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histoire - Page 6

  • Cette lettre d’une Française circule…

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    et prend de l’ampleur sur les réseaux… Elle vaut la peine d’être lue:

    Monsieur le Président, (quelle politesse!)

    La vanité rend aveugle et sourd. Eussiez-vous un QI XXXL, la vanité anéantirait les capacités de vos neurones. Mais vous n’êtes pas concerné.

    Lorsqu’on endosse le sobriquet de Jupiter, on plane au-dessus du vulgum pecus, d’autant qu’il est le dieu romain le plus puissant du panthéon.

    Mais Jupiter est aussi, à 95%, formé de gaz. Il n’a quasiment aucune consistance.

    C’est bien ce à quoi vous nous avez confrontés, en proclamant sans cesse, avec une autorité jupitérienne, tout et son contraire, ou en traitant un jour avec morgue, du bas de votre grandeur, le chef suprême des Armées de France, ou en abreuvant le peuple français, du haut de votre humilité tartufienne, de mesures indigestes et irrationnelles, jusqu’au paroxysme de l’insupportable.

    Le navire France sous votre contrôle, guidé tantôt à la voile, tantôt à la vapeur, devient un bateau qui tourne sur lui-même quand les vents sont contraires.

    ENTENDEZ-VOUS, DANS NOS CAMPAGNES, LE BRUIT DES MULTIPLES MOUTONS ENRAGÉS? …

    Oui, vous l’entendez, mais vous n’en avez cure! …

    Vous croyez encore et toujours pouvoir tout contrôler alors que tout vous échappe, et – nous ne sommes ni sourds ni aveugles – la panique commence à s’emparer de l’Élysée.

    Comprenez-vous qu’une étincelle suffit pour embraser une France en colère?

    J’étais dans les premiers rangs des manifs de mai 68 alors que vous n’étiez même pas né, je sais comment ce pays peut sortir en un instant de sa torpeur, qui n’est qu’apparente malgré l’abondance des soporifiques que vos médias lui font absorber chaque jour.

    Si vous n’étiez pas insensé, vous auriez la décence, le bon sens et l’intelligence de descendre de votre trône et de démissionner, avant qu’il ne soit trop tard, pour laisser à ce pays une chance de se redresser.

    Je suis chrétienne, j’ai 77 ans (plus jeune que votre proche complice), je devrais faire partie de la majorité silencieuse parce que censée hors service.

    Mais je suis une Française en colère. Car vous saccagez mon pays, tandis que vous en piétinez les racines et les valeurs, et que vous prenez les Français pour des moutons qui ne peuvent que bêler.

    Vous ne connaissez ni la France, ni les Français. Lorsqu’on les tond de trop près, jusqu’à leur arracher la peau, ils sont capables, de se transformer en taureaux furieux et chargent en renversant tout sur leur passage.

    Monsieur le Président, je le sens, je le sais, si vous persistez à vous accrocher à un trône qui ne vous a jamais appartenu et dont vous vous êtes emparé à coup de manigances, ce sont des milliers de Français qui risquent de périr dans la guerre la plus cruelle et la plus horrible qui soit: la guerre civile.

    Vous avez grièvement piétiné l‘armée: elle ne vous suivra pas, vous lui avez ôté les moyens de défendre la France et vous l’avez insultée.

    La police ne vous suivra pas: excédée des ordres et contre-ordres de la Gauche depuis des décennies, d’être privée de moyens logistiques, d’être enrayée dans ses capacités d’action par une réglementation si tordue que souvent le policier qui est intervenu contre un délinquant dangereux est sanctionné, tandis que le criminel est relaxé.

    Elle est excédée de servir de chair à canon à la racaille que vous chérissez tellement que vous en venez à la serrer dans vos bras avec des yeux enamourés quand même ses ressortissants vous font un doigt d’honneur.

     

    La racaille des banlieues pour vous défendre? … Elle est passée maîtresse dans l’art de se servir de votre "humanisme" candide pour tout vous soutirer.

    L’immigration islamique que vous dorlotez au détriment des Français, parce qu’elle représente un électorat potentiel et une population de remplacement? … Elle vous considère, tout comme nous, comme un fétu de paille à balayer*, pour instaurer ses lois, ses coutumes barbares, sa religion moyenâgeuse, ses restrictions alimentaires, son sexisme, son racisme, sa polygamie, sans oublier les autres préceptes antidémocratiques de la charia et des hadiths.

    Je pourrais poursuivre à l’infini, mais je ne veux pas d’un réquisitoire. Je veux juste vous adresser une demande: Monsieur le Président Macron, par amour de la France, je vous en conjure, PARTEZ! …

    C’est une vieille Française qui vous parle, une vieille dame obligée de conduire pour survivre puisqu’elle est en rase campagne et qu’il faut bien aller chercher le pain, une Française pour qui le fuel a augmenté de 40% en quelques mois, et qui subit une CSG en courant ascensionnel perpétuel, tandis que sa retraite plane désespérément au-dessous du seuil de survie.

    Pourtant, ce n’est pas pour moi que je suis en colère, c’est pour ce que vous faites à la France, pour le seul profit d’une caste avide et méprisante, et pour la plus grande satisfaction de hordes d’envahisseurs principalement composée de malfaisants et de terroristes.

    J’ai mal à la France, SVP, PARTEZ.

    Anne-Marie Tampigny

     

    *NDLaR: quand il y a eu une guerre civile en Iran, pour "dégommera" le shah, certains civils iraniens de gauche plus tous les communistes ont aidé avec cœur la révolte des ayatollahs…. Dès que komény est arrivé au pouvoir, en moins d'un an, il a fait arrêter et massacrer tous ces gens qui ne parlaient ou priait pas comme lui!

    J'ai raison, je l'ai vu à la télé à l'époque (j'ai deux ans de moins que la dame de la lettre)…. Cherchez sur les "bons" sites internet!

  • Les fondements philosophiques de la Démocratie expliquent son imposture

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    On nous raconte que la démocratie respecte les droits de l’homme, donc les libertés individuelles, l’égalité de tous devant la loi. C’est un régime au service de l’homme ou des hommes. Les lois sont faites pour notre bien. De plus, ceux qui sont mandatés, les élus, doivent normalement nous rendre des comptes, c’est ce qu’on appelle la transparence du pouvoir.

    Mais une telle conception idéalisée de la démocratie n’est pas souvent, sinon jamais appliquée, en particulier sous régime socialiste. L’inversion des valeurs permet de tromper le peuple.

    Les hommes acceptent de servir sans se révolter. Un seul homme ou une caste peut commander à tous. Un peuple peut être l’instrument de son propre esclavage. Tout cela sous couvert de la Démocratie. Comment est-ce possible? Trois philosophes vont nous aider à comprendre mieux la Démocratie.

    Baruch Spinoza, philosophe juif d’Amsterdam (1632-1677), appelle au laïcisme et à la Démocratie. Ces deux aspects du politique sont liés. Dans son Traité politique, présenté comme un hymne à la tolérance, écrit entre 1675 et 1677, il demande que les pouvoirs publics gouvernent indépendamment de toute confession. C’est du laïcisme avant le franc-maçon Lessing (1729-1781), théoricien du laïcisme anti chrétien. Le traité de Spinoza est donc un appel à la révolution anti chrétienne, laquelle passe par l’éradication du christianisme.

    En appelant au laïcisme, Spinoza revivifie la guerre des initiés orientaux contre la tradition chrétienne. Ses héritiers feront la Révolution anti chrétienne, jusqu’à supprimer les chrétiens par le bras communiste. Eradiquer tout ce qui est chrétien, tel est le but hypocrite du laïcisme de Spinoza. Ce but a été réalisé par les francs-maçons, au moyen d’un politique mensonger, la Démocratie.

    Spinoza appelle à la Démocratie. Il justifie la Démocratie, non pas constitutionnellement, mais par le concept de Nature naturante, ou "substance créatrice infinie". Par ce terme de Nature naturante, Spinoza entend le Dieu qui se connaît et se construit par l’homme. Il n’y a pas de Créateur transcendant, donc la Nature se crée elle-même. Ainsi, dans Spinoza, il y a le germe de l’évolutionnisme. Darwin n’est qu’un simple vulgarisateur. En quelque sorte, la Nature naturante est une Nature divinisée qui s’auto créé à mesure du progrès de la connaissance de l’Etre unique par la raison humaine.

    La philosophie de Spinoza revient à la conception magique du monde, elle ne peut donc pas être rationnelle. Le "rationalisme" de Spinoza n’est ni scientifique, ni rationnel.

    Or, le concept de Nature naturante est à la source du marxisme et des philosophies dites progressistes. Ce "rationalisme" tend nécessairement vers le Bien en permettant à l’Etre de se connaître lui-même. Il amorce "le mythe du progrès", mythe dont naîtra la Révolution moderne, qui n’a pas fini de nuire à l’humanité.

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