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Opinions - Page 31

  • Ils ont été esclavagisés? Génocidés?

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    1/ l’esclavage a été de tous les temps et sur toute la planète. En Asie, en Afrique, en Europe et en Amérique, y compris avant l’arrivée des colons blancs.

    2/ l’esclavage tribal africain est absent de leurs pensées puisque l’Africain, inventeur de toutes choses, vivant dans un paradis, a été incapable par définition de pratiquer toute forme d’exclusion, d’esclavage.

    3/ La vente d’esclaves par des Noirs aux Arabo-musulmans et aux Blancs est aussi absent de leurs pensées. Pour les mêmes raisons d’ailleurs.

    4/ l’esclavage arabo-musulman, qui dura pourtant 14 siècles, fit environ 17 millions de morts. C’est extrêmement bien documenté par des récits, des photos, et des constats faits par des historiens, y compris noirs. Cette traite aura castré tous les mâles noirs pour mieux les vendre aux riches Arabes du Golfe. On notera qu’un castré blanc valait dix fois plus cher qu’un castré noir.

    5/ Car les Blancs du Caucase n’ont pas été épargnés par la traite négrière de l’Empire Ottoman. La meilleure représentation sont les Mameluks et les Janissaires. Tous d’origine serbe, roumaine, bulgare, etc. Sans compter les esclaves capturés par les barbaresques et envoyés pour la vente à Tripoli, Tunis et Alger.

    Cet esclavage a été dénoncé dans le "génocide voilé" de Titiane Ndiaye et autres par des historiens africains comme Kakou Ernest Tigori dans "L’Afrique à désintoxiquer" ; "Pour la Côte d’Ivoire" ou "Pauvre Afrique", "le Souverain noir" qui a reçu le prix Mandela en 2013.

    Sans compter Bernard Lugan, ou même Clémenceau dans ses récits sur l’Afrique au 19e siècle.

    Alors pourquoi cette vision de l’esclavage avec des lunettes à la Taubira ?

    Comme je l’écrivais il y a peu, tout vient de cette volonté des dirigeants européens de détruire la culture historique des peuples, des nations européennes.

    Cette volonté de vouloir une terre sans symbole, sans véritable culture, sans assise historique et prête à l’emploi. C’est-à-dire des peuples remplacés culturellement par une culture venue d’ailleurs.

    Ces dirigeants n’ont pas d’enfants pour la plupart, et non aucune empathie pour l’imaginaire historique. La majorité d’entre eux pensent que l’histoire de France démarre dans le sang des révolutions de 1789-1793.

    Ces révolutions ont fait plusieurs milliers de morts, commis le génocide vendéen et auront abouti in fine, à des révolutions plus sanglantes encore et aussi à l’émergence de partis politiques totalitaires dits socialistes, comme le communisme, le fascisme et le nazisme qui se sont entre-déchirés sur le dos des peuples.

    Les Africains disent avoir souffert?

    Ce sont plutôt les Européens blancs.

    S’ils l’avaient voulu, ils sauraient que les tirailleurs sénégalais n’étaient pas nécessairement des Sénégalais. Ils ont été recrutés dans toute l’Afrique subsaharienne, aussi bien en Afrique de l’Est qu’en Afrique centrale et de l’Ouest et ils ont participé à la colonisation et au maintien de l’ordre, y compris en Algérie.

    C’est 97 100 Africains noirs qui furent tués lors de la guerre de 14/18. Les Français ont été 1 397 800 à perdre la vie dans les tranchées.

    C’est 24 000 Africains noirs en 1939/45 qui furent fait prisonniers et moururent, contre 145 000 Français de souche tués.

    Allons plus loin!

    Selon les estimations, c’est environ 17 877 000 militaires morts sur les champs de bataille européens, dont 10 774 000 du côté des alliés et 7 103 000 du côté des forces de l’Axe.

    Les tués de l’Armée rouge constituent 53% du total des pertes militaires connues en Europe, ceux de la Wehrmacht 31%, ceux du Royaume-Uni 1,8%, ceux de la France 1,4% et ceux de l’armée nord-américaine 1,3%.

    Les pertes militaires de l’Union soviétique représentent 88% du total des pertes alliées en Europe. (Source)

    Où et dans quel pays d’Afrique l’hécatombe a-t-elle été égale en massacres?

    La colonisation a été faite, à l’origine, pour satisfaire des appétits commerciaux, et sur les bords des côtes africaines. Avec l’accord des rois et des chefs de tribus qui commerçaient en vendant leurs produits et leurs captifs noirs.

    Relire les historiens africains comme Kakou Ernest Tigori et Titiane Ndiaye, et d’autres.

    Les Européens, dont les Français, pénétrèrent en Afrique pour lutter contre les sacrifices humains dont le Roi Behanzin du Dahomey était coutumier, contre la traite négrière, contre le cannibalisme.

    Dans cette conquête, cette colonisation, il y a eu sûrement des abus, probablement de graves erreurs, mais rien à voir avec les guerres européennes, les pogroms, la Shoah ! Rien d’un génocide de Noirs en Afrique!

    Il suffit de voir la natalité des Africains entre le 18e siècle et le 21e siècle pour le comprendre.

    Il serait temps que les Français cessent d’être culpabilisés par de mauvais conseilleurs qui poursuivent le but de nous écraser et de détruire la France.

    Gérard Brazon

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

     

    SAVOIR

    L’hypocrisie sémantique habituelle EST de mise: plutôt que parler d’immigrés clandestins, après les "sans-papiers", les "migrants", les "mineurs isolés", la réalité est encore plus masquée derrière l'expression "mineurs non accompagnés"… réduite jusqu’à l’acronyme bureaucratique "MNA".

    PLUS PERSONNE n'est dupe, mais ils continuent leur propagande pour faire passer la pilule…

    La rédactrice

     

  • L’idéologie du genre, une réalité fabriquée par des idéologues progressistes

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    Jeudi 28 novembre 2024, en marge d’un déplacement à Marcq-en-Baroeul, dans la banlieue de Lille, Anne Genetet, ministre de l’Éducation de l"'époque!! est interrogée sur le futur programme d’éducation sexuelle, qui, dans sa version actuelle, comporte 17 références au concept d’identité de genre, c’est-à-dire l’expression intime et personnelle de son genre, profondément vécue par chacun. L’identité de genre est déconnectée du sexe assigné à la naissance, voire réassignée par un traitement chirurgical dans le cas des transsexuels. Anne Genetet martèle le refrain des militants woke: "La théorie du genre, ça n’existe pas".

    Avant elle, Najat Vallaud-Belkacem avait déjà nié l’évidence. 6 juin 2013, en tant que ministre du Droit des femmes: " La théorie du genre, je ne connais pas. Ce que nous voulons introduire, c’est un apprentissage de l’égalité entre garçons et filles".

    1er septembre 2014, en tant que ministre de l’Éducation: "La théorie du genre, ça n’existe pas. Je ne sais pas ce que ça veut dire. N’adoptons pas les mots de ceux qui par la rumeur et la manipulation cherchent à déstabiliser l’école".

    7 octobre 2016: "La théorie du genre, ça n’existe pas, ça n’existe pas. En tout cas, je ne l’ai jamais rencontrée".

    La théorie du genre se fonde sur cette thèse. L’identité sexuelle est avant tout une construction sociale. Les deux genres, l’homme et la femme, ne sont pas des réalités naturelles, ayant leurs racines dans la nature, mais sont une invention destinée à enfermer la femme dans un rôle figé. Il faut s’affranchir des considérations biologiques et anatomiques qui briment les individus.

    La différence sexuelle, la division sexuée de l’humanité, serait une construction strictement historique, sans fondement dans la nature, une mystification censée justifier l’asservissement des femmes. Le masculin et le féminin seraient de pures constructions sociales, des dispositifs idéologiques coercitifs assignant aux individus un sexe pour mieux les contrôler et les discipliner.

    Les catégories sociales et identitaires assignent à chacun une identité selon son sexe biologique.

    Ces catégories sociales, arbitraires, sans raison d’être, enferment l’individu dans un univers de possibles restreints, l’empêchent de s’inventer en pleine liberté.

    L’humanité, dans sa vérité originelle, serait indifférenciée, comme l’androgyne. Il faut revenir à cette humanité indifférenciée.

    Selon la théorie du genre, on peut faire le choix d’être homme ou femme. Le sexe biologique serait négligeable, il n’y aurait pas d’éternel féminin, pas d’éternel masculin.

    Bérénice Levet, philosophe et essayiste française, née en 1971, souligne: " L’identité sexuelle n’est plus un "donné", mais une expérience purement subjective". Il faut libérer l’être humain de l’assignation sexuelle, lui donner la possibilité d’expérimenter tous les possibles, comme s’il pouvait naître de sa propre volonté, comme s’il était délivré de l’héritage et du donné.

    Le féminin comme le masculin n’existent pas. La théorie du genre doit les déconstruire et les démystifier. La masculinité et la féminité relèvent de l’illusion. Il faut tout transgresser pour déconstruire ces catégories. D’où la fascination pour l’androgyne qui fait éclater ces catégories et qui apparaît à la manière d’une créature plus évoluée, transcendant la division sexuelle et la fracture entre l’homme et la femme. L’androgyne serait délivré.

    Depuis les années 1950, les études de genre se radicalisent et conduisent à la théorie du genre.

    Avant de devenir un concept majeur des féministes américaines, la notion de genre s’est forgée et imposée dans un contexte médical. Les médecins californiens travaillent sur la question. En 1955, John Money, psychologue et sexologue, spécialisé dans les cas d’hermaphrodisme ou d’intersexualité (1921-2006), est le premier à utiliser le terme de "genre".

    Alfred Kinsey, professeur d’entomologie et de zoologie (1894-1956), publie deux études sur le comportement sexuel des hommes en 1948 et des femmes en 1953. Son but affiché est de supplanter "l’ère chrétienne de procréation" en un paradis où tout est permis pour les bi, gays, pédophiles, normaliser les comportements considérés comme inacceptables, la sodomie, l’inceste, la pédophilie, la bestialité… Les programmes d’éducation sexuelle se fondent sur la philosophie sexuelle de Kinsey.

    Robert Stoller, psychiatre et psychanalyste américain (1924-1991), participe aussi à la théorisation et à la consécration de la notion de gender. Il reprend le mot "genre" en l’accolant au mot identité: "L’identité de genre à propos des transsexuels ne correspond pas forcément à l’identité de sexe".

    "L’identité de genre est essentiellement apprise".

    Ainsi, la problématique du genre naît avec ces médecins, John Money, Alfred Kinsey, Robert Stoller. À partir des troubles de l’identification de sexe ou de genre, à partir de ces cas pathologiques marginaux, des conclusions censées être universelles sont tirées. L’exception fondera la règle. Les partisans du genre reviennent toujours à ces exemples pour faire sauter la norme.

    À partir des années 1970, la notion de genre est introduite dans le champ des études féministes. Les études de genre apparaissent sur les campus américains.

    Mais le rôle de la France dans l’histoire du gender est essentiel. La scission nature-culture trouve sa première formulation philosophique chez Simone de Beauvoir (1908-1986). Elle prend le parti du néant contre l’être, elle soustrait les femmes à l’empire de la nature. La formule "on ne naît pas femme, on le devient" est comprise comme une émancipation à l’égard de la nature.

    L’entreprise post-moderniste de déconstruction est initiée par des philosophes français, Jacques Derrida, Michel Foucault, Jacques Lacan, Roland Barthes, Gilles Deleuze. Le discours crée le réel, c’est par le discours que les choses existent, ou n’existent pas. En conséquence, déconstruire signifie d’abord déconstruire ces récits, substituer un discours à un autre discours.

    Le genre étend au sexe son entreprise de déconstruction. La différence des sexes est traditionnellement fondée en nature. Le genre fait apparaître cette différence des sexes comme un artifice façonné par les discours. Il n’y a ni femme, ni homme, il n’y a que des discours sur le masculin et le féminin.

    Les théoriciennes du féminisme s’impliquent dans la lutte: Monique Wittig, Luce Irigaray, Julia Kristeva, Hélène Cixous, Anne Okley. Puisque ce n’est pas la biologie qui fait d’un enfant un garçon ou une fille, il est légitime de déconstruire ces normes sociales. La déconstruction des normes sociales va être tout le travail de la théorie du genre. Les études de genre s’inscrivent dans le cadre d’un féminisme libéral, mais certains ont des attentes déçues. C’est alors qu’intervient le féminisme radical.

    À partir des années 1980, la théorie du genre se consolide sous l’impulsion des féministes américaines qui ont lu leurs consœurs françaises.

    Judith Butler, philosophe et idéologue des politiques gays et lesbiennes, née en 1956, popularise la théorie du genre. Avec Judith Butler, le genre propose de brouiller les catégories du masculin et du féminin. Après avoir semé le trouble dans le genre, elle nous incite à le défaire. Les rôles sexués n’étant plus distribués par la nature deviennent parfaitement interchangeables. Judith Butler et ses séides, ses adeptes, exaltent la fluidité, l’accessibilité et la mobilité des identités.

    Chacun est affranchi des concrétions, des formations de l’histoire, chacun est rendu à soi-même.

    Chacun devrait se découvrir une multiplicité de désirs, d’identités.

    Le genre ambitionne de nous soustraire à un confinement dans une identité sexuée et sexuelle. La dénaturation des identités et des sexualités doit rendre à chacun un ensemble de possibles que les écrits naturalisants auraient étouffés.

    Dans les années 1990, la théorie "queer", encore plus radicale s’impose aux États-Unis. En 1990, Teresa de Laurentis, italienne née en 1938 et établie en Californie, invente la théorie queer.

    Ce terme queer signifie louche, tordu, hors-norme, en argot tapette, une praxis, une activité humaine visant à modifier les rapports sociaux. Cette praxis s’inscrit dans la déconstruction du système sexe-genre.

    L’expression "théorie queer ", endossée avec fierté, représente le fer de lance de la théorie du genre. Dans son ouvrage "Pour un féminisme de la subversion", Judith Butler propose le travestissement de notre vérité à tous: " Il révèle la structure imitative du genre lui-même. Le drag (travesti) manifeste ce que nous voudrions oublier, ou ce que nous tentons d’occulter: hommes ou femmes, hétérosexuels ou pas, que nous soyons plus ou moins conformes aux normes de genre et de sexualité, nous devons jouer notre rôle, tant bien que mal, et c’est le jeu du travesti qui nous le fait comprendre".

    Le travesti emprunte nos codes vestimentaires, nos attitudes, nos gestes. Il ne copie pas un modèle original puisqu’il n’y en a pas. Le genre, l’identité sexuée est toujours parodie, imitation, singerie. Ainsi, le travesti mettrait en lumière cette vérité universelle: le caractère performatif de notre identité sexuée.

    Les théoriciens queer dénoncent " l’hétérosexisme " des discours sur la différence. Ils critiquent l’idée préconçue d’un déterminisme génétique de la différence sexuelle. La théorie queer entreprend donc la déconstruction de la représentation stéréotypée du corps sexué véhiculée par la société. Selon Monique Wittig " il faut détruire politiquement, philosophiquement et symboliquement les catégories d’homme et de femme. Il n’y pas de sexe, c’est l’oppression qui crée le sexe et non l’inverse".

    Le queer déconstruit l’identité de toute personne humaine en vue de se reconstruire à partir du seul choix individuel. Le terme queer inclut les paraphilies, sexualités marginalisées, déviantes.

    De la radicalité, le mouvement queer accède peu à peu à la reconnaissance institutionnelle sous la pression des lobbies. La théorie du genre est imposée du sommet vers le bas.

    Le processus officiel démarre vers 1980, mis en place par l’ONU. La CEDAW, Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, est adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies le 18 décembre 1979. Elle entre en vigueur en tant que traité international le 3 septembre 1981.

    Elle est signée en France le 17 juin 1980, ratifiée, approuvée, entérinée le 14 décembre 1983.

    Le genre est contenu dans cette Convention, n’est pas activé tout de suite. Mais une partie du budget est destinée à l’égalité homme-femme, à la mise en place du genre. La France est obligée d’installer une politique du genre dans tous les domaines, à tous les niveaux, donc de dépenser de l’argent pour ça.

    La promotion de la théorie du genre est ratifiée par l’ONU lors de la conférence de Pékin en 1995.

    Depuis cette date, un programme mondial est promu à toutes les sauces.

    À l’occasion de ce sommet, le mot " gender " apparaît pour la première fois dans un texte officiel.

    Curieusement, la traduction française du compte-rendu de la conférence se montre peu bavarde sur les questions de genre.

    En 2000, une directive de l’Union européenne reconnaît l’orientation sexuelle comme critère de discrimination. L’orientation sexuelle concerne les préférences sexuelles d’une personne. Elle désigne les désirs amoureux d’une personne: hétérosexualité, homosexualité, bisexualité, transsexualité. Elle fait partie de la sphère privée.

    En 2009, un rapport parlementaire européen introduit l’idée de discriminations fondées sur l’identité de genre.

    En 2011, par la Convention d’Istanbul, le Conseil de l’Europe impose des politiques sensibles au genre.

    En 2013, le document polémique de l’OMS, intitulé " Standards pour l’éducation sexuelle en Europe " est sur le même créneau.

    En France, la transmission pédagogique de la théorie du genre commence en 2010. L’Institut d’études politiques décide d’enseigner la théorie du genre à ses élèves.

    30 septembre 2010, la circulaire du ministère de l’Éducation nationale dirigée par Luc Chatel fixe le contenu du programme de Sciences et Vie de la terre en classe de première. Elle indique que le nouveau programme de sciences comportait un chapitre intitulé " Devenir homme ou femme".

    L’enseignant devait en profiter pour expliquer que les préférences sexuelles relevaient de la sphère privée. Un bon moyen de faire découvrir aux adolescents les subtilités de l’orientation sexuelle. Les éditeurs ont interprété cet intitulé comme se rapportant à la théorie du genre.

    Ensuite, avec Vincent Peillon, Benoît Hamon, Najat Vallaud-Belkacem, Jean-Michel Blanquer, Pap Ndiaye, Gabriel Attal, Amélie Oudéa-Castera, Nicole Belloubet, Anne Genetet, la théorie du genre est enseignée dans toutes les écoles et tous les établissements scolaires.

    La théorie du genre n’est pas un fantasme inventé par ses opposants. Au contraire, l’expression de " théorie du genre " fut forgée successivement par des médecins, des universitaires, des pédagogues et des militants favorables à cette idéologie.

    Par exemple, en 2009, dans son livre Le sexe politique, Éric Fassin, sociologue français, né en 1959, revendique cette expression: "La théorie du genre ne peut faire l’économie d’un retour référent sur son histoire…".

    Des associations agréées par le ministère concourent également à la diffusion de la théorie du genre. Ainsi, le Planning familial publie des documents militants à l’attention des adolescents. Des intervenants extérieurs s’immiscent dans l’école, au collège, au lycée, pour initier les enfants.

    Élaborée par des sociologues et des anthropologues, la théorie du genre est une doctrine philosophique. En tant que telle, elle s’appuie sur divers courants de pensée philosophiques et sur divers arguments. Toutes ces sensibilités ont des points communs: la promesse du bonheur, bonheur basé l’hédonisme et la dépravation, l’assurance d’un avenir radieux, la croyance au sens de l’histoire ou progressisme.

    La théorie du genre, outil idéologique, s’insinue dans l’Éducation Nationale. La promotion de la théorie du genre est bien une idée proposée par les hautes sphères de la pyramide du pouvoir. Et nos dirigeants s’évertuent à mettre en marche cette partie de l’agenda mondialiste. Nier cette évidence relève d’un mensonge éhonté. Les gens qui nous gouvernent ont bien assimilé la culture de la duplicité et de la tromperie.

    Jean Saunier

    P.S. On parle de théorie du genre, mais on ne peut parler que de théorie scientifique. Or, la "théorie du genre" n’a rien de scientifique. Il est préférable d’évoquer l’idéologie du genre.

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Trump annonce le retrait des USA des accords de Paris sur le climat

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    Les ours du Grand Nord se sont métissés avec leurs cousins basanés du Sud. Les petits s’appellent des grolars. Ce n’est pas une insulte mais un mot valise associant GRizzli + pOLAR. Dès lors, ces plantigrades apprécient moins le froid. Ça tombe bien puisque les cocotiers vont bientôt pousser en Alaska si l’on en croit la future Nobel de pataphysique Sainte Greta des Enfumages.

    Des rumeurs courent selon lesquelles les Trump envisagent d’adopter un bébé grolar. Mélania les trouve adorables. On leur en a porté un qui a tout de suite trouvé son chemin dans les jardins de la Maison Blanche. Sans se paumer comme Robinette. Comme ça, les USA et la Russie seront à égalité. Un ours de compagnie pour chaque président.

    En attendant, Trump claque la porte au nez des diktats de Paris sur le climat, qu’il qualifie d’escroqueries. Et il n’est plus le seul dirigeant à le penser.

    Tout juste investi, Donald a annoncé, comme prévu, le retrait des États-Unis des accords de Paris sur le climat. Comme il l’avait déjà fait en 2017 quand il avait été un des premiers chefs d’État à comprendre que des démagogues véreux ne pouvaient pas changer l’irradiance du soleil, ni modifier l’ellipse, l’axe de rotation ou l’inclinaison de la terre. Prétendre le contraire pour terroriser, asservir et racketter les peuples est une arnaque planétaire.

    Avec ça, une bonne nouvelle pour les futurs "Martiens". Le nouveau patron de la NASA a décidé d’affecter au voyage interplanétaire, en association avec Space X, les budgets dilapidés dans la traque obsessionnelle du CO2. Les Français râlent. Elon n’en a rien à cirer.

    Sale temps pour les réchauffards! La COP16 sur la biodiversité à Cali (Colombie) a été suspendue avant terme pour éviter d’afficher d’énormes désaccords. Quant à la COP sur la désertification tenue à Riyad (Arabie Saoudite) elle n’a pas convaincu les chameliers et les pétroliers de rendre leurs déserts moins désertiques. Sauf là où on crée des gueltas artificielles et des séguias après avoir désalinisé l’eau de mer. De toute façon, le débat est clos avec un "mektoub inch’allah".

    La COP29 sur le climat à Bakou (Azerbaïdjan) a fini en impasse. Aucun accord même symbolique n’a été trouvé. Sauf sur le retour des talibans dans le concert des Nations. Tandis que le procureur-justicier-prédateur sexuel Karim Ahmed Khan ne trouvait rien à redire des massacres et spoliations des Arméniens par ses coreligionnaires Azéris.

    Les verdâtres sont furibards car, par un effet domino, plusieurs pays de désengagent des politiques dites climatiques

    Après le premier retrait des USA en 2017, on n’avait pas vu une " contagion " de démissions. La propagande lancinante et un lavage de cerveaux permanent avaient imprimé leurs divagations. Et puis la peur de déplaire aux merdias paralysait les politiciens professionnels.

    Aujourd’hui, la situation est différente. Quelques dirigeants ont réalisé que les vaticinations des réchauffards étaient du flan. Le léger réchauffement est fini, sans avoir amené les catastrophes annoncées: Écroulement des glaciers, submersion des deltas des fleuves et des îles basses, disparition de la neige l’hiver dans les zones tempérées.

    Le président argentin anarcho-capitaliste Javier Milei qui a déjà retiré ses délégués de la COP 29, a multiplié les déclarations climato réalistes, prenant ses distances avec les diktats réchauffards. Logiquement, il devrait cesser de raquer. Puisque sa politique est de supprimer toutes les dépenses inutiles.

    La décroissance au programme de la COP30 de Belem au Brésil en novembre, ne peut réussir qu’avec la faillite des États ruinés par le sabordage de leur économie dans la traque du CO2. Mais plusieurs pays renâclent. Enclins à gérer uniquement la pollution industrielle chez eux, en fonction de leurs intérêts. Les USA et la Chine montrent la voie.

    Déjà, les Américains ont réduit leur participation au GIEC jusqu’à la supprimer. Tout en encourageant la prospection de pétrole et de gaz de schiste, afin de renforcer leur indépendance énergétique. Tandis que la Chine développait, autrement mais pour les mêmes raisons, ses capacités de production d’énergies renouvelables parvenant à produire en 2024 27 gigawatts en solaire et 80 GW en éolien. Pas pour faire plaisir aux écolos. Mais pour améliorer sa balance des paiements.

    L’ingérence des escrolos donneurs de leçons, avides du pognon des autres, commence à fatiguer.

    Agir contre la pollution, qui n’a rien à voir avec le prétendu réchauffement, revient moins cher à condition de le faire chez soi en fonction de son économie, de ses priorités et de ses ressources.

    La Chine, ex-pays le plus pollué du monde, perd sa mauvaise réputation. La politique centralisée de Xi Jinping nuit aux libertés individuelles, mais elle permet de mener des actions collectives cohérentes avec des investissements massifs dans des " villes intelligentes " ( smart cities en chinois) s’appuyant sur un écosystème interactif utilisant des transports propres et de la technologie verte.

    Pour Xi: " Le but est de devenir la référence mondiale et le modèle de dépollution à suivre". La Chine ne copie plus, elle innove. En parallèle, elle a entrepris un grand nettoyage en délocalisant chez plus pauvre qu’elle, les activités polluantes et salissantes qui ne rapportaient pas grand chose. Avec un temps de retard, l’Inde suit le même chemin. Mais alors où iront les poubelles du monde? Réponse: chez ceux pour qui ce sera une aubaine, comme en Afrique.

    L’INGERENCE CLIMATIQUE EST UN NOUVEAU COLONIALISME

    Et si c’était ça, le but ultime de l’alarmisme climatique? Forcer les gouvernements à s’adapter à la globalisation. Intimider les chefs d’États et se donner le droit d’aller chez ceux qui n’obéissent pas assez vite aux injonctions de la mondocrature pour les contraindre à faire ce qu’on exige d’eux. Dans leur intérêt. Bien évidemment.

    Le club Bilderberg, la commission Trilatérale, l’open society de Soros, les forums de Davos et la fondation des Young Leaders sont prêts à faire profiter de leurs lumières tous les égarés.

    Pour "sauver la planète".

    La prétendue urgence climatique impose des déplacements de populations. Quand les Maîtres de la Finance ont besoin de renouveler leur cheptel d’esclaves, on a recours aux bonne vieilles méthodes des communistes et des nazis: Déplacer des populations entières, sans leur demander leur avis, là où on pourrait avoir besoin d’elles.

    Dans les démocratures, où tout le monde ne peut pas se prétendre persécuté politique, les faiseurs d’opinion consolident un nouveau concept: celui de réfugié climatique. Qu’on ne peut pas refuser d’accueillir. À moins d’être des monstres conspués par la vertueuse communauté internationale. Et d’en subir les représailles diplomatiques et économiques.

    On est en train de nous faire le coup avec le Sahel et le Proche Orient. Comme on a réussi à déporter en Nouvelle Zélande des habitants des Kiribati qui n’avaient rien demandé à personne, en prévision de l’engloutissement de leurs îles avant 2020. Parole de GIEC.

    Vivant heureux chez eux dans une société océanienne traditionnelle, ces gens sont aujourd’hui parqués dans des suburbs où règnent la violence, la drogue, le suicide et le racisme. Pas vraiment ce qu’on leur avait promis en les faisant déménager pour échapper à la fin du monde!

    La menace d’ingérence climatique est un argument de choc dans les négociations internationales pour faire basculer les rapports de force par le chantage, l’intimidation ou la corruption. Et obtenir des avantages substantiels par le biais d’un discours moralisateur sur le climat, élevé au rang de justification ultime, comme l’était le "devoir moral de civiliser les sauvages" il y a 200 et quelques années.

    Il est intéressant de noter que des juristes gauchistes préconisent d’appliquer aux diktats de Paris les mêmes règles que pour l’adhésion à l’Eurocrature ou la conversion à l’islam. Une fois que tu es dedans, on ne te laisse pas partir comme ça!

    Je voudrais voir comment ils comptent s’y prendre pour tordre le bras de Donald, ou de Vlad qui est lui aussi en train de prendre ses distances avec les crapules verdâtres.

    Christian Navis

     

    https://climatorealist.blogspot.com