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Religion - Page 7

  • En matière d’immigration, le Japon montre l’exemple

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    Image générée par I.AI et réalisée par moi

    Le Japon fait face à une crise démographique: faiblesse du taux de fécondité (1,15 enfant par femme), diminution de la population, pénuries de main d’oeuvre. Pour y remédier, le Japon a assoupli ses politiques d’immigration, pour attirer davantage de travailleurs étrangers.

    La communauté kurde turque s’est installée au Japon depuis les années 1990. Mais certains résidents kurdes sont associés à une forte criminalité, avec un taux de criminalité 38 fois supérieur à celui des locaux. Des tensions existent dans la ville de Kawaguchi, près de Tokyo. Cela a conduit à une montée de la xénophobie, de discours de haine en ligne, à des appels à l’expulsion de cette communauté.

    Le gouvernement, sous la direction du Premier ministre Shigeru Ishiba, insiste sur une intégration stricte et le respect des lois japonaises. Shigeru Ishiba, connu pour ses positions conservatrices, veut préserver la sécurité nationale et l’identité japonaise. Il veut que les étrangers se conforment aux règles, il veut maintenir l’ordre social, et répondre aux préoccupations de certains citoyens face à l’immigration. Il s’exprime ainsi:

    "Nous ne pouvons pas coexister avec des étrangers qui ne respectent pas les règles. Il est de la responsabilité du Japon de veiller à ce que ces personnes ne soient pas autorisées à rester au Japon".

    Sur X, des utilisateurs réagissent à cette déclaration. Certains approuvent une ligne dure sur l’immigration, manifestent une forme d’admiration: " Quelle chance ils ont les Japonais". D’autres y voient une forme de xénophobie ou de discrimination, interprètent cela comme une politique visant à expulser des groupes spécifiques comme les Arabes ou les Africains.

    En France, depuis plusieurs décennies, et suite à une politique effrénée d’immigration, nous subissons les mêmes problèmes, mais beaucoup plus graves parce que démultipliés.

    La remise en cause, l’abaissement de la culture occidentale face à la glorification de la culture musulmane est un aspect de l’Islam conquérant.

    L’Islam refuse les valeurs occidentales fondamentales: la Liberté, l’Egalité, la Fraternité, valeurs déjà bien rongées par l’Occident lui-même, il faut le reconnaître. L’Islam transfigure la Démocratie.

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  • La religion des droits de l’homme explique la clémence

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    …de la justice envers les malfrats

    Fin novembre 2024, à Drancy, Seine-Saint-Denis, un médecin a été violemment passé à tabac par un patient qu’il suivait depuis six ans. Ce patient lui reprochait un problème de remboursement de la part de la Sécurité sociale. Aujourd’hui encore, le médecin souffre physiquement et psychologiquement de cette agression, il a des séquelles définitives: plus d’odorat, plus de goût, racines de dents nécrosées. Il se fait violence pour reprendre ses activités.

    Jeudi 13 février 2025. Verdict devant le tribunal: trois semaines de travaux d’intérêt général et 2000 euros d’amende. Le praticien de 64 ans déplore ce verdict: "Il ne s’est pas excusé. Il a passé son temps à rigoler pendant le procès. C’est la double peine pour moi".

    Dans notre société de l’inversion, les vols, les agressions, les délits, les crimes, les meurtres, les viols, sont monnaie courante et banalisés.

    Les coupables font presque toujours partie des minorités, sexuelle, ethnique, raciale, ou sociale. Ils bénéficient de toutes les mansuétudes, en particulier l’excuse sociale. Dans tous les cas, la justice minimise les faits, prend la défense de ces délinquants, ignore les victimes, et rend des jugements plutôt cléments.

    Comment en sommes-nous arrivés là?

    Poussé à l’extrême, le christianisme provoque un oubli, un mépris de la cité terrestre, au profit de la cité céleste, caractérisée par l’amour de Dieu jusqu’au mépris de soi. C’est une démarche personnelle, intérieure et libre. La religion séculière des droits de l’homme, une version profondément modifiée de l’amour évangélique, transforme radicalement cette démarche: son objet est l’homme-dieu de la gnose, elle est collective et obligatoire.

    Dans cette perspective sécularisée, il s’agit d’obtenir le paradis sur terre en instaurant ici et maintenant un amour de l’autre jusqu’au mépris de soi au nom de l’humanité divinisée, l’Un de Plotin. Au nom de cet amour, on doit voir l’autre comme le même.

    L’amour de Dieu est remplacé par une obligation juridique d’amour absolu de l’autre. Les manquements à cette contrainte sont sanctionnés par le droit. L’oubli total de soi au profit d’autrui, vertu d’origine chrétienne, est aujourd’hui imposé autoritairement à la civilisation occidentale.

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  • L’idéologie immigrationniste tue la sécurité et la liberté

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    18 Décembre 2023, à Saint-Ouen, la gauche parle immigration et répète son discours humaniste sur l’accueil des étrangers qui fuient la misère et les guerres, en quête d’une vie meilleure. On dénonce "le mensonge de l’invasion migratoire". On stigmatise "le racisme d’atmosphère". On blâme la remise en cause du droit du sol. On considère que les immigrés sont une source d’enrichissement. On pense que "La France est très loin d’accueillir toute la misère du monde".

    Pourtant, l’insécurité culturelle éprouvée et vécue quotidiennement par les Français domine l’actualité.

    25 Décembre 2024: un adolescent entre la vie et la mort après avoir été poignardé en résistant au vol de son téléphone. Elias, l’adolescent succombera peu après à ses blessures.

    Samedi 8 Février 2025: dans l’Essonne, meurtre crapuleux de Louise, 11 ans.

    13 Février 2025, à Gap: un homme armé d’un sabre interpellé après une course-poursuite.

    À Lyon, tirs de fusil d’assaut sur un immeuble du quartier Mermoz, le tireur en fuite.

    À Clermont-Ferrand, un homme de 25 ans abattu par balle, les suspects en fuite.

    À Poitiers, jeune homme grièvement poignardé aux Couronneries, pronostic vital engagé.

    À Colomiers, Haute-Garonne, un homme exécuté à l’arme lourde dans sa voiture, deux tireurs en fuite.

    À Mordelles, Ille-et-Vilaine, un migrant angolais sous OQTF condamné, après l’agression d’une septuagénaire pour la dépouiller, le 28 Août 2024, avec 17 mentions à son casier, "coutumier de ce type d’infractions".

    La liste n’est pas exhaustive. Impossible de recenser tous les actes criminels quotidiens. Dans la France gauchiste, depuis des années, tous les jours, dans les grandes villes, dans les villes moyennes, en pleine campagne, partout, se déroulent des crimes, des meurtres, des vols, des agressions. Plus personne n’est à l’abri, nulle part.

    Le Rassemblement national effectue une percée électorale. En Allemagne, la gauche subit une débâcle, et le parti AfD, Alternative pour l’Allemagne, de Alice Weidel, progresse. Alors les cadres du Parti socialiste comprennent qu’ils ont des leçons à tirer.

    Olivier Faure, chef du Parti Socialiste, assume désormais: "Le débat sur l’identité nationale n’est pas tabou".

    Raphaël Glucksmann: "Tu as construit ton identité sur les vertus de la société ouverte et un jour, tu te rends compte qu’il y a un énorme bug".

    Ainsi, en matière d’immigration et d’identité nationale, les socialistes européens constatent le désaccord des peuples, les baisses électorales, et freinent l’angélisme, essaient de déborder le rejet de plus en plus fort de l’immigration. Mais ce n’est qu’une posture, une parade, une attitude de circonstance. Leur idéologie pro-immigration et cosmopolite reste solidement ancrée en profondeur.

    Le cosmopolitisme a un principe originel: la négation des identités. Depuis plusieurs décennies, de matière insidieuse, notre identité est attaquée de toutes parts et sous toutes ses formes.

    Pourtant, la quête de l’identité fait partie des préoccupations humaines les plus importantes et les plus anciennes. La question de la place de l’homme dans la société, la question de la place de l’homme dans l’univers, se retrouvent dès l’origine de la pensée humaine, religieuse ou politique.

    Les rites, les règles sociales ou morales décrites dans différents récits ont servi à l’édification d’une identité à la fois collective et individuelle, par exemple, dans l’Iliade, l’Odyssée, la Bible …

     

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