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actualité - Page 4

  • Hommage à Antoine de Lasalle

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     (Général Antoine Charles Louis de Lasalle, mort à 34 ans à la bataille de Wagram)

    "Mon cœur est à toi, mon sang à l’Empereur, ma vie à l’Honneur".

     (Général Lasalle, lettre à sa femme, la veille de sa mort)

    Pour les vieux soixante-huitards, dont beaucoup sont devenus des bobos de la gauche caviar,  les mitterrandolâtres encore en vie, les "éléphants" d’un Parti socialiste moribond, le 10 mai est un anniversaire: l’arrivée au pouvoir, le 10 mai 1981, de François Mitterrand, l’ancien "Camelot du Roy", décoré de la Francisque sous Vichy (n° 2202), impliqué dans le faux attentat de l’Observatoire, celui que les médias surnommaient  " Le Florentin " en référence à son art de l’esquive, illustré sous la Renaissance par des natifs de Florence comme Laurent le Magnifique ou Machiavel.

    Ce personnage ambitieux, madré, rusé, franc "comme un âne qui recule", prêt à tout pour arriver au pouvoir, avait réussi à mettre la main sur la vieille SFIO (1) pour en faire une machine à sa botte pour accéder, enfin, à la présidence de la "Ripoux-blique". Le règne de François Mitterrand, ce sont 14 années de gestion calamiteuse mais, en fait, ni plus ni moins que la présidence de Giscard d’Estaing avant lui; et celle de Hollande et Macron depuis.

    Fêter le 10 mai 1981, c’est aussi incohérent, aussi stupide, que d’honorer le 19 mars 1962: on ne devrait jamais se réjouir d’une catastrophe qui affaiblit la France, surtout quand on en paie les conséquences au prix fort!

    En ce 10 mai, je souhaite, moi aussi, fêter un anniversaire, celui de la naissance d’un grand soldat:

    Antoine Charles Louis, comte de Lasalle, général de cavalerie du Premier Empire, né à Metz le 10 mai 1775 et mort au combat, le 6 juillet 1809, à la bataille de Wagram.

    Il aimait les combats, l’odeur de la poudre, la fête, le vin et les jolies femmes. Avec Antoine Honoré de Brack, il fut l’un des plus beaux sabreurs de l’Empire, époque qui ne manquait pourtant pas d’hommes courageux dont beaucoup sont morts, comme lui, le sabre à la main. On raconte qu’il serait l’auteur de la chanson d’après boire " Fanchon " que je me plais à chanter, avec mes amis, les soirs de ripaille. Hélas non: l’air de " Fanchon " était déjà célèbre au XVIIIe siècle (2).

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  • LES  FRANÇAIS  SONT  DEBOUT!

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    Avant le 8 mai – jour férié en France pour célébrer la victoire des Alliés lors de la Seconde Guerre mondiale -, les supporters de l’Olympique Lyonnais ont, ce dimanche 4 mai, tenu à rendre hommage à l’armée française.

    En marge du coup d’envoi de la rencontre de la 32e journée de Ligue 1 entre l’OL et le RC Lens, au Groupama Stadium, les Bad Gones ont déployé un grand tifo aux couleurs bleu-blanc-rouge avec le message suivant: "Mon petit cœur, lui, restera français".

    "Dunkerque", "La Marne", "Verdun"… plusieurs lieux faisant référence à des moments clés des deux Guerres ont été écrits sur le drapeau tricolore. Sublimé par la représentation de quatre unités de l’armée française, dont un Poilu et un militaire (avec la mention "BG87" faisant référence au groupe de supporters des Bad Gones).

    Le Figaro

     

    Honneur à mon grand-père maternel, gazé à Verdun

  • Il faut en finir avec les chimères mondialo-wokistes!

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    La journaliste Gabrielle Cluzel déclarait récemment dans l’émission de Christine Kelly Face à l’Info, sur CNews, que les générations futures nous regarderaient comme un peuple ayant laissé assassiner ses propres enfants.

    Cela au nom d’idéologies du siècle dernier dépassé de bientôt vingt-cinq ans et de chimères uniquement théoriques, pourtant fortement ancrées dans l’esprit de nos contemporains. Elles servent de références banalisées dont beaucoup ne sauraient donner une définition exacte mais qui évitent de réfléchir par soi-même, tout en constituant une bouée de sauvetage universelle permettant de refuser tout débat en usant d’anathèmes surannés à l’encontre des contradicteurs.

    Ces chimères sont l’état de droit, la laïcité, la démocratie, la liberté d’expression, l’indépendance de la Justice, les droits de l’Homme, les valeurs de la République, l’antiracisme, la tolérance, les accommodements raisonnables, la société multiculturelle, le politiquement correct, le couple franco-allemand, l’Union européenne, la prétention à créer un homme nouveau, libéré des traditions séculaires et même des lois naturelles.

    L’État de droit est l’expression la plus extensible des dilutions verbales auxquelles nous sommes soumis depuis longtemps. Les aberrations instituées en son nom sont innombrables et sujettes à prolifération exponentielle.

    On pourrait dérouler presque à l’infini la liste de ces aberrations qui, toutes, sont des conséquences de l’État de droit, défini de manière très laconique par la Commission européenne, laquelle nous dicte sa loi en matière de sécurité, autant dire d’insécurité, comme cela était rappelé dans un article de Cyrano du 27 février 2025:

    "L’État de droit garantit que toutes les autorités publiques agissent toujours dans les limites fixées par la loi, conformément aux valeurs de la démocratie et aux droits fondamentaux, et sous le contrôle de juridictions indépendantes et impartiales".*

    On notera la sémantique utilisée avec deux autres dilutions: valeurs de la démocratie et droits fondamentaux. Quant aux juridictions indépendantes et impartiales… peut-on citer l’ARCOM, le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel, les tribunaux de commerce? Ou d’autres encore?

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