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histoire - Page 11

  • La France est malade du cancer idéologique d’une gauche métastasée

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    Diagnostic médical d’une nation malade

    La France, jadis phare du monde libre et modèle de civilisation, souffre aujourd’hui d’un mal insidieux. Ce mal n’est ni économique, ni seulement politique. C’est un cancer idéologique, rampant, profond, qui gangrène les fondements mêmes de notre identité. Un mal qui n’est pas tombé du ciel, mais qui s’est implanté, lentement, patiemment, dans l’esprit de nos concitoyens. Une idéologie de la négation: négation de la patrie, de l’autorité, des racines, de l’ordre, de la hiérarchie. Une idéologie mortifère: la gauche culturelle.

    Ce cancer idéologique ne s’est pas contenté de contaminer la surface, il s’est infiltré dans les tissus les plus vitaux de notre société. Éducation, culture, médias, justice, administration: aucun organe n’a été épargné. La République, comme un patient à l’agonie, observe impuissante la montée de ses fièvres, entre désintégration identitaire et abandon de souveraineté.

    MÉTASTASE IDÉOLOGIQUE — QUAND LA GAUCHE S’INFILTRE PAR LA CULTURE

    Tout commence avec la Révolution culturelle des années 60-70. À la faveur des utopies de Mai 68, les bastions intellectuels de la nation tombent les uns après les autres. L’université devient laboratoire idéologique, les écoles des foyers de déconstruction. On n’apprend plus à aimer la France, on apprend à la déconstruire. L’histoire est réécrite sous l’angle de la culpabilité. La culture classique cède le pas aux "études de genr ", aux"  "post-colonialismes", aux "théories critiques" venues d’outre-Atlantique.

    L’idéologie gauchiste devient virale. Elle colonise les écrans, les plateaux de télévision, les manuels scolaires. On ne parle plus de mérite, mais d’égalitarisme; plus de nation, mais de société multiculturelle; plus de devoirs, mais de droits infinis. Telle une métastase, cette idéologie s’est diffusée sans résistance, dévitalisant toute notion de frontière, d’autorité, de sacré.

    La culture populaire elle-même devient véhicule de propagande: rap haineux, films culpabilisateurs, théâtre militant… Jusqu’à l’Éducation nationale, sanctuaire jadis républicain, qui devient bras armé d’un endoctrinement subtil mais implacable.

    PRISE DE CONSCIENCE DES ÉLITES FACE AU STADE TERMINAL

    Le réveil est brutal. Devant la montée de l’insécurité, l’explosion des communautarismes, la défiance vis-à-vis de la police et des institutions, certains politiques comprennent tardivement que le mal est profond. Mais beaucoup continuent de nier. Ceux qui osent alerter sont aussitôt traités de "réactionnaires",  populistes", voire  fascistes". Les élites intellectuelles, trop compromises, trop lâches ou trop idéologiquement corrompues, préfèrent détourner le regard.

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  • BRAVO!

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    Larcenac Saint-Vincent (43): une famille catholique installe un grand calvaire sur son terrain et suscite l’engouement…

    Des opposants, furieux que le projet ait pu aboutir, plantent un arbre au nom de la laïcité

    Évoquée depuis un peu plus d’un an, l’installation d’une croix sur un terrain privé au village de Larcenac à Saint-Vincent, a eu lieu en ce jeudi de l’Ascension. La cérémonie s’est déroulée en fin d’après-midi sur un terrain privé en bordure d’un chemin, à 300 mètres en contrebas du GR 765, le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Environ 250 personnes étaient réunies, dont de très nombreux scouts d’Europe qui participent à un grand rassemblement en Haute-Loire sur ce week-end de l’Ascension. La croix, d’une hauteur de 5 mètres, installée avec un engin télescopique, a été bénie par monseigneur Yves Baumgarten, évêque du Puy, invité par Mathieu et Séréna Bourdilleau, le couple à l’initiative de ce projet d’ériger un calvaire sur la commune. Ils avaient lancé une cagnotte en ligne qui avait été bien suivie et avait permis de financer l’achat de la croix auprès de l’association SOS Calvaires. (…)

    La Montagne

     

    Pour répondre "à ce prosélytisme", ils ont décidé de planter un arbre de la laïcité, un saule crevette. "Le maire nous l’a interdit, mais nous le faisons quand même. Le principe de laïcité, c’est le respect de chacun et pas d’imposer une religion. Là, avec une croix qui fait plus de 5 mètres de haut, qu’on voit de partout, on nous impose une religion!", expliquent-ils.

    Le Progrès

     

    Pendant que les louanges sont chantées autour du calvaire, c’est une autre ambiance qui anime le côté des opposants. La quarantaine de riverains tiennent leur position devant une banderole sur laquelle est inscrit “Ni calvaire, ni Abbé Pierre, ni Betharram”.

    Jean-Marie Bayard, porte-parole du collectif de riverains, pointe quant à lui “le manque de réaction des officiels, à savoir du maire, du préfet et même de l’évêque face à une opération de prosélytisme évident qui écorne la laïcité et entache le vivre-ensemble du village”. Il dit regretter une certaine lâcheté des “autorités administratives qui se cachent les yeux en arguant du fait qu’il s’agit d’un terrain privé et qu’elles ne peuvent rien faire”.

    Pour rebondir sur ces propos énoncé à l’occasion d’un discours sur les lieux, un riverain lance: “on pourrait se demander quelle aurait été leur réaction si un musulman avait voulu construire un minaret dans son jardin!” (…)

     

    Zoom d’ici

    "On ne veut pas de calvaire à Saint-Vincent", résumait quant à lui Philippe Delaigue, du collectif, avant d’aller planter l’arbre de la laïcité sur le terrain devant la maison d’assemblée du village.

    "Il est chez lui, il fait ce qu’il veut", constatait Jean-Marie Bayard, membre du collectif. Il soulevait l’inquiétude d’habitants face à l’organisation "de séminaires avec des scouts et des pèlerins" et reprochait au propriétaire "ses propos sur l’évangélisation de l’Emblavez". (…)

    Jeudi soir, une douzaine de gendarmes de la compagnie du Puy-en-Velay étaient présents sur Larcenac pour assurer la sécurité et éviter d’éventuelles tensions. (…)

    L’Éveil

  • Déclin des performances scolaires et responsabilité des pédagogues

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    D’après The Epoch Times, et Breizh-Info, les performances scolaires déclinent malgré une dépense accrue au profit de l’Education nationale: 55 milliards d’euros en 2022, contre 46 milliards en 2013. La dépense par élève est passée de 6 470 euros à 7 920 euros. La Cour des comptes estime que le fonctionnement de l’école primaire est " en décalage avec les besoins de l’élève". L’école primaire française accuse un retard préoccupant en matière d’efficacité et d’équité.

    Dans le même temps, le nombre d’élèves a diminué de 6,6%. Des réformes et un discours ministériel ont martelé la priorité au primaire. Le taux d’encadrement a légèrement augmenté. Des milliards ont été injectés dans les dispositifs d’aide individualisée, ou de dédoublement de classe.

    "En dépit d’une augmentation constante ces dix dernières années de la dépense consacrée à l’école primaire (maternelle et élémentaire), le niveau des élèves a suivi une tendance inverse".

    Les résultats des élèves ne se sont pas améliorés. Selon les enquêtes internationales, les élèves français restent à la traîne dans les compétences fondamentales: lecture, mathématiques, compréhension de texte. Les élèves lisent de plus en plus mal. Les fondamentaux ne sont plus acquis en fin de primaire.

    Le redoublement a chuté, en raison des consignes administratives. Les élèves issus des niveaux les plus modestes restent les plus exposés à l’échec scolaire.

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