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opinions - Page 12

  • La décarbonation:

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    image générée par I.A.

    une lubie dogmatique qui sacrifie la France sur l'autel de l'idéologie

    La décarbonation est devenue le nouveau credo de la secte climatiste. Drapés dans leur vertueuse indignation, nos gouvernants et les technocrates de Bruxelles nous imposent un carcan réglementaire suicidaire, pendant que la Chine et l’Inde rient sous cape, brûlant chaque jour davantage de charbon et de pétrole pour alimenter leur expansion économique.

    Ce dogme absurde repose sur une vision partiale et biaisée du carbone, qui serait le mal absolu à combattre. Or, la science nous enseigne que le carbone est un élément fondamental à la vie sur Terre: il est le socle de la photosynthèse, le moteur de la croissance végétale et un régulateur climatique naturel depuis des millénaires.

    La France, déjà l’un des pays les moins émetteurs de CO2 grâce à son parc nucléaire exemplaire, s’acharne pourtant à expier une faute imaginaire. Les fermetures de centrales à charbon, la fiscalité punitive sur l’essence et le gaz, les restrictions absurdes sur l’industrie automobile sont autant de boulets que nous nous imposons volontairement. Résultat? Une destruction de notre industrie, une flambée des prix de l’énergie pour les ménages et une perte de compétitivité face à des nations moins scrupuleuses. Pendant ce temps, l’Allemagne, pourtant donneuse de leçons, relance son industrie charbonnière. Où est la logique?

    Mais cette folie n’est pas seulement écologique et économique: elle est aussi financière. L’arnaque du marché du carbone, avec ses " droits à polluer " achetables et revendables, est devenue une manne pour les spéculateurs. Qui profite de ce système? Sûrement pas les citoyens français, ni les entreprises, rackettés à coups de taxes écologiques et de réglementations liberticides, mais bien les financiers et les bureaucrates européens, toujours plus gourmands en fonds publics.

    Il est temps de réagir. Plutôt que de nous flageller en écoutant les prêches catastrophistes des nouveaux inquisiteurs du climat, reprenons le contrôle de notre politique énergétique. Défendons notre industrie, refusons cette hystérie collective et remettons la science et la raison au centre du débat. La France a besoin d’énergie, de croissance et de liberté, pas d’une austérité écologique mortifère.

    Thomas Joly

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Gros scandale!!!

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    L’association Reborn permet aux migrants de faire le Tour de France à vélo…

    Vous avez du mal à finir vos fins de mois, vous avez envie de payer des vacances à vos enfants, vous aimeriez payer moins d’impôts, vous souhaiteriez payer moins d’impôts pour pouvoir gâter votre famille.

    Je ne sais pas si vous y arriverez, mais je sais que certains déploient des montagnes d’énergie pour offrir des loisirs à des illégaux, et notamment un tour de France à vélo à des Afghans…

    Connaissez-vous l’association Reborn?

    Ils ne se cachent pas, mais personne ne les connait vraiment. Sauf ceux qui y ont intérêt.

    Association Reborn

    Sur le site de l’association, on apprend que " Patrick Brissonneau est le fondateur de l’association Reborn, du Reborntrip et de la chaîne de studios meublés StudioSolidaire. Avec la Préfecture des Hauts de Seine, Coallia et Habitat Humanisme, il a hébergé jusqu’à 320 réfugiés et demandeurs d’asile à proximité de la porte de Versailles. C’est ainsi qu’a commencé en 2019 l’histoire des Reborners…".

    Convaincu que la paix dans le monde passe par les échanges interculturels et l’accueil de l’autre dans sa différence, Patrick Brissonneau est le concepteur du dispositif d’insertion Reborn, du RebornTrip avec son épouse Geneviève et de l’opération Studio Solidaire.

    L’association Reborn a pour but de favoriser l’insertion  par l’activité économique des personnes exilées et une expérience du Vivre-Ensemble. À l’origine, ce dispositif s’adressait aux 320 réfugiés et demandeurs d’asile logés par StudioSolidaire autour de la porte de Versailles. Il propose une formation individualisée par des mentors et des coachs Pro suivie d’une expérience terrain".

    Sur leur site Internet, ils font appel au mécénat et aux dons défiscalisés, mais je ne serais pas surpris si j’apprenais qu’ils bénéficient également de généreuses subventions…

    Ce qui me désole, c’est que les personnes en charge de cette association sont des chrétiens sincères, qui veulent réellement faire le bien autour d’eux.

    OK, mais alors pourquoi ne commencent-ils pas par s’occuper des Français qui souffrent? Est-ce que la France en manque? Est-ce qu’ils n’en trouvent pas? Est-ce que les Français puent des pieds?

    Pourquoi cette attirance, cette dilection pour l’autre, qui ne leur ressemble pas du tout, car la culture afghane clanique, musulmane et hyper-violente n’a rien à voir avec la culture française?

    S’ils sont chrétiens, pourquoi sont-ils insensibles à la souffrance de leurs compatriotes?

    galerie | Association Reborn

    Emission Hors Champ sur France 24

    Appel aux bénévoles du Reborntrip 2024

    Appel aux dons de Zabiullah Salamkeil réfugié Afghan

    Combien coûtent des vacances d’un mois pour 80 personnes minimum, en comptant les hôtels, les vélos, la nourriture, l’assistance pour les réparations, l’infirmerie, etc.

    Je vous laisse imaginer… mais ça a un certain prix, pour ne pas dire un prix certain.

    Mais est-ce que nos chers réfugiés afghans ne le valent pas?

    Plus que les Français, manifestement.

    Albert Nollet

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • J’ai connu Tunis quand on pouvait manger pendant le Ramadan

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    J’avais vécu les 20 premières années de ma vie à Tunis où les cafés et les restos restaient ouverts pendant le Ramadan, où il n’était pas rare que les jeûneurs et les non-jeûneurs puissent s’attabler ensemble à la même table.

    Mais c’est une époque révolue, c’était Tunis d’autrefois qui respirait la joie de vivre, celui des années 60 et 70 aux couleurs blanches et bleues de la Méditerranée. Un Tunis plus proche de Naples et d’Athènes ou d’Alexandrie que d’une ville orientale.

    Mais le tsunami wahhabite est passé par là à la fin des années 80, à travers ses chaînes satellitaires qui ont envahi les foyers tunisois, et a tout balayé sur son passage.

    Impactant les mœurs, la psyché et les attitudes de ses habitants qui ont radicalement changé, qui sont passés d’un islam invisibilité à un islam trop visible et envahissant, en rupture totale avec le mode de vie et la mentalité de leurs aînés, comme si les musulmans d’hier n’étaient plus les musulmans d’aujourd’hui.

    Tout doit rester fermé pendant la journée et les non-jeûneurs doivent se cacher pour boire et manger.

    Est-ce que l’islam d’hier était un mauvais islam parce que la cité n’était pas lieu dédié entièrement à la religion où tout un chacun pouvait vivre sa liberté de conscience sans entraves et en toute sécurité?

    Pourquoi la cité musulmane comme celle que j’ai connue autrefois a-t-elle perdu son caractère laïque pendant le Ramadan?

    Cet islam des années 60 et 70 était-il éloigné des préceptes coraniques… alors qu’aujourd’hui l’heure est à l’islam despotique et totalitaire qui doit contrôler tous les aspects de la vie dans ses moindres petits détails et qui ne peut tolérer que la cité musulmane ne soit pas régie par la loi d’Allah?

    On dit que la cité est aux hommes et que la religion est à Dieu. Pourquoi ce qui était possible dans certaines sociétés musulmanes il y a une trentaine d’années ne l’est-il plus maintenant?

    En reprenant son pouvoir total sur ses fidèles, l’islam les a tellement conditionnés mentalement et fanatisés qu’il en a fait les gardiens de leur propre prison et les brigadistes de la vertu musulmane.

    Le terroriste tunisien jamais repenti Rached Ghannouchi disait que l’islam de ses parents n’étaient pas l’islam. Il sous-entendait clairement qu’ils n’étaient pas des vrais musulmans.

    Ce qui explique certainement ce climat où l’on ne regardait pas l’autre à travers le prisme religieux, tolérant, permissif, non-intrusif et pacifié qui prédominait dans certaines sociétés musulmanes où un pratiquant pouvait rejoindre à la fin de sa prière ses amis au bar du coin.

    C’était un islam syncrétique qui composait avec son époque.

    Un islam qui n’en était pas un, où tout le monde avait sa place et où le Ramadan n’était pas un Goulag pour les non-jeûneurs.

    Salem Benammar

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)