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Opinions - Page 43

  • L’UE et les écolos ont décidé que dans 10 ans,

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    seules les voitures électriques pourront rouler

    Depuis le 1er Janvier 2025, la vignette Crit’Air est obligatoire dans une dizaine de villes: le Grand Paris, Grenoble, Lyon, Strasbourg, Reims, Rouen, Marseille, Nice, Montpellier, Toulouse, et Saint-Etienne. Pour l’instant, quatre communes restreignent la circulation des véhicules les plus polluants, classés Crit’Air 3, en raison de la mauvaise qualité de leur air, les métropoles du Grand Paris, de Lyon, de Montpellier et de Grenoble.

    La vignette Crit’Air, certificat de qualité de l’air, "permet de classer les véhicules en fonction de leurs émissions polluantes en particules fines et oxydes d’azote", explique le site dédié, Certificat-air.gouv.fr. Elle est obligatoire à l’avant du véhicule dans les collectivités qui ont mis en place les zones à faibles émissions mobilité, ZFE-m. Elle dépend du type de véhicule, son type d’énergie ou son ancienneté. Il y a six niveaux: plus le chiffre de la vignette est haut, plus le véhicule pollue.

    Les véhicules Crit’Air 5 sont les véhicules diesel immatriculés entre 1997 et 2000.

    Les véhicules Crit’Air 4 sont les véhicules diesel datant de 2001 à 2005.

    Les véhicules Crit’Air 3 sont les véhicules à essence d’avant 2006 et les diesel d’avant 2011.

    Le périmètre d’interdiction aux véhicules Crit’Air 3, 4, 5, est fixé par les métropoles. L’interdiction est effective tous les jours de la semaine, entre 8 heures et 20 heures. En dehors de ces tranches horaires, après 20 heures et les samedi et dimanche, il est possible d’utiliser son véhicule dans ces zones. Des dérogations peuvent être accordées.

    Les véhicules interdits sont passibles d’une amende de quatrième classe, de 68 euros. Néanmoins, à Paris, 2025 sera une année de sensibilisation, de pédagogie: il n’y aura pas de verbalisation des contrevenants. En 2026, lorsque les automates pour les contrôles seront installés, le couperet tombera. Grenoble promet une période pédagogique jusqu’en Juin 2025.

    Après, il faudra avoir la vignette, qui coûte 3,81 euros, ou changer de véhicule. La démarche se fait par courrier ou en ligne, sur le site du ministère de la transition écologique et de la Cohésion des territoires.

    La caste écologiste, gauchiste, centriste, macroniste, a préparé, élaboré ce projet, et soutient âprement les mesures prises.

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  • Le passé, le présent et le futur de notre Suzerain

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    HUMOUR ET DÉRISION

    (…)

    La croyance veut que les réincarnations successives emportent avec elles dans les renaissances une partie des expériences passées, qui s’accumulent et expliquent la destinée de la dernière incarnation.  Concernant la dernière réincarnation de notre royal Président, je me suis dit qu’il était possible de retrouver ses réincarnations passées qui expliqueraient son règne actuel.

    On dit de lui qu’il n’est pas fini et vit sous la coupe d’une vielle bâtarde au genre indéfini. Son époque se caractérise par une fausse paix des religions, au commencement appelée vivre-ensemble. Au début de son règne, il a déclaré aux mignons petits marquis de son aréopage soyez fier d’être des amateurs, ce qui c’est très vite révélé exact, pour notre malheur.

    Cette maléfique dernière réincarnation en notre Suzerain Macron a peut-être commencé avec Philippe IV le Bel, dit Papounet. Il est un des premiers des Rois Maudits, il a trucidé les membres de l’Ordre des Templiers, les combattants à la Reconquête contre les musulmans dans les royaumes catholiques. Pour cette infamie Jacques de Molay a prononcé une malédiction sur le bûcher: " Soyez tous maudits jusqu’à la treizième génération de vos races!" Aujourd’hui il s’acharne a finir la destruction de la France  "fille aînée de l’Église" Il est colporté par des complotistes de la Reconquête du Renouveau National, qu’il serait par sa volonté à l’origine de l’incendie de Notre-Dame pour la ressusciter à son image dans une cérémonie satanique.

    Le "papounet Le Bel " frappé de la malédiction a fait une brève réincarnation en Louis X pas totalement tapé du ciboulot mais plutôt totalement débile, qui s’est rapidement mis tout le monde à dos. Des jours funestes s’annonçait pour notre royaume, le tapé Louis X allait transmettre ses gènes destructeurs à Charles VI.

    Charles VI a été le plus tapé d’entre tous, on a commencé par l’appeler " le bien-aimé ", on a fini par le renommer " le fou" En 1392, il a fait une grosse crise de folie en s’attaquant à ses propres troupes. Est-ce une réminiscence de ce passé qui a conduit Macron, autrefois lui aussi le bien-aimé, à lancer une grenade dégoupillée dans les jambes de ses propres troupes? Le gène de la folie explique cette décision aventureuse de dissolution.

    Après un long purgatoire en enfer, semble-t-il très insuffisant, Charles VI s’est réincarné en Louis XI, rongé par la suspicion et la paranoïa.

    Louis XI, réincarné en Charles IX a été le malheureux pantin de sa mère Catherine de Médicis, une vraie bâtarde. Le petit Charles IV avait commencé son règne à 10 ans, n’étant pas tout a fait fini. On retrouve là en Macron un trait de son caractère, si bien constaté par Eric Zemmour, déclarant "Emmanuel Macron est un adolescent qui n’est pas fini" Le petit Charles IX doit faire face à une guerre de religion. A la cour il a imposé le port de boucles d’oreille aux gentilshommes.

    Des spécialistes en réincarnation affirment que c’est à cette époque que certains de ses penchants se sont déclarés, à la fois à la soumission à une femme-mère autoritaire et à une attirance sexuelle contre nature.

    Charles IV réincarné en Henri III a assumé ces attirances pour les invertis, ses mignons.

    Ronsard dénonce en vers les mœurs dissolues du roi Henri III.

    "Le Roi, comme l’on dit, accole, baise et lèche

    De ses poupins mignons le teint frais nuit et jour.

    Eux, pour avoir argent, lui prêtent tour à tour 

    Leurs fessiers rebondis et endurent la brèche".

    Dans une période marquée par les guerres de religions, ces jeunes précieux réussissent l’exploit d’être détestés aussi bien par les catholiques de la Sainte-Ligue que par les protestants. Mais en même temps le roi est connu pour aimer les femmes, et tout particulièrement son épouse avec laquelle il n’aura pas d’enfants.

    Le journal Le Monde, généralement très bien informé sur les turpitudes de nos élites, a révélé: " Le soir, autour de whiskys japonais ou écossais Macron s’amuse au sein de son “boys club”: surnoms comme “petit pédé… grande tarlouze”, et Matignon rebaptisé “la cage aux folles”" Le quotidien affirme que " l’Élysée avait baptisé Matignon La cage aux folles ", lorsque Gabriel Attal était encore Premier ministre.

    Le pervers jouit de la souffrance des autres" Le Monde le lâche parce qu’ils en a assez de ses conneries avec la dissolution et l’instabilité permanente. http://www.brujitafr.fr/2024/12/selon-le-monde-le-soir-autour-de-whiskys-japonais-ou-ecossais-macron-s-amuse-au-sein-de-son-boys-club-surnoms-comme-petit-pede-et-matignon-rebaptise-la-cage-aux-folles.html

    Macron s’est ensuite incarné en Louis XIV, d’où son goût pour le faste des grandes réceptions qu’il a présidé dans le fastueux château de Versailles où il aime tant briller et dépenser quoi qu’il en coûte. Le dernier repas du prince avec le Roi d’Angleterre et 160 convives a coûté un demi-million, avec des bouteilles à 2 700 euros pièce. Rien n’est trop beau pour le brillant argentier.

    Les frais de réception du triste sire sont passées de 9,87 millions en 2021 à 21 millions en 2023. Le fonctionnement du Palais nous a coûté 124,2 M€ en 2023, 126,3 M€ en 2024 et augmentera encore de 2,5%, soit 3 millions d’euros en 2025.

    La suite, vous la connaissez, mais pour le futur il vous faudra attendre.

    Daniel Faguet

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Instaurer les pouvoirs de la société civile

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    J’ai abordé le mensonge de l’État sur la dette publique (Le mensonge d’État sur la dette publique – Riposte Laique) puis ces trois principales causes avant hier (Les trois causes de l’endettement Français – Riposte Laique) et hier le renversement de l’Etat providence (Renverser l’État providence – Riposte Laique). Je propose pour terminer cette série quelques suggestions pour instaurer un nouveau régime pleinement démocratique, au profit des pouvoirs de la société civile dans d’autres domaines: 1. territoires, 2. école, 3. santé, 4. innovation.

    En proposant hier le principe absolu de la souveraineté populaire, les lois étant adoptées à la seule condition de la double votation directe et indirecte, la France ne doit plus être affublée d’un mot qui en précède la grandeur intrinsèque. Nous sommes tous ensemble la France. Il nous faut donc une nouvelle constitution simple, non pas une VIe République, mais une France souveraine et démocratique. Un Parlement élu faisant et votant en première lecture et soumettant chaque année à la votation après débat et trois ou quatre administrations centrales dirigées par des très hauts fonctionnaires rendant compte annuellement au Parlement.

    Concernant les pouvoirs de la société civile, et sans être exhaustif, quatre domaines peuvent déjà illustrer l’esprit d’une révolution politique majeure où la société civile doit recouvrer sa liberté et sa responsabilité.

    LA GESTION DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE

    Mille pays français disposeraient des compétences dans le seul domaine régalien à gérer localement: l’aménagement du territoire, soit l’équivalent des parties communes d’une copropriété: voirie et espaces publics, eau et propreté, là encore sans aucun droit sur la société civile. Ces mille pays seraient le résultat de la suppression des communes, départements et régions pour des aires géographiques devant comprendre environ 50.000 habitants pour des raisons d’autonomie locale, soit au maximum 1.300 entités locales, les villes constituées de taille supérieure se maintenant pour des raisons évidentes de cohérence géographique.

    La France disposerait alors de moins de 1.000 entités politiques locales au lieu des 36.000 communes, environ 100 départements, 13 régions et autres entités à l’instar du Grand Paris. Rappelons que nous avons le record du nombre des élus: 568.000 avec leurs indemnités, leurs hôtels de département et de région au coût prohibitif. 1.000 entités avec leurs conseils réunissant 1/1000 de la population, c’est 50 élus par entité, soit 50.000 élus et une économie de 518.000 élus dans le pays. La cession des biens, la liquidation des administrations représentera une économie rapide en dizaine de milliards.

    Ces milles pays se gèrent selon les mêmes règles de travaux en assemblée locale des élus du pays avec votation annuelle locale des électeurs pour entériner les décisions d’investissements et de gestion des infrastructures comme une assemblée générale de copropriété.

    L’ECOLE ET L’UNIVERSITE

    Elle appartient de plein droit à la société civile dans une démocratie digne de ce nom. Elle est donc gérée directement par les familles en association, assumant son financement, ses équilibres, ses investissements, la qualité des enseignements, l’autorité. Nos contemporains devraient se souvenir que pendant des siècles, partout dans le monde, les écoles, les facultés et les bibliothèques étaient gérées par la société civile: des personnes investies, des institutions religieuses, des entreprises mécènes, des bienfaiteurs, etc.

    En réduisant la taille de l’État à ses trois fonctions régaliennes majeures, le budget de l’Etat serait d’environ (budget 2024):  Intérieur 26 milliards, Justice 12 milliards, Défense 50 milliards sans oublier la collecte d’impôts réduisant les fonctions de finances à environ 40 milliards pour un total de 128 milliards ; pour un budget actuel de plus de 300 milliards.

    La société civile retrouverait instantanément une liberté et une responsabilité d’investir dans chacun des domaines où elle est seule légitime à agir soit les 87 milliards de l’Éducation nationale et les 28 milliards des universités et de la recherche, les 30 milliards des solidarités, les 15 milliards des transitions écologiques, etc. soit une marge de manœuvre économique redonnée à chacun de nous par l’abandon de 170 milliards d’impôts confiscatoires. C’est la société civile qui retrouve toute ses libertés.

    Les écoles privées démontrent tous les jours que la société civile sait agir, organiser, gérer, s’investir avec un souci d’excellence, de qualité pour les collégiens et étudiants en respectant les enseignants. Tout cela démontrerait aussi que l’enfant scolarisé a un coût, qu’il a de ce fait des devoirs, que les parents sont en responsabilité car ils financent et que les institutions sont redevables à leurs payeurs d’une performance éducative, sans idéologie. C’est la libération et l’émancipation de l’école de l’emprise doctrinaire de ceux qui préfèrent la République dogmatique à la démocratie véritable du peuple souverain gérant par lui-même ses affaires.

    LA SANTE, L’HOPITAL ET LES SOINS

    Là encore, la création des premiers hôpitaux et l’histoire de ces institutions magistralement décrite par Raymond Le Coz dans La naissance de l’hôpital (HSMx1998x032x002x0139.pdf) montre bien que l’hospitalité et les soins ont été inventés à l’initiative de la société civile. Dans ce domaine, plusieurs options sont à envisager, exposées ici succinctement.

    L’assurance maladie est un choix fort de solidarité nationale où nous mutualisons volontairement notre santé pour bénéficier d’une prise en charge qui en fait n’est pas gratuite puisque nous la finançons sur notre travail entre employeur et salariés.

    Les mutuelles ont joué un rôle éminent dans la bonne gestion et le financement des établissements connaissant les besoins localement. Cet engagement politique et social a prouvé son efficacité sociale.

    Le financement privé, entreprises, dons et legs, existent dans de nombreux pays et il a démontré lui aussi son efficacité. Il serait d’autant plus possible que nous baissons les prélèvements obligatoires de 170 milliards soit de plus de 50 %.

    L’économie du soin passe aussi par une mise en pleine responsabilité des médecins et de leur ordre devant le Parlement. Ils doivent réhabiliter la pratique clinique, les thérapeutiques efficaces de molécules connues et un sens aigu de leur responsabilité économique et humaine face à la nation qui les forme. L’économie de la santé ne pose pas en soi de difficulté majeure pour autant que les oligarchies médicales soient elles aussi démantelées, du fait de leur influence toxique comme l’a démontré l’affaire des opiacés aux USA. (Crise des opioïdes: un " deal " à 26 milliards de dollars aux Etats-Unis | Les Echos)

    L’INNOVATION ET LA RECHERCHE

    La société civile est compétente pour inventer, créer, chercher, distribuer et commercialiser. Concernant l’innovation, celle-ci tient très largement à la capacité d’invention dont l’expérience démontre qu’elle a toujours commencé dans des petites organisations. Les Google, Amazon, Facebook, Apple ne sont pas nés dans des grands groupes constitués. Autrefois, les IBM, Ford ou les industriels de l’automobile en France sont nés du mécénat, de la passion et de petites entreprises. De même pour l’aéronautique, etc. Là encore brisons les croyances et les mythologies. La plupart des inventions viennent de multiples structures de taille intermédiaires ou d’initiative de personnes ou de petits groupes créatifs ; ce qui interdit de soutenir des conglomérats qui luttent contre l’innovation réelle.

    Parce que l’innovation ne naît pas chez ceux qui ont intérêt à préserver leur rente de situation, il est déjà indispensable d’éviter les concentrations économiques nocives. Mais aussi, dans l’intérêt de tous et pour protéger les institutions démocratiques, la loi antitrust doit s’appliquer en France et pour toute entreprise voulant travailler en France. Il est parfaitement documenté en science économique que la concentration économique favorise la corruption des Etats, l’oligarchie antidémocratique et la cartellisation des affaires. A débattre pour le détail, mais les banques doivent être divisées, la grande distribution divisée, aucun acteur ne doit peser dans son secteur plus de 10 % de l’activité locale ou nationale. La liberté l’impose d’autant que ces conglomérats deviennent des usines administratives onéreuses à l’instar des Etats dont elles sont des copies dans le secteur marchand. 

    Mais cette liberté et la responsabilité collectives économiques sont indispensables pour assumer les risques et les quelques égarements au sein de chaque métier et profession. Je rappelle pour l’exemple l’affaire des dentistes (Dix ans de procédures intentées par l’Ordre contre les centres déviants – Ordre National des Chirugiens-Dentistes). D’ailleurs, les métiers (chambre des métiers) et les entreprises (chambre de commerce et d’industrie) se sont historiquement toujours regroupés naturellement sur les territoires par secteur d’activité dans des corporations puis des branches pour partager leurs préoccupations et leurs enjeux communs, en mutualisant des actions indispensables à leur développement dans les pays et au niveau national. La recherche appliquée appartient naturellement à la société civile.

    En conclusion de ces quatre articles, je crois que nos contemporains ne perçoivent pas que nous sommes au bout d’une organisation de nos Etats rationalistes et bureaucratiques, Leviathan insatiable et doctrinaire qui voulait enrégimenter toutes nos vies, souhaité par les cercles de la raison, qui voulaient diriger nos sociétés en confisquant progressivement tous les pouvoirs et les libertés locales. Il y a dans ce socialisme d’Etat une lente dérive vers un totalitarisme providentiel et intrusif dans toutes les dimensions de nos existences.

    Cette époque se termine pour de multiples raisons, mais la conséquence en est que l’Etat est à mettre à sa place strictement régalienne et que l’instauration des libertés inhérentes à une société civile responsable sera le seul avenir probant des sociétés européennes si elles veulent créer, innover, tisser des liens forts dans nos communautés de pays et rayonner par la qualité de vie de ces sociétés de liberté. Notre effondrement en cours démontre chaque jour que nous avons fait totalement fausse route pour des raisons idéologiques.

    Il faut créer le mouvement de la démocratie pour l’instauration d’une société civile libre. J’espère avoir ouvert quelques horizons sans autre prétention que de contribuer à l’avènement d’une nouvelle France libre et prospère.

    Pierre-Antoine Pontoizeau

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)