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Actualité - Page 17

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    Après nous avoir ruinés Macron lorgne nos 6 000 milliards d’épargne

    Chacun sait que les Français ne sont pas des cigales mais des fourmis très prévoyantes. Aucun Européen n’épargne autant que l’écureuil français. C’est ainsi que les avoirs placés en différents supports représentent 6000 milliards d’euros, soit le double de la dette publique.

    Un pactole que Macron lorgne avec convoitise, après nous avoir saignés en distribuant notre argent à toute la planète.

    Macron, qui se prend pour le Mozart de la finance, a augmenté la dette de la France de 1000 milliards en sept ans. Chaque mois la dette s’alourdit de 10 milliards!

    Nos Rapetou au pouvoir, augmentent la dette de 4 000 euros par seconde.

    Elle atteint aujourd’hui 3 200 milliards. Mais si on ajoute la dette hors bilan, ce sont 8 000 milliards de dettes que le pays doit supporter.

    Voici ce que dit Pierre de Gaulle.

    https://www.youtube.com/watch?v=BSUUa9wU

    Si la France, totalement aux mains des Anglo-Saxons qui détiennent largement notre dette, veut recouvrer son indépendance et sa souveraineté, elle doit impérativement assainir ses finances. Mais Macron fait tout le contraire et s’apprête à détourner de force l’épargne des Français vers les obligations d’Etat, pour financer la gabegie sans fin.

    Un exemple: Le Maire propose de geler les prestations sociales dépendant du budget de l’Etat, ce qui ferait économiser 3 milliards. Mais dans le même temps, Macron vient de donner 3 milliards à Zelensky.

    Jacques Guillemain

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Un sinistre ministre

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    C’est l’homme qui s’illustra dans un mensonge d’État, autour de la finale de la Coupe d’Europe, à Saint-Denis, où, suite aux agressions des racailles locales, les supporters anglais seront accusés d’être les responsables du retard de plus d’une demi-heure du coup d’envoi, alors qu’ils en étaient les principales victimes. Darmanin maintiendra sa fausse version pendant un mois, avant de se rétracter piteusement, tout en conservant son poste.

    Il allait à nouveau se distinguer lors des émeutes ethniques ayant suivi la mort de la racaille Nahel Merzouk, avec six jours de pillages et de vandalisme. Là encore, Darmanin sera pris la main dans le sac, devant la représentation nationale, en osant dire, contre les images que tous les Français avaient vues, que beaucoup de pilleurs s’appelaient Kevin et Matteo.

    Mais il y eut pire. Il envoya une circulaire à tous les préfets de France, leur demandant d’interdire toute manifestation ou tout rassemblement patriote susceptible de créer des troubles à l’ordre public et d’inciter à la haine.

    Après la mort du jeune Thomas Perroto, 16 ans, poignardé à Crépol par des racailles venues du quartier de la Monnaie à Romans, il commencera par envoyer ses troupes de choc contre… des jeunes Français qui, spontanément, venaient exprimer leur colère contre la mort de leur compatriote. Laissant une paix royale aux racailles qui ont failli lyncher un jeune manifestant, Darmanin et son préfet feront arrêter une vingtaine de jeunes, qui seront traduits en comparution immédiate et lourdement condamnés.

    Il a osé instrumentaliser la mort des deux enseignants, Samuel Paty et Dominique Bernard, et, comme toujours, pour mieux protéger ses amis, voire ses coreligionnaires musulmans, il a osé accuser Poutine de refuser de reprendre les nombreux délinquants russes, c’est bien connu, qui ensauvagent la France, lui faisant porter la responsabilité de la mort des deux professeurs, parce que les assassins étaient tchétchènes, donc russes.

    Bien sûr, un tel mensonge d’État ne pouvait pas ne pas faire réagir la sœur de Samuel Paty, Mickaëlle, qui, indignée, s’est exclamée: "Je suis stupéfaite d’entendre de la bouche de la porte-parole du gouvernement que le rôle de la Russie est engagé dans l’attentat contre mon frère Samuel Paty, alors que rien, durant toute l’enquête, n’a permis de faire le moindre lien entre le terroriste Anzorov, réfugié en France, et la Russie".

  • Chirac: "La guerre est toujours la pire des solutions"

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    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

    Mais Macron, qui n’a jamais tenu un fusil de sa vie, veut la guerre pour faire oublier le désastre de sa politique et peut-être même pour s’accrocher au pouvoir.

    Dernier président ayant l’expérience de la guerre, après avoir servi comme lieutenant en Algérie, Jacques Chirac savait bien que la guerre n’a rien d’une épopée romantique, où des héros pleins de panache se couvrent de gloire et d’honneurs, en collectionnant victoires, hauts faits d’armes, décorations et jolies femmes. La guerre, ce n’est en fait que sang, larmes, destructions et atrocités.

     

    Remercions le pour nous avoir évité une énième expédition coloniale en Irak, laquelle s’est soldée par une terrible hécatombe et par l’émergence de l’Etat Islamique, ce monstre enfanté par les faucons du Pentagone, qui ont liquidé tous les autocrates du Moyen-Orient, lesquels étaient un rempart contre l’islamisme. Après avoir insulté et traîné la France dans la boue, bon nombre d’Américains ont fini par reconnaître que Chirac avait raison. Mais le mal était fait.

    L’époque des héroïques charges napoléoniennes, quand les jeunes officiers hussards se glorifiaient de mourir sous le feu ennemi en ne dépassant pas l’âge trente ans, est révolue. Les glorieuses pages d’histoire ne s’écrivent plus en chargeant tambour battant sous la mitraille. Et la guerre " fraîche et joyeuse " menée la fleur au fusil, cela ne subsiste plus que chez quelques esprits illuminés, totalement inconscients des horreurs de la guerre.

    C’est pourquoi je considère que la désinvolture avec laquelle Macron évoque l’envoi de troupes en Ukraine ou propose le partage de notre dissuasion nucléaire, relève au mieux d’une immaturité inquiétante, au pire de la psychiatrie.

    Là où il nous faudrait la sagesse et l’expérience d’un Chirac, avare du sang de ses soldats, nous avons un immature et narcissique va-t-en-guerre, qui se refait une santé sur le dos du peuple ukrainien, en dramatisant la situation et en surfant sur la peur de l’Ours russe, avide de conquêtes. Loin de rassurer et de protéger les Français, Macron leur fait peur et leur ment, en prenant un ton martial à 180° des négociations de paix que veulent imposer Poutine et Trump.

    Gesticulations tous azimuts, réunions d’urgence et apparitions télévisées précipitées, sont devenues notre lot quotidien. Pour reprendre la main après le désastre de sa dissolution kamikaze, Macron ne parle plus de négociations ni de paix, mais seulement de réarmement et de poursuite de la guerre sans l’Amérique. Il se pose en rempart contre les imaginaires visées impérialistes de Moscou. C’est l’hystérie collective en Europe, où la russophobie ne donne plus aucune chance à la paix.

    Nombreux sont les Français qui se laissent berner par  cette atmosphère guerrière et cette fable de l’ogre russe prêt à tout dévorer. Une majorité adhère au discours de Macron. Parler de paix, c’est véhiculer un esprit munichois et afficher une forme de  lâcheté face à Moscou. Pour un président qui se couche depuis huit ans devant Alger ou devant les racailles des cités, cette posture déterminée et fanfaronne ne manque pas de sel.

    Selon un sondage Odoxa pour le Figaro:

    65% des sondés sont d’accord pour envoyer des soldats de la paix en Ukraine

    64% adhèrent à l’idée de partager notre parapluie nucléaire avec nos voisins

    62% sont prêts à confisquer les 210 milliards d’avoirs russes pour armer l’Ukraine

    Mais cela dit, 74% refusent que nos soldats aillent combattre la Russie aux côtés des Ukrainiens

    Ce sondage illustre évidemment la parfaite ignorance du peuple sur la réalité de la situation. Macron le sait et en abuse, surfant sur la peur de ce peuple qu’il devrait rassurer.

    Les Français ne veulent pas mourir pour l’Ukraine, mais ils acceptent le risque d’une riposte nucléaire ennemie, pour défendre un pays voisin dont les intérêts vitaux ne sont pas les nôtres. Comprenne qui pourra.

    La seule parole sage qu’on a entendue ces derniers jours a été prononcée par Donald Trump, qui recadrait le belliqueux Zelensky dans le Bureau ovale.

    “Vous jouez avec la vie de millions de personnes. Vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale”

    Le drame est que la question ukrainienne sert les intérêts des leaders européens, qui affichent un bilan des plus calamiteux en termes de croissance, d’immigration incontrôlée et d’insécurité exponentielle.

    Quoi de plus porteur pour ressouder une Europe divisée, que d’agiter le spectre d’une bonne guerre fraîche et joyeuse contre l’Ours russe, qu’on accuse des pires intentions vis à vis de l’UE? Quoi de plus porteur qu’une guerre pour fédérer des pays qui regrettent d’avoir délégué leur souveraineté à Bruxelles?

    Quand Marine déclare que c’est le retour des nations, elle se trompe. Bien au contraire, Ursula von der Leyen se réjouit du réarmement européen qui va renforcer le fédéralisme face aux Etats-nations et aux souverainistes. Les nostalgiques du gaullisme et de l’indépendance nationale, sont les grands perdants de ces délires guerriers.

    DELABREMENT DE NOS FORCES ARMEES

    En armant l’Ukraine, nous avons liquidé 25% de notre artillerie et épuisé nos stocks de munitions et de missiles. Notre pauvre armée de 200 000 soldats serait bien en peine d’aligner 20 000 combattants sur la durée.

    De mon temps, l’armée comprenait 500 000 soldats, alignait 450 avions de combat, deux porte-avions et de nombreux blindés. De cette armée de première catégorie, il ne subsiste que la force nucléaire, aérienne et navale, ainsi que 200 000 soldats sous équipés et sous-entraînés.

    Le général de Villiers nous disait qu’avec 5 000 soldats engagés au Sahel depuis 2013, l’armée française était "à l’os". Cela signifie que les jeunes soldats opéraient sur des véhicules blindés vieux de quarante ans, sur les mêmes matériels que leurs pères avaient connus une génération plus tôt. Cela signifie que pour faire réparer un hélicoptère en panne, il fallait en cannibaliser un autre, déjà immobilisé faute de pièces de rechange. Cela signifie que les relèves et les périodes d’entraînement des soldats sont de plus en plus compliquées à programmer. Même contre une armée de va-nu-pieds sans armes lourdes, ni avions, ni missiles, nous étions au taquet, dépendant du renseignement fourni par les Américains. Par conséquent, face à la meilleure armée du monde pouvant aligner 20 millions de combattants, je vois mal l’UE jouer les Rambo.

    Pour conclure, il est clair que notre armée, contrairement à ce que laisse entendre Macron, est inapte à mener une guerre de haute intensité. Kiev sacrifie 2 000 soldats par jour, tués ou blessés. Combien de Français le savent, étant donné qu’on leur dit que seuls les Russes subissent des pertes colossales.

    Cette armée russe, dont tout le monde se moquait en 2022, a acquis en un temps record une expérience de la guerre que les Occidentaux n’ont pas. Il faudra des années pour combler notre retard. Et pour attirer les meilleurs, il faudra revaloriser la condition militaire.

    (..)

    Rappelons aussi à tous ceux qui affirment que le front est figé et que ni l’un ni l’autre des belligérants ne l’emporte, rappelons qu’une suite de combats urbains ne se mène pas au rythme d’une charge de cavalerie. Les villages se prennent rue par rue, maison par maison. C’est donc très long et épuisant pour les deux camps. Mais, à ma connaissance, c’est toujours la Russie qui occupe 20% du territoire ukrainien et non l’inverse. Quant aux 1000 km2 de territoire russe, occupés témérairement par les Ukrainiens dans la région de Koursk, ils se sont réduits à 300 km2 sous la lente poussée russe. 60 000 soldats ukrainiens sont morts ou ont été blessés dans cette aventure perdue d’avance. Les 6 000 rescapés sont encerclés et la débandade est proche. On voit bien que ce ne sont pas les fils de nos va-t-en-guerre qu’on envoie au massacre. Refrain connu…

    Mais qui a déjà entendu Macron déplorer l’hécatombe? Seul Trump s’en préoccupe.

    Cela dit, et fort heureusement, nous n’avons pas que des têtes brûlées prêtes à charger sabre au clair parmi nos généraux. En voici quelques uns qui savent de quoi ils parlent:

     

    https://edition.francesoir.fr/opinions-tribunes-politique-france/l-armee-francaise-en-crise-critiques-des-generaux-faugeres-et

     

    Macron, qui a tout raté depuis huit ans, va entretenir ce climat guerrier le plus longtemps possible en surfant sur l’ignorance du peuple, qui s’est laissé entraîner dans une guerre qui n’est pas la sienne, mais que nos élites ont allègrement trompé et biberonné au discours russophobe otanien depuis trois ans.

    Retournant sa veste au gré des événements, celui qui ne voulait pas humilier la Russie en 2022, se pose aujourd’hui en chef de guerre face à la " menace russe " dans le seul but de reprendre la main et de soigner sa popularité. C’est le même qui parlait de paix avec Poutine, tout en livrant dans son dos des canons Caesar à Zelensky. C’est cela la magie du "en même temps". Le Tsar refuse depuis de lui parler, on sait pourquoi.

    Mais si Trump et Poutine parviennent à faire la paix malgré la russophobie ambiante, on pourra dire qu’elle s’est conclue sans Macron et sans l’Europe.

    Enfin, je termine en invitant Macron à défendre avant tout les Français, menacés dans leur quotidien par 3 000 agressions gratuites par jour, dont 1000 déclarées, et par un islamisme conquérant de plus en plus violent qui entend prendre le pouvoir par la terreur et la multiplication des attentats. Car au vu de l’énergie qu’il déploie pour l’Ukraine et du désintérêt qu’il affiche pour la sécurité et le devenir des Français, on se demande si notre Président est au service de son peuple ou bien du peuple ukrainien.

     

    Jacques Guillemain

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)