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actualité - Page 5

  • Racisme anti-blanc

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    https://ripostelaique.com/racisme-anti-blancs-les-premiers-temoignages-de-nos-lecteurs.html

    En 2001, à Strasbourg, à 3-4 h du matin, alors que je rentrai de soirée complétement éméché avec un camarade, marchant sur le trottoir s’agrippant à nos vélos pour ne pas tomber, une BMW s’est arrêtée à notre auteur, 3 arabes sont descendus et nous tapaient, ils se sont arrêtés quand nous avons commencé à saigner.

    En 2004 à Saint Étienne, à 15 h, en mai-juin, un samedi, ma petite amie de l’époque qui me tenait la main s’est fait traité de pute, etc. par toujours 4 basanés dans une BMW décapotable.

    En 2004 toujours à Saint Étienne, nous nous sommes fait sortir du marché, manu milatari par des voilées, je pense que nous étions les seuls blancs du marché, ont-elles voulues nous protéger?… Je ne comprends pas du tout l’arabe…

    En 2017 à Paris (limitrophe je crois 94), pour une formation, demandant gentiment mon chemin plusieurs fois à des personnes de couleurs (pas le choix…), femmes et hommes.

    Ils ne m’ont jamais répondu et une a même craché à mes pieds. Ma copine de l’époque m’a supplié de baisser les yeux quand nous sommes montés dans le RER C.

    En 2018, à Auchan de La Seyne-sur-Mer (Toulon), un mardi matin, faisant les courses dans le magasin, bien rasé et coiffé cheveux très court, en brosse, je me suis fait bousculer une fois par une voilée et regarder de travers par d’autres voilées. Je ne comprenais pas bien.

    J’ai vérifié que ma braguette était bien fermée. Que mon t-shirt n’était pas taché.

    Arrivé à la caisse, la caissière m’a à peine regarder et ne m’a pas adressée la parole, malgré mon bonjour et mon au revoir.

    C’est là que j’ai réalisé… je n’étais pas le bienvenu. J’ai renouvelé l’expérience un jeudi matin, idem.

    J’ai alors décidé de changer de look, et me laissé pousser la barbe.

    Le jour et la nuit au niveau du look mais aussi au niveau du sentiment de sécurité et du regard musulman … même si je ressemblais plus à Jésus.

    Voici pour les principales anecdotes (ça m’est arrivé également dans des commerces tenus par des musulmans, mais aussi des chinois et des juifs, je précise en France, sur le sol encore français, que l’on refuse me servir à manger, le musulman m’a dit y’a plus rien, on ferme bientôt, avec la broche qui tournait et les friteuses pleines (Villejuif 2005), la chinoise de l’épicerie m’a dit dehors qu’avec la main et m’a raccompagné à la sortie de l’épicerie (2005 Paris 13e) et le juif m’a dit, il n’y a rien pour toi, c’est casher (quartier juif de Strasbourg 1999).

    Depuis plus de 25 ans, je ne m’aventure pas dans les quartiers sensibles.

    Depuis plusieurs années, j’évite les villes qui n’appartiennent plus à la France.

    Depuis l’immigration massive " accélérée grâce au Covid ", je ne vais plus dans aucun centre-ville de moyenne et grande ville sauf nécessité médicale.

    Je suis un gaulois réfractaire de culture chrétienne dans un pays chrétien aux mains de dirigeants qui depuis plus de 45 ans, que ce soit de droite ou de gauche, sans parler de l’EU intégrationniste soi-disant créée au départ pour plus de paix… ont tous menés sans exception une politique d’invasion migratoire de surcroît, musulmane!

    Heureusement, je ne me sens pas seul, surtout grâce à Pierre ses vidéos et votre site.

    Depuis 2017, j’ai compris qu’il ne faudra jamais compter sur Marine le Pen pour changer les choses.

    En fin si! Eh oui les amis, grâce au rassemblement national, ils pourront mettre en place une société d’hypercontrôle et nous amener tout droit au crédit social (je vous conseille de regarder le film: démolition man sorti en 1993).

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  • Un vent de Liberté souffle sur le Royaume-Uni

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    Hier, se déroulaient outre-Manche des élections équivalentes à nos élections municipales en France.

    Les premiers résultats sont là, ils indiquent une poussée spectaculaire du parti national anglais Réform UK de Nigel Farage (cf. tableau ci-dessus). Il s’agit d’un véritable camouflet pour les partis moribonds du Système qui s’écroulent totalement.

    Il faut rappeler que la Grande-Bretagne est victime depuis des décennies d’une politique migratoire insensée qui engendre aujourd’hui un véritable état de guerre inter-ethnique extrêmement violent comme on a pu le constater l’été dernier à travers tout le royaume.

    Or, face à cette situation qu’il a lui-même engendré, le pouvoir travailliste (en pleine déconfiture) a préféré jeter en prison l’un des plus courageux militants de la cause de l’identité britannique, l’éveilleur de peuple Tommy Robinson.

    Hier, les Anglais ont sonné la fin de la récréation et condamné sans appel les politiques de soumission aux diktats de Bruxelles, qu’elles soient menées par les travaillistes ou par les conservateurs. Un vent de liberté commence à souffler sur le Royaume-Uni…

    Roland Hélie

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com

  • Nié par la gauche, le racisme anti-blancs est un phénomène massif en France

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    Le racisme anti-Blancs existe bel et bien. Un racisme que Le Monde diplomatique – journal qui, avec ses autres déclinaisons, poursuit depuis plusieurs années sa descente dans l’abîme du militantisme ultragauchiste, sans doute en souvenir de son pire journaliste de jadis, le sinistre et malfaisant Edwy Plenel – qualifiait en 2021 de "mythe de la dépossession raciale", dans un article présentant un livre pétri de déni, Pauvre petit blanc, signé Sylvie Laurent, une enseignante de Sciences Po, tout se tient.

    Livre qui pourfendait la réalité wokiste aux États-Unis mais dont l’auteur ne semblait pas prendre la mesure, malgré les faits aussi évidents que le nez au milieu du visage.

    https://www.monde-diplomatique.fr/

    Pourtant, ce racisme, que l’on voudrait couvrir tel le sein de Dorine à qui Tartuffe tend un mouchoir afin de le dissimuler, est une réalité dans tout l’Occident chrétien. Car il frappe à la fois les Blancs et les chrétiens, et évidemment les juifs, ce que d’autres nient, croyant ainsi servir une cause patriotique par un antisémitisme qui ne sert en fait que nos ennemis. Mais laissons ceux-là à leurs fantasmes, ce n’est pas ici le sujet.

    Le racisme anti-Blancs, en plus d’être mortel – les Blancs étant majoritairement assassinés chez eux, notamment en France –, constitue un harcèlement permanent, servi par une censure impitoyable qui s’étend partout comme l’ombre du vampire la nuit. Ainsi l’enseignant de l’université Lyon 2 – récemment obligé de quitter son cours et fustigé par la présidente de son université, elle-même blanche ! – en est l’un des derniers exemples criants. Car en refusant d’aller dans le sens de la propagande palestinienne, cet enseignant s’est de facto rangé du côté des Blancs à abattre.

    On ne compte pas non plus les sorties haineuses à l’encontre de la culture occidentale – donc blanche – entre autres dans les médias, parmi les élus de certaines organisations politiques détestant ouvertement la France – et qui sont, eux, de vraies bêtes immondes – et même dans les décisions de justice en faveur des non-Blancs contre des Blancs. Toute la société se trouve ainsi sous le joug de ce racisme dont on interdit qu’il dise son nom. À tel point que les chercheurs qui auraient l’outrecuidance de se pencher sur cette question vitale de société sont bannis.

    Ce tabou vent d’être levé par François Bousquet – essayiste fort logiquement classé à l’extrême droite par l’officine de propagande encyclopédique Wikipédia –, avec la parution d’un livre qui ne fera pas les bonnes pages de la presse gauchiste : Le racisme antiblanc, l’enquête interdite.

    Son éditeur le présente ainsi: "Ce livre est une enquête, première du genre. Il se déploie en deux mouvements. Le premier, "Le chic gauchiste", concis mais incisif, démonte l’imposture du racisme systémique, qui fonctionne comme un verrou mental empêchant de penser le racisme anti-blanc – ce “non-objetˮ sociologique. Le second, “Le choc racisteˮ, en constitue la pierre angulaire. Il donne la parole aux victimes, celles que l’on réduit au silence, car reconnaître leur souffrance reviendrait à dynamiter le récit dominant. Or, tous les témoignages rassemblés ici convergent vers une même réalité : loin d’être un fantasme, le racisme anti-blanc est un discours de haine explicite et un phénomène aussi massif qu’occulté. C’est cette vérité interdite que vous allez découvrir. "

    Le "récit dominant" dont il est question ici nous le pourfendons à longueur d’articles sur Riposte Laïque, certains d’entre nous ayant été eux-mêmes victimes de ce racisme institutionnel.

    Oui, institutionnel, car comment expliquer autrement des concepts officialisés tels que la discrimination positive ou le vivre-ensemble, qui ne sont rien d’autre que des racismes visant à culpabiliser le Blanc et, inversement, dédouaner de tous ses crimes l’Autre, celui qui n’est pas Blanc ? On est là face à une propagande implacable, étayée par les loi liberticides Pleven (1972), Gayssot (1990) et Taubira (2001), cette dernière étant sans doute la pire des trois puisqu’elle réécrit l’Histoire dans le sens de l’idéologie antiraciste – qui est de fait raciste – en niant la suprématie esclavagiste du monde musulman pour ne se concentrer que sur les "crimes" blancs.

    La préférence antinationale, dans les emplois, le logement, les attributions d’aides, est la règle, avec la bénédiction des pouvoirs publics. Et malheur à qui proteste, il tombe sous le coup de la loi. Promenez-vous ainsi dans les musées nationaux et demandez-vous pourquoi, parmi le personnel, les Noirs y sont surreprésentés. Allez dans les cités et constatez le nombre de Blancs, dérisoire. Interrogez-vous sur le temps qu’il vous faut pour obtenir des aides lorsque les migrants sont pris en charge à peine le pied posé sur notre sol, etc.

    La responsabilité de cette injustice criminelle incombe aussi à de pseudo-intellectuels comme le très évitable BHL, qui, dans son torchon, L’Idéologie française, accablait une France dont il profite allègement au passage. Dans ce mauvais livre, il n’hésitait pas à salir Maurice Barrès en l’accusant d’être, avec d’autres, à l’origine du national-socialisme, niant le patriotisme exalté de l’intéressé et sa défiance à l’égard de l’Allemagne, notamment dans son livre Colette Baudoche, paru en 1909. Le même Barrès qui salua le courage des soldats israélites ayant combattu sous le drapeau français en 1914-1918, et qui revint même sur ses positions concernant l’affaire Dreyfus. Enfin, Barrès est mort en 1923, dix avant l’avènement d’Hitler, qu’il n’aurait surement pas soutenu. Mais de cela BHL n’a cure, et l’on peut par contre dire de lui qu’il fut l’un des artisans majeurs du racisme anti-Blancs, un racisme qui explose aujourd’hui à la figure des juifs français, considérés comme les pires des Blancs dans l’esprit des musulmans.

    Dernier exemple de racisme anti-Blancs, et pas des moindres, les non-Blancs qui s’assimilent à notre identité culturelle et qui sont la proie de leurs semblables, car considérés comme des traîtres qu’il faut aussi abattre. Il se voient ainsi traiter de "nègres de maison" ou de "bougnoules de service", toutes choses entendues par l’auteur de ces lignes dans des manifestations parisiennes antiracistes!

    Ainsi, où qu’il regarde, le Blanc se sent légitiment en insécurité, voire en danger de mort, dans l’indifférence générale qui pourrait, espérons-le, provoquer un sursaut de sa part, si violent fût-il.

    Car, dans cette "ténébreuse affaire", il ne s’agit ni plus ni moins que de sa survie…

    Cyrano

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)