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histoire - Page 20

  • La pensée critique et la désobéissance, clés de notre émancipation et de notre liberté

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    Avez-vous déjà rencontré des personnes qui suivent aveuglément une idéologie, qui accordent une confiance inébranlable à un leader et qui refusent toute opinion critique ou tout point de vue différent? Ce phénomène est omniprésent aujourd’hui dans les mouvements politiques, les groupes religieux, les médias sociaux et même dans les débats scientifiques. Mais qu’est-ce qui se cache réellement derrière cela? Pour mieux comprendre ce phénomène, il est essentiel d’examiner la théorie de la stupidité développée par le théologien allemand Dietrich Bonhoeffer.

    Dans un monde où le mal est souvent mis en avant comme la plus grande menace, Bonhoeffer a affirmé qu’il existait un danger encore plus grand pour le bien: la stupidité. Selon lui, la stupidité est plus dangereuse que la méchanceté. Pourquoi? Parce qu’elle n’est pas seulement destructrice, mais aussi difficile à reconnaître comme une menace.

    Dietrich Bonhoeffer était un théologien et résistant allemand, arrêté par les nazis en 1943 en raison de son implication présumée dans un complot contre Hitler. Pendant son emprisonnement, il eut le temps de réfléchir à la décadence morale et sociale de son pays. Il se demandait comment tant de gens avaient pu tolérer ou même participer activement aux crimes et injustices du régime. Il en est arrivé à une conclusion troublante: ce n’était pas seulement la méchanceté qui avait conduit à ces atrocités. C’était une forme d’ignorance bien plus insidieuse, une paresse intellectuelle et morale qu’il appelait la stupidité. Une stupidité qui dépasse l’intelligence.

    Bonhoeffer a rapidement compris que la stupidité ne pouvait pas être simplement assimilée à un manque d’intelligence. Ce n’était pas un simple problème intellectuel, mais un phénomène profondément enraciné dans la société et la morale. Ce n’était pas seulement un manque de connaissances, mais un refus délibéré de la pensée critique. Et c’est précisément cela qui rendait la stupidité si dangereuse.

    Bonhoeffer a observé que la stupidité se propageait comme une épidémie dans certaines circonstances et pouvait infecter une grande partie de la société. Mais que signifiait-il exactement par là? Il a découvert que la stupidité n’était pas simplement un manque d’intelligence, mais une absence de réflexion critique, de responsabilité individuelle et de discernement. Les individus qui pensent et agissent de manière indépendante font souvent preuve de plus de clarté et de rationalité. Mais lorsqu’ils sont intégrés à des groupes, en particulier à des mouvements de masse, beaucoup abandonnent leur capacité de jugement personnel et suivent aveuglément la majorité. Cette forme d’inertie intellectuelle est particulièrement courante dans les régimes autoritaires, où la pensée indépendante est réprimée et où le conformisme est récompensé. Bonhoeffer a compris que le pouvoir, qu’il soit politique, religieux ou idéologique, a la capacité d’ancrer la stupidité dans l’esprit des gens.

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  • Le discours de Vance, qui a humilié les dictateurs à migrants de l’UE

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    L’une des choses dont je voulais parler aujourd’hui, c’est bien sûr nos valeurs communes. Et, vous savez, c’est formidable d’être de retour en Allemagne. Comme vous l’avez entendu tout à l’heure, j’étais ici l’année dernière en tant que sénateur des États-Unis. J’ai vu le ministre des Affaires étrangères David Lammy, et j’ai plaisanté en disant que nous avions tous les deux des emplois différents l’année dernière de ceux que nous avons maintenant. Mais il est maintenant temps pour tous nos pays, pour nous tous qui avons eu la chance de se voir confier un pouvoir politique par nos peuples respectifs, de l’utiliser à bon escient pour améliorer leur vie.

    Et je tiens à dire que j’ai eu la chance, au cours de mon séjour ici, de passer un peu de temps en dehors des murs de cette conférence au cours des dernières 24 heures, et j’ai été très impressionné par l’hospitalité des gens, même, bien sûr, alors qu’ils sont encore sous le choc de l’horrible attentat d’hier. Et la première fois que je suis venu à Munich, c’était avec ma femme, en fait, qui est ici avec moi aujourd’hui, pour un voyage personnel. J’ai toujours aimé la ville de Munich et j’ai toujours aimé ses habitants.

    Je tiens simplement à dire que nous sommes très émus et que nos pensées et nos prières vont à Munich et à toutes les personnes touchées par le mal infligé à cette belle communauté. Nous pensons à vous, nous prions pour vous et nous vous soutiendrons certainement dans les jours et les semaines à venir.

    Nous sommes réunis ici, bien sûr, pour discuter de sécurité. Et nous entendons généralement par là les menaces qui pèsent sur notre sécurité extérieure. Je vois de nombreux grands chefs militaires rassemblés ici aujourd’hui. Mais si l’administration Trump est très préoccupée par la sécurité européenne et croit que nous pouvons parvenir à un règlement raisonnable entre la Russie et l’Ukraine, et si nous pensons également qu’il est important que l’Europe prenne des mesures importantes dans les années à venir pour assurer sa propre défense, la menace qui m’inquiète le plus vis-à-vis de l’Europe n’est pas la Russie, ni la Chine, ni aucun autre acteur extérieur. Ce qui m’inquiète, c’est la menace intérieure. Le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales: des valeurs partagées avec les États-Unis d’Amérique.

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  • Nos grands soldats français

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    Image générée par I.A.

    En 2005, la mort accidentelle de Zyed Benna et Bouna Traoré, deux jeunes qui fuyaient la police, nous a valu trois semaines de guérilla urbaine.

    Plus près de nous, en 2023, c’est la mort de Nahel Merzouk, un "petit ange" (3) de 17 ans abattu par un policier,  qui a provoqué des émeutes, des saccages, et un climat de guerre civile dans tout le pays, et même… en Belgique.

    Le bilan de ces journées de quasi-guerre civile a été lourd: des dégradations par centaines, des incendies de voitures et de bâtiments, publics ou privés, pour un montant estimé à 1,7 milliard d’€.

    Voilà où vont nos impôts!

    En France, depuis des années, les choses se passent toujours de la même façon: quand un jeune  issu de l’immigration – généralement "connu des services de police" – est tué, souvent victime de sa propre imprudence, les banlieues s’enflamment et des hordes barbares saccagent tout sur leur passage.

    En revanche, quand c’est un petit Blanc qui est assassiné, lardé au couteau par une racaille, un "malade mental" ou un allogène sous OQTF, pour un regard, un vélo ou un téléphone portable, on pleurniche, on organise des marches blanches, avec des ballons, des fleurs, des peluches et des post-it.

    Sur les plateaux-télé, des sociologues viennent nous dire que la délinquance n’augmente pas et qu’on ne peut pas faire de corrélation entre insécurité et immigration. Et les politiciens – mâles ou femelles – s’inquiètent surtout d’une possible récupération par "l’extrême-drroooaate".

    Depuis la fin des "30 glorieuses" c’est la gauche qui impose sa vision de la France future et, petit à petit, les masques tombent: Jean-Luc Mélenchon vient d’annoncer la couleur; il est favorable au "Grand remplacement" et il le revendique haut et fort.

    Et que fait le camp d’en face, la "droite-cachemire" et même  la droite nationale?

    Soit elle rase les murs, soit elle donne elle aussi dans la repentance honteuse, l’auto-flagellation, le mea-culpa, envers nos anciens colonisés, dans l’espoir – totalement utopique! – de se faire bien voir d’eux.

    Quant à Emmanuel Macron, il continue à caresser la "diversité" dans le sens du poil. Alors que son rôle est de faire respecter l’ordre républicain, il laisse faire les casseurs car ce rôle de pompier-pyromane – diviser pour régner – lui convient bien. Il est vrai qu’il avait annoncé le couleur (sans jeu de mots facile!) lors de la "Fête de la Musique", en 2018, en invitant des invertis allogènes à brailler leur mépris de la France au Palais de l’Elysée.

    Bien que la période des vœux soit passée, je m’autorise à en émettre un: je voudrais que la droite nationaliste, conservatrice, souverainiste, etc… bref MA droite, ait enfin le courage de rendre hommage à quelques Français qui furent de beaux soldats et de grands colonisateurs.

    Des hommes qui, par leur volonté, leur audace, leur hardiesse, leur énergie ont permis que des peuplades africaines ne crèvent plus de faim, qu’elles cessent de s’entre-tuer dans des guerres tribales, ou qu’elles ne soient plus décimées par les maladies tropicales comme la malaria.

    En fait, comme le Français est souvent ignare en histoire, je vais le faire moi-même. Puisse-t-il se dire fier de la grandeur passée de son pays, et oser sans la moindre honte en revendiquer l’héritage!

    Commençons par celui qui donna son nom à la capitale du Tchad – Fort Lamy –  avant qu’elle ne choisisse, en 1973,  de s’appeler N’Djamena pour tirer un trait sur sa période coloniale.

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