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Science - Page 11

  • Archi-faux par les faussaires du climat!

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    En France, le pouvoir a fermé de façon arbitraire des labos où officiaient des hérétiques, avant d’actionner sa police politique ARCOM pour traquer les médias donnant un temps de parole aux climato-sceptiques. À l’inverse, aux USA, l’administration Trump a décidé d’en finir avec le cirque "woke" de l’ère Biden.

    Les agences fédérales ont été invitées à fermer les programmes et activités relevant de l’activisme climatique. Fini les subventions pour des études bidon dédiées au réchauffement et aux gaz à effet de serre. Furieux, les médias menteurs ont accusé la NASA d’avoir viré sa "prestigieuse directrice scientifique" (sic). Sans dire qu’elle n’est ni astrophysicienne ni ingénieur. Mais écologiste bossant pour l’IPCC.

    Les médias du NWO ont beau se déchaîner pour convaincre les peuples de l’imminence de la catastrophe, justifiant taxes et pertes de libertés, la température moyenne mondiale sur le long terme est plutôt à la baisse!

    De grossiers manquements à l’intégrité scientifique et à l’éthique servent à renforcer les discours des réchauffards

    La désinformation climatique est devenue la règle dans les médias. La science n’a plus son mot à dire. Les réchauffards sont des militants d’ultra-gauche décidés à imposer leur point de vue par les moyens les plus autoritaires et déloyaux, à défaut de pouvoir convaincre lors de débats avec des contradicteurs qualifiés.

    La passivité, le conformisme, l’aveuglement et le manque de courage de la communauté scientifique ont aggravé le phénomène, auprès d’une caste politico-médiatique ignare qui aurait été collée avec des notes éliminatoires au bac sciences des années soixante.

    Début 2025, Sveriges Radio la radio publique suédoise a diffusé une enquête sur les exagérations, falsifications et mensonges sur le changement climatique colportées par l’ONU dont le GIEC est une officine de propagande. Parmi les innombrables fausses informations destinées à terrifier les Béotiens pour mieux les taxer et les asservir, quatre ont été retenues parmi les plus récentes.

    1/ La désinformation sur l’élévation du niveau de la mer dans l’archipel des Samoa

    Dans un reportage bidonné d’août 2024, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, visite une maison abandonnée, "en raison des dégâts causés la montée des eaux de l’océan Pacifique, conséquence du réchauffement climatique", dit-il.

    Le socialiste Guterres se prendrait-il pour un grand savant parce qu’il réparait des télés avant de faire de la politique? Qu’importe, ses conseillers lui avaient suggéré de ne pas trop s’exposer personnellement. Mais à son niveau de pouvoir, assuré de la complaisance des uns et de la cécité des autres, Guterres s’est mis en scène en train de commenter avec des sanglots dans la voix, la visite d’un faré délabré.

    "Ceux qui vivaient dans cette maison ont été chassés de chez eux par le réchauffement climatique. La montée du niveau de la mer s’accélère. Elle est deux fois plus élevée que dans les années 90. Si nous ne faisons rien, les Samoa seront englouties". Avec des volcans s’élevant jusqu’à 1850 mètres? Ce cuistre connaît la géographie comme Macron.

    Ola Sandstig, un journaliste suédois, a retrouvé les rescapés qui avaient abandonné leur maison et découvert qu’ils l’avaient quittée à cause du tremblement de terre et du tsunami de 2009. Là où la terre s’est affaissée après le séisme, la mer a envahi la zone. Sans incidences ailleurs. Les tremblements de terre et les tsunamis n’ont rien à voir avec le prétendu réchauffement climatique. Pas plus qu’il ne rallume les volcans comme le croit Greta, docteur ès pataphysique.

    Sans voir qu’il se tirait une balle dans le pied, Guterres s’est lancé dans une évaluation fantaisiste de l’augmentation de la fréquence et de l’intensité des cyclones tropicaux dans le Pacifique Sud. Caramba, encore raté! Les données mondiales ne montrent pas une tendance à la hausse, et même plutôt une baisse dans la période 2000-2010.

    Pour la radio suédoise, "la séance photo et le communiqué de presse du secrétaire général de l’ONU aux Samoa ne peuvent être décrits que comme une tentative intentionnelle d’induire le public en erreur".

    2/ Selon les crapules de l’ONU, 1,7 million d’enfants de moins de 5 ans mourraient chaque année à cause d’un réchauffement du climat d’origine anthropique.

    Dans quels pays? On ne le dit pas. Sans effectuer la moindre vérification, l’UNICEF a repris cette estimation fantaisiste à son compte. Mais à l’UNICEF suédois, ils sont plus rigoureux que la maison mère. Après que des scientifiques de terrain et des statisticiens leur aient prouvé le mélange de supercherie et d’exagération du communiqué onusien, ils ont rectifié leurs déclarations.

    "Environ un million et demi d’enfants meurent chaque année dans le monde, à cause de facteurs environnementaux tels que la pollution de l’air, les rejets industriels toxiques et l’eau sale infectée de germes pathogènes".

    Cela peut sembler peu, vu l’hygiène déplorable et le sous-équipement sanitaire et médical dans les pays du tiers et du quart monde. Mais il faut tenir compte d’un phénomène de sélection naturelle après mithridatisation, transmissible par les voies de l’épigénétique, même si ce point n’est pas encore entièrement documenté.

    3/ Les femmes et les enfants courent 14 fois plus de risques de mourir que les hommes à cause du réchauffement climatique!

    Ces chiffres complétement farfelus sont repris sur les publications et les sites de l’ONU, et de ses satellites UNESCO, FAO (agriculture et alimentation), PNUD (développement économique), UNDRR (anticipation des risques) et UICN (protection de la nature).

    La source est hautement fantaisiste. Il s’agit d’un prêchi-prêcha dépourvu de toute approche scientifique, rédigé pour motiver les dons des fidèles, par un pasteur de Church World Service. Une méga secte œcuménique américaine qui ne présente aucune étude pour étayer ses affirmations. Reprises in extenso, parce que ça renforçait le vent de panique dont les réchauffistes ont besoin pour gonfler leurs voiles.

    En 2024, le Norvégien Henrik Urdal, réchauffard et directeur de l’Institut de recherche sur la paix, a posé la question suivante à propos de ces chiffres fallacieux : " Est-il acceptable de mentir pour une bonne cause? ". Il ne pouvait pas aller plus loin et demander si les trucages destinés à affoler les populations ne servaient pas à augmenter les budgets des organisations parasites de l’ONU… Puisque Urdal lui même fait partie de ces inutiles grassement payés.

    4/ L’assertion selon laquelle le nombre de catastrophes liées aux conditions climatiques aurait été multiplié par cinq au cours des 50 dernières années, toujours selon Guterres

    Dans la réalité, le nombre des catastrophes climatiques n’a pas augmenté de manière substantielle, bien au contraire, puisque en 1931, 3,7 millions de personnes sont mortes du fait de catastrophes naturelles. Pour 11.000 seulement en 2018. Alors qu’entre temps, la population mondiale a quadruplé. Mais les rapports de sinistres sont devenus plus nombreux et rapides, donc plus faciles à diffuser.

    La statistique onusienne est trompeuse parce que les communications moins chères couvrent davantage de pays, et sont maintenant accessibles sans formation particulière. On a donc obtenu à la fin du siècle dernier davantage de rapports sur les événements. Mais depuis l’an 2000, le nombre des catastrophes signalées est resté stable.

    Quant à l’accélération du nombre des cyclones, un mensonge de plus pour terroriser les foules, Richard Lindzen, physicien au MIT, démissionnaire avec fracas du GIEC comme tant d’autres refusant ces supercheries, a déclaré que " si le réchauffement climatique était avéré, la réduction du potentiel de température entre les zones tempérées et tropicales rendrait l’énergie cyclonique beaucoup moins dévastatrice".

    Et contrairement à ce qu’ânonnent les diffuseurs de prêt-à-penser, si l’on fait une statistique depuis le temps de la flibuste dans les Caraïbes, grâce aux capitaines et aux ecclésiastiques qui notaient tout, la fréquence et l’importance des tempêtes tropicales et des cyclones tendent à diminuer sur une période longue. Un caillou de plus dans le marigot putride du GIEC.

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Découverte d’un potentiel gisement d’hydrogène colossal en Lorraine

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    Et, depuis fin août 2023, "ils" ont rien fait pour nous l'approprier et nous faire payer moins cher nos factures d'énergie?????

    En recherche scientifique comme ailleurs, il arrive que l’on découvre quelque chose que l’on ne cherchait pas, voire même que l’on découvre quelque chose d’intérêt supérieur à ce que l’on cherchait. C’est la sérendipité. C’est ce qui nous est arrivé en sondant le sous-sol lorrain depuis la commune de Folschviller et en y dénichant un gisement potentiel d’hydrogène blanc. Sous ce territoire encore durablement affecté par la désindustrialisation pourrait ainsi sommeiller rien moins que le plus gros réservoir mondial connu à ce jour, de ce gaz, qui suscite de plus en plus d’intérêt dans le cadre de la transition énergétique.

    STATUER SUR NOS RESSOURCES EN METHANE ET DECOUVRIR DE L’HYDROGENE

    En tant que membres du Laboratoire GeoRessources de l’Université de Lorraine et du CNRS, le but premier de notre exploration était d’évaluer l’état du méthane dans le sous-sol lorrain afin d’en estimer la ressource et de voir si une production locale de ce gaz était envisageable. Pour poursuivre cet objectif, nous avons dû développer des technologies innovantes pour ausculter in situ et en continu les formations géologiques du Carbonifère (période géologique allant d’il y a 359 à 299 millions d’années).

     

    Cela a notamment été possible grâce à l’invention de la sonde SysMoG en collaboration avec la société Solexperts, un outil qui nous a ainsi permis d’analyser les gaz dissous dans l’eau dans les formations géologiques jusqu’à 1200 m de profondeur, une première mondiale, respectueuse de l’environnement. En effet, le travail de miniaturisation de la sonde SysMoG nous permet une telle auscultation du sous-sol à partir de puits d’un diamètre intérieur de 6 cm!

     

    En poursuivant ainsi le monitoring chimique des strates géologiques et des gaz accompagnateurs du méthane, nous avons été surpris de constater que l’hydrogène était présent en forte proportion et que sa concentration augmentait avec la profondeur pour atteindre 20 % à 1 250m de profondeur. De telles proportions nous permettent désormais de considérer qu’à 3000 m de profondeur, la teneur en hydrogène pourrait dépasser 90 %, d’après nos modélisations. Ainsi et sur la base des données gazières à -1 100m (14 % d’hydrogène), ce gisement lorrain pourrait contenir jusqu’à 46 millions de tonnes d’hydrogène blanc, c’est-à-dire plus de la moitié de la production annuelle mondiale actuelle d’hydrogène gris.

    LES DIFFERENTES COULEURS DE L’HYDROGENE

    Blanc? Gris? Derrière ces " couleurs " de l’hydrogène se cache en fait sa provenance en lien avec son mode de production. Pour rappel, l’hydrogène est un gaz qui, la plupart du temps, est combiné à d’autres éléments, dans l’eau, dans les énergies fossiles…

    L’hydrogène gris correspond ainsi à l’hydrogène produit en usine par transformation de gaz naturel. Il s’agit actuellement de la première provenance d’hydrogène utilisée comme source d’énergie, qui est critiquée pour la quantité de CO2 émise durant le procédé. L’hydrogène noir est quant à lui produit à partir de charbon, l’hydrogène vert est lui le résultat d’électrolyse de l’eau avec de l’électricité produite à partir d’énergie renouvelable. Pour toutes ces formes d’hydrogène, on parle donc d’énergie secondaire. L’hydrogène blanc, qui nous intéresse ici, correspond à l’hydrogène déjà présent en l’état dans la nature. Il s’agit alors d’une source d’énergie primaire.

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    Dispositif autour de la sonde permettant le monitoring gazier du sous sol jusqu’à plus de 1000 m

    Dispositif autour de la sonde permettant le monitoring gazier du sous sol jusqu’à plus de 1000 m. GeoRessources, Fourni par l'auteur

    Sa disponibilité à l’état brut le rend des plus intéressant à l’heure où l’hydrogène pourrait remplacer les énergies fossiles dans les secteurs des transports ou dans les fabrications très énergivores du verre, de l’acier et du ciment, mais où des voix s’élèvent aussi pour questionner l’empreinte carbone de ses modes de production.

    LA PISTE D’UN HYDROGENE ISSU DE PHENOMENES D’OXYDATION ET DE RÉDUCTION

    Directement disponible, ce gisement potentiel d’hydrogène blanc a donc l’immense avantage de ne pas nécessiter d’énergie supplémentaire pour être produit à partir d’autres gaz ou molécules. Il suscite également notre enthousiasme car l’hypothèse que nous favorisons aujourd’hui pour expliquer sa présence dans le sous-sol lorrain laisse présager une ressource presque infinie de ce gaz.

    Pour rappel, l’hydrogène est très fréquemment présent dans le milieu naturel et son origine peut être multifactorielle (activité bactérienne, artefact technologique, origines géologiques impliquant les phases minérales ou organiques). Concernant la Lorraine, nous privilégions pour l’instant l’idée que l’hydrogène est ici le résultat de la présence, à la fois de molécules d’eau et de minéraux composés de carbonates de fer.

    Deux composés qui, lorsqu’ils entrent en contact, génèrent des réactions d’oxydation du minéral et de réduction de l’eau, qui aboutissent à la production d’hydrogène (H2) et d’oxydes de fer. Si cette hypothèse se confirme, cela impliquerait que cette production d’hydrogène, en plus d’être colossale et naturelle, pourrait donc être presque " renouvelable " car ces processus chimiques d’oxydation et de réduction demeurent rapides (de l’ordre de quelques semaines ou mois) et car la réserve de carbonate de fer dans le sous-sol lorrain est quasi infinie.

    LA PROCHAINE ÉTAPE: UN FORAGE A 3 000 MÈTRES

    Avant d’imaginer l’exploitation d’un tel gisement, la route peut paraître encore longue mais le chemin à suivre est lui déjà bien tracé. Il nous faut d’abord prouver que la présence d’hydrogène est homogène dans ce bassin de 490 km2. Pour cela, la prochaine étape consistera à déployer la sonde SysMoG dans des forages voisins de celui de Folschviller où nous avons découvert la présence d’hydrogène. Ensuite, il nous faut démontrer que la concentration en hydrogène continue de croître pour des profondeurs supérieures à 1200 m.

    Malheureusement, aucun puits en région lorraine ne permet de déployer l’outil à de telles profondeurs.

    Image du centre industriel avec les anciens bâtiments de l’industrie minière

    À Folschviller, la dernière mine de charbon a fermé en 1979. La ville a depuis perdu un cinquième de sa population. Aujourd’hui, la perspective d’une exploitation du gisement d’hydrogène est bien accueillie par les pouvoirs locaux. A.BourgeoisP/Wikimedia, CC BY-SA

    Nous proposons donc de réaliser un forage profond (3000 m) pour démontrer que la concentration d’hydrogène continue de croître en profondeur. Si tel est le cas, nous validerons alors la présence d’un gisement exceptionnel d’hydrogène naturel de taille inédite et nous pourrons mener une première estimation réaliste de la ressource. Plusieurs partenaires industriels et institutionnels, français et étrangers, sont intéressés pour financer ce projet. Il nous reste à convaincre l’État français de son intérêt, afin d’obtenir les autorisations nécessaires. L’ensemble de ces étapes serait conduit au travers d’un programme de recherche REGALOR II, que nous espérons démarrer au premier trimestre 2024 pour une durée de 3 à 4 ans maximum. Ce n’est donc pas un futur si éloigné au vu des enjeux économiques qui se dessinent.

    IMAGINER DE NOUVELLES EXPLOITATIONS DE GISEMENTS DE GAZ NATURELS

    L’idée de pouvoir, un jour, exploiter un tel gisement implique également de repenser nos représentations de gisements de gaz naturels exploités à ce jour. Les pressions de gaz sont ici près de dix fois plus faibles que pour un gisement conventionnel mais l’extension latérale du gisement est bien plus grande. Ce nouveau type de gisement doit donc être source d’innovations. On peut par exemple envisager de n’extraire que les gaz d’intérêt par une séparation en fond de puits afin d’éviter de construire une unité de séparation en surface. Cette manière de procéder nous assurerait également de ne pas empiéter sur les terres agricoles.

    Une meilleure compréhension de la genèse de ce gisement permettrait également de décrire les formations rocheuses favorables à l’émergence d’hydrogène en termes de composition minéralogique, de chimie des eaux, de température subie et de profondeur d’enfouissement, et donc de produire de nouveaux guides de prospection afin de sonder les sous-sols d’autres régions. Plusieurs pays, frontaliers ou non, se montrent déjà intéressés. Nos amis des Hauts-de-France sont évidemment dans les starting-blocks.

    Un hydrogène encore objet de peurs excessives

    Pour le grand public, l’hydrogène peut cependant parfois faire peur, du fait, notamment dans les esprits plus âgés, d’images du Zeppelin LZ 129 Hindenburg. Gonflé à l’hydrogène, ce dirigeable, en explosant en plein vol en 1937 a durablement entaché l’image de ce gaz. Comme tous les gaz fossiles, certes, l’hydrogène est inflammable et explosif. Il peut former des mélanges explosifs dès que sa concentration dépasse 4 % dans l’air. Cependant, il n’y a pas de risque d’explosion dans le milieu souterrain, notamment dans les roches carbonifères de Lorraine, car il n’y a pas d’oxygène. Un des défis d’une potentielle exploitation future consiste donc à éviter tout contact de l’hydrogène avec l’oxygène de l’air dans les unités de séparation et de distribution.

    Pour le grand public, l’hydrogène peut cependant parfois faire peur, du fait, notamment dans les esprits plus âgés, d’images du Zeppelin LZ 129 Hindenburg. Gonflé à l’hydrogène, ce dirigeable, en explosant en plein vol en 1937 a durablement entaché l’image de ce gaz. Wikimedia

    Par ailleurs, l’hydrogène est un gaz léger, qui s’échappe par le moindre orifice ou simplement en diffusant au travers des matériaux. C’est ce qui explique les difficultés pour le stocker de façon pérenne. Mais la manipulation de l’hydrogène est courante, tant dans l’industrie que pour le transport et ces risques sont maîtrisés depuis longtemps.

    En Lorraine, après nos premières découvertes à Folschviller, nous avons ressenti de l’enthousiasme auprès des élus des communes environnantes et un véritable soutien à poursuivre l’exploration. Le passé minier de cette région qui continue d’être affectée par les crises industrielles récentes (du charbon, de l’acier) reste pour nous un atout considérable pour toute possible exploitation d’hydrogène dans le futur, car la population connaît bien le sous-sol de la région et dispose de compétences techniques fortes. Cet enthousiasme est aussi partagé par une autre région de France: les Hauts-de-France au passé minier fort similaire. Il s’étend aussi à nos voisins transfrontaliers: le Grand-Duché du Luxembourg, la Sarre et la Wallonie.

    31 août 2023

    Auteurs: Jacques Pironon - Directeur de recherche au CNRS, Université de Lorraine

    Philippe de Donato - Directeur de recherche au CNRS, Université de Lorraine

    The Conversation - CC BY ND

     

    Et, depuis fin août 2023, "ils" ont rien fait pour nous l'approprier et nous faire payer moins cher nos factures d'énergie?????

  • La France est sauvée!

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    La France vient de découvrir en Lorraine un gisement profond d’hydrogène qui est l’équivalent de 1300 années de consommation mondiale de pétrole…

    Je me pince, j’ai vérifié, ce n’est pas une fake news.

     

    https://newsly.fr/2025/03/03/la-france-decouvre-un-tresor-energetique-28-milliards-de-tonnes-dhydrogene-soit-1-300-ans-de-petrole-en-reserve/

     

    J’en reste encore abasourdie: Que faut-il en penser?

    À travers des études géologiques poussées, des chercheurs ont mis en lumière une gigantesque réserve d’hydrogène naturel, estimée à 2,8 milliards de tonnes. Cette quantité phénoménale d’hydrogène pourrait potentiellement couvrir 1 300 ans de consommation mondiale de pétrole, offrant ainsi une alternative aux énergies fossiles traditionnelles. Contrairement aux méthodes d’extraction des hydrocarbures, l’exploitation de cette réserve ne nécessite pas de fracturation hydraulique, ce qui réduit considérablement les impacts environnementaux. Cette approche plus respectueuse de l’environnement pourrait bien être le catalyseur d’une nouvelle ère énergétique.

    Le processus de formation de cette réserve d’hydrogène est intrigant, combinant activité tectonique et réactions minérales. Ce contexte géologique unique a permis le développement de cette source d’énergie inexploitée jusqu’à présent. La découverte de cette réserve ouvre des perspectives fascinantes pour la recherche scientifique et technologique, tout en plaçant la France au centre d’une révolution énergétique en devenir.

    La France n’a pas de pétrole mais elle a des idées… et désormais de l’hydrogène! Bien entendu, il va falloir de l’organisation et des efforts pour exploiter cette richesse dingue, qui appartient au peuple français et non à ces infâmes corrompus du système, qu’on doit dégager fissa.

    Rapide tour d’horizon:

        -on n’aura plus besoin de pétrole et de gaz externe puisque on aura 1000 fois plus chez nous;

        -on ne subira plus le chantage infâme des États pétroliers et gaziers (pétrole contre armement, immigration, soutien de la dette souveraine, terrorisme islamique, entrisme des Frères musulmans, etc.);

    LA FRANCE SERA A NOUVEAU RESPECTEE.

    Elle pourra imposer au monde son point de vue et sa culture flamboyante.

    On ne moquera plus ses représentants comme on le fait des pitoyables fossoyeurs dont on se lamente en 2025.

    Les entreprises seront florissantes, l’État se désendettera, pourra optimiser ses administrations, ne pèsera plus mortellement sur l’activité économique, investira dans ses pépites et génies nationaux, étant de nouveau géré par une nouvelle génération de sages visionnaires disciples de Jacques Rueff.

    L’ORDRE ET LA SECURITE REGNERONT.

    Les Français retrouveront leurs indices de bonheur et d’efficience économique qui leur font cruellement défaut depuis 40 ans.

    Quand on lit cet article on comprend immédiatement que nos maux récurrents auront très rapidement, sous dix à vingt ans, une fin digne d’un conte de fées.

    C’est à portée de mains.

    RETROUSSONS NOS MANCHES!

    On peut à nouveau rêver, pour nous, nos enfants et petits-enfants, d’un avenir radieux…

    N’écoutons plus les prophètes de l’Apocalypse comme certains bateleurs de foire …

    Une révolution géopolitique mondiale est cachée sous les pieds des Français.

    Alors que tout nous semblait perdu, c’est tout bonnement incroyable.

     

    P.S.:  écrit à l'aide de plusieurs informations