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Opinions - Page 41

  • La justice, quand elle est politisée, n’a plus rien de démocratique

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    La célèbre morale de la Fontaine, "Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir", semble ne plus être d’actualité puisque la justice n’hésite plus à s’attaquer à un ancien président ou à un ministre, y compris le premier d’entre eux. Une égalité devant la loi qu’une large majorité de citoyens apprécie à juste titre.

    Mais cela ne fait pas pour autant de nos juges des modèles d’impartialité et de rigueur morale, vertus élémentaires que tout citoyen d’une démocratie digne de ce nom est en droit d’attendre de ceux qui sont censés le protéger contre l’arbitraire.

    Car force est de constater qu’une majorité de nos juges, très politisée, rend une justice de gauche. C’est incontestable pour 70% des sondés, selon une étude d’Odoxa-Backbone Consulting pour le Figaro, de 2023.

    Selon ce sondage, seuls les Ecologistes et les sympathisants LFI estiment que nos juges sont impartiaux. C’est tout dire. En clair, face à de nombreux juges, avoir une étiquette de droite, ou pire, d’extrême droite, constitue un sévère handicap devant le tribunal.

    Un second sondage montre que 77% des Français estiment que nos juges sont laxistes.

    C’est également une vérité incontestable, puisque selon l’Institut pour la justice, sur 100 plaintes déposées pour des agressions passibles de prison ferme et arrivant devant les tribunaux, seulement 4 aboutiront à un emprisonnement réel des coupables. Si les prisons sont pleines malgré tout, ce n’est pas parce que la justice est sévère, c’est avant tout parce que la délinquance a été multipliée par cinq depuis les années 1970 et parce que l’Etat refuse de construire les prisons promises depuis quarante ans.

    Très jaloux de leur indépendance face à l’exécutif, les juges n’apprécient guère qu’on s’interroge sur leurs décisions, aussi révoltantes soient-elles. Ils oublient trop souvent qu’ils sont avant tout au service des citoyens de la République. Ils oublient que dans une démocratie, c’est le peuple qui est souverain, pas les juges.

    Leur totale liberté d’interprétation des faits ou des textes, leur accorde un pouvoir exorbitant. Un pouvoir dont certains juges abusent impunément, les poussant à des dérives totalement antidémocratiques, tout en prétendant défendre l’Etat de droit.

    Ils devraient être les défenseurs de nos droits fondamentaux. L’égalité devant la loi, la sécurité et surtout la liberté d’opinion et d’expression. Or, toute justice politisée ne peut que violer ces droits fondamentaux.

    Quand la justice n’est plus impartiale, il n’y a plus de démocratie. C’est la négation de la souveraineté populaire. C’est donc le règne de l’arbitraire.

    Et quand trois citoyens sur quatre n’ont plus confiance en leur justice, c’est que la République n’est plus capable de protéger le peuple.

    Eric Zemmour a parfaitement résumé les dangers du pouvoir des juges:

     " L’Etat de droit* et la démocratie, ça n’a rien à voir. La démocratie, c’est le pouvoir du peuple par le peuple, pour le peuple.

    L’Etat de droit, c’est une théorie du XIXe siècle allemande, qui s’est répandue après la Seconde guerre mondiale en Europe, qui dit que toute action politique doit être contrôlée par le juge. Qu’est-ce que ça veut dire? D’un côté, on a la démocratie, c’est le pouvoir du peuple ; de l’autre, on a l’Etat de droit, c’est le pouvoir des juges".

     

    Jacques Guillemain

     

    *L'état de droit ou les tas de droits??? NDLR

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur

  • Les otages israéliens libérés font penser aux rescapés des Camps de la mort

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                                                             AVANT et  APRÈS   

    Or Lévy, Ohad Ben Ami et Eli Sharabi, (de gauche à droite) sont les 3 otages israéliens capturés le 7 octobre, et libérés par le Hamas le samedi 8 février 25, soit après 16 mois de détention dans des tunnels sordides froids et sombres, ajoutons, réhaussée d’une sous-alimentation ou détresse nutritionnelle. Pourtant ces 3 hommes étaient détenus à Gaza où l’aide humanitaire arrivait régulièrement et massivement par milliers de camions entiers.

    Mais il est vrai, cette aide humanitaire internationale, selon l’intime volonté du sénile Joe Biden, était soumise à un chantage.

    Tout le monde s’en souvient: des camions humanitaires contre des armes et des bombes US pour continuer une guerre sur 7 fronts qui a été imposée à Israël. Le chantage de Joe Biden était destiné à nourrir les terroristes du Hamas, soutenus implicitement par toute la gauche mondialiste, dans une hypocrisie sans nom. Les démo-crasses américains avaient implicitement décidé, pour ne pas décevoir les électeurs de kamala à risques, que le Hamas devait continuer sa guerre génocidaire contre l’État sioniste, comme ils disent. Et Céline Pina, d’ajouter que des nations imbéciles ont fait pression sur Israël et uniquement sur Israël, les forçant à procurer de l’aide à ceux qui les massacrent. Bien dit, n’est-ce pas?

    Regardez, c’est exactement ce qui s’est passé, je n’invente rien! Cherchez bien qui a financé cette barbarie des années durant. Quels sont les Etats complices du génocide du 7 octobre? Qui a décidé à dessein de parquer en quatre décennies une population rejetée par l’ensemble des pays arabes du monde pour leur dangerosité, leur inhumanité, leur barbarie? Aujourd’hui l’heure des comptes arrive, cette population a atteint moins de 2 millions d’aliens, dans un lopin de terre jouxtant la terre d’Israël, car les conseillers islamo-gauchistes de cette ignoble et perfide expérimentation n’avaient dans les années 70 que deux options  à dessein:

    1-d’entretenir en permanence la haine des Juifs et d’Israël sur toutes les générations à venir, les manuels scolaires, financés par vous, sont là pour le prouver ; 

    2– de détruire l’état sioniste qui les a nourris et s’approprier de tous les biens et richesses de l’Etat Juif accumulé depuis 1948. C’est ce que les enseignants ont mis dans la tête de tous les enfants palestiniens, comment doit fonctionner une barbarie dissimulée derrière le mot terrorisme islamique.

    Cette situation révèle en l’état le constat d’une équation sans solution.

    Marc Sangnier, homme de gauche, fondateur des Auberges de jeunesse en 1930, disait (sic): " L’Amour est plus fort que la haine". Pour ces enfants élevés dans la haine depuis leur plus tendre enfance, l’Amour n’existe pas, ou n’a jamais existé. Leur avenir sera ailleurs après une longue étape de restructuration des cerveaux. On retrouve ce manque affectif d’empathie, cette volonté de destruction de l’autre, cette machination de culpabilisation permanente chez les pervers narcissique – ou PN. Si vous regardez bien autour de vous, et même au sommet des États: ils sont légion.

    Visiblement les otages ont subi des mauvais traitements et de nombreux sévices corporels et psychologiques sans aucun respect des lois internationales de la guerre et des accords de Genève sur la protection et le traitement des prisonniers. L’ONG Croix-Rouge s’est montrée d’une inutilité et d’une incompétence historiquement inqualifiable. Le silence assourdissant de cette ONG internationale est insupportable, alors qu’elle empoche chaque année des millions de subventions, prélevés dans la poche des contribuables. Cette ONG a eu la même attitude lorsque des millions de Juifs étaient atteints du typhus dans les camps de la mort nazis. Avez-vous entendu parler de la Croix Rouge?…

    Pensez à refuser vos dons lors de leur prochaine campagne de mendicité pour les remercier de leur efficacité dans des situations humanitaires indiscutables. Les médecins israéliens à l’issue de l’observation de ces 3 otages pensent qu’ils ont été affamés volontairement par les nazislamistes du Hamas. Ces 3 innocents ont vécu l’enfer et un martyr irréversible, la barbarie à l’état pur, qu’on ne peut plus taire depuis la révélation de la Shoah. Se taire c’est devenir complice du silence, et des mensonges du terrorisme et de la barbarie islamique devenus mondialisés.

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  • Vaccins: la science au service du totalitarisme

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    Aux États-Unis, Robert Kennedy Jr, critiqué et harcelé par les médias, lutte contre les lobbys puissants qui influencent la santé publique. Il a défié les normes établies lors de la crise du covid et s’est opposé au diktat du gouvernement. Il persiste dans sa bataille contre les géants de l’industrie pharmaceutique.

    En France, le professeur Raout et ses collègues de l’IHU Méditerranée, le professeur Christian Péronne, le médecin anesthésiste-réanimateur Louis Fouché, et combien d’autres, ont été aussi victimes de ce harcèlement médiatique. Ainsi, des scientifiques internationalement reconnus se retrouvent mis au ban de la société.

    Dans ce débat autour des vaccins-injections, la presse et la science font un mariage de convenance. Les médias scientifiques et les médias généralistes subventionnés mènent des campagnes contre les figures dissidentes. Didier Raout affirme: "Ils sont achetés, ils appartiennent aux plus grandes puissances financières du monde".

    Et il rappelle les liens des fonds d’investissement avec les lobbys, sociétés et revues pharmaceutiques. Cette dépendance financière des médias fausse la perception publique et influence les politiques sanitaires. La vérité scientifique est sacrifiée sur l’autel des intérêts financiers et de l’idéologie.

    En ce qui concerne la covid, le résultat des injections est catastrophique: des millions de morts, de blessés et de handicapés.

    Le train du totalitarisme a bien repris sa course effrénée, dans sa version contemporaine. Les totalitarismes ne sont pas des accidents de l’histoire. Ils réalisent la modernité politique occidentale, débarrassée de la morale et du tabou du meurtre, par la célébration fanatique de la science toute-puissante. Hannah Arendt annonçait le retour de la bio-politique nazie sous l’égide d’un mouvement international. Le totalitarisme se développe à nouveau sous nos yeux.

    Le totalitarisme substitue une pseudo-science, le scientisme, à la morale et à la spiritualité, dans le discours sur le corps.

    Une partie de la population est ainsi écartée de l’humanité, via la figure antique de l’Homo sacer, être exclu de la cité, déconsidéré et voué à mourir, condamné à une irréversible mise au ban, prélude à son élimination physique.

    L’appareil judiciaire devient un instrument de persécution et ne protège plus la dignité humaine. Cette situation juridico-politique met au ban des individus privés de leurs droits et rendus à une existence fondée sur la survie. Dans cet univers, toutes les transgressions sont possibles, le meurtre est non seulement toléré et acceptable, mais encouragé au nom d’une légitimité qui s’affranchit de la morale.

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