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actualité - Page 3

  • ALERTE!

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    La "Grande Muette" prévient une nouvelle fois le gouvernement

    Une vingtaine de généraux et une centaine de hauts-gradés s’expriment une fois encore.

    Souvenons-nous, le 22 avril 2014 "Boulevard Voltaire" publiait un de mes articles: "La Grande muette grogne de plus en plus fort".

    Au plus haut niveau de l’Etat on n’a pas voulu l’entendre grogner.

    Les réactions ne se sont pas faites attendre: Les généraux chefs d’état-major des trois armées, Terre, Air et Mer, plus une vingtaine d’autres officiers généraux, avaient menacé de démissionner.

    Même le Ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, ami de longue date de François Hollande, avait proposé de remettre son portefeuille au Président de la république.

    Il s’agissait là de la goutte d’eau qui allait faire déborder la coupe.

    **Nous envoyons allègrement nos jeunes soldats dans des pays étrangers risquer leur peau dans des guérillas sans fin prévisibles. Le but est de sauver des vies au nom de la liberté et de la lutte contre le terrorisme mais avec des armes désuètes et du matériel obsolète. Comme nous sommes les seuls à le faire alors pour le moins donnons-leur les moyens de se défendre face à un ennemi insaisissable.

    Prenez bien garde de ne pas aller trop loin!

    **Que l’on se souvienne que le 8 janvier 1961 le 1er REP (Régiment étranger de parachutistes) se mettait en grève et refusait de partir en opération après la mort de 11 paras en estimant qu’ils étaient morts pour rien. L’Algérie allait devenir indépendante selon la volonté de De gaulle, et ils obéissaient ainsi aux paroles de l’aumônier, le père Delarue: "Vous êtes tombés au moment où, s’il faut en croire les discours, nous ne savons plus, ici, pourquoi nous mourrons!".

    EN 2014, L’EUROPE N’ÉTAIT PAS EN GUERRE… LA FRANCE NON PLUS.

    Ce n’est plus le cas en 2025.

    La "Grande muette" parle de nouveau alors prenez garde car le tonnerre gronde.

    20 généraux et une centaine de hauts-gradés s’expriment une fois encore.

    **L’heure est grave. La France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent.

    Le constat est accablant: c’est la guerre raciale. Que veulent ces partisans haineux et fanatiques.

    Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture. Il ne peut, et ne doit, exister aucune ville, aucun quartier, où les lois de la République ne s’appliquent pas.

    Des individus encagoulés saccagent des commerces et menacent les forces de l’ordre "qui ne font qu’appliquer les directives données, par vous, gouvernants.

    Nous ne pouvons être, devant de tels agissants des spectateurs passifs. "Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part".

    Nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

    Et cela provoquera, au final, une explosion et l’intervention de nos camarades d’active pour la sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.

    La guerre civile mettra un terme à ce chaos et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers ".

    Le message est clair: l’extrême gauche veut le chaos et "si elle le provoque"  elle pourrait comptabiliser ses pertes.

    Manuel Gomez

  • Mexicanisation de la France

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    le laxisme des pouvoirs publics face à l’explosion du crime organisé

    Pierre Noizat ne tourne pas autour du pot au sujet de l’origine ethnique de la nouvelle mafia "française": cet entrepreneur de cryptomonnaie et patron de Paymium, dont la fille a été victime d’une tentative d’enlèvement en plein Paris et en plein jour, regrette qu’il faille "adapter nos comportements aux criminels", ceux-là mêmes "qui disent aux femmes de porter des jupes moins courtes si elles ne veulent pas se faire violer".

    "Plein de gens n’hésitent pas à mettre des cibles sur les entreprises, sur les riches", dénonce Pierre Noizat qui fait le constat, avec beaucoup d’autres, que la société française est gangrenée par l’hyper-violence.

    Il n’a pas hésité à parler, comme Éric Larchevêque, ex-patron de la société Ledger, de "mexicanisation de la France" à l’origine de l’instillation d’une "forme de terreur" dans l’Hexagone.

    "On est en plein dedans, la violence dont ma fille a été victime est quotidienne pour plein de gens en France", déplore-t-il, évoquant le laxisme des pouvoirs publics qui "nous met tous en danger".

    "Cela fait 15 ans que je suis conscient des risques, poursuit-il, cela fait 15 ans que je suis actif sur le secteur, j’étais l’un des premiers en France et dans le monde, des gens ont pu faire des hypothèses sur mon patrimoine et se raconter des histoires".

    Pour assurer sa sécurité et celle de sa fille, il a regretté qu’aucune solution d’urgence ne lui ait été proposée et a confié avoir dû faire appel à un service de sécurité privé. "Nous n’avons pas eu le choix", a-t-il concédé, déplorant d’"être en train de sécuriser l’enfer".

    Alors que le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a réuni la semaine dernière les principaux entrepreneurs du monde de la cryptomonnaie, et ce, justement pour "travailler à leur sécurité", Pierre Noizat évoque sans détour une "opération de communication de la part d’un homme politique qui souhaite se faire élire", "pas forcément trouver des solutions".

    Face à ce qui est la cinquième affaire d’enlèvement – réussi ou non – en moins de deux ans dans le monde des cryptomonnaies, l’entrepreneur s’est montré désabusé, convaincu que le ministre ne sera pas en mesure de proposer des solutions concrètes. "Je pense que Monsieur Retailleau a un peu une mission impossible, car il doit régler un problème plus gros que lui", a-t-il assuré. "Est-ce qu’on sait réprimer le crime dans ce pays?", a-t-il interrogé ensuite.

    Les pouvoirs publics préfèrent traquer une "menace fasciste" totalement imaginaire plutôt que de s’occuper de la violence quotidienne que subissent les Français.

    Avec plus de 1 000 agressions par jour dans notre pays, le phénomène dépasse évidemment le petit monde de la cryptomonnaie. Toutes les villes françaises sont désormais touchées par l’hyperviolence. Sans surprise, Marseille est en tête du hitparade. L’année 2023 a été d’une intensité sans précédent du fait de la succession de règlements de comptes mortels entre DZ Mafia ("DZ": el Djazaïr = l’Algérie) et Yoda (une autre mafia ethnique) à Marseille, selon une note rédigée par le Service d’information, de renseignement et d’analyse sur la criminalité organisée (Sirasco).

    Selon une note de la direction nationale de la police judiciaire (DNPJ), entre 2021 et 2024, les assassinats et tentatives d’assassinat ont augmenté de 33% en France. La France dépasse aujourd’hui la Belgique et les Pays-Bas en nombre de morts, alors même que ces deux pays concentrent une densité de groupes criminels bien plus importante que dans l’Hexagone.

    C’est encore la situation à Marseille qui explique la baisse des assassinats en 2024 constatée (367 faits, 525 victimes dont 110 décédés). Cette diminution résulte en effet de "l’apaisement de cette guerre interne" entre la DZ Mafia et Yoda, mais "ne doit pas masquer une tendance qui reste nettement à la hausse, y compris dans les petites et moyennes villes autrefois épargnées par ces tensions".

    Encore une fois, le phénomène dépasse le cadre des règlements de compte inter-clans. C’est la société française dans son ensemble qui est touchée.

    Nîmes, Rennes, Dijon… La note relève qu’entre 2021 et 2024, le nombre de villes touchées par ce phénomène a augmenté: 144 communes en 2021, 173 villes recensées l’année dernière. Certains experts utilisent même le terme de "marseillisation" pour qualifier ce phénomène.

    Ce que les enquêteurs constatent à Marseille s’applique au reste de la France. Les auteurs de la note soulignent ainsi que les auteurs des assassinats sont de plus en plus jeunes. Ainsi, 23% des enquêtes élucidées impliquent des tueurs à gage de moins de 20 ans, rémunérés jusqu’à 20000 euros par contrat. Ils sont généralement recrutés sur les réseaux sociaux et ont de plus en plus recours au kidnapping et à la torture.

    "Une autre tendance marquante est le recours à la sous-traitance", relève la police judiciaire dans la note. "Les groupes criminels organisés externalisent de plus en plus leurs coups de force et représailles".

    Les policiers constatent qu’ "aujourd’hui, le ‘savoir-faire’ marseillais s’exporte sur tout le territoire tandis que des équipes professionnelles originaires d’Île-de-France agissent à Toulouse, Rennes, Amiens, Lyon, Nice, mais aussi à Marseille".

    Dans la note, la police judiciaire relève que "des clans perpignanais en conflit [ont] ainsi fait appel à des mercenaires bulgares et à une équipe de tueurs marseillais.

    Des équipes franciliennes, liées au narcotrafic, exécutaient quant à elle des contrats au bénéfice de la Mocro Maffia", à savoir la mafia marocaine.

    Nouveau phénomène marquant en 2023, les magistrats, avocats, personnalités politiques ou journalistes sont dans le viseur des narcotrafiquants. La note s’appuie sur plusieurs exemples marquants pour étayer ce propos: les menaces en novembre dernier à l’encontre de la directrice de la maison d’arrêt de Nancy et deux magistrats par un détenu membre de la DZ Mafia. Ou encore en février dernier en Côte-d’Or, à Norges-la-Ville où un commando de quatre personnes s’apprêtait à enlever un avocat à la sortie de sa maison.

    "La criminalité organisée cherche délibérément à instaurer un rapport de force avec l’État", affirme cette note qui insiste sur le rôle joué par l’organisation criminelle marseillaise:

    "En France, la montée en puissance de certains groupes comme la DZ mafia pourrait faire peser des risques (…) sur les institutions" selon le Sirasco.

    "Le degré actuel de violence de cette organisation et les menaces déjà proférées à l’encontre de représentants des institutions laissent craindre qu’ils n’attentent effectivement à la vie de certains d’entre eux. D’autres réseaux criminels ont pu projeter des actions similaires", poursuit la note.

    LA BELGIQUE ET LES PAYS-BAS SONT DEJA DES NARCO-ETATS. LA FRANCE EST EN BONNE VOIE.

    La tiers-mondisation de la France n’est que la conséquence des 500 000 entrées d’immigrés par an. Et l’explosion de l’hyper-violence sur l’ensemble du territoire n’est qu’un des dégâts collatéraux de cette submersion migratoire.

    Henri Dubost

  • la guerre civile arrive!

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    Avant l’introduction du Pape, il paraît que l’on vérifie par palpation qu’il les a bien pendantes. Cette tradition remonterait à après la papauté de Léon IV. Une Anglaise se faisant appeler Jean aurait été pape 2 ans et 5 mois au IXe siècle. La supercherie fut découverte lorsqu’elle fut enceinte.

    Cette tradition devrait être aussi appliquée à nos introduits Présidents et Premiers ministres, pour vérifier s’ils les ont bien pendantes et sont aptes à diriger la France. Mais les avoir bien pendantes n’est pas suffisant, faut-il encore qu’elles soient d’un volume appréciable, où égales. Imaginez notre nouvel  introduit, qui en aurait une grosse et une petite, de gauche ou de droite, ou tordue ou de genre indéterminé? Imaginez le pire, qu’un  introduit apprécie de se les faire palper et en redemande par souci d’égalité, par Mamadou et Mohamed. Pourquoi pas? La fraternité étant une de nos valeurs, le nouveau peuple aurait bien le droit de soupeser les roubignoles du chef, d’autant que traditionnellement, dans leur civilisation, l’homme qui porte la culotte ne peut être commandé par la fatma.

    Notre introduit actuel, déjà deux fois, aimerait bien se faire introduire une troisième fois et si possible, ce qui lui ferait un grand plaisir, être introduit grand chef, par toute l’Europe. La séance de palpation  durerait beaucoup plus longtemps, avec le risque qu’il  soumette l’utile à l’agréable.

    Revenons-en à nos politiques qui, paraissant mal équipés et auraient bien besoin d’une greffe de roustons, la plupart étant des grands diseux et des petits faiseux, un proverbe très apprécié de notre regretté chef, qui lui les avait bien grosses.

     

    De mois en mois, d’années en années ils commentent l’actualité violente. À chaque agression, meurtre, émeute, ils constatent leur impuissance à ébranler le nouveau peuple de racailles.

    Une fois de plus, une fois de trop un fonctionnaire est entre la vie et la mort.  Encore une fois un pompier a subi une agression " abjecte " selon le ministre Retailleau. Pas une semaine ne se passe sans une violence sur un policier, un prof, un pompier, un maire et même un facteur ou un éboueur. C’est donc l’État qui est visé dans ces agressions contre ses représentants.

    Il y a un an, 56% des Français déclaraient avoir été victimes d’une agression, d’un vol, d’une agression verbale où d’un harcèlement.

    Il y a 3 jours dans un sondage C News, 70% des Français estimaient qu’il n’y a plus d’endroit en France où on puisse être en sécurité. 80% ont peur pour leurs enfants. 92% considèrent que l’insécurité augmente.

    Pourtant, le 25 octobre 2024, Retailleau faisait une grande déclaration, voulant frapper la délinquance au cœur et en profondeur avec des opérations "places nettes"

    "Plus qu’une simple lutte, c’est une guerre sans pitié (…) que nous voulons livrer aux délinquants", a-t-il dit. Qu’en est-il 7 mois après? La peur a gagné davantage de Français et de fonctionnaires, pendant que la racaille insoumise, immigrée, islamiste a de moins en moins peur, au point de multiplier les émeutes, pas seulement à Paris mais dans toute la France, y compris rurale. Tous les jours les armes de guerre sont utilisées, même devant un commissariat; il n’y a plus une semaine sans qu’un jeune meurt d’une lame de couteau. Autre civilisation autre mœurs, cachées par une promesse de vivre ensemble.

    C’est la guerre civile et elle a commencé il y a déjà plusieurs années, mais chut, il ne fallait pas le dire, car déjà à l’époque on n’avait pas les couilles pour s’y attaquer, et encore moins aujourd’hui, par lâcheté et la soumission à la LDH européenne.

    On croit rêver! Pour combattre cette guerre civile, nos émasculés n’ont à nous proposer que des mesures qui auraient été efficaces il y a 20 ans, mais aujourd’hui c’est trop tard. Oui Monsieur Retailleau, vous avez bien raison, c’est bien une guerre sans pitié qu’il faut mener,  mais si cette guerre sans pitié consiste à enfermer pendant une semaine ou deux une racaille et souvent un émeutier,  dès le premier délit grave, ce n’est pas une guerre, c’est toute juste une reddition. Et quel effet cela aura-t-il sur les centaines de milliers de délinquants endurcis dans les rues?

    Quel effet l’enfermement d’une semaine aura-t-il sur des djihadistes potentiels? Travaillés au corps par les Frères musulmans ou envoyés en mission par l’Algérie… La fondation Jaurès a récemment publié une enquête qui était particulièrement inquiétante mais réelle: " 46 % des étrangers qui sont musulmans considèrent que la charia est supérieure aux lois de la République. "  57% des jeunes musulmans considèrent que la charia est plus importante que la loi de la République (+10 pts depuis 2016).

    Monsieur Retailleau, le coup de la rééducation, on nous le fait depuis 40 ans, quelques jours de prison ça ne réglera rien, on ne fait pas une guerre civile avec de bons sentiments.

    Le plomb que vous avez au pied, avec vos ministres, vos députés, c’est dans les cervelles des séditieux qu’il faut le mettre.

    Il faut, pour pacifier la France, un autre général Massu et instaurer la loi martiale. Oui, ça fera quelques morts, pendant quelques mois, mais à attendre quelques années de plus, les morts se compteront par centaines de milliers.

    Au début des années 1990, une guerre civile entre frères, en Algérie a fait 200 000 morts et des milliers de disparus.

    Notre guerre civile se fera entre de souche et musulmans, ce sera pire, il n’y aura pas de quartier.

    Daniel Faguet

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)