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histoire - Page 19

  • Le réveil des volcans est un vrai danger

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     …à la différence du prétendu réchauffement climatique

    Si un super volcan entrait en éruption, les clameurs des pleureuses réchauffistes ne seraient plus qu’un murmure inaudible. L’écologie punitive, ses normes extravagantes, sa cenSSure médiatico-judiciaire, la culpabilisation des téléphages abrutis, tout cela serait vain. L’humanité serait confrontée à un véritable chaos climatique. Rien à voir avec les vaticinations des bouffons du GIEC.

    IL Y A 74 000 ANS, NOTRE ESPECE A FAILLI DISPARAITRE

    La catastrophe de Toba fut la plus grande éruption volcanique de ces trois derniers millions d’années. Née de l’explosion du volcan Toba au Nord de l’île de Sumatra, elle dégagea une énergie au moins cinq mille fois plus puissante que la bombe de Hiroshima, produisant un boum supersonique qui fit plusieurs fois le tour de la Terre.

    L’éruption a duré une vingtaine d’heures au cours desquelles une colonne incandescente d’une hauteur estimée à 40 kilomètres a dispersé sur 50 millions de km2, soit l’équivalent de la surface de l’Eurasie, une couche de cendres jusque dans l’océan Indien, la mer de Chine et la mer d’Arabie. Tandis que les laves ont coulé pendant plusieurs semaines. La quantité totale d’éjectas volcaniques est estimée à environ 9000 km3.

    De nombreux paléoanthropologues considèrent que l’hiver volcanique provoqué par les cendres de cette super-éruption dans l’atmosphère a eu non seulement un impact désastreux sur la faune et la flore, mais a amené l’espèce humaine à la quasi-extinction. Il ne restait plus que quelques milliers d’humains sur toute la terre. Cela pourrait expliquer la pauvreté de la diversité génétique de notre espèce.

    Les réchauffards seraient contents, les super éruptions refroidissent l’atmosphère

    Ces bateleurs ne crèveraient pas de chaud, asphyxiés par le CO2, mais il seraient étouffés par les cendres volcaniques en se pelant les miches. L’étude paléoclimatique des carottes de glace du Groenland montre une corrélation entre l’éruption du Toba et le renforcement de la période glaciaire pendant un bon millénaire.

    Il y a 74 000 ans, les nuages de cendres projetés dans la stratosphère ont plongé l’ensemble du globe dans un "hiver atomique" d’une décennie. La moyenne des températures a chuté d’environ 3 à 4°C sur plusieurs années, avec des baisses locales de l’ordre de 15°C dans les régions continentales, et de 20 à 25°C près des pôles.

    Les herbivores mouraient faute de plantes. Les carnivores faute de proies. Et les humains ont dû s’entre-tuer avant de manger les survivants. Façon dystopie hollywoodienne. À part que ce n’était pas du cinéma. Quand le ciel s’est dégagé, les glaces ont mis plusieurs siècles à fondre, et il fallut mille ans pour que le climat global redevienne comme avant.

    J’en profite pour rappeler que nous sommes encore dans une période glaciaire et que, malgré le léger réchauffement de 1860 à 2005, les températures sont toujours en dessous des moyennes historiques.

    ÇA POURRAIT SE REPRODUIRE…

    Le Toba n’est pas éteint! Au cours des 74 000 années passées, la caldera s’est soulevée de 1200 mètres pour former l’île de Samosir.

    Et elle continue à monter d’un centimètre/an.

    Preuve que ça bouillonne toujours dessous.

    Mais ce n’est pas le seul volcan inquiétant.

    On n’est pas dans le domaine des hypothèses farfelues comme avec les professeurs Tournesol du GIEC. On s’appuie sur des observations factuelles récentes, incontestables. Ainsi en 1815 (il y a 210 ans, une paille à l’échelle géologique) les humains ont passé une année entière sans été ni chaleur et plusieurs années glaciales ensuite.

    Un volcan indonésien, le Tambora s’était réveillé, produisant des nuées ardentes, des tsunamis et des pluies de cendres. Il avait éjecté beaucoup de fumée et de particules dans l’atmosphère bloquant le rayonnement solaire, refroidissant la Terre et détruisant la vie.

    Les aérosols projetés dans la stratosphère ont voilé la lumière du Soleil et provoqué un hiver volcanique pendant trois ans. Avec des moyennes de température très en dessous des normales, des chutes de neige en plein été dans les latitudes tempérées, des pluies diluviennes et l’absence presque totale d’ensoleillement.

    L’hémisphère nord fut le plus touché avec des récoltes de céréales et de pommes de terre ravagées en Chine, en Europe et en Amérique du Nord. Les famines se multiplièrent, comme les épidémies de typhus. Les récoltes étaient maigres, le froid glacial, et des centaines de milliers de personnes mouraient de cachexie quand ce n’était pas d’hypothermie. Une partie de l’Europe occidentale et centrale migra vers les Amériques, et aux USA depuis la côte Est vers le Midwest.

    L’éruption du Krakatoa en 1883 produisit des effets similaires à ceux du Tambora, tsunamis et nuées de cendres obscurcissant le ciel, modifiant le climat jusqu’en Europe, mais pendant moins longtemps. Il y avait alors des communautés chrétiennes, hindouistes et bouddhistes en Indonésie, qui cohabitaient plus ou moins bien avec les mahométans. Ceux-ci accusèrent les "infidèles" d’être responsables de l’éruption, et en profitèrent pour en massacrer plusieurs millions. Un génocide délibérément occulté, comme la traite négrière en mer rouge, afin de ne pas attiser la haine contre "nos frères musulmans qui nous aiment tant" (copyright crétin Bergoglio).

    LE CO2, UNE RIGOLADE A COTE DU DIOXYDE DE SOUFRE

    Il s’agit d’un gaz dense et toxique, considéré comme la première cause de désastre dans une éruption massive. En 1991, le Pinatubo considéré comme éteint (!) se réveilla et expédia 15 millions de tonnes de SO2 dans l’atmosphère.

    Et c’était une "petite" éruption.

    Quand il est éjecté par un volcan, ce gaz monte jusqu’à la troposphère puis atteint la stratosphère. Des petites particules s’agrègent en aérosols et restent suspendues pendant plusieurs années. Elles captent la lumière du soleil et la reflètent directement vers l’espace, en empêchant son rayonnement de réchauffer la Terre. La petite éruption philippine de 1991 avait fait baisser la température terrestre de 0,5°C.

    Les climatologues sérieux, ceux qu’on n’invite jamais à la télé, craignent que le réveil de très anciens volcans entraîne des chutes de température bien supérieures. Mais il n’y a pas que ça. En bloquant les rayons du Soleil dans la troposphère, la strate dans laquelle se forment les variations météorologiques, les particules de soufre pourraient empêcher les chutes de pluie, notamment les moussons.

    Or, sans pluie en Asie et en Afrique, les récoltes se tariront. Les économies plongeront, les tensions ethniques s’intensifieront et la famine tuera des millions de personnes.

    Lorsque les humains ont faim, ils sont enclins à suivre les raclures qui leur promettent de faire bombance à condition d’aller se servir chez les voisins. Mahomet ou Hitler, djihad ou lebensraum, mêmes ressorts.

    LE PLUS GROS RISQUE IMMINENT SERAIT PEUT-ETRE YELLOWSTONE?

    C’est la caldera monumentale de 71 x 45 km d’un volcan très ancien, qu’on croyait endormi depuis 642.000 ans, qui pourrait se réveiller plus tôt que prévu. Dans un environnement volcanique omniprésent. Sources chaudes, micro-séismes, mini-éruptions, geysers.

    Des analyses récentes des cendres montrent que les conditions préalables à l’explosion de ce géant assoupi pourraient être réunies en quelques décennies. Ou moins.

    Si le majestueux volcan de Yellowstone situé dans le parc national éponyme dans l’État du Wyoming USA entrait à nouveau en éruption, la catastrophe aurait un impact planétaire. Avec des conséquences sans doute pires que lors de l’explosion du Toba parce que les humains sont beaucoup plus nombreux et dépendent de technologies vulnérables.

    Les géologues croyaient que plusieurs siècles seraient nécessaires à l’afflux de magma pour atteindre le volume critique dans la chambre située sous la caldera. Or cette transition s’est accélérée. L’écorce terrestre a enflé de 70 centimètres depuis 1975. Le réservoir magmatique a presque triplé de volume, accumulant et amplifiant les écoulements.

     "C’est incroyable de voir à quel point très peu de temps suffit à un système volcanique endormi pour être au bord de l’éruption", a déclaré le docteur Hannah Shamloo, vulcanologue de référence sur place.

    Selon l’agence américaine Geological Survey, le volcan de Yellowstone est un des plus surveillés du monde. Une multitude de capteurs et de satellites observent en permanence le moindre de ses mouvements, mais on sait qu’en cas d’éruption, on ne pourrait pas faire grand-chose.

    Les personnes travaillant sur le volcan endormi ont ordre de rassurer le public. De dire que la probabilité d’une explosion massive serait la même que celle d’une collision avec un astéroïde.

    Pourtant, sous leurs pieds, la cocotte-minute siffle et bouillonne en permanence. Mais il faut éviter la panique. Et avant le sauve-qui-peut, empêcher la fuite des capitaux.

    Christian Navis

     

    https://climatorealist.blogspot.com

     

     

  • Le passé, le présent et le futur de notre Suzerain

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    HUMOUR ET DÉRISION

    (…)

    La croyance veut que les réincarnations successives emportent avec elles dans les renaissances une partie des expériences passées, qui s’accumulent et expliquent la destinée de la dernière incarnation.  Concernant la dernière réincarnation de notre royal Président, je me suis dit qu’il était possible de retrouver ses réincarnations passées qui expliqueraient son règne actuel.

    On dit de lui qu’il n’est pas fini et vit sous la coupe d’une vielle bâtarde au genre indéfini. Son époque se caractérise par une fausse paix des religions, au commencement appelée vivre-ensemble. Au début de son règne, il a déclaré aux mignons petits marquis de son aréopage soyez fier d’être des amateurs, ce qui c’est très vite révélé exact, pour notre malheur.

    Cette maléfique dernière réincarnation en notre Suzerain Macron a peut-être commencé avec Philippe IV le Bel, dit Papounet. Il est un des premiers des Rois Maudits, il a trucidé les membres de l’Ordre des Templiers, les combattants à la Reconquête contre les musulmans dans les royaumes catholiques. Pour cette infamie Jacques de Molay a prononcé une malédiction sur le bûcher: " Soyez tous maudits jusqu’à la treizième génération de vos races!" Aujourd’hui il s’acharne a finir la destruction de la France  "fille aînée de l’Église" Il est colporté par des complotistes de la Reconquête du Renouveau National, qu’il serait par sa volonté à l’origine de l’incendie de Notre-Dame pour la ressusciter à son image dans une cérémonie satanique.

    Le "papounet Le Bel " frappé de la malédiction a fait une brève réincarnation en Louis X pas totalement tapé du ciboulot mais plutôt totalement débile, qui s’est rapidement mis tout le monde à dos. Des jours funestes s’annonçait pour notre royaume, le tapé Louis X allait transmettre ses gènes destructeurs à Charles VI.

    Charles VI a été le plus tapé d’entre tous, on a commencé par l’appeler " le bien-aimé ", on a fini par le renommer " le fou" En 1392, il a fait une grosse crise de folie en s’attaquant à ses propres troupes. Est-ce une réminiscence de ce passé qui a conduit Macron, autrefois lui aussi le bien-aimé, à lancer une grenade dégoupillée dans les jambes de ses propres troupes? Le gène de la folie explique cette décision aventureuse de dissolution.

    Après un long purgatoire en enfer, semble-t-il très insuffisant, Charles VI s’est réincarné en Louis XI, rongé par la suspicion et la paranoïa.

    Louis XI, réincarné en Charles IX a été le malheureux pantin de sa mère Catherine de Médicis, une vraie bâtarde. Le petit Charles IV avait commencé son règne à 10 ans, n’étant pas tout a fait fini. On retrouve là en Macron un trait de son caractère, si bien constaté par Eric Zemmour, déclarant "Emmanuel Macron est un adolescent qui n’est pas fini" Le petit Charles IX doit faire face à une guerre de religion. A la cour il a imposé le port de boucles d’oreille aux gentilshommes.

    Des spécialistes en réincarnation affirment que c’est à cette époque que certains de ses penchants se sont déclarés, à la fois à la soumission à une femme-mère autoritaire et à une attirance sexuelle contre nature.

    Charles IV réincarné en Henri III a assumé ces attirances pour les invertis, ses mignons.

    Ronsard dénonce en vers les mœurs dissolues du roi Henri III.

    "Le Roi, comme l’on dit, accole, baise et lèche

    De ses poupins mignons le teint frais nuit et jour.

    Eux, pour avoir argent, lui prêtent tour à tour 

    Leurs fessiers rebondis et endurent la brèche".

    Dans une période marquée par les guerres de religions, ces jeunes précieux réussissent l’exploit d’être détestés aussi bien par les catholiques de la Sainte-Ligue que par les protestants. Mais en même temps le roi est connu pour aimer les femmes, et tout particulièrement son épouse avec laquelle il n’aura pas d’enfants.

    Le journal Le Monde, généralement très bien informé sur les turpitudes de nos élites, a révélé: " Le soir, autour de whiskys japonais ou écossais Macron s’amuse au sein de son “boys club”: surnoms comme “petit pédé… grande tarlouze”, et Matignon rebaptisé “la cage aux folles”" Le quotidien affirme que " l’Élysée avait baptisé Matignon La cage aux folles ", lorsque Gabriel Attal était encore Premier ministre.

    Le pervers jouit de la souffrance des autres" Le Monde le lâche parce qu’ils en a assez de ses conneries avec la dissolution et l’instabilité permanente. http://www.brujitafr.fr/2024/12/selon-le-monde-le-soir-autour-de-whiskys-japonais-ou-ecossais-macron-s-amuse-au-sein-de-son-boys-club-surnoms-comme-petit-pede-et-matignon-rebaptise-la-cage-aux-folles.html

    Macron s’est ensuite incarné en Louis XIV, d’où son goût pour le faste des grandes réceptions qu’il a présidé dans le fastueux château de Versailles où il aime tant briller et dépenser quoi qu’il en coûte. Le dernier repas du prince avec le Roi d’Angleterre et 160 convives a coûté un demi-million, avec des bouteilles à 2 700 euros pièce. Rien n’est trop beau pour le brillant argentier.

    Les frais de réception du triste sire sont passées de 9,87 millions en 2021 à 21 millions en 2023. Le fonctionnement du Palais nous a coûté 124,2 M€ en 2023, 126,3 M€ en 2024 et augmentera encore de 2,5%, soit 3 millions d’euros en 2025.

    La suite, vous la connaissez, mais pour le futur il vous faudra attendre.

    Daniel Faguet

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Renverser l’État providence - 3

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    J’ai abordé avant-hier le mensonge de l’Etat sur la dette publique (Le mensonge d’État sur la dette publique – Riposte Laique) puis ces trois principales causes hier (Les trois causes de l’endettement Français – Riposte Laique). Je propose aujourd’hui de commencer cette discussion sur le renversement de l’État providence au profit des pouvoirs de la société civile. Sans vouloir ennuyer le lecteur, qu’il me permette de lui soumettre plusieurs pistes en deux articles, ce premier aujourd’hui sur le cantonnement de l’État à ses fonctions régaliennes: justice, police, défense. Je reviendrai demain sur des suggestions pour instaurer un régime nouveau au profit des pouvoirs de la société civile dans d’autres domaines: territoires, écoles, santé, innovation.

    Déjà, posons un principe de souveraineté absolue de la société civile pour maîtriser le législateur. Si nous maintenons une démocratie représentative en supprimant le sénat, celle-ci devra uniquement préparer des lois qu’elle votera en première lecture, avant de les soumettre au souverain. Il est donc impératif que le peuple vote les lois. C’est la première réforme institutionnelle majeure. Les élus n’ont de pouvoir de légiférer que dans les trois domaines du régaliens, et chaque année une votation populaire viendra valider ou annuler les votes des parlementaires. Une loi sera réputée adoptée à la seule condition de la double votation directe et indirecte. Une période d’un trimestre précédera la votation pour informer et discuter au sein de la société civile.

    LE DROIT ET LA JUSTICE

    L’objectif de la justice n’est pas de juger une personne mais des faits. Elle juge d’abord ces faits qui ont créé du désordre dans la société et qui ont fait les victimes d’une injustice: crimes ou délits. Il y a donc un premier impératif de réparation pour les victimes puis une volonté de sanction des coupables des faits incriminés sans oublier une finalité politique qui est d’assurer la société du cantonnement de ces délits et crimes ; soit la dissuasion sociale de commettre des infractions.

    La justice établit des faits au lieu de se perdre dans les conjectures des intentions. Un pays où les crimes se multiplient souffrent d’une justice non-dissuasive, un pays ou les délits et conflits juridiques empoisonnent toute la société prouve que les règles du jeu ne sont, ni claires, ni respectées. La judiciarisation est en fait le symptôme d’une société malade et corrompue, qui s’est accoutumée au prix faramineux d’une conflictualité interne permanente.

    Si nous partageons cette conception de la justice, le droit n’est pas une fin en soi, mais le moyen pacifique de régler les différends et de sanctionner ceux qui troublent l’ordre public, sans recourir à la violence ou à la vengeance. En ce sens, il faut réécrire la totalité des codes actuels dans une logique politique et sociale qui vise ces trois buts: réparer pour les victimes, sanctionner le coupable, dissuader les autres. Je vais être trivial, mais la réparation signifie rétablir les plateaux de la justice.

    Celui qui ôte la vie, on lui retire la vie. Celui qui vole, on lui confisque ses biens. Celui qui triche avec le bon sens (vendre des produits avariés par exemple) on l’oblige à indemniser les victimes et on lui retire le droit d’exercer ce métier, etc. Enfin, cela a une conséquence en termes d’exercice des libertés et responsabilités. La justice ne doit pas coûter à la nation, elle doit coûter à ceux qui obligent par leur méfait à juger. Les condamnés doivent payer l’usage de la justice et le coût des procédures dans leur ensemble.

    Enfin, la justice exprime donc la souveraineté qui une fois encore ne se délègue que provisoirement. En conséquence, les magistrats sont nommés par le souverain, donc élus en rendant des comptes aux termes de leur mandature sur les réparations, les sanctions et les résultats d’une justice dissuasive. La conséquence majeure d’une telle révolution dans notre conception du droit est que l’auteur d’un délit ou d’un crime n’est pas jugé pour lui-même, mais pour la portée politique et sociale des faits reprochés.

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