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religion - Page 10

  • La République trahie: la fin des principes fondateurs

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    Français, ouvrez les yeux ! Le régime républicain, dans son dogme et ses promesses, prétendait fonder un ordre nouveau sur trois piliers sacrés: la liberté, l’égalité, la fraternité.

    Or, que voyons-nous aujourd’hui? Ces principes, naguère brandis comme des étendards, sont foulés aux pieds par ceux-là mêmes qui prétendent les incarner. Ceux-là aussi qui mentent au peuple de manière éhontée et n’a de cesse que de le manipuler.

    https://www.youtube.com/watch?v=Mp98ihGckKk

    LA LIBERTÉ EST ANÉANTIE

    La première des libertés, celle de vivre sans crainte, d’exister sous le bouclier d’un État protecteur, est aujourd’hui un vain mot. Partout, l’insécurité règne, la violence s’installe, et l’État, impuissant ou complice, abandonne les Français à leur sort.

    Que vaut la liberté lorsque l’on craint de marcher dans nos propres rues?

    Que vaut-elle lorsque ceux qui osent la revendiquer se heurtent à la censure, au mépris d’une oligarchie arrogante? Là où l’État devait être un rempart, il est devenu un fossoyeur.

    L’EGALITE TRAHIE PAR LA PRÉVARICATION DES ÉLITES

    L’égalité républicaine, si souvent chantée, s’efface devant le spectacle honteux des privilèges indus. Tandis que l’on prêche l’austérité au peuple, les grands serviteurs de la République s’octroient rentes et largesses exorbitantes qui courent parfois pour certains depuis 30 ans (Cresson, Balladur, de nombreux autres). Leur vie d’ex durant, les Présidents et Premiers ministres se partagent des avantages dignes de l’Ancien Régime: retraites dorées et cumulées, logements somptueux, gardes du corps et chauffeurs aux frais du contribuable. Le fardeau est colossal pour la Nation, et le peuple n’en tire que mépris et indifférence de la part de ses gouvernants.

    Qu’on les nomme, ces bénéficiaires de l’abus ! Qu’on expose à la lumière les dépenses insensées qui ruinent la France ! N’est-il pas grand temps d’exiger qu’ils renoncent à ces apanages iniques, eux qui se prétendent les serviteurs du peuple?

    Ce coût faramineux est encore plus choquant lorsqu’on le mesure à l’aune des échecs successifs accumulés depuis des lustres. Ces gens se contentent de nous assommer avec leur discours abscons alors que le mandat qui fut à chacun accordé était associé à un devoir de résultats déterminés par leur propres promesses oubliées en chemin.

    À observer l’état de la France et la régulière régression qu’elle connaît depuis 50 ans, chacun d’eux devrait se la jouer modeste. Mais au contraire, ils nous toisent, à commencer par l’actuel président, Emmanuel Macron, désavoué et rejeté comme aucun ne le fut avant lui (même Hollande… et pourtant… !), donc parfaitement illégitime (bien que légalement assis sur son trône), n’envisage même pas de renoncer à son entreprise destructrice.

    https://www.youtube.com/watch?v=eUfIwe3ngX4

    LA FRATERNITÉ SACRIFIÉE SUR L’AUTEL DE L’INDIVIDUALISME

    Enfin, que reste-t-il de la fraternité, sinon un mot creux? Loin de l’unité nationale, la République a favorisé la division et l’éclatement du corps social. L’individualisme, cette gangrène née du libéralisme dissolvant, a pris le pas sur l’intérêt supérieur de la Nation. Chacun ne songe plus qu’à soi, à ses intérêts immédiats, oubliant que la France, si elle veut survivre, doit être plus qu’un assemblage d’égoïsmes concurrents.

    N’oublions jamais qu’en matière de politique rien n’est jamais le fait du hasard. Il y a une cohérence honteuse mais forte entre ultra libéralisme économique et démantèlement des Nations.

    Ainsi, la République a failli. Ses principes sont morts sous les coups de ceux qui prétendent les défendre. Il ne reste plus qu’à rebâtir, à relever cette France trahie et mutilée. Pour cela, il faut retrouver la voie de l’ordre, du bien commun, de la véritable autorité. Il faut, enfin, que la Nation se dresse et reprenne son destin en main.

    Je doute qu’elle puisse le faire avec le personnel politique actuel.

    Jean-Jacques Fifre

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • La religion des droits de l’homme explique la clémence

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    …de la justice envers les malfrats

    Fin novembre 2024, à Drancy, Seine-Saint-Denis, un médecin a été violemment passé à tabac par un patient qu’il suivait depuis six ans. Ce patient lui reprochait un problème de remboursement de la part de la Sécurité sociale. Aujourd’hui encore, le médecin souffre physiquement et psychologiquement de cette agression, il a des séquelles définitives: plus d’odorat, plus de goût, racines de dents nécrosées. Il se fait violence pour reprendre ses activités.

    Jeudi 13 février 2025. Verdict devant le tribunal: trois semaines de travaux d’intérêt général et 2000 euros d’amende. Le praticien de 64 ans déplore ce verdict: "Il ne s’est pas excusé. Il a passé son temps à rigoler pendant le procès. C’est la double peine pour moi".

    Dans notre société de l’inversion, les vols, les agressions, les délits, les crimes, les meurtres, les viols, sont monnaie courante et banalisés.

    Les coupables font presque toujours partie des minorités, sexuelle, ethnique, raciale, ou sociale. Ils bénéficient de toutes les mansuétudes, en particulier l’excuse sociale. Dans tous les cas, la justice minimise les faits, prend la défense de ces délinquants, ignore les victimes, et rend des jugements plutôt cléments.

    Comment en sommes-nous arrivés là?

    Poussé à l’extrême, le christianisme provoque un oubli, un mépris de la cité terrestre, au profit de la cité céleste, caractérisée par l’amour de Dieu jusqu’au mépris de soi. C’est une démarche personnelle, intérieure et libre. La religion séculière des droits de l’homme, une version profondément modifiée de l’amour évangélique, transforme radicalement cette démarche: son objet est l’homme-dieu de la gnose, elle est collective et obligatoire.

    Dans cette perspective sécularisée, il s’agit d’obtenir le paradis sur terre en instaurant ici et maintenant un amour de l’autre jusqu’au mépris de soi au nom de l’humanité divinisée, l’Un de Plotin. Au nom de cet amour, on doit voir l’autre comme le même.

    L’amour de Dieu est remplacé par une obligation juridique d’amour absolu de l’autre. Les manquements à cette contrainte sont sanctionnés par le droit. L’oubli total de soi au profit d’autrui, vertu d’origine chrétienne, est aujourd’hui imposé autoritairement à la civilisation occidentale.

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  • Le discours de Vance, qui a humilié les dictateurs à migrants de l’UE

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    L’une des choses dont je voulais parler aujourd’hui, c’est bien sûr nos valeurs communes. Et, vous savez, c’est formidable d’être de retour en Allemagne. Comme vous l’avez entendu tout à l’heure, j’étais ici l’année dernière en tant que sénateur des États-Unis. J’ai vu le ministre des Affaires étrangères David Lammy, et j’ai plaisanté en disant que nous avions tous les deux des emplois différents l’année dernière de ceux que nous avons maintenant. Mais il est maintenant temps pour tous nos pays, pour nous tous qui avons eu la chance de se voir confier un pouvoir politique par nos peuples respectifs, de l’utiliser à bon escient pour améliorer leur vie.

    Et je tiens à dire que j’ai eu la chance, au cours de mon séjour ici, de passer un peu de temps en dehors des murs de cette conférence au cours des dernières 24 heures, et j’ai été très impressionné par l’hospitalité des gens, même, bien sûr, alors qu’ils sont encore sous le choc de l’horrible attentat d’hier. Et la première fois que je suis venu à Munich, c’était avec ma femme, en fait, qui est ici avec moi aujourd’hui, pour un voyage personnel. J’ai toujours aimé la ville de Munich et j’ai toujours aimé ses habitants.

    Je tiens simplement à dire que nous sommes très émus et que nos pensées et nos prières vont à Munich et à toutes les personnes touchées par le mal infligé à cette belle communauté. Nous pensons à vous, nous prions pour vous et nous vous soutiendrons certainement dans les jours et les semaines à venir.

    Nous sommes réunis ici, bien sûr, pour discuter de sécurité. Et nous entendons généralement par là les menaces qui pèsent sur notre sécurité extérieure. Je vois de nombreux grands chefs militaires rassemblés ici aujourd’hui. Mais si l’administration Trump est très préoccupée par la sécurité européenne et croit que nous pouvons parvenir à un règlement raisonnable entre la Russie et l’Ukraine, et si nous pensons également qu’il est important que l’Europe prenne des mesures importantes dans les années à venir pour assurer sa propre défense, la menace qui m’inquiète le plus vis-à-vis de l’Europe n’est pas la Russie, ni la Chine, ni aucun autre acteur extérieur. Ce qui m’inquiète, c’est la menace intérieure. Le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales: des valeurs partagées avec les États-Unis d’Amérique.

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