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histoire - Page 2

  • Déclin des performances scolaires et responsabilité des pédagogues

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    D’après The Epoch Times, et Breizh-Info, les performances scolaires déclinent malgré une dépense accrue au profit de l’Education nationale: 55 milliards d’euros en 2022, contre 46 milliards en 2013. La dépense par élève est passée de 6 470 euros à 7 920 euros. La Cour des comptes estime que le fonctionnement de l’école primaire est " en décalage avec les besoins de l’élève". L’école primaire française accuse un retard préoccupant en matière d’efficacité et d’équité.

    Dans le même temps, le nombre d’élèves a diminué de 6,6%. Des réformes et un discours ministériel ont martelé la priorité au primaire. Le taux d’encadrement a légèrement augmenté. Des milliards ont été injectés dans les dispositifs d’aide individualisée, ou de dédoublement de classe.

    "En dépit d’une augmentation constante ces dix dernières années de la dépense consacrée à l’école primaire (maternelle et élémentaire), le niveau des élèves a suivi une tendance inverse".

    Les résultats des élèves ne se sont pas améliorés. Selon les enquêtes internationales, les élèves français restent à la traîne dans les compétences fondamentales: lecture, mathématiques, compréhension de texte. Les élèves lisent de plus en plus mal. Les fondamentaux ne sont plus acquis en fin de primaire.

    Le redoublement a chuté, en raison des consignes administratives. Les élèves issus des niveaux les plus modestes restent les plus exposés à l’échec scolaire.

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  • Les razzias sarrasines dans le sud de la France ont duré plus de mille ans

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    Il est nécessaire de revenir, une fois de plus, sur les razzias barbaresques exercées sur les côtes de Méditerranée car cette période est mal connue et surtout cachée presque systématiquement par le club des gens "qui pensent bien".

    Souvent on s’imagine qu’après la libération de l’évêque Mayeul, kidnappé par les Sarrasins et libéré par Guillaume de Provence après la bataille de Tourtour en 973, les Sarrasins avaient définitivement cessé de nuire. Rien n’est plus faux. Ils ont été chassés de France, mais n’ont cessé de revenir pirater, razzier, piller le pays. Jusqu’en 1830, date de notre arrivée à Alger.

    Donc 1100 ans de présence sur nos terres, de 704 date de la première razzia, en Corse, jusqu’en 1830.

    Car certains pensent aussi que les razzias ont arrêté 250 années après Tourtour. Mauvaise lecture de l’histoire? Volonté de la maquiller? Ou naïveté?

    On nous parle de Toulon et on dit généralement que la ville a été pillée deux fois au XIIe siècle. C’est faux. Elle a été pillée en 1119, 1148, 1176, 1178 au XIIe siècle, donc quatre fois. Sans parler des autres siècles. Chaque fois, les Sarrasins emmenaient 300 habitants et tuaient les autres. Et avant de partir, ils mettaient le feu à la ville, ne laissant derrière eux que des ruines fumantes. Et ce, jusqu’à ce qu’à la fin du XIVe siècle la ville soit fortifiée.

    Les hommes étaient emmenés à Alger au bagne, pour servir comme ouvriers et menaient une vie très dure. On leur écrasait les testicules, pour éviter qu’ils puissent avoir des enfants. Les femmes devenaient servantes, esclaves sexuelles.

    Un épisode de l’histoire de Toulon n’est pas connu. On n’en parle pas. C’est lorsque François Ier a conclu une alliance avec Barberousse contre Charles Quint, en 1543. Barberousse est venu à Toulon avec deux cents bâtiments dont 110 galères; cette armée était entièrement nourrie par la ville de Toulon.

    Les Toulonnais ont dû partir, abandonnant leurs biens aux Turcs, sous peine d’être pendus. Les Turcs traitèrent la ville comme un pays conquis par eux, c’est-à-dire très mal. Quand ils se retirèrent au bout de six mois, en mars 1544, tout était ruiné.

    La cathédrale de Toulon avait été convertie en mosquée. Interrogé à ce sujet, l’ancien évêque de Toulon, Mgr Rey (injustement démis de ses fonctions par François) l’ignorait.

    Toulonnais, le Chevalier Paul, qui a donné son nom à une rue, a été chargé par Louis XIV de détruire les Barbaresques. Il écrivit au roi: "Pour couper la racine de cette abominable canaille… ", il faut aller à Alger.

    On comprend mieux pourquoi une large bande côtière en Italie du sud était déserte ou désertée. La côte d’azur en France ne s’est développée qu’après 1830. Les petits ports de pêche étaient réduits à leur plus simple expression. Les villages étaient construits sur des pitons rocheux, si possible tournant le dos à la mer, et fortifiés, et ce sur tout le pourtour de la Méditerranée. J’ai visité dans les Cyclades une petite île du nom de Folegandros. À l’époque, on ne voyait rien de la mer. Et si les Sarrasins revenaient?…

    Même loin à l’intérieur des terres les Sarrasins arrivaient à sévir.

    Autour de Toulon, quand on va lire les archives municipales, tous les villages ont connu des razzias. À Sanary en 1610, on raconte que les Sarrasins ont envahi le domaine de Lançon. Les parents s’étaient absentés en y laissant leurs sept fils. Ils se battirent vaillamment mais furent tous tués. Une chapelle est construite sur l’emplacement, la chapelle d’Espaime car la maman s’est pâmée en découvrant l’horreur.

    Et chaque ville, chaque village de Provence est marqué par ces attaques sanguinaires. De Nice à Marseille. À Saint-Tropez aussi on raconte d’horribles histoires.

    Très rapidement, les consuls tinrent des listes de personnes kidnappées et rassemblèrent de l’argent pour racheter les prisonniers. Mais parfois ils étaient si pauvres qu’ils n’y arrivaient pas. Des congrégations religieuses se créèrent pour faire ce rachat, les Trinitaires et les Mercédères, entre autres.

     

    En 1685, par exemple, 30 000 livres ont été dépensées pour faire 37 rachats. Une autre année, un Sarrasin a été acheté 25 écus pour être prêt à Marseille à être échangé contre un prisonnier. Parfois l’argent arrivait trop tard, le prisonnier était mort au bagne.

    Il est bien connu que Cervantès, captif cinq années à Alger, de 1575 à 1580, a été enlevé et libéré par rachat. Cervantès a été racheté après mille aventures, dont la trahison d’un père dominicain qui a dénoncé son projet d’évasion, pour la somme de 500 pièces d’or. Vincent de Paul a été esclave à Tunis en 1657. Il a réussi à s’échapper.

    Enfant j’habitais Paris mais je passais toutes mes grandes vacances en Provence. Je jouais avec une voisine, et au milieu d’un jeu elle criait de manière stridente: "Maure à la Côte"! Et nous devions courir à toutes jambes loin et longtemps. On ne devait réapparaître que lorsque tout danger était écarté!

    Il est clair que ce jeu existait depuis la nuit des temps, pour apprendre aux enfants à se cacher efficacement. D’ailleurs les adultes aussi dès que le guetteur avait poussé son cri de la Tour Sarrasine (omniprésente et faite pour guetter et cela aussi est occulté par la doxa) devaient tout lâcher et aller se cacher.

    Il y a quelques années au Portugal lors d’une réunion politique, un plaisantin a crié en portugais "Maure à la Côte"! Et la salle s’est vidée en un clin d’œil. Preuve que les Maures étaient encore craints, dans l’inconscient collectif.

    Ces histoires de razzias ont été transmises dans les familles. Elles sont restées dans les histoires locales. Et aussi dans la tradition orale, plus forte que tous les programmes scolaires qui cachent la vérité volontairement.

    Et même après 1830: les pilotes de l’aéropostale étaient régulièrement faits prisonniers et réduits en esclavage par la tribu arabe des Reguibats. Saint-Exupéry en 1928, Mermoz en 1926. Ils furent ensuite rachetés par leur entreprise.

    Comme quoi avec les auteurs de razzias il faut toujours et encore se méfier. Ils peuvent toujours recommencer.

    Et ce sont les Blancs qui, dans l’histoire, ont été le plus réduits en esclavage.

    Sophie Durand

     

    DÉSORMAIS JE SAIS POURQUOI MON AVERSION "INTUITIVE"

    En fait, on doit dire le mot: "atavisme"… des choses qui remontent de l'inconscient (généalogique)

    Ma famille maternelle vient de l'Aude, de temps immémoriaux.

    Du côté paternel, ma famille est émigrée d'Espagne depuis 1915

    Donc, je ne me suis pas trompée en prenant mon adhésion à un certain parti de "reconquista".

    Vers 1540, les rois d'Espagne ont engagé la "Reconquista" pour débarrasser leur pays des Sarrasins.

  • Hélas, la gauche

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    Comme l’Arabie Saoudite et la plupart des États mahométans ont une "muttawa" chargée de veiller à la stricte application de la charia, la France s’est dotée d’une institution comparable. Progressivement. Insidieusement. Œuvrant dans l’ombre depuis des décennies. Jusqu’à ce qu’elle soit assez forte pour s’exprimer au grand jour. Et exiger l’instauration d’un délit de blasphème. Couronnement de tous les délits d’opinion qui ligotent la liberté d’expression.

    TOUT A COMMENCE AVEC DES ÉDILES COMPLICES

    Depuis la fin du règne de Tonton Francisque, des milices islamiques contrôlent des enclaves étrangères hostiles. Harcelant et agressant les femmes qui refusent de porter le hidjab. Tabassant ceux qui osent boire ou manger pendant le ramadan. Menaçant les enfants qui ne sont pas assidus à l’école coranique, et punissant les impies. Dénoncés par des voisins bigots s’ils esquivent les cinq prières en se livrant à des activités commerciales, sociales ou sportives.

    Les municipalités le savent, mais laissent faire. Attribuant locaux et subventions aux nervis islamistes. Ils tiennent au calme relatif que ceux-ci sont censés assurer. Et dans la mesure où ils ont accepté la segmentation du territoire national et les dislocations identitaires de la société française, ils justifient leur lâcheté en arguant que "après tout, tant qu’ils s’arrangent entre eux, ça ne nous concerne pas".

    Lorsque la charia supplante le code civil dans les relations familiales et pécuniaires, avec des imams qui ont remplacé les juges de paix, ce clanisme n’interpelle pas les élus. Et quand des contrats et des activités économiques sont régis par des coutumes et des textes religieux étrangers, ce tribalisme ne les perturbe pas. Avec cette antienne qui justifie tout: " tant qu’ils restent entre eux…"Même lorsque leurs activités, licites ou non, débordent de leur cadre de prédilection.

    Même le code pénal n’est plus appliqué qu’épisodiquement. Tant que les délinquants ne quittent pas leur territoire de prédation érigé en sanctuaire, la police est invitée à regarder ailleurs, et les décisions de justice ne sont pas appliquées. Seuls les terroristes qui se prennent pour des guerriers de la foi peuvent être inquiétés. Mais alors, il faut des unités spéciales qui transforment les "quartiers" en répétition générale d’une guerre intestine à la libanaise.

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