, souriants, ressemblent plutôt à l’Antéchrist, c’est-à-dire des gens qui veulent ce chaos parce qu’ils veulent arriver comme libérateurs.

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  • dans mon autre blog

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    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2025/08/19/le-bohemian-club-reproduit-des-croyances-paiennes-archaiques-6559511.html

     

  • La journée du 10 Août 1792,

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    une date essentielle qui aboutit à la chute de la royauté

    Nous sommes sous l’Assemblée Législative (1er Octobre 1791-20 septembre 1792). Les troubles continuaient et s’intensifiaient. L’héritage était lourd de menaces. Les forces en présence s’opposaient et des acteurs nouveaux apparurent: à droite 264 Feuillants, à gauche 136 Jacobins, au centre 350 Indépendants. Il n’y avait pas d’accord entre le Roi et l’Assemblée.

    Les difficultés s’ajoutaient et s’accentuaient: troubles de nature religieuse, troubles de nature politique, troubles de nature économique, troubles de nature sociale.

    La guerre étrangère allait compliquer toutes ces difficultés. La volonté de guerre était quasi générale: Louis XVI, La Fayette et les Feuillants, les Jacobins, les Girondins. Une seule voix s’éleva contre la guerre, celle de Robespierre aux Jacobins. La guerre menaçait.

    Au début de 1792, un double mouvement se mit en place et progressa: le mouvement démocratique avec les sans-culottes et le mouvement belliqueux avec les partisans de la guerre.

    La guerre allait entraîner la chute de la royauté. Les débuts de la guerre furent mauvais: échecs diplomatiques, échecs militaires, excitation d’une population très énervée.

    Le conflit entre le Roi et l’Assemblée se développa.

    De nouvelles difficultés intérieures conduisirent à la journée du 20 Juin 1792: invasion du château des Tuileries. Et la journée du 20 Juin aura des répercussions: recrudescence des sentiments royalistes, approbation des manifestations parisiennes par les clubs jacobins, les sociétés populaires, les municipalités de l’Est et du Midi comme celle de Marseille, décret de la Patrie en danger le 11 Juillet 1792.

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