Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

opinons

  • États-Unis: un homme quasi immunisé

    Imprimer

     après 200 morsures de serpent, une piste pour un anti-venin universel

    Par valeursactuelles.com

    Selon la BBC, ce samedi 3 mai, un Américain du nom de Tim Friede s’est retrouvé au cœur d’une recherche hors du commun. Les scientifiques ont pu isoler les anticorps présents dans son sang et s’en servir pour concevoir un antivenin universel. Pour parvenir à ce résultat, Tim Friede a enduré plus de 200 morsures de serpent et s’est administré environ 700 injections de venin, dans le but de rendre son sang capable de neutraliser la plupart des toxines produites par ces reptiles.

    Tim Friede s’est volontairement exposé aux morsures de serpents parmi les plus dangereux au monde, dont des mambas, des cobras, des taïpans et des bongares. Une double morsure de cobra l’a même plongé dans le coma. Il a expliqué les raisons de son engagement: " Je ne voulais ni mourir, ni perdre un doigt, ni manquer le travail. C’est simplement devenu une part de ma vie. Je me suis dit que je devais continuer aussi longtemps que possible, pour aider des gens vivant à des milliers de kilomètres, dans des régions où une morsure de serpent peut être fatale".

    Efficace Sur Treize Des Dix-Neuf Espèces Recensées

    Jusqu’à présent, les chercheurs utilisaient principalement des animaux pour produire des anti-venins. Ils injectaient de petites doses de venin à des animaux comme les chevaux, puis récoltaient les anticorps générés en réponse. Toutefois, cette méthode présentait des limites: les anticorps varient d’une espèce à l’autre et les toxines produites par les serpents diffèrent selon les espèces, rendant impossible la création d’un antivenin universel. L’approche de Tim Friede a permis de bouleverser cette méthode traditionnelle.

    Une équipe de chercheurs a donc eu l’idée de collaborer avec Tim Friede en analysant son sang. Ils y ont identifié de nombreux anticorps, dont deux ciblant des neurotoxines clés impliquées dans la défense contre les morsures de serpents. Grâce à ces découvertes, ils ont pu développer un antidote efficace contre treize des dix-neuf espèces de serpents élapidés venimeux recensées, et partiellement protecteur contre les six autres. Une avancée qualifiée de " sans précédent " par les scientifiques. À noter que les vipères, autre grande famille de serpents venimeux, ne sont pas concernées par cette étude.

    Tim Friede a partagé ses expériences sur YouTube, montrant en vidéo les morsures qu’il a subies et les réactions de son corps face au venin de certains des serpents les plus redoutés. Chaque année, les morsures de serpents venimeux provoquent environ 140 000 décès à travers le monde

  • La dialectique utilisée depuis des siècles par les forces occultes

    Imprimer

    (…)

    Trois éléments démontrent que l’origine maçonnique de la philosophie de Hegel est évidente:

    LA METHODE DIALECTIQUE.

    Le principe de l’identité du rationnel et du réel, qui dérive de l’idée du Dieu civilisateur.

    L’idée que l’Histoire est progressive et doit s’achever par la divinisation de l’Humanité.

    Quelques exemples historiques prouvent que la stratégie dialectique hégélienne est utilisée depuis des siècles par les forces occultes.

    PREMIER EXEMPLE.

    La Révolution américaine de 1776. Thèse: À la suite de la guerre de Sept Ans (1756-1763), les colons prennent conscience de leurs intérêts communs et préparent la Révolution américaine pour l’indépendance, en opposition à l’Angleterre monarchique.

     

    Antithèse:

    En 1781, et avec l’aide de la France, la victoire de Yorktown décide de l’indépendance des Etats-Unis. Une nouvelle République est fondée sur des principes maçonniques, Déclaration des Droits de l’Homme, constitution influencée par les Lumières, figures comme Benjamin Franklin (1706-1790), et George Washington (1732-1799).

    Synthèse:

    La fédération des Etats-Unis s’instaure progressivement et devient la première république maçonnique moderne, servant de modèle pour les futures révolutions, en France et en Amérique latine.

    DEUXIEME EXEMPLE.

    Le Révolution dite française de 1789. Thèse: La France est une monarchie catholique traditionnelle. Le roi est le seul souverain par la grâce de Dieu.

    ANTITHESE:

    La Révolution jacobine, financée par des réseaux bancaires occultes, substitue à la notion de monarchie de droit divin, la notion de souveraineté populaire.

    SYNTHESE:

    Une République laïque anti-christique s’installe. L’ordre social chrétien est détruit progressivement. Des sociétés secrètes s’infiltrent dans les institutions.

    TROISIEME EXEMPLE.

    La guerre de Sécession américaine (1861-1865). Thèse: Le Sud est esclavagiste, conservateur et agraire.

    ANTITHESE:

    Le Nord industrialisé, progressiste et abolitionniste, est soutenu par les banques Rotschild.

    Synthèse:

    Les Etats-Unis sont unifiés sous l’emprise des banques maçonniques, première étape vers la centralisation du pouvoir américain.

    QUATRIEME EXEMPLE.

    La Révolution bolchevique établie en 1917, par opposition au nazisme établi en 1933. THESE: La Russie orthodoxe traditionnelle est gouvernée par un Tsar.

    ANTITHESE: La révolution bolchevique est financée par Wall Street, les banques Kuhn & Loeb, Schiff, Rothschild, Warburg. Les fondations d’un Empire sont posées.

    SYNTHESE: Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la lutte entre entre communisme et nazisme, deux systèmes apparemment opposés, mais tous deux matérialistes, conduit à la victoire du social-capitalisme qui fusionne les deux idéologies sous forme d’un Etat-providence mondialiste.

    CINQUIEME EXEMPLE.

    La Guerre Froide (1947-1991). Thèse: Le bloc capitaliste occidental comprend les Etats-Unis, les pays d’Europe occidentale, l’Australie, la Nouvelle-Zélande.

    ANTITHESE: Le bloc communiste avec l’URSS et les pays d’Europe de l’Est est financé indirectement par l’Occident à travers des prêts, un transfert de technologie et des accords économiques secrets. Cette nouvelle puissance, en s’opposant au bloc capitaliste, permet d’accélérer le cours de l’Histoire.

    SYNTHESE: Une Ordre mondial bipolaire émerge, contrôlé en coulisses par les mêmes réseaux, accélérant la transition vers la mondialisation.(…)

    SEPTIEME EXEMPLE.

    L’OCCIDENT WOKISTE OPPOSE A L’EURASISME NON WOKISTE.

    THESE: L’Occident libéral décadent est soumis aux réformes sociétales, LGBTisme, éducation à la sexualité, idéologie du genre, transgenrisme, wokisme, euthanasie, eugénisme, Great Reset.

    ANTITHESE: Un bloc conservateur eurasiste se forme avec Donald Trump, Vladimir Poutine, Alexandre Douguine, Elon Musk, des réseaux " dissidents " comme Alain Soral, Pierre-Antoine Plaquevent.

     

    Lire la suite

  • Une jeunesse sacrifiée sur l’autel de l’Éducation nationale

    Imprimer

    Mercredi 7 Mai 2025. Elisabeth Borne, ministre de l’Education nationale annonce son plan "Filles et garçons": ouvrir les classes de 4e et 3e à horaires aménagés, avec un quota de 50% de filles, et ainsi dégenrer les cours de maths. Le but: 20% de femmes dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026, 30% en 2030. Les moyens: sensibiliser les professeurs aux biais de genre.

    L’idéologie du genre aux dépens de la simple nature. La quantité au détriment de la qualité. L’égalitarisme contre la perte de la différence. Nouvel exemple de discrimination positive. Madame Borne s’inscrit bien dans la continuité de ses prédécesseurs qui ont détruit l’école.

    La mort de l’école le fruit d’une subversion par une idéologie, le pédagogiquement correct, qui s’attaque au contenu et aux méthodes. Mai 68, événement récréatif, peu dramatique dans les faits, provoqua un véritable séisme mental, moral, culturel, d’une ampleur inégalée, mettant à bas quinze siècles de tension historique vers le savoir et la réflexion.

    Le pédagogiquement correct, c’est la lobotomie mentale des nouvelles générations, c’est le discours dominant de la post-modernité et du post-modernisme dans l’éducation, habit neuf de l’esprit révolutionnaire et du marxisme. Le pédagogiquement correct, c’est la mise en œuvre du prolétaire de l’esprit, au service de la révolution mondialiste. Le zombie mondialiste, gentiment ludique, reste confiné aux exigences de la vie en société multiculturelle.

    Le pédagogiquement correct est l’enfant adultérin d’un marxisme gauchiste post-soviétique et de l’idéologie marchande et consumériste. Cette révolution culturelle prend parfois des aspects ridicules: Trissotin, poète grotesque, pédant et vaniteux des Femmes savantes, et Diafoirus, médecin prétentieux du Malade imaginaire, sont réunis en pédagogie pour fabriquer des pédagomanes. Cette révolution culturelle a une finalité nombriliste: enseigner la jeunesse aux jeunes, dernière mission de l’école républicaine… tout en détruisant la jeunesse. Degré zéro de la pensée, cette révolution culturelle produit une jeunesse qui ne pense plus.

     

     

    La pédagogie, c’est l’art de bien enseigner. Le bon pédagogue aime ce qu’il enseigne et sait faire aimer ce qu’il enseigne. Ainsi, la pédagogie désigne un caractère, une aptitude, voire un talent.

    La pédagogie pourrait n’être que l’art de faire un homme accompli, cultivé, l’art de conduire l’enfant hors de la barbarie. Dans nos sociétés, nous assistons à un retour en force de la barbarie, parce que l’éducation a oublié cette mission.

    À partir de 1950, et de façon plus accentuée dans les années 1960, le discours éducatif promeut la pédagogie au premier rang. La pédagogie cesse d’être un art. Elle prétend devenir une science. Le libellé universitaire " Science de l’éducation " date des années 1960. L’Institut national de la Recherche pédagogique occupe les locaux de l’ancienne manufacture de Sèvres. Au sein de cette institution, on discute de cette science pédagogique en pure perte.

    La science pédagogique se revendique savante et se veut normative. Elle n’échappe pas au scientisme lourd, sous-produit du marxisme qui a dominé une bonne partie de l’université.

    Historiquement, l’éducation est le domaine privilégié de la gauche. C’est bien pourquoi, le 3 juin 1932, lors de la formation du troisième cabinet de Edouard Herriot, le ministère de l’Instruction publique prend le nom de ministère de l’Education nationale. Benito Mussolini avait entrepris une réforme similaire trois ans auparavant. Dans les deux cas, c’est le triomphe de l’école spartiate, visant à former l’enfant dans une école totalitaire.

    La gauche s’est appropriée le discours pédagogique et en a fait sa chose. Par l’introduction et l’imposition autoritaire de la méthode globale d’apprentissage de la lecture, on a procédé au massacre des enfants innocents. Depuis des années, l’illettrisme des jeunes Français est avéré: bon nombre d’entre eux arrivent en 6e sans savoir lire. Ils déchiffrent plus ou moins péniblement, mais ne comprennent pas ce qu’ils lisent.

    La racine de ce mal est à chercher dans la pédagogie. Rôle néfaste de la télévision et des appareils numériques, démission des familles, immigration qui provoque de l’hétérogénéité dans les classes et une baisse de niveau. Mais le cœur du problème demeure dans les choix qui ont été faits par le système scolaire dans l’enseignement élémentaire. Et dans la perte de temps dans des activités inutiles, comme l’éducation à la sexualité. Il faut du temps pour apprendre à lire.

    Ces choix s’appuient sur des mécanismes idéologiques irresponsables et organisés autour d’un discours obscur et incompréhensible. Ces choix signent le dérèglement de l’esprit contemporain et la décadence du jugement. Dans son livre La destruction de l’enseignement élémentaire et ses penseurs, Liliane Lurçat, psychologue française (1928-2019), souligne " l’échec dû à l’esprit de système qui envahit la pratique pédagogique". Elle ajoute: " L’échec se généralise au point que dans les centres médico-psycho-pédagogiques, on se plaint de devoir rééduquer des enfants intelligents, que l’école casse par des méthodes aberrantes". Il s’agit donc bien d’un crime. Les criminels tiennent le haut du pavé, imposent un véritable terrorisme qui interdit toute critique

    Des méthodes pédagogiques hasardeuses se substituent à la transmission du savoir. Ainsi, Philippe Meirieu, longtemps le patron de l’Institut national de la Recherche pédagogique, déclare:

    "Apprendre à lire, c’est prendre le pouvoir sur les autres". Cette phrase porte une lourde charge marxiste. L’apprentissage de la lecture a toujours été réservé aux bourgeois. Non. Au contraire, lire et écrire permet de s’insérer dans un ordre symbolique commun qui constitue un héritage. Meirieu-Diafoirus oublie ou plutôt refuse la nature sacrée de l’acte d’enseigner, la transmission de l’héritage par les héritiers que nous sommes.

    Le désastre touche à toutes les disciplines par la dissolution de l’acte d’enseigner.

    Liliane Lurçat insiste sur ce point: "Une des idées martelées à notre époque au sein de l’institution scolaire… est qu’il n’y a pas de lien entre l’acquisition des connaissances et leur transmission, ou plus radicalement, qu’il n’y a pas de transmission, mais seulement une construction des savoirs".

    Lire la suite