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Histoire - Page 22

  • Le discours de Vance, qui a humilié les dictateurs à migrants de l’UE

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    L’une des choses dont je voulais parler aujourd’hui, c’est bien sûr nos valeurs communes. Et, vous savez, c’est formidable d’être de retour en Allemagne. Comme vous l’avez entendu tout à l’heure, j’étais ici l’année dernière en tant que sénateur des États-Unis. J’ai vu le ministre des Affaires étrangères David Lammy, et j’ai plaisanté en disant que nous avions tous les deux des emplois différents l’année dernière de ceux que nous avons maintenant. Mais il est maintenant temps pour tous nos pays, pour nous tous qui avons eu la chance de se voir confier un pouvoir politique par nos peuples respectifs, de l’utiliser à bon escient pour améliorer leur vie.

    Et je tiens à dire que j’ai eu la chance, au cours de mon séjour ici, de passer un peu de temps en dehors des murs de cette conférence au cours des dernières 24 heures, et j’ai été très impressionné par l’hospitalité des gens, même, bien sûr, alors qu’ils sont encore sous le choc de l’horrible attentat d’hier. Et la première fois que je suis venu à Munich, c’était avec ma femme, en fait, qui est ici avec moi aujourd’hui, pour un voyage personnel. J’ai toujours aimé la ville de Munich et j’ai toujours aimé ses habitants.

    Je tiens simplement à dire que nous sommes très émus et que nos pensées et nos prières vont à Munich et à toutes les personnes touchées par le mal infligé à cette belle communauté. Nous pensons à vous, nous prions pour vous et nous vous soutiendrons certainement dans les jours et les semaines à venir.

    Nous sommes réunis ici, bien sûr, pour discuter de sécurité. Et nous entendons généralement par là les menaces qui pèsent sur notre sécurité extérieure. Je vois de nombreux grands chefs militaires rassemblés ici aujourd’hui. Mais si l’administration Trump est très préoccupée par la sécurité européenne et croit que nous pouvons parvenir à un règlement raisonnable entre la Russie et l’Ukraine, et si nous pensons également qu’il est important que l’Europe prenne des mesures importantes dans les années à venir pour assurer sa propre défense, la menace qui m’inquiète le plus vis-à-vis de l’Europe n’est pas la Russie, ni la Chine, ni aucun autre acteur extérieur. Ce qui m’inquiète, c’est la menace intérieure. Le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales: des valeurs partagées avec les États-Unis d’Amérique.

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  • L’idéologie immigrationniste tue la sécurité et la liberté

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    18 Décembre 2023, à Saint-Ouen, la gauche parle immigration et répète son discours humaniste sur l’accueil des étrangers qui fuient la misère et les guerres, en quête d’une vie meilleure. On dénonce "le mensonge de l’invasion migratoire". On stigmatise "le racisme d’atmosphère". On blâme la remise en cause du droit du sol. On considère que les immigrés sont une source d’enrichissement. On pense que "La France est très loin d’accueillir toute la misère du monde".

    Pourtant, l’insécurité culturelle éprouvée et vécue quotidiennement par les Français domine l’actualité.

    25 Décembre 2024: un adolescent entre la vie et la mort après avoir été poignardé en résistant au vol de son téléphone. Elias, l’adolescent succombera peu après à ses blessures.

    Samedi 8 Février 2025: dans l’Essonne, meurtre crapuleux de Louise, 11 ans.

    13 Février 2025, à Gap: un homme armé d’un sabre interpellé après une course-poursuite.

    À Lyon, tirs de fusil d’assaut sur un immeuble du quartier Mermoz, le tireur en fuite.

    À Clermont-Ferrand, un homme de 25 ans abattu par balle, les suspects en fuite.

    À Poitiers, jeune homme grièvement poignardé aux Couronneries, pronostic vital engagé.

    À Colomiers, Haute-Garonne, un homme exécuté à l’arme lourde dans sa voiture, deux tireurs en fuite.

    À Mordelles, Ille-et-Vilaine, un migrant angolais sous OQTF condamné, après l’agression d’une septuagénaire pour la dépouiller, le 28 Août 2024, avec 17 mentions à son casier, "coutumier de ce type d’infractions".

    La liste n’est pas exhaustive. Impossible de recenser tous les actes criminels quotidiens. Dans la France gauchiste, depuis des années, tous les jours, dans les grandes villes, dans les villes moyennes, en pleine campagne, partout, se déroulent des crimes, des meurtres, des vols, des agressions. Plus personne n’est à l’abri, nulle part.

    Le Rassemblement national effectue une percée électorale. En Allemagne, la gauche subit une débâcle, et le parti AfD, Alternative pour l’Allemagne, de Alice Weidel, progresse. Alors les cadres du Parti socialiste comprennent qu’ils ont des leçons à tirer.

    Olivier Faure, chef du Parti Socialiste, assume désormais: "Le débat sur l’identité nationale n’est pas tabou".

    Raphaël Glucksmann: "Tu as construit ton identité sur les vertus de la société ouverte et un jour, tu te rends compte qu’il y a un énorme bug".

    Ainsi, en matière d’immigration et d’identité nationale, les socialistes européens constatent le désaccord des peuples, les baisses électorales, et freinent l’angélisme, essaient de déborder le rejet de plus en plus fort de l’immigration. Mais ce n’est qu’une posture, une parade, une attitude de circonstance. Leur idéologie pro-immigration et cosmopolite reste solidement ancrée en profondeur.

    Le cosmopolitisme a un principe originel: la négation des identités. Depuis plusieurs décennies, de matière insidieuse, notre identité est attaquée de toutes parts et sous toutes ses formes.

    Pourtant, la quête de l’identité fait partie des préoccupations humaines les plus importantes et les plus anciennes. La question de la place de l’homme dans la société, la question de la place de l’homme dans l’univers, se retrouvent dès l’origine de la pensée humaine, religieuse ou politique.

    Les rites, les règles sociales ou morales décrites dans différents récits ont servi à l’édification d’une identité à la fois collective et individuelle, par exemple, dans l’Iliade, l’Odyssée, la Bible …

     

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  • Nos grands soldats français

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    Image générée par I.A.

    En 2005, la mort accidentelle de Zyed Benna et Bouna Traoré, deux jeunes qui fuyaient la police, nous a valu trois semaines de guérilla urbaine.

    Plus près de nous, en 2023, c’est la mort de Nahel Merzouk, un "petit ange" (3) de 17 ans abattu par un policier,  qui a provoqué des émeutes, des saccages, et un climat de guerre civile dans tout le pays, et même… en Belgique.

    Le bilan de ces journées de quasi-guerre civile a été lourd: des dégradations par centaines, des incendies de voitures et de bâtiments, publics ou privés, pour un montant estimé à 1,7 milliard d’€.

    Voilà où vont nos impôts!

    En France, depuis des années, les choses se passent toujours de la même façon: quand un jeune  issu de l’immigration – généralement "connu des services de police" – est tué, souvent victime de sa propre imprudence, les banlieues s’enflamment et des hordes barbares saccagent tout sur leur passage.

    En revanche, quand c’est un petit Blanc qui est assassiné, lardé au couteau par une racaille, un "malade mental" ou un allogène sous OQTF, pour un regard, un vélo ou un téléphone portable, on pleurniche, on organise des marches blanches, avec des ballons, des fleurs, des peluches et des post-it.

    Sur les plateaux-télé, des sociologues viennent nous dire que la délinquance n’augmente pas et qu’on ne peut pas faire de corrélation entre insécurité et immigration. Et les politiciens – mâles ou femelles – s’inquiètent surtout d’une possible récupération par "l’extrême-drroooaate".

    Depuis la fin des "30 glorieuses" c’est la gauche qui impose sa vision de la France future et, petit à petit, les masques tombent: Jean-Luc Mélenchon vient d’annoncer la couleur; il est favorable au "Grand remplacement" et il le revendique haut et fort.

    Et que fait le camp d’en face, la "droite-cachemire" et même  la droite nationale?

    Soit elle rase les murs, soit elle donne elle aussi dans la repentance honteuse, l’auto-flagellation, le mea-culpa, envers nos anciens colonisés, dans l’espoir – totalement utopique! – de se faire bien voir d’eux.

    Quant à Emmanuel Macron, il continue à caresser la "diversité" dans le sens du poil. Alors que son rôle est de faire respecter l’ordre républicain, il laisse faire les casseurs car ce rôle de pompier-pyromane – diviser pour régner – lui convient bien. Il est vrai qu’il avait annoncé le couleur (sans jeu de mots facile!) lors de la "Fête de la Musique", en 2018, en invitant des invertis allogènes à brailler leur mépris de la France au Palais de l’Elysée.

    Bien que la période des vœux soit passée, je m’autorise à en émettre un: je voudrais que la droite nationaliste, conservatrice, souverainiste, etc… bref MA droite, ait enfin le courage de rendre hommage à quelques Français qui furent de beaux soldats et de grands colonisateurs.

    Des hommes qui, par leur volonté, leur audace, leur hardiesse, leur énergie ont permis que des peuplades africaines ne crèvent plus de faim, qu’elles cessent de s’entre-tuer dans des guerres tribales, ou qu’elles ne soient plus décimées par les maladies tropicales comme la malaria.

    En fait, comme le Français est souvent ignare en histoire, je vais le faire moi-même. Puisse-t-il se dire fier de la grandeur passée de son pays, et oser sans la moindre honte en revendiquer l’héritage!

    Commençons par celui qui donna son nom à la capitale du Tchad – Fort Lamy –  avant qu’elle ne choisisse, en 1973,  de s’appeler N’Djamena pour tirer un trait sur sa période coloniale.

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