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  • Légitime défense du peuple français

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    La France va être bloquée un peu plus que d’habitude.  Les organisation CGT, la CFDT, FO, la CFE-CGC, la CFTC, l’Unsa, la FSU et l’union syndicale Solidaires appellent à bloquer la France davantage, le 10 septembre.  Elles s’élèvent contre la  "brutalité sans nom , injuste et inefficace", du plan Bayrou.

    La France, avec 3 300 milliards de dettes, engagée vers plus de 4 000 milliards à la fin de la Macronie, n’a pas encore assez dépensé, selon les " dépenseurs " syndicalisés.

    Voilà 40 ans que ces partageux exigent toujours plus de partage, de fraternité et d’égalité avec la migration. Ils veulent continuer à islamiser la France généreuse.

    Co-responsables de la quasi-faillite de la France, en ayant voté pour tous les gouvernements de gauche et de droite, pour faire barrage aux partis anti-immigration, ils doivent aujourd’hui assumer et accepter de perdre des avantages acquis et des aides innombrables incontrôlées.

    En 40 ans ce sont des centaines de milliards qui ont été ponctionnés sur le travail de ces syndiqués, volontaires pour se faire déplumer.

    En 40 ans ce sont aussi des centaines de milliards ponctionnés, sur les entreprises, qui ont manqué aux investissements. Les investissements nécessaires au progrès social n’ont pas été faits et aujourd’hui la France désindustrialisée est en queue des pays européens, vingt-quatrième sur 27.

    Son déficit commercial se révèle le plus élevé des 27 pays européens, 81 milliards d’euros pour la seule année 2024. Il tranche radicalement avec celui de l’Allemagne, positif de 187 milliards. La part de l’emploi industriel n’a jamais été aussi faible en France, de l’ordre de 11% à comparer aux 22% de l’Europe .

    https://www.tf1info.fr/economie/verif-l-industrie-francaise-est-elle-aujourd-hui-la-plus-faible-au-niveau-europeen-comme-l-affirme-sophie-binet-cgt-2333969.html

    Aujourd’hui des journalistes ayant retrouvé la vue déclarent la France proche de l’économie grecque et menacée de mise sous tutelle du FMI. Tout autant effarés par notre insécurité et les trafics de drogue,  ils annoncent que la France est proche d’une situation à la mexicaine.

    Subitement tous semblent découvrir la réalité. Cette réalité, ils la connaissaient depuis longtemps mais la cachait pour  "ne pas faire le jeu de l’extrême droite".

    Mercredi, j’ai encore entendu ça, de la part des gauchos de LCI. Leur monde s’écroule dans l’explosion des mortiers et la fureur du vivre-ensemble.

    Nous ne manquons pas de chaînes d’informations. Mercredi, sur la 16, un journaliste sorti de l’école du journalisme a posé une question intelligente à un expert en contrôle des investissements de l’étranger:  "c’est quoi l’étranger?" Le spécialiste lui a répondu: "est étranger ce qui n’est pas français".  Véridique. Me voilà moins con, instruit par la télé poubelle.

    Le 10 septembre, attendez-vous à n’avoir que CNews à regarder, toutes les autres chaînes aux mains de la gauche et de ces syndicats vont arrêter de désinformer en bloquant les machines à mensonges.

    Ne rêvez pas, les journalistes de la presse écrite ou de la télévision seront encore là. Il n’est pas question d’abandonner l’écran à la bête immonde. Tous partisans de l’immigration, ils veulent continuer leur travail de sape de la France.

    Dans mon dernier article je disais que Macron, l’immigrationniste, était passible de la peine de mort pour haute trahison et intelligence avec l’ennemi. Tous les syndicats, journalistes et politiques coresponsables des crimes contre les Français devront rendre des comptes. L’immigration nous a déclaré la guerre, toutes les nuits un grand nombre de villes sont révolutionnées par des émeutes où  policiers et pompiers attaqués sont en danger de mort.

    Nous avons un devoir de défense de la France et des Français. Il est temps d’agir.

    Nous sommes en situation de légitime défense pour protéger la France et les Français.

    La légitime défense, est l’instinct de survie.

    La légitime défense d’un peuple est un droit absolu, dû aux générations passées et futures.

    La légitime défense est l’autorisation donnée par la loi de se défendre, de protéger quelqu’un ou un bien, lors d’une attaque.

    Pour que la légitime défense existe, les 5 conditions suivantes doivent être réunies:

    – L’attaque doit être injustifiée, c’est-à-dire sans motif valable

    – La défense doit se faire pour soi ou pour une autre personne

    – La défense doit être immédiate

    – La défense doit être nécessaire à sa protection, c’est-à-dire que la seule solution est la riposte

    – La défense doit être proportionnelle, c’est-à-dire égale à la gravité de l’attaque.

    Après la victoire du PSG en ligue des champions, la France a été attaquée. Des émeutes, heurts, pillages, dégradations, injustifiés, ont duré toute la nuit. Dans Paris et de nombreuses villes, la police inférieure en nombre n’a pu maintenir l’ordre. Avec des ordres implacables pour maintenir l’ordre quoi qu’il en coûte, la racaille fasciste créolisée aurait été vaincue. Des ordres d’écraser la rébellion auraient dû être donnés par un ministre de l’Intérieur courageux, qui se déclare souvent défenseur de la République. Parole, parole, encore des mots, toujours des mots…

    La défense devant être immédiate et proportionnelle à la gravité de l’attaque, l’armée aurait dû participer à la riposte, car ce sont des dizaines de milliers d’émeutiers qui ont attaqué la France.

    Même avec l’armée, les forces de l’ordre auraient été en infériorité numérique. Tôt ou tard ces forces seront dans l’obligation légitime d’utiliser leurs armes.

    Mais si elles n’en reçoivent pas l’ordre, devant le danger insurrectionnel des fascistes de l’immigration, le peuple en légitime défense aura l’obligation légitime de se défendre.

    Daniel Faguet

     

  • Monnaie numérique?

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    Qu’en serait-il si la monnaie devenait intégralement dématérialisée? Dans la zone euro, un travail exploratoire pour le développement d’un euro numérique a été lancé en juillet 2021. TROIS ANS ÂPRES, OU EN EST-ON?

    La BCE a publié le 24 juin dernier son premier rapport sur le travail préparatoire. On y lit de larges développements sur le design technique d’une solution de paiement "hors ligne" qui vise à répondre à la principale inquiétude des législateurs et des banquiers centraux: la protection des données personnelles. Contrairement au cash, qui circule de mains en mains, une monnaie numérique repose sur une infrastructure où chaque transaction génère des traces: lieu, date, horaire, montant, destinataire…

    Les "données de l’argent numérique", qui n’étaient jusqu’alors accessibles qu’aux banques et aux acteurs traditionnels du paiement par carte, pourraient le devenir pour la BCE, émettrice d’un euro numérique et éditrice d’une application de paiement. Christine Lagarde, présidente de la BCE, a son avis sur la question:

        "Il est certainement préférable de confier cette tâche à un euro numérique placé sous le contrôle de la BCE, qui n’a aucun intérêt à exploiter les données, plutôt que de la confier à un opérateur privé qui aurait certainement un intérêt direct à exploiter également les données".

    Certains pourraient néanmoins craindre de voir leurs données tomber sous le giron d’une institution publique. La peur d’être " tracé " justifie encore, pour beaucoup, l’usage du cash plutôt qu’une carte bancaire ou une application de paiement. La BCE devra être en mesure de rassurer tous ceux qui voient en elle un nouveau "Big Brother" en démontrant de sa capacité à garantir la confidentialité des données. Dans certains pays, comme en Chine, les utilisateurs préfèrent utiliser des moyens de paiement privés comme Alipay, WeChat Wallet ou QQ Wallet plutôt que le e-yuan de la Banque Populaire de Chine, par crainte d’un contrôle sociétal à partir de cette monnaie numérique.

    SÉCURISER LES TRANSACTIONS

    La confiance dans une monnaie passe avant tout par son acceptabilité dans l’échange, elle est souvent le résultat d’un phénomène de mimétisme: "Parce que les autres utilisent l’euro, je l’utilise aussi". C’est ce que la théorie économique institutionnaliste appelle la confiance méthodique.

    France 24 2023.

    Pour être acceptée, la monnaie doit être sécurisée et non falsifiable afin de garantir la pérennité de sa valeur. Une condition sine qua non du succès d’un euro numérique repose sur la maîtrise de tous les risques cyber. Toute attaque qui réussirait pourrait provoquer une perte de crédibilité de la banque centrale dans sa capacité à défendre sa monnaie. Comment réagiriez-vous si votre compte en banque pouvait être aisément craqué? Vous changeriez de banque sans aucun doute. Mais si c’est la BCE, la banque des banques, qui est attaquée, impossible de changer! La perte de confiance qui en résulterait pourrait se généraliser au système bancaire entraînant des mouvements de paniques et une forte déstabilisation de la valeur de la monnaie. S’exposer aux risques cyber est donc un pari risqué qui impose aux banques centrales de bien peser le pour et le contre; ce qui explique d’ailleurs les réticences de la Federal Reserve (Fed), la banque centrale des États-Unis, à déployer un dollar numérique.

    UN TEST DE CONFIANCE ET D’ADHESION

    Maintenant, imaginons que les risques soient maîtrisés, le déploiement d’un moyen de paiement "euro numérique" sous forme d’application se ferait dans un "écosystème de paiement" déjà large et concurrentiel investi par les acteurs de la fintech. Situation inédite (parce qu’il n’existe pas un équivalent à l’euro papier), la liberté de choisir laissée aux citoyens européens serait alors un formidable test dans la confiance accordée à l’euro.

    Pourquoi paierait-on avec l’application de la BCE plutôt qu’une autre?

    Pour sa facilité d’usage et l’étendue du réseau des utilisateurs, indéniablement. Ce qui renvoie à la confiance méthodique, c’est-à-dire à l’étendue du réseau d’acceptation de la monnaie. Mais si l’application n’a pas d’autres avantages concurrentiels, quels sont les motifs d’adhésion? L’échec du dinero electrónico en Équateur, la première monnaie numérique de banque centrale, en 2014, s’explique par la réticence – fondée ou pas – des Équatoriens à l’égard d’une monnaie " manipulée" par le gouvernement pour servir des intérêts politiques.

    Dans un espace monétaire concurrentiel, il faut fournir des garanties et donner des raisons d’adhérer. Les promoteurs des monnaies locales et complémentaires le font en déployant un argumentaire politique et militant sur la relocalisation des échanges et la finance éthique. Les institutions européennes seront-elles capables de convaincre les citoyens d’adhérer à l’euro numérique?

     

    IMAGINATION  IDIOTE? Voire

    Si, à cause de l'écologie, on nous imposait un quota d'essence mensuel…. Vous allez à la pompe pour faire le point, vous montrez votre QR code de monnaie numérique et là, un message indiquant: refus! Vous avez dépassé votre quota d'essence mensuel….

    D'autres interdictions à imaginer????

  • Les éoliennes, entre infrasons et nuisances

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    Des amis ont dû déménager parce que les infrasons des éoliennes les rendaient malades. D’abord étonné, le mathématicien que je suis a voulu se renseigner.

    Partis avec l’idée de mesurer l’intensité des infrasons produits par l’éolienne de Chevetogne, à 500m de cette éolienne, ma femme et moi sommes devenus tout drôles avec des sensations bizarres dans les oreilles et nous avons fui…. Nous ne sommes pas seuls et chacun de nous peut immédiatement savoir si les éoliennes l’affectent et pas seulement à la longue. Dans une pièce bien close, il suffit d’agiter la porte de petits mouvements vifs sur 10cm d’ouverture/fermeture (sans cogner le chambranle). Tout naturellement, vous produirez 125 décibels d’infrasons typiques des éoliennes (autour de 3 Hertz). 2 à 3% des personnes soumises à ces infrasons sont immédiatement affectées de malaises très variables…

    Ces malaises, semblables à ceux créés par les éoliennes, sont-ils occasionnels ou, si la source est continue, peuvent-ils avoir des conséquences à long terme?

    Aux USA, en exploitant uniquement les documents de l’administration libres d’accès, le Dr. Eric Y.Zou a mesuré des formes de mortalité propres à des Counties comptant des éoliennes. Les distances d’action des infrasons des éoliennes portent ici sur plus de 10Km. Qui connaît ce travail? Qui veut le connaître sachant que nous sommes continuellement "noyés" dans les infrasons? Personne ne précise que les éoliennes produisent trop souvent les mêmes fréquences et que c’est cela qui est dangereux car ces infrasons toujours identiques créent et aggravent toujours les mêmes problèmes organiques.

    En 1985, la Belgique a décidé de fixer des normes relatives aux vibrations. Elle l’a fait et perfectionne ses normes pour toutes les fréquences…. sauf les infrasons ! Et c’est tout juste si les pilotes d’hélicoptère sont pris en compte quand il s’agit des infrasons qu’ils subissent avec régularité.

    En Pologne, des lots de porcs ont été placés à différentes distances des éoliennes. Le résultat sanitaire est tragique et l’expérience a été faite avec d’autres animaux. Ils ne risquent pas de se laisser influencer par un effet placebo des anti-éoliennes !

    Au Portugal, le professeur M.A.Pereira a démontré la nocivité des éoliennes dans une ferme et a obtenu la suppression des éoliennes. Elle continue à étudier les effets des infrasons. Elle n’est guère connue…

     

    Les citadins naïfs se croient à l’abri des infrasons toujours identiques d’éoliennes car ils ne les voient pas et ils approuvent leur implantation alors que les infrasons passent à travers tout.

    A Maggie De Block, ministre de la santé belge de 2014 à 2020, j’ai demandé l’autorisation de recenser la mortalité due aux éoliennes. Cette idée m’avait été donnée dans un home pour personnes âgées où un infirmier, en toute innocence, m’avait dit que le nombre de morts avait fort augmenté depuis l’installation d’éoliennes géantes à proximité. La ministre m’a répondu que, l’implantation des éoliennes étant régionalisée, elle n’était pas concernée par une nuisance de ce type. Cette réponse rendait impossible l’accès aux informations nécessaires à mon enquête !

    Et je terminerai en signalant que les hommes politiques évitent les éoliennes près de chez eux mais les "offrent" généreusement à leurs électeurs….  et je voudrais surtout que mes concitoyens acceptent de se renseigner au lieu d’avaler ce qu’on leur raconte dès que l’adjectif "vert  est présenté !

    Claude Brasseur

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)