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Histoire - Page 6

  • LES  FRANÇAIS  SONT  DEBOUT!

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    Avant le 8 mai – jour férié en France pour célébrer la victoire des Alliés lors de la Seconde Guerre mondiale -, les supporters de l’Olympique Lyonnais ont, ce dimanche 4 mai, tenu à rendre hommage à l’armée française.

    En marge du coup d’envoi de la rencontre de la 32e journée de Ligue 1 entre l’OL et le RC Lens, au Groupama Stadium, les Bad Gones ont déployé un grand tifo aux couleurs bleu-blanc-rouge avec le message suivant: "Mon petit cœur, lui, restera français".

    "Dunkerque", "La Marne", "Verdun"… plusieurs lieux faisant référence à des moments clés des deux Guerres ont été écrits sur le drapeau tricolore. Sublimé par la représentation de quatre unités de l’armée française, dont un Poilu et un militaire (avec la mention "BG87" faisant référence au groupe de supporters des Bad Gones).

    Le Figaro

     

    Honneur à mon grand-père maternel, gazé à Verdun

  • Macron à la Grande Loge de France:

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    la franc-maçonnerie et la République

    Lundi 5 mai 2025, Macron, Président de la République, honore de sa présence la Grande Loge de France, au siège de l’obédience situé Louis Puteaux, dans le XVIIe arrondissement de Paris.

    Jamais un Président de la République en exercice n’avait franchi les portes de cette obédience maçonnique, la deuxième plus importante de France avec ses 32 000 membres.

    À quelques mois du 220e anniversaire de la loi de séparation de l’Église et de l’État, Macron saisit cette occasion pour prononcer un discours sur la laïcité et la liberté.

    La visite débute par une exploration du musée de la GLDF, où il découvre des pièces historiques illustrant le rôle de l’obédience dans la préservation des valeurs républicaines. Il s’entretient ensuite avec le Grand Maître, Thierry Zaveroni, lors d’un échange privé. Puis il prononce son discours dans le temple Pierre Brossolette, ancien résistant et franc-maçon.

    Macron s’inscrit dans la lignée des "pères fondateurs" de la loi de 1905, et envoie un message fort: la laïcité est un instrument de protection, une "loi de liberté" qui doit être révérée et défendue par tous.

    En 2023, le Président s’était rendu au Grand Orient de France, première obédience avec 55 000 membres, à l’occasion de son 250e anniversaire. Ces visites marquent une reconnaissance officielle de l’apport maçonnique à la République. En effet, la franc-maçonnerie et la République entretiennent des rapports très étroits et même complémentaires. Quels sont les liens entre la franc-maçonnerie et la République?

    Dans le volume intitulé: Constitution et Règlement général de la fédération du Grand Orient De France, l’article 15 dit:

    "Ils (les Ateliers ou Loges) s’interdisent tous débats sur les actes de l’autorité civile et toute intervention maçonnique dans les luttes des partis politiques".

    Ce paragraphe contient autant de mensonges que de mots. En vérité, au sein des Loges, il n’est à peu près question que de politique. Les francs-maçons discutent constamment sur les actes de l’autorité civile, exercent sur les pouvoirs publics un contrôle minutieux et despotique.

    La Maçonnerie accapare et confisque la République, qui est devenue sa chose. Ainsi, les maîtres de la Maçonnerie sont les maîtres de la France.

    Des textes abondants et précis prouvent cette mainmise de la Maçonnerie sur le gouvernement.

    1887 Anatole de la Forge, journaliste et homme politique français (1820-1892), écrivait dans une lettre au président du Conseil:

    "Les Loges maçonniques ont été le berceau de la France nouvelle".

    1888 Jules Dequaire, enseignant franc-maçon, orateur du Convent, (1857-1906), écrivait:

    "Sainte Maçonnerie, sainte, c’est-à-dire trois fois consacrée, tu es la grande crucifiée de la République. C’est toi qui souffres pour elle, c’est toi qui pratiques sur toi-même toutes les expériences salutaires, c’est toi, mère dévouée, institutrice admirable de la démocratie, qui ne transportes dans le monde profane que celles de tes tentatives qui ont réussi dans tes flancs!".

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  • Il faut en finir avec les chimères mondialo-wokistes!

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    La journaliste Gabrielle Cluzel déclarait récemment dans l’émission de Christine Kelly Face à l’Info, sur CNews, que les générations futures nous regarderaient comme un peuple ayant laissé assassiner ses propres enfants.

    Cela au nom d’idéologies du siècle dernier dépassé de bientôt vingt-cinq ans et de chimères uniquement théoriques, pourtant fortement ancrées dans l’esprit de nos contemporains. Elles servent de références banalisées dont beaucoup ne sauraient donner une définition exacte mais qui évitent de réfléchir par soi-même, tout en constituant une bouée de sauvetage universelle permettant de refuser tout débat en usant d’anathèmes surannés à l’encontre des contradicteurs.

    Ces chimères sont l’état de droit, la laïcité, la démocratie, la liberté d’expression, l’indépendance de la Justice, les droits de l’Homme, les valeurs de la République, l’antiracisme, la tolérance, les accommodements raisonnables, la société multiculturelle, le politiquement correct, le couple franco-allemand, l’Union européenne, la prétention à créer un homme nouveau, libéré des traditions séculaires et même des lois naturelles.

    L’État de droit est l’expression la plus extensible des dilutions verbales auxquelles nous sommes soumis depuis longtemps. Les aberrations instituées en son nom sont innombrables et sujettes à prolifération exponentielle.

    On pourrait dérouler presque à l’infini la liste de ces aberrations qui, toutes, sont des conséquences de l’État de droit, défini de manière très laconique par la Commission européenne, laquelle nous dicte sa loi en matière de sécurité, autant dire d’insécurité, comme cela était rappelé dans un article de Cyrano du 27 février 2025:

    "L’État de droit garantit que toutes les autorités publiques agissent toujours dans les limites fixées par la loi, conformément aux valeurs de la démocratie et aux droits fondamentaux, et sous le contrôle de juridictions indépendantes et impartiales".*

    On notera la sémantique utilisée avec deux autres dilutions: valeurs de la démocratie et droits fondamentaux. Quant aux juridictions indépendantes et impartiales… peut-on citer l’ARCOM, le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel, les tribunaux de commerce? Ou d’autres encore?

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