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histoire - Page 3

  • La dialectique utilisée depuis des siècles par les forces occultes

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    (…)

    Trois éléments démontrent que l’origine maçonnique de la philosophie de Hegel est évidente:

    LA METHODE DIALECTIQUE.

    Le principe de l’identité du rationnel et du réel, qui dérive de l’idée du Dieu civilisateur.

    L’idée que l’Histoire est progressive et doit s’achever par la divinisation de l’Humanité.

    Quelques exemples historiques prouvent que la stratégie dialectique hégélienne est utilisée depuis des siècles par les forces occultes.

    PREMIER EXEMPLE.

    La Révolution américaine de 1776. Thèse: À la suite de la guerre de Sept Ans (1756-1763), les colons prennent conscience de leurs intérêts communs et préparent la Révolution américaine pour l’indépendance, en opposition à l’Angleterre monarchique.

     

    Antithèse:

    En 1781, et avec l’aide de la France, la victoire de Yorktown décide de l’indépendance des Etats-Unis. Une nouvelle République est fondée sur des principes maçonniques, Déclaration des Droits de l’Homme, constitution influencée par les Lumières, figures comme Benjamin Franklin (1706-1790), et George Washington (1732-1799).

    Synthèse:

    La fédération des Etats-Unis s’instaure progressivement et devient la première république maçonnique moderne, servant de modèle pour les futures révolutions, en France et en Amérique latine.

    DEUXIEME EXEMPLE.

    Le Révolution dite française de 1789. Thèse: La France est une monarchie catholique traditionnelle. Le roi est le seul souverain par la grâce de Dieu.

    ANTITHESE:

    La Révolution jacobine, financée par des réseaux bancaires occultes, substitue à la notion de monarchie de droit divin, la notion de souveraineté populaire.

    SYNTHESE:

    Une République laïque anti-christique s’installe. L’ordre social chrétien est détruit progressivement. Des sociétés secrètes s’infiltrent dans les institutions.

    TROISIEME EXEMPLE.

    La guerre de Sécession américaine (1861-1865). Thèse: Le Sud est esclavagiste, conservateur et agraire.

    ANTITHESE:

    Le Nord industrialisé, progressiste et abolitionniste, est soutenu par les banques Rotschild.

    Synthèse:

    Les Etats-Unis sont unifiés sous l’emprise des banques maçonniques, première étape vers la centralisation du pouvoir américain.

    QUATRIEME EXEMPLE.

    La Révolution bolchevique établie en 1917, par opposition au nazisme établi en 1933. THESE: La Russie orthodoxe traditionnelle est gouvernée par un Tsar.

    ANTITHESE: La révolution bolchevique est financée par Wall Street, les banques Kuhn & Loeb, Schiff, Rothschild, Warburg. Les fondations d’un Empire sont posées.

    SYNTHESE: Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la lutte entre entre communisme et nazisme, deux systèmes apparemment opposés, mais tous deux matérialistes, conduit à la victoire du social-capitalisme qui fusionne les deux idéologies sous forme d’un Etat-providence mondialiste.

    CINQUIEME EXEMPLE.

    La Guerre Froide (1947-1991). Thèse: Le bloc capitaliste occidental comprend les Etats-Unis, les pays d’Europe occidentale, l’Australie, la Nouvelle-Zélande.

    ANTITHESE: Le bloc communiste avec l’URSS et les pays d’Europe de l’Est est financé indirectement par l’Occident à travers des prêts, un transfert de technologie et des accords économiques secrets. Cette nouvelle puissance, en s’opposant au bloc capitaliste, permet d’accélérer le cours de l’Histoire.

    SYNTHESE: Une Ordre mondial bipolaire émerge, contrôlé en coulisses par les mêmes réseaux, accélérant la transition vers la mondialisation.(…)

    SEPTIEME EXEMPLE.

    L’OCCIDENT WOKISTE OPPOSE A L’EURASISME NON WOKISTE.

    THESE: L’Occident libéral décadent est soumis aux réformes sociétales, LGBTisme, éducation à la sexualité, idéologie du genre, transgenrisme, wokisme, euthanasie, eugénisme, Great Reset.

    ANTITHESE: Un bloc conservateur eurasiste se forme avec Donald Trump, Vladimir Poutine, Alexandre Douguine, Elon Musk, des réseaux " dissidents " comme Alain Soral, Pierre-Antoine Plaquevent.

     

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  • Hommage à Antoine de Lasalle

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     (Général Antoine Charles Louis de Lasalle, mort à 34 ans à la bataille de Wagram)

    "Mon cœur est à toi, mon sang à l’Empereur, ma vie à l’Honneur".

     (Général Lasalle, lettre à sa femme, la veille de sa mort)

    Pour les vieux soixante-huitards, dont beaucoup sont devenus des bobos de la gauche caviar,  les mitterrandolâtres encore en vie, les "éléphants" d’un Parti socialiste moribond, le 10 mai est un anniversaire: l’arrivée au pouvoir, le 10 mai 1981, de François Mitterrand, l’ancien "Camelot du Roy", décoré de la Francisque sous Vichy (n° 2202), impliqué dans le faux attentat de l’Observatoire, celui que les médias surnommaient  " Le Florentin " en référence à son art de l’esquive, illustré sous la Renaissance par des natifs de Florence comme Laurent le Magnifique ou Machiavel.

    Ce personnage ambitieux, madré, rusé, franc "comme un âne qui recule", prêt à tout pour arriver au pouvoir, avait réussi à mettre la main sur la vieille SFIO (1) pour en faire une machine à sa botte pour accéder, enfin, à la présidence de la "Ripoux-blique". Le règne de François Mitterrand, ce sont 14 années de gestion calamiteuse mais, en fait, ni plus ni moins que la présidence de Giscard d’Estaing avant lui; et celle de Hollande et Macron depuis.

    Fêter le 10 mai 1981, c’est aussi incohérent, aussi stupide, que d’honorer le 19 mars 1962: on ne devrait jamais se réjouir d’une catastrophe qui affaiblit la France, surtout quand on en paie les conséquences au prix fort!

    En ce 10 mai, je souhaite, moi aussi, fêter un anniversaire, celui de la naissance d’un grand soldat:

    Antoine Charles Louis, comte de Lasalle, général de cavalerie du Premier Empire, né à Metz le 10 mai 1775 et mort au combat, le 6 juillet 1809, à la bataille de Wagram.

    Il aimait les combats, l’odeur de la poudre, la fête, le vin et les jolies femmes. Avec Antoine Honoré de Brack, il fut l’un des plus beaux sabreurs de l’Empire, époque qui ne manquait pourtant pas d’hommes courageux dont beaucoup sont morts, comme lui, le sabre à la main. On raconte qu’il serait l’auteur de la chanson d’après boire " Fanchon " que je me plais à chanter, avec mes amis, les soirs de ripaille. Hélas non: l’air de " Fanchon " était déjà célèbre au XVIIIe siècle (2).

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  • Une jeunesse sacrifiée sur l’autel de l’Éducation nationale

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    Mercredi 7 Mai 2025. Elisabeth Borne, ministre de l’Education nationale annonce son plan "Filles et garçons": ouvrir les classes de 4e et 3e à horaires aménagés, avec un quota de 50% de filles, et ainsi dégenrer les cours de maths. Le but: 20% de femmes dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026, 30% en 2030. Les moyens: sensibiliser les professeurs aux biais de genre.

    L’idéologie du genre aux dépens de la simple nature. La quantité au détriment de la qualité. L’égalitarisme contre la perte de la différence. Nouvel exemple de discrimination positive. Madame Borne s’inscrit bien dans la continuité de ses prédécesseurs qui ont détruit l’école.

    La mort de l’école le fruit d’une subversion par une idéologie, le pédagogiquement correct, qui s’attaque au contenu et aux méthodes. Mai 68, événement récréatif, peu dramatique dans les faits, provoqua un véritable séisme mental, moral, culturel, d’une ampleur inégalée, mettant à bas quinze siècles de tension historique vers le savoir et la réflexion.

    Le pédagogiquement correct, c’est la lobotomie mentale des nouvelles générations, c’est le discours dominant de la post-modernité et du post-modernisme dans l’éducation, habit neuf de l’esprit révolutionnaire et du marxisme. Le pédagogiquement correct, c’est la mise en œuvre du prolétaire de l’esprit, au service de la révolution mondialiste. Le zombie mondialiste, gentiment ludique, reste confiné aux exigences de la vie en société multiculturelle.

    Le pédagogiquement correct est l’enfant adultérin d’un marxisme gauchiste post-soviétique et de l’idéologie marchande et consumériste. Cette révolution culturelle prend parfois des aspects ridicules: Trissotin, poète grotesque, pédant et vaniteux des Femmes savantes, et Diafoirus, médecin prétentieux du Malade imaginaire, sont réunis en pédagogie pour fabriquer des pédagomanes. Cette révolution culturelle a une finalité nombriliste: enseigner la jeunesse aux jeunes, dernière mission de l’école républicaine… tout en détruisant la jeunesse. Degré zéro de la pensée, cette révolution culturelle produit une jeunesse qui ne pense plus.

     

     

    La pédagogie, c’est l’art de bien enseigner. Le bon pédagogue aime ce qu’il enseigne et sait faire aimer ce qu’il enseigne. Ainsi, la pédagogie désigne un caractère, une aptitude, voire un talent.

    La pédagogie pourrait n’être que l’art de faire un homme accompli, cultivé, l’art de conduire l’enfant hors de la barbarie. Dans nos sociétés, nous assistons à un retour en force de la barbarie, parce que l’éducation a oublié cette mission.

    À partir de 1950, et de façon plus accentuée dans les années 1960, le discours éducatif promeut la pédagogie au premier rang. La pédagogie cesse d’être un art. Elle prétend devenir une science. Le libellé universitaire " Science de l’éducation " date des années 1960. L’Institut national de la Recherche pédagogique occupe les locaux de l’ancienne manufacture de Sèvres. Au sein de cette institution, on discute de cette science pédagogique en pure perte.

    La science pédagogique se revendique savante et se veut normative. Elle n’échappe pas au scientisme lourd, sous-produit du marxisme qui a dominé une bonne partie de l’université.

    Historiquement, l’éducation est le domaine privilégié de la gauche. C’est bien pourquoi, le 3 juin 1932, lors de la formation du troisième cabinet de Edouard Herriot, le ministère de l’Instruction publique prend le nom de ministère de l’Education nationale. Benito Mussolini avait entrepris une réforme similaire trois ans auparavant. Dans les deux cas, c’est le triomphe de l’école spartiate, visant à former l’enfant dans une école totalitaire.

    La gauche s’est appropriée le discours pédagogique et en a fait sa chose. Par l’introduction et l’imposition autoritaire de la méthode globale d’apprentissage de la lecture, on a procédé au massacre des enfants innocents. Depuis des années, l’illettrisme des jeunes Français est avéré: bon nombre d’entre eux arrivent en 6e sans savoir lire. Ils déchiffrent plus ou moins péniblement, mais ne comprennent pas ce qu’ils lisent.

    La racine de ce mal est à chercher dans la pédagogie. Rôle néfaste de la télévision et des appareils numériques, démission des familles, immigration qui provoque de l’hétérogénéité dans les classes et une baisse de niveau. Mais le cœur du problème demeure dans les choix qui ont été faits par le système scolaire dans l’enseignement élémentaire. Et dans la perte de temps dans des activités inutiles, comme l’éducation à la sexualité. Il faut du temps pour apprendre à lire.

    Ces choix s’appuient sur des mécanismes idéologiques irresponsables et organisés autour d’un discours obscur et incompréhensible. Ces choix signent le dérèglement de l’esprit contemporain et la décadence du jugement. Dans son livre La destruction de l’enseignement élémentaire et ses penseurs, Liliane Lurçat, psychologue française (1928-2019), souligne " l’échec dû à l’esprit de système qui envahit la pratique pédagogique". Elle ajoute: " L’échec se généralise au point que dans les centres médico-psycho-pédagogiques, on se plaint de devoir rééduquer des enfants intelligents, que l’école casse par des méthodes aberrantes". Il s’agit donc bien d’un crime. Les criminels tiennent le haut du pavé, imposent un véritable terrorisme qui interdit toute critique

    Des méthodes pédagogiques hasardeuses se substituent à la transmission du savoir. Ainsi, Philippe Meirieu, longtemps le patron de l’Institut national de la Recherche pédagogique, déclare:

    "Apprendre à lire, c’est prendre le pouvoir sur les autres". Cette phrase porte une lourde charge marxiste. L’apprentissage de la lecture a toujours été réservé aux bourgeois. Non. Au contraire, lire et écrire permet de s’insérer dans un ordre symbolique commun qui constitue un héritage. Meirieu-Diafoirus oublie ou plutôt refuse la nature sacrée de l’acte d’enseigner, la transmission de l’héritage par les héritiers que nous sommes.

    Le désastre touche à toutes les disciplines par la dissolution de l’acte d’enseigner.

    Liliane Lurçat insiste sur ce point: "Une des idées martelées à notre époque au sein de l’institution scolaire… est qu’il n’y a pas de lien entre l’acquisition des connaissances et leur transmission, ou plus radicalement, qu’il n’y a pas de transmission, mais seulement une construction des savoirs".

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