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histoire - Page 17

  • Le discours de Vance, qui a humilié les dictateurs à migrants de l’UE

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    L’une des choses dont je voulais parler aujourd’hui, c’est bien sûr nos valeurs communes. Et, vous savez, c’est formidable d’être de retour en Allemagne. Comme vous l’avez entendu tout à l’heure, j’étais ici l’année dernière en tant que sénateur des États-Unis. J’ai vu le ministre des Affaires étrangères David Lammy, et j’ai plaisanté en disant que nous avions tous les deux des emplois différents l’année dernière de ceux que nous avons maintenant. Mais il est maintenant temps pour tous nos pays, pour nous tous qui avons eu la chance de se voir confier un pouvoir politique par nos peuples respectifs, de l’utiliser à bon escient pour améliorer leur vie.

    Et je tiens à dire que j’ai eu la chance, au cours de mon séjour ici, de passer un peu de temps en dehors des murs de cette conférence au cours des dernières 24 heures, et j’ai été très impressionné par l’hospitalité des gens, même, bien sûr, alors qu’ils sont encore sous le choc de l’horrible attentat d’hier. Et la première fois que je suis venu à Munich, c’était avec ma femme, en fait, qui est ici avec moi aujourd’hui, pour un voyage personnel. J’ai toujours aimé la ville de Munich et j’ai toujours aimé ses habitants.

    Je tiens simplement à dire que nous sommes très émus et que nos pensées et nos prières vont à Munich et à toutes les personnes touchées par le mal infligé à cette belle communauté. Nous pensons à vous, nous prions pour vous et nous vous soutiendrons certainement dans les jours et les semaines à venir.

    Nous sommes réunis ici, bien sûr, pour discuter de sécurité. Et nous entendons généralement par là les menaces qui pèsent sur notre sécurité extérieure. Je vois de nombreux grands chefs militaires rassemblés ici aujourd’hui. Mais si l’administration Trump est très préoccupée par la sécurité européenne et croit que nous pouvons parvenir à un règlement raisonnable entre la Russie et l’Ukraine, et si nous pensons également qu’il est important que l’Europe prenne des mesures importantes dans les années à venir pour assurer sa propre défense, la menace qui m’inquiète le plus vis-à-vis de l’Europe n’est pas la Russie, ni la Chine, ni aucun autre acteur extérieur. Ce qui m’inquiète, c’est la menace intérieure. Le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales: des valeurs partagées avec les États-Unis d’Amérique.

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  • Nos grands soldats français

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    Image générée par I.A.

    En 2005, la mort accidentelle de Zyed Benna et Bouna Traoré, deux jeunes qui fuyaient la police, nous a valu trois semaines de guérilla urbaine.

    Plus près de nous, en 2023, c’est la mort de Nahel Merzouk, un "petit ange" (3) de 17 ans abattu par un policier,  qui a provoqué des émeutes, des saccages, et un climat de guerre civile dans tout le pays, et même… en Belgique.

    Le bilan de ces journées de quasi-guerre civile a été lourd: des dégradations par centaines, des incendies de voitures et de bâtiments, publics ou privés, pour un montant estimé à 1,7 milliard d’€.

    Voilà où vont nos impôts!

    En France, depuis des années, les choses se passent toujours de la même façon: quand un jeune  issu de l’immigration – généralement "connu des services de police" – est tué, souvent victime de sa propre imprudence, les banlieues s’enflamment et des hordes barbares saccagent tout sur leur passage.

    En revanche, quand c’est un petit Blanc qui est assassiné, lardé au couteau par une racaille, un "malade mental" ou un allogène sous OQTF, pour un regard, un vélo ou un téléphone portable, on pleurniche, on organise des marches blanches, avec des ballons, des fleurs, des peluches et des post-it.

    Sur les plateaux-télé, des sociologues viennent nous dire que la délinquance n’augmente pas et qu’on ne peut pas faire de corrélation entre insécurité et immigration. Et les politiciens – mâles ou femelles – s’inquiètent surtout d’une possible récupération par "l’extrême-drroooaate".

    Depuis la fin des "30 glorieuses" c’est la gauche qui impose sa vision de la France future et, petit à petit, les masques tombent: Jean-Luc Mélenchon vient d’annoncer la couleur; il est favorable au "Grand remplacement" et il le revendique haut et fort.

    Et que fait le camp d’en face, la "droite-cachemire" et même  la droite nationale?

    Soit elle rase les murs, soit elle donne elle aussi dans la repentance honteuse, l’auto-flagellation, le mea-culpa, envers nos anciens colonisés, dans l’espoir – totalement utopique! – de se faire bien voir d’eux.

    Quant à Emmanuel Macron, il continue à caresser la "diversité" dans le sens du poil. Alors que son rôle est de faire respecter l’ordre républicain, il laisse faire les casseurs car ce rôle de pompier-pyromane – diviser pour régner – lui convient bien. Il est vrai qu’il avait annoncé le couleur (sans jeu de mots facile!) lors de la "Fête de la Musique", en 2018, en invitant des invertis allogènes à brailler leur mépris de la France au Palais de l’Elysée.

    Bien que la période des vœux soit passée, je m’autorise à en émettre un: je voudrais que la droite nationaliste, conservatrice, souverainiste, etc… bref MA droite, ait enfin le courage de rendre hommage à quelques Français qui furent de beaux soldats et de grands colonisateurs.

    Des hommes qui, par leur volonté, leur audace, leur hardiesse, leur énergie ont permis que des peuplades africaines ne crèvent plus de faim, qu’elles cessent de s’entre-tuer dans des guerres tribales, ou qu’elles ne soient plus décimées par les maladies tropicales comme la malaria.

    En fait, comme le Français est souvent ignare en histoire, je vais le faire moi-même. Puisse-t-il se dire fier de la grandeur passée de son pays, et oser sans la moindre honte en revendiquer l’héritage!

    Commençons par celui qui donna son nom à la capitale du Tchad – Fort Lamy –  avant qu’elle ne choisisse, en 1973,  de s’appeler N’Djamena pour tirer un trait sur sa période coloniale.

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  • Vaccins: la science au service du totalitarisme

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    Aux États-Unis, Robert Kennedy Jr, critiqué et harcelé par les médias, lutte contre les lobbys puissants qui influencent la santé publique. Il a défié les normes établies lors de la crise du covid et s’est opposé au diktat du gouvernement. Il persiste dans sa bataille contre les géants de l’industrie pharmaceutique.

    En France, le professeur Raout et ses collègues de l’IHU Méditerranée, le professeur Christian Péronne, le médecin anesthésiste-réanimateur Louis Fouché, et combien d’autres, ont été aussi victimes de ce harcèlement médiatique. Ainsi, des scientifiques internationalement reconnus se retrouvent mis au ban de la société.

    Dans ce débat autour des vaccins-injections, la presse et la science font un mariage de convenance. Les médias scientifiques et les médias généralistes subventionnés mènent des campagnes contre les figures dissidentes. Didier Raout affirme: "Ils sont achetés, ils appartiennent aux plus grandes puissances financières du monde".

    Et il rappelle les liens des fonds d’investissement avec les lobbys, sociétés et revues pharmaceutiques. Cette dépendance financière des médias fausse la perception publique et influence les politiques sanitaires. La vérité scientifique est sacrifiée sur l’autel des intérêts financiers et de l’idéologie.

    En ce qui concerne la covid, le résultat des injections est catastrophique: des millions de morts, de blessés et de handicapés.

    Le train du totalitarisme a bien repris sa course effrénée, dans sa version contemporaine. Les totalitarismes ne sont pas des accidents de l’histoire. Ils réalisent la modernité politique occidentale, débarrassée de la morale et du tabou du meurtre, par la célébration fanatique de la science toute-puissante. Hannah Arendt annonçait le retour de la bio-politique nazie sous l’égide d’un mouvement international. Le totalitarisme se développe à nouveau sous nos yeux.

    Le totalitarisme substitue une pseudo-science, le scientisme, à la morale et à la spiritualité, dans le discours sur le corps.

    Une partie de la population est ainsi écartée de l’humanité, via la figure antique de l’Homo sacer, être exclu de la cité, déconsidéré et voué à mourir, condamné à une irréversible mise au ban, prélude à son élimination physique.

    L’appareil judiciaire devient un instrument de persécution et ne protège plus la dignité humaine. Cette situation juridico-politique met au ban des individus privés de leurs droits et rendus à une existence fondée sur la survie. Dans cet univers, toutes les transgressions sont possibles, le meurtre est non seulement toléré et acceptable, mais encouragé au nom d’une légitimité qui s’affranchit de la morale.

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