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opinions

  • Effondrement de l’école

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    le constat accablant de l’Observatoire de l’immigration

    C’est une étude très détaillée que nous livre l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID), en reprenant un article de Joachim Le Floch-Imad  sur l’impact  négatif de l’immigration extra-européenne sur notre système éducatif.

    Des dizaines de milliers d’enfants allophones, faute de maîtriser le français, subissent un déclassement scolaire inexorable qui se répercute sur le niveau scolaire général du pays. Dès lors qu’elle atteint des niveaux excessifs, l’immigration ne s’intègre plus. C’est un sujet gravIssime connu mais qui a toujours été mis sous le tapis. 

    On se souvient qu’en 2004, Jean-Pierre Obin, inspecteur général de l’Éducation nationale, avait remis au Gouvernement un rapport alarmant sur l’islamisation de l’école républicaine.

    Mais le ministre de l’Éducation nationale de l’époque, un certain François Fillon, avait courageusement enterré le rapport, en bon petit soldat de cette droite sans convictions, encore plus mondialiste et immigrationniste que la gauche.

    Rappelons que l’essentiel de notre immigration provient d’Afrique, où les taux d’alphabétisation sont les plus faibles. Notamment nos anciennes colonies.

    20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50% d’analphabètes dans leur population: l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, la Gambie, la Guinée Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/750-millions-d-analphabetes-dans-le-monde-mais-des-progres-2754405

    Je ne vais pas vous faire un résumé de l’énorme travail effectué par l’auteur de l’étude, d’autant plus qu’une synthèse est disponible sur le site. La voici:

    https://observatoire-immigration.fr/limpact-de-limmigration-sur-le-systeme-educatif-francais/

    Joachim Le Floch-Imad est enseignant et essayiste. Il vient de publier Main basse sur l’Éducation nationale. Enquête sur un suicide assisté (Éditions du Cerf), dont cette note prolonge et approfondit plusieurs réflexions.

    –  Si elle n’est pas la cause unique des difficultés de notre école, l’immigration, dans sa forme actuelle, les exacerbe toutes. Le sujet demeure pourtant absent du débat public, quand bien même plus de trois-quarts des Français se disent favorables à une politique migratoire plus ferme. Cette situation constitue une anomalie démocratique à corriger et un défi politique à relever;

    –  Avec 40% des enfants de moins de quatre ans en France, immigrés ou d’origine immigrée, plus d’un élève de CM1 sur cinq qui parle une autre langue que le français à la maison, l’immigration change le visage de notre système éducatif;

    –  Le nombre d’élèves allophones nouvellement arrivés (EANA) a augmenté de 153% depuis l’année scolaire 2007-2008. Pour répondre à ces difficultés, le Ministère multiplie les programmes spécifiques, contribuant à segmenter les missions d’une école déjà fragilisée;

    –  Dans 73% des pays évalués dans le cadre de la dernière enquête PISA, les élèves issus de l’immigration affichent en mathématiques un score inférieur à celui des élèves " autochtones " (ni immigrés ni enfants d’immigrés), avec un écart moyen de 29 points;

    –  Le problème ne se limite toutefois pas à ces cas spécifiques. En France, d’après l’enquête PISA 2022, les élèves issus de l’immigration rencontrent plus souvent des difficultés en mathématiques, avec un écart moyen de 47 points entre " autochtones " et enfants d’immigrés, et de 60 points entre autochtones et immigrés, soit l’équivalent d’un an et demi de retard scolaire. Cette différence de niveau, nettement plus frappante que chez nos voisins, contribue à notre recul au classement PISA, avec un score national moyen en mathématiques de 474 points (contre 485 points pour les seuls élèves sans ascendance migratoire directe);

    –  Selon l’Insee, 23,9% des enfants d’immigrés ne terminent pas leurs études initiales, contre 12,9% des Français sans ascendance migratoire. En moyenne, les immigrés ou descendants d’immigrés redoublent davantage, sont surreprésentés dans les filières spécialisées, accèdent moins souvent au lycée général et technologique et ont un moindre niveau de diplôme;

    –  Il n’existe pas une, mais des immigrations, aux trajectoires contrastées et surprenantes. Les enfants de l’immigration d’Asie du Sud-Est sont ainsi en surréussite scolaire par rapport aux Français d’ascendance française. À l’inverse, les descendants d’immigrés du Maghreb, d’Afrique subsaharienne ou de Turquie rencontrent, en moyenne, des difficultés scolaires plus précoces et plus durables;

    –  Selon l’enquête TALIS 2018, seuls 8% des enseignants français se disent correctement préparés par leur formation à travailler dans des environnements multiculturels, contre 26% en moyenne dans l’OCDE;

    –  Si l’immigration pèse davantage sur notre école que sur celles de nos voisins, c’est parce que la France accueille des flux migratoires plus extra-européens, moins diplômés et plus précaires que la moyenne de l’OCDE;

    –  Pour mesurer l’impact de l’immigration sur notre école, il faut la regarder telle qu’elle est, non telle qu’on aimerait qu’elle soit. Le débat consistant à savoir si le problème est migratoire ou socio-économique, en dépit de son intérêt théorique, importe peu en pratique. Par ailleurs, même en tenant compte des niveaux socio-économiques, une différence de 17 points subsiste entre immigrés et "autochtones" en mathématiques dans l’étude PISA;

    –  Les populations accueillies ne renonçant pas, une fois installées, aux bagages culturels qu’elles apportent, les flux migratoires apparaissent étroitement liés à la dégradation du climat scolaire, à la montée des violences et à la recrudescence des atteintes à la laïcité comme des tensions religieuses et identitaires. Ainsi, selon l’IFOP, 71% des enfants de deux parents nés hors d’Europe ayant assisté à des violences physiques contre un élève juif parce qu’il était juif déclarent les avoir approuvées, contre 26% de l’ensemble des élèves;

    –  Avec plus d’un millier de mineurs fichés pour islamisme, 38% des élèves musulmans refusant de "condamner totalement" l’assassinat de Dominique Bernard et 81% des lycéens musulmans jugeant injustifié de montrer en classe des dessins caricaturant les religions, l’immigration alimente, sur fond d’explosion des contestations d’enseignements, un prosélytisme islamiste qui décompose de l’intérieur l’école de la République;

    –  La pression exercée par l’immigration sur notre école apparaît difficilement soutenable. Pour sortir de ce "cercle vicieux", il est nécessaire, sans céder à la stigmatisation et sans nier les belles trajectoires qui existent à l’échelle individuelle, de réduire drastiquement les flux migratoires et, parallèlement, de mettre en œuvre des politiques éducatives de rupture.

    Le constat est accablant mais il est inutile d’espérer un redressement si les flux migratoires s’accélèrent. Or, il n’ y a aucune volonté au gouvernement de freiner l’immigration de masse de 500 000 arrivants chaque année, pour la plupart sans diplômes, voire illettrés, qui nivellent le pays par le bas. Chaque jour les mondialistes savourent leur avancée dans la destruction des nations européennes, avec la bénédiction de leurs élites, dont la lâcheté et l’inconscience laissent pantois.

    LeTitanic sombre et nos élites jouent du violon.

     

    Jacques Guillemain

     

  • Perdu: 10 milliards d'euros!!!!

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    Les Pieds nickelés de Bercy annoncent une perte inexpliquée de 10 milliards de TVA

    De plus en plus grandiose. En plein débat budgétaire, Bercy perd 10 milliards de TVA sans savoir ni où, ni comment! Plus nous sommes ruinés et plus l’argent se volatilise.

    Tandis que Matignon cherche désespérément 40 milliards d’économies, à Bercy c’est la valse des milliards. Ce sont donc 5% des recettes de la TVA qui se sont envolés sans explication.

    On se croirait en Ukraine, où les milliards disparaissent ni vu ni connu.

    Cela représente un trou de 600 euros dans le budget annuel d’une famille de quatre personnes. Ce n’est pas rien alors que le pays croule sous les dettes et supporte déjà une fiscalité confiscatoire.

    La France est vraiment une république bananière qui n’a plus sa place parmi les démocraties avancées, censées être des modèles d’intégrité, de sérieux et de compétence en matière de gouvernance. Nous sommes gouvernés par des incapables et des irresponsables qui se foutent de tout, car responsables uniquement de ce qui va bien. LA GABEGIE, C’EST TOUJOURS LA FAUTE DU SAINT-ESPRIT.

    Quand ce ne sont pas l’Élysée et Bercy qui se renvoient la balle pour endosser la responsabilité des 300 milliards de dettes supplémentaires toujours inexpliquées, c’est Bercy qui nous annonce avoir perdu 10 milliards de TVA, sans la moindre idée des causes de ce trou béant. Ce sera comme d’habitude dans notre république de bons à rien: ni responsables, ni coupables. Tous ces bras cassés savent pouvoir compter sur le crétin de contribuable, éternel dindon de la farce et roue de secours incontournable du pouvoir.

    Car en attendant, en plein débat budgétaire, il va falloir trouver 10 milliards supplémentaires pour boucler le budget. Donc 10 milliards d’impôts à prévoir.

     

    https://www.epochtimes.fr/dix-milliards-de-tva-introuvables-le-gouvernement-lance-une-mission-durgence-3109486.html

     

    Affolé, Matignon lance une mission d’urgence pour éclaircir ce mystère. Nul doute que nos lumières de Bercy trouveront une explication plus ou moins alambiquée pour s’exonérer du désastre et mettre cela sur le dos de défaillances imprévisibles. En attendant, chaque citoyen, bébés compris, vient de perdre 150 euros, évaporés comme un mirage dans le désert.

    La TVA, c’est 200 milliards collectés chaque année. C’est la principale recette fiscale de l’État. Perdre 5% de cette manne financière, c’est assez ahurissant.

    Mais il se dit que les outils de contrôle de cet impôt majeur sont inadaptés, surestimant à tort son rendement de plusieurs milliards. La stabilité financière du pays est donc de plus en plus bancale.

    Un pays en faillite, dont la charge de la dette est le premier poste budgétaire, qui de plus perd 10 milliards sans savoir ni où, ni comment, avouons que cela ne manque pas de sel.

    Ce désastre illustre encore le délabrement de notre pays, dirigé par un incapable, qui s’est entouré de plus incapables que lui, sous réserve qu’ils lui fassent allégeance et lui jurent fidélité. Ce bonnet d’âne que la France détient dans tous les domaines, école, dette, fiscalité, insécurité, est parfaitement justifié.

    Il est temps que le FMI prenne les commandes de ce pays en perdition, gouverné par des Pieds nickelés depuis trop longtemps. Nous étions le phare de l’Europe en 1975, riches et admirés. Mais des légions d’incapables ont dilapidé l’héritage des Trente Glorieuses. Macron, en deux quinquennats apocalyptiques, nous a mis au rang d’un pays du tiers-monde, en faillite totale tandis que les malfrats imposent leur loi. C’est simple, ce pays n’est plus gouverné et il n’y a plus d’État. Telle est la sinistre vérité.

    Jacques Guillemain

  • Inégalités salariales: comme tous les ans,

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    les féministes racontent n’importe quoi

    Image générée par I.A.

    Tous les ans, c’est la même rengaine: les médias grands publics reprennent, avec une certaine complaisance, des chiffres à la méthodologie douteuse pour perpétuer le mythe d’une oppression systémique entre hommes et femmes.

    Ces chiffres proviennent du collectif féministe Les Glorieuses: les femmes travailleraient gratuitement à partir du 10 novembre, 11h31. Il se fonde sur les différences de rémunération entre hommes et femmes travaillant à temps plein dans des entreprises de plus de 10 salariés du secteur public et du secteur privé, ce qui n’a aucun sens: le chiffre de 14,2% (c’est l’écart de salaire moyen entre les femmes et les hommes à temps plein, dans les secteurs public et privé, pour les entreprises de plus de 10 salariés) ne dit rien du secteur d’activité, du domaine de spécialité, de l’emploi occupé ou encore des spécificités individuelles qui expliqueraient ces mêmes différences.

    Le collectif Les Glorieuses le reconnaît: "les femmes sont surreprésentées dans les emplois à temps partiel, moins rémunérés, ou dans les secteurs sous-valorisés".

    Ces choix sont-ils empreints de stéréotypes et de biais sociaux? Bien entendu, on ne peut jamais l’exclure, mais cela revient à omettre un point crucial: l’investissement parental est nécessairement plus grand en tant que mère, ne serait-ce que physiquement (n’en déplaise aux déconstructivistes, seules les femmes peuvent tomber enceintes), mais aussi psychologiquement, et cet investissement est propre à une réalité biologique avant d’être une quelconque pression de " la société ".

    On peut donc parfaitement supposer qu’être mère de famille et s’investir dans l’éducation de ses enfants a tout simplement plus de valeur, aux yeux de l’écrasante majorité des femmes, que de travailler 70h par semaine dans un bureau pour une rémunération plus élevée.

    Revenons-en aux chiffres: à travail égal, compétence égale et dans une même entreprise, le véritable écart de rémunération est de 3,8%. Cet écart, en apparence inexpliqué, s’explique probablement par le fait que les femmes soient moins assertives, en moyenne, et osent moins souvent demander une hausse de rémunération. Si on en prend conscience, cette situation n’a rien d’indépassable.

    Trouver une solution impliquerait qu’il y ait un problème. Le vrai problème est le suivant: la rhétorique victimaire qui entretient l’idée selon laquelle les hommes seraient un obstacle à l’émancipation des femmes. Les femmes ne sont pas des enfants ayant besoin d’être surprotégés. Elles sont avant tout des individus libres et responsables. S’il y a bien une oppression, c’est celle de l’État: le salarié moyen français travaille pour lui 7 mois par an et il n’en a toujours pas pour son argent.