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Religion - Page 10

  • TRADITION  FRANCAISE: LA CHANDELEUR

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    Origine et signification de la Chandeleur

    La Chandeleur est une fête chrétienne célébrée tous les 2 février, soit 40 jours après Noël. Le terme de Chandeleur vient de "fête des chandelles", lui-même traduit du latin festa candelarum. Il s'agit pour les fidèles de célébrer le fait que "Jésus est lumière", ainsi que la pureté de la vierge Marie.

    En effet, la Chandeleur commémore la présentation de Jésus au Temple, la tradition juive voulant que chaque premier-né mâle de la famille soit amené au Temple 40 jours après sa naissance afin d'être consacré au seigneur. Cette durée de 40 jours correspond à la période durant laquelle les mères étaient considérées comme impures par la loi juive après leur accouchement, interdiction leur était donc faite de se rendre sur un lieu de culte. Une fois ce délai écoulé, les mères pouvaient se rendre au temple afin d'y effectuer un sacrifice animal et recouvrer ainsi leur pureté. 1.

    Le jour où Marie et Joseph emmenèrent Jésus au Temple, l'évangile de Luc raconte qu'un homme nommé Siméon y vint, poussé par l'Esprit Saint et la promesse qu'il ne mourrait pas avant d'avoir vu le Messie. Il y prit Jésus dans ses bras et dit

    "Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s'en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut.

    Salut que tu as préparé devant tous les peuples, Lumière pour éclairer les nations. Et gloire d'Israël, ton peuple". 2.

    C'est donc cet événement religieux précis que les fidèles se remémorent lors de la Chandeleur.

    Toutefois, il semble que cette fête ait des origines plus anciennes, et pourrait être la reprise d'un rite romain, les amburbiales, lié à la purification de la ville. Rite célébré par des processions au flambeau autour de Rome. 3.

    La christianisation de ce rite païen serait l'œuvre du pape Gélase 1er (en 494) ou de l'empereur Justinien (dans un édit de 542), les sources divergeant à ce sujet.

    CELEBRATION DE LA CHANDELEUR

    Dans la religion catholique, la Chandeleur donne lieu à une bénédiction des cierges, puis à une procession aux chandelles jusqu'à l'église où a lieu une messe solennelle, cela afin de rappeler aux fidèles la montée de Joseph et Marie, portant Jésus au Temple.

    À l'issue de cette messe, chaque fidèle rapporte chez lui un cierge auquel on prête des vertus purificatrices selon les traditions locales ou nationales.

    LA CHANDELEUR DANS LA CULTURE POPULAIRE : LES CREPES

    Aujourd'hui, comme Mardi Gras, cette fête est associée aux crêpes que l'on cuisine à cette occasion. Tradition que l'on fait remonter à la coutume de distribuer des galettes aux pèlerins venant à Rome 4, ou plus simplement, pour se rappeler que la fin de l'hiver approche et que l'on a encore des réserves de nourriture.

    Cette pratique associant fête des Lumières à la consommation d'un dessert "gras" se retrouve aussi dans la tradition juive qui consiste à manger des beignets lors de la fête de Hanoucca (fête des Lumières du judaïsme). 5.

    De plus, lorsqu'on cuisine la première crêpe, il est courant de la faire sauter plusieurs fois de suite afin de conjurer le mauvais sort pour l'année à venir. Une vieille tradition rapporte que les paysans avaient coutume de le faire en tenant une pièce de monnaie dans la main gauche (un louis d'or pour les plus riches) afin d'attirer sur eux bonheur et prospérité...6

    LA CHANDELEUR DANS LE MONDE

    Au Luxembourg, la tradition actuelle hérite de la procession aux flambeaux, car actuellement, les enfants parcourent en groupes les rues pendant la soirée du 2 février en tenant un lampion ou une baguette. Ils chantent des chansons traditionnelles en espérant recevoir des sucreries en échange.

    Au Mexique, la Chandeleur est un jour férié, mais aussi l'occasion de manger des tamales, des papillotes à base de farine de maïs qui peuvent être salées ou sucrées et fourrées avec de la viande ou des fruits.

    De plus, aux États-Unis et au Canada, on associe à la date du 2 février une autre fête, le "jour de la marmotte" (Groundhog Day) où la tradition veut qu'on observe la réaction d'une marmotte à la sortie de son terrier.

    Si elle en sort et ne voit pas son ombre (du fait des nuages dans le ciel), c'est signe que l'hiver finira bientôt. Au contraire, si elle voit son ombre (du fait du ciel dégagé), cela signifiera que l'hiver durera encore 6 semaines; 7.

    Références

    Voir Lévitique 12. http://www.bible-en-ligne.net/bible,03O-12,levitique.php

    Voir Luc 2: 29 – 2: 32. http://www.info-bible.org/lsg/42.Luc.html#2

    http://www.cnrtl.fr/definition/amburbial

    https://web.archive.org/web/2016/http://cuisine.journaldesfemmes.com/magazine/dossier/0501crepes/tradition.shtml

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Hanoucca

    http://www.loretlargent.info/or/chandeleur-pieces-d’or/3611/

    http://www.fetes-traditionnelles.fr/fete-de-la-

  • L’Égalité norme supérieure et danger mortel pour l’Occident

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    Jean-Louis Harouel, professeur de droit émérite de l’université Panthéon-Assas, déclare: " Une destruction progressive des nations d’Europe se perpètre au nom de l’égalité". Je reprends ici la thèse de Jean-Louis Harouel.

    Les déclarations de droits de la fin du XVIIIe siècle, ont érigé l’égalité en norme supérieure. Dans notre monde né de la Révolution, l’inégalité, c’est le mal, on éprouve une phobie de l’inégalité, l’égalité, c’est le bien, on voue à l’égalité un culte inconditionnel. L’égalité fait l’objet d’une religiosité sécularisée. La ferveur pour l’égalité se rattache au règne de la religion de l’humanité.

    La religion de l’humanité, issue de deux hérésies, le millénarisme et la gnose, est une religion de l’égalité. Le millénarisme est la croyance que le Christ va revenir fonder sur la terre un royaume paradisiaque pour mille ans, un royaume de bonheur parfaitement égalitaire grâce au communisme. La réalisation de l’égalité sur terre constitue une priorité. D’où une action révolutionnaire d’inspiration communiste.

    La gnose est la connaissance des mystères de la religion, des mystères des cultes cosmiques, réservée à des initiés. La gnose croit en l’unité première du monde. Tout est sorti par émanations successives de l’unité divine primordiale. La gnose postule que les âmes des gnostiques sont des parcelles de la lumière divine, identiques et interchangeables. Cette croyance mène à l’idée d’une parfaite identité et interchangeabilité de tous les humains. Cela est renforcé par la croyance en la métempsychose, la réincarnation dans un corps aléatoire. Conséquences. L’abolition de la différence entre les sexes. L’idéologie "mêmiste", l’idéologie du "tous pareils". Le refus de toute distinction entre les humains, entre les humains et les animaux, les végétaux, les rochers, la planète même. L’obsession d’égalité est fille de ces hérésies falsificatrices du christianisme.

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  • Des Cathares au communisme et au socialisme

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    comment le passé éclaire le présent

    Au XIIIe Siècle, temps de l’apogée occidental, la monarchie lutte contre l’Orient hétérodoxe sous toutes ses formes, c’est à dire à la fois contre l’Angleterre, le catharisme et l’Islam. La Kabbale instrumente l’Islam et les Cathares, donc la Croisade intérieure contre les Albigeois et la Croisade extérieure contre l’Islam sont liées.

    Depuis la fin du XIIe Siècle, plusieurs mouvements sont désignés sous le nom de Cathares, selon les régions, Vaudois dans les Alpes, Albigeois dans le Midi, Bulgares ou Bougres dans le Nord. Tous les Cathares descendent des Bogomiles, des hérétiques originaires de Bulgarie, pays dans lequel étaient établis les Manichéens.

    Le catharisme reprend des Manichéens un dualisme du Bien et du Mal et une conception pessimiste de la vie, presque une haine de la vie. Le monde est mauvais parce qu’il est l’oeuvre de Satan. Satan a créé le monde afin d’emprisonner l’esprit dans la matière. La matière est impure, tout ce qui est chair est le mal. Conséquence. Les Cathares prônent l’abstinence et condamnent jusqu’au mariage. L’orientalisme cathare est une fuite devant le réel, un rejet de la vie.

    L’initiation cathare est orientale et hétérodoxe. Le refus du corps implique un refus de l’Incarnation divine. Pour les Cathares, le Christ est un pur esprit dont le corps est une illusion.

    Le Créateur est responsable du Mal. S’il n’y a pas de chute, le Mal est en Dieu et on peut identifier Satan à Jéhovah. La vieille dialectique simpliste des Manichéens resurgit en Occident avec l’hérésie cathare. Elle atteindra les francs-maçons. Le catharisme transmet la gnose manichéenne aux francs-maçons, et aussi le signe de reconnaissance des Manichéens. Un baiser de paix est échangé entre les "parfaits" Cathares, ce signe passera aux francs-maçons.

    Par les hérétiques Bogomiles, les Cathares font le lien entre l’Orient hétérodoxe et les mouvements politico-religieux postérieurs qui viseront à détruire notre Civilisation.

    Le catharisme importe en Occident la gnose qui avait abouti à l’Islam en Orient. Cette gnose va enfanter la Renaissance et la Réforme, c’est à dire les Temps modernes. L’aboutissement consiste en une Révolution capital-socialiste dont nous subissons les derniers assauts avec le mondialisme.

    Le protestantisme hérite des Bogomiles par l’intermédiaire des Albigeois, ce qui rend possible la Révolution maçonnique, un renversement du christianisme traditionnel.

    Jacques Bainville, historien français (1879-1936), écrit: "Qu’était l’hérésie albigeoise? Un mouvement politique. On y reconnaît ce qui apparaîtra dans le protestantisme: une manifestation de l’esprit révolutionnaire".

    Il suffit de suivre la route bogomile, cathare et protestante pour remonter aux origines de la compromission du capital avec la Révolution… sous toutes ses formes. Les Bogomiles étaient déjà des communistes. Les Cathares étaient déjà des révolutionnaires au service de l’Argent, particulièrement les Albigeois et les Vaudois.

    Les communistes revendiquent officiellement leur filiation avec les Bogomiles. Les Cathares, héritiers des Bogomiles, condamnent la propriété privée. Avec le catharisme albigeois, la révolution socialiste est en gestation.

    Les Cathares vaudois sont les ancêtres officiels du protestantisme calviniste, une religion à la fois capitaliste et pré-révolutionnaire. En pays vaudois, Genève sera un des centres de la subversion pré-révolutionnaire. En effet, la Révolution est préparée dans des contrées riches, Genève, le Rhin, les Pays-Bas, l’Angleterre, selon la géographie des hérésies, c’est-à-dire selon la géographie de la Kabbale, qui sera aussi la géographie de la Réforme. Hasard?

    L’un des principaux centres de l’Illuminisme en France sera Lyon, la ville où vécut le marchand Valdo. Hasard? Les Vaudois obtiendront un statut religieux par la Révolution et par Napoléon, le franc-maçon qui institutionnalise le capitalisme révolutionnaire dans toute l’Europe. Hasard? La Finance, juive et protestante, bénéficie du modernisme et du mondialisme. Hasard? Lyon, avec Grégory Doucet, et Grenoble, avec Eric Piolle, sont administrées aujourd’hui par des fanatiques du progressisme. Hasard?

    Genève deviendra un des sièges des organisations mondialistes. Dans ces organisations du cercle extérieur, les francs-maçons capitalistes collaborent avec les francs-maçons communistes, désormais déguisés en peau de lapin depuis la tromperie de la prétendue chute du communisme.

    Au XXe Siècle, la collaboration des loges avec le communisme a été constante: la révolution bolchevique, Yalta, Nuremberg, le cercle extérieur, l’imposture de la chute du communisme, l’imposture antiraciste…

    Les communistes, mondialistes comme les capitalistes, sont acceptés dans les loges. Les francs-maçons, capitalistes et socialistes, sont les nouveaux sorciers au service de l’Orient, du Grand Orient même. On peut donc mettre en évidence les rapports étroits entre l’Argent et le communisme, entre les loges et l’initiation cathare, voire la sorcellerie.

    Derrière le combat politique, se cache une guerre de religion, hier avec le catharisme, avec le protestantisme, avec le rosicrucisme, aujourd’hui avec le mondialisme capital-socialiste.

    L’alliance de l’Argent et du communisme relève d’une logique "religieuse", l’éradication de la tradition chrétienne par les initiés. Elle date du catharisme et triomphe aujourd’hui. Tous les Cathares sont unis contre la tradition chrétienne. Leurs héritiers, les révolutionnaires capitalistes et socialistes, réunis dans les loges, sont unis contre la tradition chrétienne.

    La mythification de la Révolution s’accompagne d’une mythification des Cathares, particulièrement des Albigeois, les pires d’entre eux.

    Les historiens protestants, relayés par Voltaire et les francs-maçons romantiques, créent de toutes pièces un mythe cathare. Ils font de ces hérétiques des victimes de l’intolérance de l’Eglise et du roi de France. Les maisons d’édition maçonniques imposent une sympathie à l’égard des Cathares. On oppose la pureté et l’innocence des Cathares à l’avidité et à la violence du camp catholique.

    Ces lieux communs sont passés dans les livres scolaires. Ils reposent sur une suite d’inexactitudes, sur des faux historiques avérés. Des historiens ont apporté des rectifications, ont démontré l’inanité des affirmations officielles, Régine Pernoud, Jacques Heers, Jacques Bainville, Pierre Belperron. Rien n’y fait. On plaint les Cathares et on accable les catholiques.

    L’un des mensonges culturels fait croire que le catharisme albigeois est un mouvement de libération des serfs. Les Cathares albigeois contestent le droit de propriété et le servage, c’est pourquoi les marxistes les considèrent comme de lointains ancêtres. Mais ce faisant, ils n’aident pas les serfs, lesquels n’ont pas à se libérer car le servage n’est pas un esclavage.

    Faire du serf un esclave est un non-sens. Régine Pernoud le démontre: "Il n’y a pas de commune mesure entre le servis antique, l’esclave, et le servis médiéval, le serf. Parce que l’un est une chose et l’autre un homme".

    Un serf n’est pas vendu et a un statut social respectable dans le système féodal. Le serf n’hérite pas de la terre qu’il travaille, ses conditions de vie sont très difficiles, mais il travaille, est logé, nourri, a son pécule, peut facilement changer de condition. Le statut des serfs évolue considérablement sous l’influence du christianisme.

    Confondre l’esclavage et le servage est une erreur. L’Occident chrétien a mis fin à un esclavage qui était la coutume de toute l’Antiquité. Le statut germain et chrétien de serf est donc un progrès.

    Depuis Saint Paul, l’Eglise tente d’appliquer le principe selon lequel il n’y a plus "ni maître ni esclave". Aux Temps féodaux, le commerce d’esclaves est interdit par l’Eglise. Mais des ports contreviennent à l’interdit. Marseille commerce avec les pays barbaresques en plein XIIIe Siècle. Des armateurs peu scrupuleux continuent le trafic d’esclaves jusqu’à la fin du XIXe Siècle, sans être sanctionnés par les républicains. Hasard? Aujourd’hui, Marseille est une porte de l’immigration de nouveaux esclaves du mondialisme.

    Saint Paul rompait clairement avec le paganisme, et avec le judaïsme. Car si un chrétien ne doit pas exploiter son prochain, quel qu’il soit, il est permis à un Juif de soumettre les non-Juifs. Dans le Lévitique, on peut lire: "Ton esclave et ta servante que tu auras, ils te viendront des nations qui t’entourent"; "c’est d’elles que vous achèterez esclaves et servantes"; "vous pourrez aussi en acheter d’entre les enfants des étrangers qui séjournent chez vous".

    Après les grandes découvertes, les armateurs juifs seront les principaux responsables du trafic d’esclaves vers l’Amérique. En Aquitaine et aux Pays-Bas, les trafiquants d’esclaves utiliseront les bateaux des armateurs juifs ou marranes chassés d’Espagne par les rois catholiques. La coutume ancienne de l’esclavage reprend avec la Renaissance, c’est-à-dire avec le retour du droit romain païen, et aussi avec la victoire de la Kabbale sur la tradition chrétienne. De nos jours, les B’naï B’rith commanditent le lobby immigrationniste.

    La Renaissance crée de nouveaux esclaves, ce que voulaient les Cathares. Plus tard, la Révolution enfante les prolétaires pour faire fructifier la comédie de la lutte des classes. Aujourd’hui, l’alliance capital-socialiste fait des immigrés de nouveaux esclaves, et humilie l’autochtone, le chômeur assisté. L’un et l’autre sont exploités par les mondialistes.

    Plus le catholicisme traditionnel recule, plus les humbles sont réduits en esclavage. C’est une constatation, une observation que chacun peut faire, qu’il soit croyant ou non.

    En réalité, les Cathares albigeois tentent de soulever les serfs, prônent une révolution, mais ce n’est pas dans l’intérêt des travailleurs. Le "socialisme" cathare n’est pas sans arrière-pensées financières. Les Cathares fomentent des révoltes pour le plus grand bénéfice de la finance apatride.

    Socialisme et catharisme, deux mouvements d’origine orientale, prétendument libérateurs, sont au service de l’Argent. Socialisme et catharisme héritent du "mysticisme" kabbalistique et naissent sur les lieux d’implantation des sociétés secrètes kabbalistiques.

    Deux constats le prouvent.

    Premier constat religieux. Le catharisme est une religiosité orientale instrumentée par les kabbalistes contre l’Occident chrétien.

    Deuxième constat géographique.

    La géographie cathare se superpose à la géographie des communautés juives qui commercent avec l’Orient: les Alpes et la région lyonnaise, le Piémont, la Sicile, la Provence, l’Italie, le Rhin, le Languedoc.

    Les chefs cathares sont avant tout des commerçants, des marchands, des tisserands. Les Parfaits cathares méprisent en principe l’argent, mais certains amassent des fortunes en gardant pour eux les dons qu’ils reçoivent. Ils pratiquent l’usure et sont liés à la finance apatride. Les apparentes austérités de leur vie ne sont que de l’hypocrisie, et cachent la profonde dépravation de leurs mœurs.

    Leur piété n’est que dissimulation. Ils vivent dans la continence. Ils brisent et brûlent les croix, les images, les reliques. Ils pillent et dévastent les églises, les monastères. Ils n’épargnent ni âge, ni sexe. Ils portent partout la dévastation, l’incendie et la mort. Ce qui n’est pas sans rappeler la situation actuelle.

    Le commerce explique l’existence d’un complot contre la France, complot toujours d’actualité. Les banquiers milliardaires œuvrent de concert pour installer le mondialisme.

    Les Cathares veulent déjà briser la société chrétienne parce que la morale chrétienne gêne le commerce. Ils sont au service du commerce avec l’Orient. Ils servent de main d’œuvre aux initiés orientaux.

    Les hérésies cathares, orientales et au service du commerce avec l’Orient, sont antifrançaises. Avec des Cathares sur le Rhin, en pays vaudois et en Languedoc, la France est cernée, comme prise dans un étau. Le catharisme est anti catholique.

    La société peut céder au "tout commerce", y compris le commerce d’esclaves, des marchands pré-capitalistes et de leurs complices socialistes… déjà. Dans ces conditions, la France, fille aînée de l’église, défend l’Occident chrétien et toute l’humanité.

    Telle est la logique et l’actualité des hérésies cathares. Telles sont les vraies raisons de la croisade des rois de France contre les Albigeois, de la lutte de l’Inquisition contre le catharisme.

    Socialisme et communisme montraient déjà leur vrai visage.

    Jean Saunier

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)