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histoire - Page 9

  • Réflexions historiques sur les profanations

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    Nous apprenions récemment que les djihadistes au pouvoir en Syrie, dont le chef a été reçu à l’Élysée, ont profané et incendié le mausolée du président Hafez el-Assad.

    L’exemple vient de loin dans l’Histoire. Les racailles révolutionnaires avaient profané les tombeaux de nos rois à Saint-Denis. Plus près de nous, des tombes de Pieds-noirs avaient été honteusement vidées en Algérie, pays ou les tombes de nos marins morts à Mers-el-Kébir avaient été vandalisées, puis reconstruites aux frais de notre ministère de la Défense avec interdiction d’y élever à nouveau des croix chrétiennes. Pendant la présidence de Mitterrand, on avait profané le cimetière juif de Carpentras (Vaucluse) et accusé faussement le Front national.

    Au temps de Hollande, les tombes de nos Poilus, à Verdun, ont été piétinées lors de danses ridicules faites par des jeunes au prétexte de les honorer. Hollande est un sombre crétin, mais la jeunesse n’excuse pas tout. Les socialistes espagnols, à défaut de briller politiquement, ont déterré le général Franco et aussi Primo de Rivera, qui n’était pourtant pas franquiste, n’ayant pas eu le temps d’en décider. La russophobie à la mode actuelle remet en cause l’existence même, en divers endroits et pays, de cimetières où reposent des dizaines de milliers de soldats soviétiques morts pour libérer l’Europe du nazisme.

    Dans les Cévennes, le monument à la mémoire des victimes de l’accident d’avion du général Huntzinger * est laissé volontairement en état de dégradation avancée. Près de chez moi, sur la commune d’Avèze (Gard) un cimetière belge de la Première Guerre mondiale, avec son monument, sont à l’abandon.

    Ma proposition d’y faire quelques travaux à titre entièrement gratuit est restée sans réponse de la municipalité. Au Vigan, la stèle du Chef Marceau**, après avoir été longtemps négligée sous des étals de marché, a été déplacée dans le parc du monument aux Morts, lequel est fermé la plupart du temps. La tombe d’un résistant qui était de ma famille et celles de plusieurs de ses camarades morts à la Bataille de la Forêt *** reste sans entretien. Épisodiquement, on apprend que tel ou tel cimetière ou monument aux Morts a été profané. Dans la plupart des cimetières un peu anciens, on voit des tombes à l’abandon où il arrive que la municipalité appose un avis de recherche pour contacter la famille en vue d’un choix de continuité.

    Cette dernière observation est sans doute inévitable avec le temps, la dispersion ou la disparition des familles. Mais tout ce qui précède prouve que depuis longtemps le respect dû aux morts s’est considérablement dégradé. Il n’y a plus de sanctuaires, la considération du sacré (religieux ou non) n’est plus dans l’air du temps, et l’exemple vient de haut comme cité précédemment. Lorsque je vais dans un cimetière, il arrive que j’arrange quelques choses sur des tombes de gens inconnus. Je me dis que j’apprécierais que d’autres en fassent autant pour mes ancêtres dont les tombes sont fort loin de chez moi. Aussi ai-je décidé de ne rien laisser.

    Notez ce qu’il faudrait qu’il advint de mon corps – lorsque mon âme et lui ne seront plus d’accord – que sur un seul point la rupture chantait Georges Brassens dans Supplique pour être enterré à la plage de Sète. Pour moi ce sera incinération et dispersion à un endroit que j’ai choisi et indiqué à mes proches. Ainsi personne n’aura le souci d’entretenir ma tombe et nul ne viendra la profaner.

    Notons que toutes les profanations sus-citées ont été le fait d’islamistes inspirés par un chamelier du VIIe siècle, de révolutionnaires issus des Lumières obscures mères de toutes les révolutions leur ayant succédé, de gauchistes adeptes des fondateurs du communisme aux dizaines de millions de morts, qui ont dégradé la spiritualité, les traditions et les principes millénaires grâce auxquels les humains avaient vécu jusqu’à leurs avènements. Les gardiens de la Tradition, appelés extrême-droite par les gauchistes et les simples d’esprit, ont justement conservé le sens du sacré. Une bonne raison de plus pour persister à maintenir et défendre notre civilisation, afin de léguer à nos descendants une continuité spirituelle en plus qu’une morale, le sens du Bien commun et la prospérité matérielle permettant l’épanouissement de l’Humain.

    Daniel Pollett

  • Vers une théocratie collectiviste

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    L’Histoire est autre chose que la résultante des forces aveugles des forces économiques. Quiconque se penche sur les documents et sur les faits peut découvrir au cœur des événements la présence des Fils de la Veuve.

    Au XIXe siècle, les figures de proue du mouvement socialiste étaient en majorité des maçons.

    En 1920, lors du congrès de Tours, les délégués votèrent pour la double appartenance par 1505 voix contre 3.

    Le marxisme n’est qu’un démarquage habile de la doctrine initiatique, à l’usage des profanes.

    Sa nature véritable n’échappe pas à certains responsables des années 1920, comme le prouve l’attitude donnée à la dépouille mortelle de Lénine, figée à l’ordre d’apprenti, dans son mausolée de la Place Rouge.

    Le nazisme tire son origine du même type de culte.

    Les partis socio-démocrates issus de la Révolution bourgeoise cherchent leurs mots d’ordre dans les loges.

    Les images cryptées des monuments publics nous rappellent que la République " laïque " est bel et bien un gouvernement sacral, sacro-saint, tels les trois ouroboros de la Cour carrée du Louvre (objets représentant un serpent ou un dragon qui se mord la queue).

    Une fois décodé le langage de ses symboles, la révolution apparaît pour ce qu’elle est: un mouvement millénariste inspiré par la gnose naturaliste.

    Son objectif: ramener l’âge d’or, c’est-à-dire la civilisation antérieure au Déluge, en réhabilitant le " dieu de la science ", symbolisé par le serpent.

    Selon la légende de l’âge d’or, au commencement de l’humanité, il y avait une " race d’or ". C’était au temps où Kronos vivait au ciel. Kronos, un Titan, fils d’Ouranos, le Ciel, et de Gaïa, la Terre. Les hommes vivaient alors comme des dieux, libres de souci, à l’abri des peines et de la misère. Ils ne connaissaient pas la vieillesse, mais passaient leur temps, toujours jeunes, dans les festins et les fêtes. Lorsque le moment était venu de mourir, ils s’endormaient doucement.

    Et ils n’étaient pas soumis à la loi du travail. Tous les biens leur appartenaient spontanément. Le sol produisait de lui-même une récolte abondante, et eux, au milieu des champs, vivaient en paix.

    Saturne, très ancien dieu italique, a été identifié à Kronos. Il passait pour être venu de Grèce en Italie, en des temps très anciens. Jupiter le détrôna et le précipita du haut de l’Olympe.

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  • L'histoire de France falsifiée: la vérité

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    Le spectacle historique "Murmures de la Cité " doit avoir lieu, malgré la CGT et la gauche

    Les 11, 12, et 13 juillet 2025, à Moulins, dans l’Allier, divers organismes présenteront un spectacle historique retraçant 2 000 ans d’histoire, à travers des tableaux vivants et des costumes d’époque. Un divertissement populaire intitulé " Murmures de la Cité", un projet qui s’inspire du Puy du Fou.

    L’Union Départementale CGT de l’Allier, donc la gauche, sonne l’alerte. Une opération politique de grande ampleur se prépare, une opération d’entrisme idéologique menée par des réseaux d’extrême droite. Une machine à nostalgie réactionnaire où l’Histoire est réécrite au service d’un récit nationaliste, patriarcal et clérical. Un imaginaire idéologique où les rapports sociaux sont gommés, où les luttes ouvrières sont invisibilisées, où la domination masculine, religieuse catholique intégriste, réactionnaire et identitaire devient "tradition".

    Murmures de la Cité, c’est la culture comme outil de conditionnement. C’est la diffusion douce d’un discours politique fondé sur le rejet de l’autre, le retour à un ordre moral autoritaire, et le culte d’une France fantasmée.

    L’objectif est clair: faire du Bourbonnais un laboratoire culturel d’embrigadement. La fachosphère s’agite en ligne pour défendre bec et ongles cette opération. Ils appellent les " patriotes " à venir défendre leur spectacle. Qu’ils viennent. Nous serons là. Et nous ne reculerons pas.

    La CGT défend une culture populaire, critique, vivante. Une culture qui éclaire, qui libère, qui construit l’émancipation. Pas une culture de vitrines, pas une Histoire maquillée à la sauce identitaire.

    En résumé, la restitution du passé, le récit de l’Histoire de France, le patriotisme, deviennent des délits, voire des crimes, et sont interdits. La gauche se réserve le droit d’affronter physiquement et les promoteurs du spectacle historique et les spectateurs.

    Pourtant, l’histoire gauchiste, l’histoire officielle n’est pas une science, mais un instrument de propagande. Les erreurs qu’elle propage sont des mensonges culturels commis en conscience.

    L’histoire officielle est un mensonge généralisé. Tout ce qui est dit aujourd’hui est trompeur, à commencer par l’emploi d’un vocabulaire qui désigne en général l’inverse de ce qu’il est censé signifier. Le vocabulaire moderne est une inversion généralisée.

    La propagande maçonnique porte le nom d’Histoire. Les cerveaux ont été décervelés par la faute des loges. Et le contemporain croit en l’histoire officielle et refoule l’histoire non conformiste.

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