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Religion - Page 4

  • Pourquoi seuls les lieux de culte chrétiens brûlent-ils en France?

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    Photo: basilique St Sernin, de nuit, Toulouse

    Je me pose la question.

    Depuis 15 ou 20 ans, un nombre d’environ 50 églises et cathédrales ont été la proie des flammes d’incendies plus ou moins graves. Le pire incendie fut celui de Notre-Dame de Paris. 10 minutes après le départ du feu, alors que personne n’avait pu procéder à une analyse quelconque, l’Élysée a fait savoir et donné hystériquement l’ordre aux médias d’affirmer sans le moindre doute qu’il s’agissait d’un incendie accidentel, sinon des têtes de présidents de chaînes de radio et de télévision et des patrons de journaux allaient tomber…

    Ce fut un abus et un mensonge d’État destiné à endormir le public français et à le détourner de ceux qui commettent tous les crimes, viols, attaques au couteau, égorgements, décapitations et actes de terrorisme dans tout le pays afin de le soumettre, de le piller et d’en prendre la tête. Macron est leur ami.

    Sur cette photo (J’accuse!) Macron et Édouard Philippe semblent rigoler et bien s’amuser devant l’incendie de Notre-Dame de Paris.

    Les autres, autour d’eux, sont sérieux, soucieux et semblent très choqués…

    Cette attitude est indigne d’hommes d’État responsables et fait d’eux des voyous.

    Et les voyous, on sait de quoi ils sont capables, surtout avec les pouvoirs mirobolants d’un chef d’État…

    Des hommes d’État doivent avoir de la dignité (surtout face à un événement dramatique d’importance planétaire qui a ému toute la France, des millions d’étrangers et l’ensemble du monde judéo-chrétien), de la réserve, une attitude sérieuse et responsable et ne doivent pas glousser ni se gausser dans ce genre de situation.

    Mais ce genre d’attitude de la part d’hommes dont on sait qu’ils sont des menteurs, des corrompus et des habitués de la manipulation des masses peut inciter à penser qu’ils ne sont pas étrangers à la plupart des drames qui se produisent sous leur gouvernance.

    Je n’hésiterai donc pas à franchir le pas et à affirmer que depuis que Macron est au pouvoir, de nombreux événements tragiques se sont produits sur tout notre territoire et au minimum se sont amplifiés et multipliés.

    N’oublions pas qu’en 2016, il lui avait échappé cette déclaration selon laquelle il avait été missionné pour détruire la France…

    Et certains prétendent même que Macron avait donné l’ordre aux bandits de l’ombre qui sont à son service de mettre le feu à Notre-Dame…

    Si c’était vrai, à coup sûr de nombreux gauchistes notamment, parmi lesquels les habituels Black Blocs casseurs et destructeurs profitant de tout événement de rue pour semer la violence et le chaos auraient  sans nul doute participé au déclenchement de cet incendie.

    Les incendies de bâtiments publics d’État sont assez rares.

    Prenons les bâtiments publics accueillant des institutions publiques ou politiques, comme l’Élysée, le Palais Bourbon (Assemblée nationale), le Sénat, Matignon, le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État, l’ensemble des ministères et des sièges d’organisations politiques sous tutelle de l’État, et puis la Banque de France, la Bibliothèque nationale, les grands musées de Paris et l’ensemble des musées de France, les bâtiments abritant des organisations comme la Sécurité sociale, les hôpitaux, les agences de santé publique, nationaux, régionaux ou départementaux, les préfectures,  les écoles, les universités, etc. La liste est longue.

    Combien d’incendies de tous ces bâtiments depuis 20 ans?

    Pratiquement aucun ou très peu.

    C’est assez étrange car, dans le même temps, des lieux de culte chrétiens et parfois juifs ont été victimes de nombreux événements, agressions, vols, actes antichrétiens, assassinats (le Père Jacques Hamel, à Rouen), crimes et incendies divers au point où on les compte par centaines.

    Pour ne prendre que les églises et cathédrales, si je me réfère à quelques sites internet récapitulant ces événements, des listes et des cartes ont été publiés depuis 2015, mais la plupart ont été censurées et supprimées du web par l’État pour protéger les ennemis du christianisme (la gauche et ses complices d’une autre religion). Et avec encore plus d’intransigeance sous le règne du psychopathe de l’Élysée…

    Au 16 juillet 2024, on en est au chiffre de 857 actes antichrétiens de toutes natures, dont des dizaines d’incendies d’églises et de lieux de culte chrétiens.

    Cette page de l’AFP (au service de l’État) est bien sûr très édulcorée:

    https://factuel.afp.com/doc.afp.com.363X7PN

    Moi, les mensonges de l’État ne m’impressionnent pas…

    Cette page évoque 32 cas d’incendies de lieux de culte chrétiens uniquement en 2018. Pendant ce temps, aucun incendie de bâtiments institutionnels…

    https://www.laboratoire-lavoue.fr/wp-content/uploads/2023/11/Fiche-n%C2%B029-Les-incendies-de-lieux-de-culte-en-France.pdf

    Actes anti-chrétiens (dont incendies): ce chiffre a été stable en 2018 avec 1063 actes recensés contre 1038 en 2017.

    Depuis janvier 2018: sur 20 églises incendiées, 14 l’ont été à partir d’un geste volontaire et malveillant. Soit plus de la moitié.

    https://patrimoine.blog.lepelerin.com/2019/05/10/a-propos-des-eglises-incendiees-en-france/

    Tout est fait en France, sous la tutelle de l’État, pour minimiser la totalité des crimes et assassinats de masse qui sont commis par des groupes fanatiques, comme le camion fou de Nice, le Bataclan, etc.

    Ce sont toujours des déséquilibrés, des psychopathes ou des crimes de haine contre des religions, des ethnies, des races, etc.

    Nous le savons tous et ceux qui en doutent sont d’une grande naïveté.

    Ces dernières années, je le sais parce que j’ai suivi l’actualité et que j’ai pris des notes, des dizaines d’églises, de cathédrales et de lieux de culte chrétiens ont connu un incendie, le plus souvent partiel. Mais on n’a la plupart du temps pas réussi à identifier la cause du départ du feu. On en est généralement resté à des " suppositions… ".

    Dans l’incendie de Notre-Dame de Paris, le témoignage de nombreuses personnes anonymes a été que, d’un instant à l’autre, en quelques secondes, de la fumée est sortie par la toiture à différents endroits éloignés les uns des autres, peut-être une dizaine, sur la totalité de la superficie de la toiture. Mais il semble qu’aucun de ces témoignages n’ait été retenu.

    Ils ont été balayés, censurés et ont disparu.

    Or, un départ de feu unique (court-circuit) aurait été localisé avec précision et n’aurait pas embrasé en si peu de temps, quelques minutes, la totalité de l’immense charpente.

    Il y a là une interrogation légitime.

    Qu’est-ce qui aurait pu laisser filtrer un peu de fumée en plusieurs endroits de toute la toiture et embraser en quelques minutes la totalité de la charpente de plus d’un hectare, sinon un dispositif électrique sophistiqué de mise à feu simultanée de toute la charpente?

    L’incendie de Notre-Dame de Paris est un acte de terrorisme dû à des ennemis du christianisme et si personne ne veut le croire, tout le monde peut se poser la question.

    Les ennemis du christianisme sont nombreux, Macron, la gauche, les écolos, des religions étrangères connues pour leur soif de sang et de mort de ceux qui diffèrent d’eux, etc.

    Voilà pourquoi je soupçonne Macron d’avoir mis le feu à Notre-Dame de Paris par l’intermédiaire de ses amis précédemment cités dont il déclare régulièrement qu’il les aime et qu’il les aime plus que les Français, les juifs ou les chrétiens.

    Qui, mieux que l’incendiaire lui-même pour éloigner tous les soupçons peut se vanter, se féliciter et revendiquer tout le mérite d’avoir rénové Notre-Dame et de parader comme un paon devant de nombreux chefs d’État et des élites de toutes les religions…?

    De toute façon, qu’attendre d’un homme qui voue une haine féroce à la France et au peuple français et qui fait tout pour détruire le pays et son peuple.

    Moi, je soupçonne et les autres font ce qu’ils veulent…

    Laurent DROIT

  • Le vêtement bigarré de Mgr Ulrich,

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    symptôme de la dégradation de l’Église catholique

    Samedi 7 décembre 2024, 19 heures. Cinq ans après le tragique incendie qui a ravagé les lieux, la cathédrale Notre-Dame de Paris rouvre ses portes. Les chefs d’Etat sont assis au premier rang dans la cathédrale. Mgr Ulrich, archevêque de Paris, approche du portail principal, frappe avec sa crosse, représentation de sa mission pastorale. Trois coups, symbole de la résurrection de l’édifice. Puis il pousse les portes de l’édifice, accueilli par le chant d’un psaume des chœurs de la Maîtrise Notre-Dame. Le joyau gothique se réveille. Mgr Ulrich porte une grande cape dessinée par le créateur Jean-Charles de Castelbajac. Une cape jaune, bleu, rouge, vert… mélange audacieux de couleurs.

    Des internautes réagissent: "Il ne lui manque pas grand-chose pour être un véritable arc-en-ciel". "L’évêque a l’air d’un clown de cirque". "Quid des vêtements liturgiques?". D’autres déplorent "un wokisme satanique" à travers cette "robe fashion".

    CNews rappelle que les quatre coloris ont une signification religieuse: le vert pour l’espérance, le rouge, symbole du sang du Christ et du feu de l’Esprit Saint, le bleu, référence à la Vierge Marie, le jaune, couleur festive utilisée pour Noël ou encore Pâques.

    Jean-Charles de Castelbajac explique avoir voulu rappeler "la lumière colorée des vitraux", les couleurs formant par ailleurs "un fleuve de foi et d’espérance".

    Christian Lechevalier se moque: "Afin de prévenir tout nouvel incendie, Mgr Ulrich a intégré le gyrophare des pompiers à sa crosse d’évêque".

    Certains voient un rapprochement avec les LGBT. D’autres un double soutien à l’Ukraine et à la Palestine. Au-delà de toutes ces interprétations, dont seul Mgr Ulrich possède la clé, une réalité transparaît. L’archevêque a délaissé et dédaigné les vêtements liturgiques traditionnels. Cet accoutrement marque une volonté de dépasser la Tradition pour entrer dans une ère nouvelle.

    Au cours des siècles, les gnostiques, les " ésotéristes chrétiens ", les " cabalistes chrétiens ", les théosophes, les philosophes modernes, les protestants et les francs-maçons ont trahi le Christ. Cependant la Tradition a réduit à néant leurs erreurs, leurs mensonges. La Tradition a perpétué la Raison et le Cœur.

    Il y a eu des crises et des périodes de confusion, mais la Vérité a toujours été sauvée. Sous l’Empire romain, à la Renaissance, lors de la Réforme, l’Eglise n’est pas devenue une secte judéo-païenne. Des clercs se sont égarés, ont été séduits par des hérésies. Mais l’Eglise n’a pas cédé sous les coups de boutoir du monde.

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  • Les crèches de Noël ne sont pas une atteinte à la laïcité

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    Chaque année, à l’approche de Noël, la ville de Béziers installe une crèche de la Nativité à l’intérieur de la mairie.

    Depuis 2015, cette crèche est attaquée devant les tribunaux pour atteinte à la laïcité. En décembre 2024, la Libre Pensée et la Ligue des droits de l’homme attaquent la crèche en justice. La Libre Pensée dépose un référé suspension qui n’est pas accepté par la justice. Puis la Ligue des droits de l’homme dépose un nouveau référé de suspension qui sera jugé le 17 décembre devant le tribunal administratif de Montpellier.

    Me Sophie Mazas, avocate de la LDH, défend le retrait de la crèche: "Croyant tromper la juridiction sur le sens de la crèche installée dans l’enceinte de l’hôtel de ville depuis bientôt dix ans, le maire de Béziers tente d’affirmer fallacieusement l’adéquation de ladite crèche avec les principes du droit qu’il viole pourtant systématiquement depuis 2014".

    Robert Ménard réplique: "Mais bon sang, la Ligue des droits de l’homme n’a-t-elle rien de plus important aujourd’hui à traiter que le sujet de la crèche de la ville de Béziers? … On voit que certains militants des droits de l’homme mettent toute leur énergie sur un combat "suprême" à leurs yeux: faire déplacer notre crèche. Ne leur déplaise, elle est consensuelle et ceux qui ne veulent pas la voir ne viennent pas".

    La LDH reste ferme: "Une crèche de la Nativité n’a absolument rien à faire dans un édifice public car elle n’a pas un caractère culturel artistique ou festif ".

    La crèche de Noël, véritable symbole des fêtes de fin d’année, est bien plus qu’une simple décoration. Elle représente la scène de la Nativité, célébrant la naissance de Jésus-Christ.

    La naissance de Jésus est racontée par Saint Luc dans son évangile. Né dans une grotte, à Bethléem, en Terre sainte, le Christ aurait réuni le jour de sa Nativité, bergers des alentours et princes venus d’Orient. Les grottes de cette région servaient d’étables pour abriter les bêtes.

    En cette nuit d’hiver, le bœuf aurait permis de réchauffer l’Enfant Jésus. La crèche de Noël est née ce soir-là.

    Le mot crèche est d’origine franque: krippia, devenu en latin cripia, signifiant la mangeoire pour les animaux. Par extension, la crèche signifie la scène de la Nativité.

    Au VIe siècle, au cours d’une messe, on célèbre pour la première fois la naissance du Christ dans la basilique Sainte-Marie-Majeure à Rome.

    Cette tradition, ancrée dans la culture chrétienne, va évoluer au fil des siècles pour devenir une composante essentielle des célébrations de Noël à travers le monde.

    En 1223, Saint François d’Assise, fondateur de l’ordre des Frères mineurs, se rend à Bethléem. Il organise une représentation vivante de la naissance de Jésus dans une grotte à Greccio, en Italie. Il reproduit en grandeur nature une crèche, afin de raconter aux habitants la Nativité.

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