Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Contre les squatteurs, installez des ruches dissuasives dans votre jardin…

Imprimer

Sujet récurrent dans notre société, les squatteurs et les turpitudes qu’ils nous imposent: chaque semaine les médias nous abreuvent d’histoires de vilains propriétaires qui coupables d’avoir payé, remboursé à la sueur de leur front pendant 20 ans le crédit d’une maison, résidence secondaire ou PIRE encore d’un bien destiné à la location, subissent la présence souvent violente de gens outrageusement protégés par nos " autorités " et forces de l’ordre par la simple justification qu’eux (les squatteurs) ne possèdent rien… faute d’avoir gagné de quoi se payer un toit.

Chaque semaine, le même constat s’impose, les parquets renvoient ces vilains propriétaires capitalistes parfois même exploiteurs car ayant eu l’outrecuidance d’avoir osé demander un loyer à leurs propres turpitudes.

On peut à ce stade constater tout de même que les parquets font une certaine discrimination et que les squatteurs s’attaquent souvent aux plus faibles des "capitalistes".

Allez squatter une grande villa du bord de mer ou de riches quartiers parisiens et vous verrez fissa rappliquer les pandores de la nécessité de mettre fin à ce trouble grave de l’ordre public.

Par contre, si vous êtes vieux, malade, vivant seul, sortant de l’hôpital ou pire étant à l’hôpital et ayant un animal de compagnie seul à la maison par exemple, victime d’un problème d’alcool et ayant besoin de soins (c’est une maladie) ou encore sortant de détention ou de psychiatrie (cela peut arriver à n’importe qui pour des motifs idéologiques notamment), le parquet n’aura aucune espèce d’empathie pour vous et classera votre plainte sans suite.

Les hôpitaux fourmillent de rats d’hôpital, lesquels s’attaquent à des personnes âgées souvent en rupture ou éloignées de leur famille.

Les audiences du juge de la liberté et de la détention sont souvent et notamment en matière de psychiatrie l’occasion pour une personne qui n’a finalement pas grand-chose à se reprocher (en tout cas pas assez pour être poursuivie devant le tribunal correctionnel) de s’expliquer sur ses propos écrits ou oraux pour rétablir une vérité que les magistrats ne lisent que rarement: faite l’expérience de menacer quelqu’un de lui faire un procès en bonne et due forme et vous vous retrouverez souvent avec une accusation de menaces de mort sur le dos.

(Bon! Rassurez-vous, de plus en plus on ne met plus en psychiatrie que les djihadistes et on laisse ceux qui ont vraiment besoins de soins dehors).

Quand vous sortez d’une longue hospitalisation (pour une covid par exemple!), de détention suite à un accident de la vie (routier notamment), ou même que vous avez passé 14 jours sous médocs pour avoir dit à un fonctionnaire d’un organisme de contrôle que vous alliez faire un recours au tribunal administratif et que vous n’avez pas de famille ou de conjoint qui vous épaule (ou pire qui vous tourne le dos pour l’occasion), vous avez beau être "libre", vous êtes à terre socialement, économiquement.

Si vous avez en plus la faute morale d’être propriétaire, des tas de gens malveillants sont à l’affût pour profiter de vous.

Le dernier degré de la bassesse du vilain Thénardier que vous êtes serait même d’accepter que la personne soit invitée par vous-même à s’installer chez vous.

Comment résister à la demande d’une pauvre (et jolie!) jeune femme enceinte qui s’est fait répudier par son géniteur… géniteur qui rapplique bien entendu une fois qu’elle est dans vos murs?

Et vous voudriez vous plaindre à la "société" de votre propre laxisme?

Aucune chance!

Dans notre monde malhonnête, malveillant, objectivement dangereux, la faiblesse est une faute.

Devant tant de laxisme justement, beaucoup de médias nous parlent aujourd’hui d’une solution alternative qui se développe actuellement: le recours à des gros malabars dignes du "service d’action civique".

Or à l’image des dérives et de la fin du SAC, c’est une très, très mauvaise idée.

Non pas que le recours à la force soit mauvaise en soit; ce n’est pas la question, mais à ne pouvoir l’exercer vous-même vous en resterez tributaire et dans tous les cas responsable si cette force n’est pas exercée par la force publique et donc légale.

Car à l’image de ce qui se passe lors des très longues procédures d’expulsions nominatives ou une fois que vous avez viré une famille, une autre famille de "cousins" s’installe (et rebelote pour 18 mois de procédures) quel garanties avez-vous qu’une autre famille d’indésirables ne s’installe pas aussi sec?

Et comme ces groupes de "milices privées" n’ont pour motivation que l’argent, pourquoi d’ailleurs ne les installeraient-ils pas eux-mêmes… histoire que vous repassiez à la caisse?

On vire une famille, souvent en lui refilant un petit billet (c’est beaucoup plus consensuel que la violence) et on les installe dans un logement d’où l’on vient de virer une autre famille: vous avez compris le truc!

Vice versa, hop! C’est sans fin… pas idiot le business non?

Alors moi, puisque vous l’avez compris j’ai été confronté à ce type de turpitudes, j’ai trouvé LA solution ultime: les abeilles!

L’abeille n’est pas un animal méchant bien au contraire, il a juste son petit caractère et il déteste par-dessus tout… les imbéciles.

Chaque colonie constituée d’environ 60.000 insectes doté d’un dard venimeux, bénéficie d’une intelligence et d’une stratégie de groupe dans lequel chaque individu à sa fonction.

Afin d’assurer la sécurité de la ruche, des gardiennes sont chargées de venir contrôler les personnes s’approchant de la ruche pour en mesurer la dangerosité (VOS PAPIERS!).

Si vous êtes une personne peu fine ou peu informée, vous ferez bien sûr de grands gestes pour tenter de la dissuader de venir vous voir: erreur, c’est d’autant plus qu’elle vous identifiera comme un élément dangereux et vous piquera sachant, et c’est important, qu’elle y laisse son abdomen avec le dard donc qu’elle y perd la vie.

Il lui faut donc de fortes motivations pour qu’elle accepte un tel sacrifice.

Si par contre, vous la laissez vous approcher, vous sentir, sans bouger ou en faisant des gestes lents et calmes, elle vous identifiera comme un élément non dangereux pour sa colonie et vous laissera repartir sans vous inquiéter.

Mes abeilles à moi viennent se poser sur le dos de ma main, juste pour me sentir et sans autre conséquence pour moi.

Vous trouvez cette solution séduisante et vous êtes prêt a raisonner la peur que vous avez de cet animal?

PETIT GUIDE DE L’ABEILLE DISSUASIVE (ET PRODUCTRICE DE MIEL):

Sachez tout d’abord que vous devez déclarer vos ruches auprès du ministère de l’Agriculture (c’est très simple à faire) et apposer des panneaux des panneaux avertissant les passants de la présence des ruches sur votre terrain…

C’est d’ailleurs là que commence tout l’intérêt de la méthode, rien que les panneaux à l’extérieur vont dissuader la plupart des visiteurs indésirables et c’est encore mieux si vous y apposez votre numéro d’enregistrement.. .ça fait croire que vous en avez beaucoup, ce qui n’est forcément le cas.

Sachez que des distances de sécurités sont à respecter (20 mètres de la limite de votre propriété et des habitations) mais que vous pouvez légalement contourner cette mesure, notamment en ville, en mettant une sortie type cheminée à 2 mètres de haut.

Donc, dès que vous avez un jardin avec des fleurs aux alentours, c’est réalisable et légal.

Pour la ruche, allez dans un magasin spécialisé: c’est beaucoup moins cher qu’en jardinerie.

Pour l’essaim, c’est comme dans la pub Intermarché: ce qui est bon est cher! N’allez donc pas acheter un essaim qui ne vient d’on ne sait où sur Internet à un margoulin à 60 ou 80 euros: achetez-le en magasin spécialisé au prix du marché, garanti et facturé entre 150 et 200 euros.

N’hésitez pas à faire appel à un apiculteur professionnel, un vrai: un vrai c’est quelqu’un qui vous fera une facture pro forma préalable pour la vente d’un essaim avec la garantie de la présence d’une reine marquée d’un code couleur correspondant à l’année de sa naissance, sa génération, son état sanitaire, sa lignée, sa race, race définissant son calme. (Les abeilles dites "africaines" sont plus agressives que les "buckfasts").

Isolez votre ruche du froid: faites-vous assembler une ruche "basse consommation" par votre magasin spécialisé: une colonie d’abeilles survit, se développe si la température interne reste à 34° et si vous installez des isolations et des partitions isolées, le rendement tant en miel qu’en reproduction sera bien meilleur.

Installez un thermomètre avec lecture externe au cœur du couvain.

N’hésitez pas à offrir votre terrain à un apiculteur: beaucoup sont à la recherche d’un terrain pour leurs ruches. Cela vous fera du miel la seconde année et vous aurez une personne qui viendra régulièrement surveiller ses abeilles, donc votre propriété.

Sachez enfin que l’abeille bénéficie depuis la Révolution d’une protection exorbitante du droit commun (un peu comme les squatters quoi!) et que nul ne peut les déplacer (en dehors des mois de décembre, janvier et février), les étouffer ou les gazer (c’est une des nombreuses lois qui perdurent issues du régime de Vichy) sous peine de poursuites: n’hésitez donc pas à saisir le procureur si l’on s’en prend à elles…

Voila! N’hésitez pas à vous former si vous souhaitez prendre en charge ces infatigables travailleuses (certains devraient prendre exemple sur elles!) et dans tous les cas, voyez le résultat.

Quasi immédiatement, vos squatteurs vont décaniller: c’est plus efficace, plus rapide et bien plus durable que n’importe quelle méthode.

Emmanuel Goldstein

 

Écrire un commentaire

Optionnel