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histoire - Page 12

  • L’immigration est au cœur du projet mondialiste

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    Dans une entrevue télévisée, le Premier ministre François Bayrou, évoquait un "sentiment de submersion" du peuple français. Je me suis posé la question de savoir s’il allait ou non évoquer les causes de ces mouvements migratoires, mais il est resté sur le constat.  Pourtant, le sujet est essentiel, mais il n’est jamais abordé au fond.

    UNE ANALYSE HISTORIQUE S’IMPOSE

    L’universalisme sur la Terre est une idée très ancienne. Sans parler de Platon, l’un des premiers ouvrages décrivant cette vision uniformisée du monde est probablement le livre "Utopia" écrit par Thomas More en 1516. La chronologie des événements montre que les premiers voyages de découverte de notre planète ont commencé à la fin du XVe siècle et les récits des grands navigateurs faisaient état de nombreuses peuplades qui habitaient les nouveaux territoires.

     Une intéressante étude d’Utopia signée par Hervé Guettard et intitulée "Une utopie d’aujourd’hui: le rêve d’un droit mondial" publiée en 2003 fait entrer de plein pied l’ouvrage dans l’actualité.

    On y trouve notamment ce passage: "En ce qui concerne l’exécutif", "la création d’un pouvoir exécutif mondial" s’impose pour résister à l’emprise des "nouveaux pouvoirs": multinationales financières et économiques, bio-pouvoirs, réseaux sans frontière de l’information et de l’informatique. Elle pourra s’inspirer, à l’échelle européenne, du fonctionnement de la Commission de Bruxelles ou, à l’échelon mondial, de certains organes dits "intégrés" de l’ONU (Secrétaire général, experts indépendants, organe de contrôle). En matière législative, la démocratie mondiale doit tendre à "un modèle d’organisation dans lequel les citoyens, où qu’ils se trouvent dans le monde, ont une voix, un accès et une représentation dans les affaires internationales de façon parallèle et indépendante par rapport à leurs propres gouvernements [12]".

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  • IMPENSABLE! PROTÉGEZ VOS JEUNES FILLES PRE ET ADOLESCENTES

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    … et les jeunes garçons aussi

     

    Plus de 10000 mineures sont exploitées dans des réseaux de prostitution en France,

    des chiffres 10 fois supérieurs à ceux de 2015. Une victime et des mères témoignent.

    Elle a fini par être retrouvée au bout de six jours, à 500 kilomètres de chez elle, dans un état second. Lilou, 16 ans, a disparu le 23 octobre 2024 de Metz, alors qu’elle devait aller faire une course au pressing dans le cadre d’un stage. Après une énorme mobilisation de sa mère sur les réseaux sociaux, l’adolescente a réapparu le 29 octobre dans un train en gare de Voiron (Isère).

    “Saine et sauve” comme le veut la formule. Mais la mise en examen pour proxénétisme aggravé d’un homme, quelques jours plus tard, laisse imaginer ce qu’il s’est passé.

    Ce mardi après-midi-là, Lilou, 16 ans, marche une demi-heure, hagarde, avant de comprendre où elle se trouve. “Gare de Grenoble”. Elle monte dans le premier train, sans billet et sans connaître sa destination. Elle espère se faire arrêter par des contrôleurs qui la conduiront à la police. Le train entame son voyage, Lilou est dans un état second, encore en partie sous l’effet de la drogue.

    Une dame, intriguée, vient la voir. Et la reconnaît. Car le visage de Lilou est partout sur les réseaux sociaux depuis six jours, depuis que sa mère a lancé un appel à témoins après la disparition de sa fille. La passagère appelle la mère de l’adolescente, reste avec elle, puis descend en gare de Voiron pour aller chercher des policiers.

    LES MAINS ATTACHEES, SOUS L’EMPRISE DE LA DROGUE

    Et aux enquêteurs, Lilou a beaucoup de choses à dire, mélange d’images précises, de souvenirs flous et de trous noirs. L’adolescente explique s’être fait enlever par deux automobilistes à qui elle a demandé son chemin alors qu’elle s’était perdue en périphérie de Metz après s’être trompée de bus. Un homme l’attrape, ferme la porte.

    “’étais tétanisée, je ne savais pas quoi faire“. Puis la jeune fille est droguée, “des bonbonnes de protoxyde d’azote” détaille-t-elle. Le voyage dure cinq heures, l’équipage arrive dans un appartement de location de courte durée.

    Lilou reste enfermée pendant que les deux hommes vont acheter “de la lingerie, du maquillage, des habits“. Ils lui coupent les cheveux, les teignent en noir, puis font des photos pour mettre une annonce en ligne. “Ensuite, il y avait des appels, ils répondaient par message, donnaient les tarifs, et ensuite les gens venaient.“

    Les gens, ce sont des clients de tous âges. Difficile d’imaginer qu’ils ne comprennent pas que Lilou n’est pas consentante : “Non seulement j’étais paralysée à cause de la consommation de protoxyde d’azote, d’alcool. Mais j’avais aussi les mains attachées et je ne pouvais rien faire, pas les repousser“.

    Et pas un client ne semble gêné: “Personne ne me demande si ça va, n’essaye de me détacher, ne me demande mon âge. Ils faisaient ce qu’ils avaient à faire, dit-elle pudiquement, et ils partaient“.

    Mais au bout de quelques jours, les proxénètes voient sur les réseaux sociaux le visage de Lilou, et leur description. Car la mère de la jeune fille est en train de remuer ciel et terre. Ils la jettent dehors en sous-vêtements avec un sac, la menacent de représailles si elle parle et lui disent de partir. Quelques heures plus tard, Lilou retrouvera sa mère.

    L’ENQUETE PARALLELE

    Quand Pauline arrive au commissariat de Metz pour signaler la disparition de sa fille le 23 octobre, elle sait que quelque chose de grave est en cours: “Je le sentais dans mon ventre“. Mais les policiers lui conseillent de signer une déclaration de fugue. En rentrant chez elle, la mère de famille décide de mener elle-même son enquête.

    Elle prend l’ordinateur de Lilou, et fouille ses comptes Snpachat, Tiktok: “On a tout piraté!“. Elle envoie des messages aux contacts des comptes de sa fille, puis aux contacts de ses contacts. Elle tente de localiser le téléphone et repère où sont les caméras de vidéo-surveillance sur une ébauche de trajet que Lilou aurait emprunté.

    “Chez moi, c’était rempli de papiers avec des itinéraires et des chronométrages“. Pauline obtient vite un premier témoignage qui lui donne la description d’un homme et d’une voiture. Elle publie les résultats de ses recherches sur Facebook. “Ce qui est exceptionnel dans ce dossier, c’est la mobilisation de la mère de Lilou par les réseaux sociaux et l’emballement médiatique qui a suivi“, souligne une source judiciaire.

    Car selon le témoignage de l’adolescente, c’est bien la très forte présence des messages de recherche sur les réseaux sociaux qui a déterminé sa libération.

    Parmi les anonymes qui ont contacté Pauline, il y a Patricia. Chez elle, l’histoire de Lilou résonne particulièrement fort. Parce que sa fille de 15 ans, originaire de la même région, est elle aussi tombée dans un réseau de prostitution quelques semaines plus tôt. Parce que Patricia a elle aussi mené sa propre enquête pour l’en sortir. Audrey (le prénom a été changé) pensait partir quelques jours avec une vague connaissance pour aller prendre du bon temps à Paris.

    Mais une fois sur place, c’est la douche froide. Son “amie” est en fait une rabatteuse. Et Audrey se retrouve elle aussi droguée, prise en photo pour des annonces, et prostituée par un petit réseau.

    UN PROXENETE QUI GERE SON RESEAU DEPUIS SA CELLULE DE PRISON

    Ce réseau est dirigé, selon le récit d’Audrey, par un homme qui est actuellement en prison, condamné à six ans pour proxénétisme. Il donne ses consignes depuis sa cellule par téléphone, en visio; et menace la jeune fille de représailles, et de violences contre sa famille, si elle ne s’exécute pas. L’adolescente est surveillée par un jeune homme et par la rabatteuse. Durant les deux à trois semaines de prostitution, elle est trimballée d’un Airbnb à un autre en région parisienne.

    Le nom de la rabatteuse apparaît d’un coup dans certains commentaires sous les messages liés à la disparition de Lilou. “Ça a fait tilt, je me suis dit qu’elle avait recommencé, et que la fille de cette dame allait passer là où était passée ma fille“. Patricia contacte Pauline, et la soutient dans les jours qui suivent, même si la piste de cette rabatteuse semble s’être éteinte dans le dossier de Lilou.

    Car la mère d’Audrey s’est elle aussi sentie bien seule durant la disparition de sa fille, incomprise par les policiers.

    DES PHOTOS ENVOYEES AUX HOTELS, ET UNE RABATTEUSE PISTEE SUR SNAPCHAT

    Alors pendant des jours et des nuits, elle a arpenté les réseaux sociaux, à la recherche de toutes les pistes possibles. Elle demande à son opérateur de téléphonie de lui fournir la liste des appels de la ligne de portable de sa fille, passe des coups de fil, et comprend qu’elle est à Paris. Elle appelle tous les hôtels qu’elle peut, leur envoie la photo d’Audrey pour savoir si elle est passée par là.

    Patricia finit par retrouver la trace de la rabatteuse, et, aidée de ses enfants, la contacte, tente de la piéger. Puis la menace. Audrey est finalement “déposée” dans un poste de police. L’adolescente explique qu’elle a été prostituée de force par le jeune homme qui l’a amenée. “Les policiers se sont mis à rire” soupire-t-elle. Sa mère saute dans une voiture et vient la chercher.

    Aujourd’hui, comme Lilou, Audrey a beaucoup de mal à dormir, hantée par ses souvenirs. Elle non plus n’est toujours pas retournée à l’école. Elle a déposé plainte mais son dossier est pour l’instant au point mort.

    Dans l’affaire de Lilou, un homme de 24 ans – condamné en 2020 pour des faits de vol et recel de vol – est en détention provisoire, mis en examen pour proxénétisme aggravé. Des clients pourraient être prochainement poursuivis pénalement selon le parquet de Grenoble (où l’enquête est dirigée).

    Depuis 2015, le nombre d’enquêtes menées par l’OCRTEH (Office central de lutte contre la traite des êtres humains) pour prostitution de mineurs a été multiplié par dix.

    Mais le nouveau visage de cette prostitution, qui s’organise en ligne, de façon plus invisible, avec des victimes déplacées très fréquemment d’une location courte durée à une autre, rend les investigations difficiles.

    Le Zoom de France Inter

    Plus de 10000 mineures sont exploitées dans des réseaux de prostitution en France, des chiffres 10 fois supérieurs à ceux de 2015. Une victime et des mères témoignent.

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  • Milei dénonce le wokisme,

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    moteur de la destruction de l’Occident chrétien

    Lors du Forum économique de Davos de Janvier 2025, Javier Milei, président argentin, a tenu un discours contre le wokisme, qu’il a qualifié de "cancer" et de "virus mental", et a appelé à l’éradication de cette idéologie des institutions.

    "Ce Forum défend les hommes qui s’habillent en femmes même s’ils abusent de mineurs".

    Selon l’idéologie woke, l’histoire des pays occidentaux se confond avec l’esclavagisme, le racisme, le colonialisme, le sexisme et l’homophobie. Il faut donc la déconstruire pour que triomphe pleinement l’égalité. L’idéologie woke prétend se faire l’avocate des minorités, principalement sexuelles, raciales et ethniques, qui seraient opprimées par la majorité blanche, hétérosexuelle et patriarcale.

    A l’origine, ce mouvement né sur les campus américains visait à promouvoir la vigilance face à des actes jugés discriminants à l’égard de groupes minoritaires. Woke signifie "éveillé" en anglais. Au fil du temps, le mouvement woke s’est mué en un lobby puissant qui poursuit ceux qu’il juge racistes, homophobes, transphobes, islamophobes, grossophobes, spécistes.

    Cette idéologie est à l’origine de mouvements sociaux relayés par les médias, tels que Les Marches pour le climat, ou le mouvement Black Lives Matter.

    En France, le wokisme a pour égérie Assa Traoré, soeur d’Adama Traoré, délinquant décédé lors d’une interpellation policière. Les militants woke, activistes illuminés et étudiants attardés, s’en prennent à nos statues, à notre langue, qu’ils veulent inclusive, à notre gastronomie "outil de l’identité raciale dominante".

    L’idéologie woke se diffuse à travers tout le corps social: suppression du sapin de Noël, interdiction des crèches de Noël, écriture inclusive dans les documents administratifs, garçons transgenres dans les douches des filles, dans les compétitions sportives féminines …

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