Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La France est malade du cancer idéologique d’une gauche métastasée

Imprimer

Diagnostic médical d’une nation malade

La France, jadis phare du monde libre et modèle de civilisation, souffre aujourd’hui d’un mal insidieux. Ce mal n’est ni économique, ni seulement politique. C’est un cancer idéologique, rampant, profond, qui gangrène les fondements mêmes de notre identité. Un mal qui n’est pas tombé du ciel, mais qui s’est implanté, lentement, patiemment, dans l’esprit de nos concitoyens. Une idéologie de la négation: négation de la patrie, de l’autorité, des racines, de l’ordre, de la hiérarchie. Une idéologie mortifère: la gauche culturelle.

Ce cancer idéologique ne s’est pas contenté de contaminer la surface, il s’est infiltré dans les tissus les plus vitaux de notre société. Éducation, culture, médias, justice, administration: aucun organe n’a été épargné. La République, comme un patient à l’agonie, observe impuissante la montée de ses fièvres, entre désintégration identitaire et abandon de souveraineté.

MÉTASTASE IDÉOLOGIQUE — QUAND LA GAUCHE S’INFILTRE PAR LA CULTURE

Tout commence avec la Révolution culturelle des années 60-70. À la faveur des utopies de Mai 68, les bastions intellectuels de la nation tombent les uns après les autres. L’université devient laboratoire idéologique, les écoles des foyers de déconstruction. On n’apprend plus à aimer la France, on apprend à la déconstruire. L’histoire est réécrite sous l’angle de la culpabilité. La culture classique cède le pas aux "études de genr ", aux"  "post-colonialismes", aux "théories critiques" venues d’outre-Atlantique.

L’idéologie gauchiste devient virale. Elle colonise les écrans, les plateaux de télévision, les manuels scolaires. On ne parle plus de mérite, mais d’égalitarisme; plus de nation, mais de société multiculturelle; plus de devoirs, mais de droits infinis. Telle une métastase, cette idéologie s’est diffusée sans résistance, dévitalisant toute notion de frontière, d’autorité, de sacré.

La culture populaire elle-même devient véhicule de propagande: rap haineux, films culpabilisateurs, théâtre militant… Jusqu’à l’Éducation nationale, sanctuaire jadis républicain, qui devient bras armé d’un endoctrinement subtil mais implacable.

PRISE DE CONSCIENCE DES ÉLITES FACE AU STADE TERMINAL

Le réveil est brutal. Devant la montée de l’insécurité, l’explosion des communautarismes, la défiance vis-à-vis de la police et des institutions, certains politiques comprennent tardivement que le mal est profond. Mais beaucoup continuent de nier. Ceux qui osent alerter sont aussitôt traités de "réactionnaires",  populistes", voire  fascistes". Les élites intellectuelles, trop compromises, trop lâches ou trop idéologiquement corrompues, préfèrent détourner le regard.

Les médias traditionnels jouent les pompiers pyromanes: ils dénoncent les conséquences sans jamais nommer les causes. Le " vivre-ensemble " devient un mantra creux face aux ghettos explosifs. La " tolérance " est invoquée face à la haine anti-française. Et l’État se montre plus prompt à réprimer un cortège de patriotes qu’un quartier en flammes.

REMEDES POUR UNE RENAISSANCE NATIONALE

Face à ce déclin orchestré, des remèdes existent. Il faut d’abord une reconquête culturelle: réhabiliter l’histoire de France, restaurer l’autorité dans les écoles, remettre à l’honneur nos grands textes, nos héros, nos racines chrétiennes et gréco-latines, remplir nos eglises. Il faut revaloriser la langue française, refonder l’éducation nationale, épurer les programmes des idéologies culpabilisatrices.

Ensuite, une restauration politique: renforcer l’État, redonner sens aux frontières, rétablir la hiérarchie des valeurs. Le citoyen français doit être de nouveau chez lui, prioritaire chez lui, respecté chez lui.

Enfin, une révolution civique: retrouver la fierté d’être Français. Non pas une fierté agressive ou xénophobe, mais une fierté enracinée, héritée, qui se transmet et se défend. Cela passe par une justice ferme, un soutien inconditionnel aux forces de l’ordre, une politique migratoire souveraine et sélective.

LE DEUX POIDS DEUX MESURES DE LA REPUBLIQUE

Aujourd’hui, ce sont les idées patriotiques, identitaires, enracinées, qui sont stigmatisées. Ce sont les jeunes qui aiment leur drapeau qui sont surveillés. Pendant ce temps, les groupes d’ultragauche, les milices antifas, les Black Blocs, bénéficient d’une bienveillance médiatique et judiciaire choquante. Les émeutes ethniques sont relativisées, les violences contre la police excusées, les destructions de biens publics justifiées par la " colère sociale".

Est-ce cela, la République? Un régime où la haine de la France devient légitime, et l’amour de la France suspect?

Le débat est ouvert: peut-on encore, en 2025, aimer la France sans être criminalisé?

Peut-on défendre l’ordre sans être marginalisé?

Peut-on croire en la nation sans être diabolisé?

Ou devons-nous accepter que notre pays, cancérisé par une idéologie destructrice, soit condamné à mourir en silence, pour être mieux  "Euro-compatible"?

Elias Grodin

Écrire un commentaire

Optionnel