Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

opinion - Page 2

  • Vers une théocratie collectiviste

    Imprimer

    L’Histoire est autre chose que la résultante des forces aveugles des forces économiques. Quiconque se penche sur les documents et sur les faits peut découvrir au cœur des événements la présence des Fils de la Veuve.

    Au XIXe siècle, les figures de proue du mouvement socialiste étaient en majorité des maçons.

    En 1920, lors du congrès de Tours, les délégués votèrent pour la double appartenance par 1505 voix contre 3.

    Le marxisme n’est qu’un démarquage habile de la doctrine initiatique, à l’usage des profanes.

    Sa nature véritable n’échappe pas à certains responsables des années 1920, comme le prouve l’attitude donnée à la dépouille mortelle de Lénine, figée à l’ordre d’apprenti, dans son mausolée de la Place Rouge.

    Le nazisme tire son origine du même type de culte.

    Les partis socio-démocrates issus de la Révolution bourgeoise cherchent leurs mots d’ordre dans les loges.

    Les images cryptées des monuments publics nous rappellent que la République " laïque " est bel et bien un gouvernement sacral, sacro-saint, tels les trois ouroboros de la Cour carrée du Louvre (objets représentant un serpent ou un dragon qui se mord la queue).

    Une fois décodé le langage de ses symboles, la révolution apparaît pour ce qu’elle est: un mouvement millénariste inspiré par la gnose naturaliste.

    Son objectif: ramener l’âge d’or, c’est-à-dire la civilisation antérieure au Déluge, en réhabilitant le " dieu de la science ", symbolisé par le serpent.

    Selon la légende de l’âge d’or, au commencement de l’humanité, il y avait une " race d’or ". C’était au temps où Kronos vivait au ciel. Kronos, un Titan, fils d’Ouranos, le Ciel, et de Gaïa, la Terre. Les hommes vivaient alors comme des dieux, libres de souci, à l’abri des peines et de la misère. Ils ne connaissaient pas la vieillesse, mais passaient leur temps, toujours jeunes, dans les festins et les fêtes. Lorsque le moment était venu de mourir, ils s’endormaient doucement.

    Et ils n’étaient pas soumis à la loi du travail. Tous les biens leur appartenaient spontanément. Le sol produisait de lui-même une récolte abondante, et eux, au milieu des champs, vivaient en paix.

    Saturne, très ancien dieu italique, a été identifié à Kronos. Il passait pour être venu de Grèce en Italie, en des temps très anciens. Jupiter le détrôna et le précipita du haut de l’Olympe.

    Lire la suite

  • l’assassin de Mélanie s’appelle Gallois ou Ghenouchi? À quand sa photo?

    Imprimer

    Il paraît qu’il y aurait des lois qui interdisent de donner le nom des mineurs délinquants et de publier leur photo. Tout comme, selon d’autres, publier les photos des djihadistes de Daech en train d’assassiner des infidèles serait de l’incitation au terrorisme. Tout comme d’autres interdisent les statistiques ethniques. Toutes ces lois sont stupides et ne servent qu’à une chose: protéger les délinquants, pour qu’on ne connaisse pas leurs origines et leur religion, afin de continuer à mentir aux Français. Et il en est de même pour les victimes, puisque dans les médias, on appelle Mélanie, la victime de Quentin, avec seulement la première lettre de son nom, un G.

    Pour revenir sur l’insupportable assassinat de Mélanie, on a constaté que les médias, cette fois, sur ordre des autorités, ont balancé le prénom de l’assassin en une demi-heure, pour leur laisser entendre que cela n’étaient pas toujours des Mohamed qui assassinent les Français. Darmanin nous avait fait le coup des Kevin et Mattéo, pour dissimuler la réalité des émeutes ethniques ayant suivi la mort de Nahel Merzouk.

    Jean Messiha a donc relayé une information qui aurait été explosive, nous apprenant que le vrai nom de l’assassin serait Ghenouchi, et qu’il serait tunisien. Pendant ce temps, sur les réseaux sociaux, d’autres affirment qu’il s’appelle Gallois. Dans le doute, après plusieurs contacts, Jean a retiré son tweet. Mais le doute demeure. Des médias comme RTL, parlant de la famille de l’assassin Quentin, parlaient de " famille bien intégrée " dont les deux parents travaillent. Donc peut-être des " Ghenouchi".

    Sur la toile, d’autres rumeurs circulent, qui expliquent que Quentin n’aurait pas la couleur de peau d’un Gallois…

    D’autres encore ont même affirmé que ses trois premiers prénoms seraient musulmans, que le premier serait Ali, et que Quentin serait le quatrième.

    La seule solution est de mettre fin à ces lois sur les mineurs qui protègent les assassins, et de traiter ceux qui tuent comme des adultes et pour ce qu’ils sont: des criminels qu’il convient de traiter comme tels, quel que soit leur âge, et de publier leur photo et leur nom…

    Lucette Jeanpierre

  • Maintenant, ceux qui "ont du cœur" ont aussi du cerveau

    Imprimer

    Le cœur possède son propre "mini-cerveau", révèle une étude

    Une étude révèle que le cœur possède son propre "mini-cerveau", un réseau neuronal complexe régulant les fonctions cardiaques indépendamment du système nerveux central. Alors qu’on pensait initialement qu’il ne s’agissait que d’un simple système de relais, il se révélerait doté de fonctions plus avancées et jouerait un rôle clé dans le contrôle du rythme cardiaque. Cette découverte pourrait contribuer au développement de nouveaux médicaments pour les maladies cardiaques.

    On a longtemps pensé que l’homéostasie cardio-vasculaire est principalement régie par les interactions complexes entre les systèmes nerveux parasympathique et sympathique du système nerveux autonome. Les signaux provenant et à destination de ces systèmes sont relayés par le système nerveux intracardiaque, intégré dans les couches supérieures de la paroi cardiaque.

    Cependant, bien que l’innervation centrale du cœur ait été étudiée de manière approfondie, les fonctions et la structure du système nerveux intracardiaque restent partiellement incomprises. Des études ont récemment suggéré qu’il ne s’agit pas d’un simple relais d’informations. Il a été proposé qu’il agit en tant que centre de traitement final et d’intégration des signaux du système nerveux autonome, conduisant ainsi à l’hypothèse selon laquelle il s’agit du "mini-cerveau" du cœur.

    L’étude du Karolinska Institutet (en Suède) et de l’Université Columbia (aux États-Unis) étaye cette hypothèse en révélant que le système nerveux intracardiaque est bien plus complexe et diversifié qu’on le pensait. " Nous avons été surpris de constater à quel point le système nerveux du cœur est complexe ", explique dans un communiqué Konstantinos Ampatzis, chercheur principal de l’étude et professeur au département de neurosciences du Karolinska Institutet, qui a dirigé la recherche. " Une meilleure compréhension de ce système pourrait éclairer les mécanismes des maladies cardiaques et permettre le développement de nouveaux traitements contre des affections telles que les arythmies ", suggère-t-il.

    UN ROLE ESSENTIEL DANS LA REGULATION DU RYTHME CARDIAQUE

    L’hypothèse du mini-cerveau cardiaque devrait logiquement impliquer un groupe interconnecté de neurones parasympathiques et sympathiques, de neurones sensoriels, d’interneurones régulateurs locaux et de neurones moteurs. Cette interconnexion est essentielle au contrôle local des fonctions cardiaques indépendamment du système nerveux central. Bien qu’il ait été démontré que le système nerveux intracardiaque joue un rôle dans certaines fonctionnalités telles que la contractilité, son implication dans le contrôle du rythme cardiaque était jusqu’à présent méconnue.

    Pour explorer l’hypothèse, les chercheurs de la nouvelle étude ont caractérisé les neurones intracardiaques du poisson-zèbre (Danio rerio) adulte, un modèle animal dont la fréquence et la fonctionnalité cardiaque globale présentent de fortes similitudes avec celles des humains. De plus, l’animal possède un cœur composé de 4 chambres (sinus veineux, oreillette, ventricule et bulbe artériel) connectées séquentiellement par des valves, à l’instar de celui des humains.

    Les chercheurs ont combiné différentes méthodes, dont le séquençage d’ARN à cellule unique, l’analyse neurochimique et anatomique, ainsi que des techniques électrophysiologiques. L’objectif était de cartographier l’innervation du cœur du poisson-zèbre et de déterminer la distribution anatomique des neurones intracardiaques. " Notre stratégie expérimentale a donné lieu à une carte structurelle et fonctionnelle améliorée de la diversité neuronale au sein du système nerveux intracardiaque ", écrivent-ils dans leur rapport, détaillé dans la revue Nature Communications.

    Les analyses ex vivo du cœur du poisson-zèbre ont révélé plusieurs types de neurones cardiaques, chacun ayant des fonctions spécifiques. L’un des groupes présentait des propriétés de stimulateur cardiaque et joue un rôle clé dans les fonctions rythmiques telles que la respiration et la locomotion. Le plus grand groupe de neurones (74,1%) a en outre été détecté au niveau de la valve sino-auriculaire, formant le plexus sino-auriculaire, une structure essentielle à l’homéostasie du rythme cardiaque.

    Ces observations remettent en question l’hypothèse conventionnelle selon laquelle le rythme cardiaque est principalement régulé par le système nerveux autonome. " Collectivement, nos résultats soutiennent le rôle crucial du système nerveux intracardiaque dans la fonctionnalité cardiaque et fournissent une base pour une meilleure compréhension de la manière dont différents types de neurones au sein du système sont impliqués dans diverses conditions physiologiques et pathologiques ", indique l’équipe.

    En prochaine étape, l’équipe prévoit d’étudier la manière dont le mini-cerveau du cœur interagit avec le cerveau pour réguler les fonctions cardiaques dans diverses conditions, telles que l’exercice, le stress et les conditions pathologiques. Examiner la manière dont les perturbations du système nerveux intracardiaque peuvent contribuer à différents troubles cardiaques, permettrait également d’identifier de nouvelles cibles thérapeutiques.

    Source: Nature Communications