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Opinions - Page 34

  • Une Française exceptionnelle

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    Le général Valérie André est mort à 102 ans

    "Il y a des femmes qui ont la modestie aussi grande que le courage. Valérie André en fait partie et de nombreuses femmes militaires et civiles lui doivent aujourd’hui de pouvoir piloter3.  (Jean Lartéguy)

    Le médecin-général Valérie André est mort hier (le jour anniversaire de la mort du Roi Louis XVI) à l’âge – plus que respectable ! – de 102 ans, et je me fais aujourd’hui un devoir de rendre hommage à cette femme exceptionnelle à plus d’un titre.

    Chez nous, et en Occident, le féminisme est à la mode. Il ne se passe pas un jour sans que l’on dénonce la suprématie du mâle, du "macho", dans tous les domaines. On veut partout la parité, l’égalité homme/femme (pardon: femme/homme) et des quotas de donzelles dans presque tous les métiers (1).

    Comme si la compétence était une affaire de sexe ou de pourcentage. Et ne parlons pas de cette épouvantable écriture dite "inclusive" (qui voudrait même nous imposer un neutre – "iel" – pour les transgenres). Tout ceci est ridicule!

    Par démagogie – par clientélisme, car les femmes sont plus nombreuses que les hommes –  les leaders politiques ont remplacé "Français, Françaises" par "celles et ceux". Ce mal nous est arrivé avec Macron, mais il faut croire qu’il est contagieux.

    Pourtant notre langue est belle et je ne crois pas utile de la dénaturer, de l’enlaidir voire de carrément la massacrer. Depuis toujours, le pronom masculin "ceux" englobait tout le monde, c’était plus joli, plus agréable, plus harmonieux à l’oreille, que le pathos verbeux de nos modernes technocrates, des "bobos" et des cuistres qui veulent être "tendance".

    Jadis, par galanterie, on commençait un discours par "Mesdames, mesdemoiselles, messieurs", mais le "damoiseau" d’Ancien Régime ayant disparu de notre vocabulaire, par souci d’égalité, on a aussi supprimé la "damoiselle" ou demoiselle.

    Accessoirement, on est en train de tuer la galanterie chez l’homme, et le jeu de la séduction chez la femme. C’est bien dommage; on a le droit de regretter la belle langue d’antan sans être ringard!

    "La Demoiselle" restera dans l’histoire pour avoir été le premier avion léger créé par Alberto Santos-Dumont. Cet appareil a accompli son vol inaugural le 16 novembre 1907 à Issy-les-Moulineaux, équipée d’un moteur bicylindre d’à peine 20 cv.

    Cet avion m’offre une bonne entrée en matière pour vous parler du général Valérie André. C’est volontairement que j’écris "du général" et non "de la générale" car, n’en déplaise aux harpies féministes, "La générale" répond à des définitions précises: C’est

    a)- une sonnerie de clairon (ou une batterie de tambour) appelant les militaires à rejoindre leur poste de combat;

    b)- l’épouse d’un général;

    c)- une répétition générale au théâtre.

    ... et aussi, je rajoute, la carcasse du canard quand on a retiré toute la viande et que l'on peu griller au four, pour l'apéritif (NDLR)

    Mais venons-en à mon sujet du jour; l’histoire d’une centenaire qui n’était pas tarabustée ou obsédée par sa condition féminine, Madame Valérie André. Le 21 avril 2022, le général Valérie André, que ses frères d’arme d’Indochine surnommaient "Madame Ventilo", fêtait ses 100 ans. Ce jour-là, le monde de l’aéronautique, la médecine de guerre, les anciens d’Indo et l’Algérie, lui ont rendu hommage ô combien mérité ! L’histoire de Valérie André incarne les valeurs de courage, d’altruisme, d’audace et de dépassement de soi. Elle a été  officier, pilote, parachutiste, neurochirurgien, et femme de guerre.

    La petite Valérie est née le 21 avril 1922, à Strasbourg, au sein d’une famille nombreuse, une famille d’artistes, qui ne la prédisposait pas à une vie plus que trépidante de baroudeuse. Son premier contact avec l’aviation aura lieu sur le terrain de Strasbourg.

    Elle offre, très émue, un modeste bouquet de pivoines à l’aviatrice Maryse Hilsz qui vient juste de se poser. Puis, son bac en poche, le virus de l’air la taraude déjà et elle prend ses premières leçons de pilotage sur un avion "Potez".

    L’entrée en guerre de la France stoppe son apprentissage et elle commence des études de médecine à Clermont-Ferrand. Durant ses études, une rencontre va marquer sa vie, celle du professeur Binet, qui lui propose de se spécialiser en médecine de guerre et d’aller rejoindre une équipe médicale en Indochine.

    Valérie n’hésite pas, plutôt que le confort lucratif d’un cabinet privé, elle choisit une carrière militaire, dans le Corps Expéditionnaire mal équipé qui se bat dans une guerre perdue d’avance en Extrême-Orient!

    Elle se retrouve en 1949, à l’hôpital de My-Tho. C’est à cette époque qu’elle passe son brevet parachutiste. Elle entre dans la grande famille parachutiste durant la même période qu’une autre grande dame oubliée, une dame elle aussi d’un courage exceptionnel, la journaliste Brigitte Friang.

    En 1950, Valérie André arrive à convaincre sa hiérarchie de la nécessité d’apprendre à piloter un hélicoptère pour aller chercher les blessés dans les zones inaccessibles autrement que par air. Elle revient en France et passe son brevet de pilote sur " Hiller " à Cormeilles en Vexin, puis elle repart en Indochine. Le capitaine Valérie André fait partie de l’équipe du colonel Alexis Santini (qui deviendra plus tard son époux), et du lieutenant Henri Bartier.

    Ils mènent des "Evasan" (2) sous le feu ennemi et avec l’angoisse d’arriver trop tard. Les blessés étaient installés dans des paniers d’osier, de chaque côté des portes du cockpit, au niveau des patins de l’hélicoptère.

    "Sur les trois pilotes, l’un d’eux est une femme. Un tout petit bout de femme. Et ce petit bout de femme est un grand bonhomme. Elle est à la fois pilote d’hélico et médecin. Elle s’appelle Valérie André"… écrira beaucoup plus tard le général Jean-Paul Salini, ancien pilote de chasse en Indochine.

    Ses frères d’arme la surnomment "Madame Ventilo". Avec son hélicoptère "Hiller 360", elle recueille en brousse, dans les pires coins, des soldats blessés qui n’auraient pas supporté un long brancardage vers un centre hospitalier. Pour les populations locales et tous ceux qui lui vouent une reconnaissance sans limite, elle devient  "la femme descendue du ciel". En avril 1952, elle sera la première femme à avoir apponté sur la plateforme d’un bâtiment de guerre – "l’Arromanches" – mouillé  en baie d’Along.

    En 1959, c’est en Algérie que le colonel Valérie André repart en guerre, cette fois à bord d’"Alouette" et de "Sikorski  365". Ses missions seront toujours accomplies pour sauver des vies humaines, au péril de sa propre vie.

    Le 21 avril 1976, Valérie André décrochait ses étoiles de général de brigade, une première dans l’Armée française. Son amie Catherine Maunoury lui dira à cette occasion:

    "Tu n’as jamais frémi ni tremblé. Tu as toujours mesuré et accepté le risque, le danger mais tu écartes naturellement la peur car tu places plus haut encore ta mission, ton devoir de sauver des vies. Coûte que coûte".

    Le général Valérie André était Grand-croix de la Légion d’honneur, Grand-croix de l’Ordre National du Mérite et titulaire de la Croix de guerre avec sept citations.

    Chapeau Madame ! En ce jour où vous rejoignez l’Archange Saint-Michel, le saint patron des paras, recevez mes hommages et mes respects !

    Eric de Verdelhan

     

    1)- La magistrature, assise ou debout, compte 65% de femmes, 80% chez les enseignants, 90% chez les infirmiers, 60% en fac de médecine, etc. etc.2)-" Evasan ": évacuation sanitaire en jargon militaire

  • Wikipédia, instrumentalisé par la gauche, a perdu toute crédibilité

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    Wikipédia dans le collimateur d’Elon Musk?

    J’ai souvent consulté Wikipédia et je le consulte encore malgré sa visible orientation politique de plus en plus gauchiste. C’est dommage, car cet outil, s’il était resté neutre, nous offrait une somme d’informations gigantesque.

    La neutralité est ce qui est le plus difficile à offrir pour des millions de lecteurs assoiffés d’informations sur des pages d’histoires diverses, sur différents pays, et permettrait de comprendre telle ou telle autre situation. Découvrir des personnages historiques, littéraires, scientifiques, politiques récents ou anciens.

    Depuis quelques années, j’ai compris que ce formidable outil est à présent aux mains de personnes qui n’ont plus/pas cette volonté de neutralité, ou le talent de mieux cacher leurs orientations politiques.

    Il y a quelques années, j’ai tenté plusieurs fois de modifier tel contenu, ou tel autre, car je trouvais soit qu’il était trop succinct, ou bien trop évasif, ou manifestement contraire à une réalité. En vain!

    J’ai tenté de le faire à une époque où je faisais partie d’une équipe municipale. Pour tester Wikipédia! Ce fut impossible de changer un mot, ou une orientation. Une fois effectué les ajouts, tout était effacé! Revenu aux écrits d’origine !

    J’ai voulu le faire sur un sujet historique concernant le NSDAP, ce parti national socialiste allemand des travailleurs, qui était dirigé par Adolf Hitler.

    Wikipédia, comme beaucoup de médias français, s’évertue à classer le NSDAP à l’extrême droite. Pourtant, les discours socialistes d’Hitler et de ses compagnons de route, dès les années vingt, revendiquaient le socialisme auquel ils avaient ajouté le nationalisme, la xénophobie et l’antisémitisme. Mais la source première restait le socialisme. Ce parti était clairement d’extrême gauche, et anticapitaliste!

    Dans de nombreux discours, Hitler fait du socialisme sa pierre angulaire!

        Si nous sommes socialistes, alors nous devons forcément être antisémites et l’opposé, dans ce cas, c’est le matérialisme et le " mammonisme ", auxquels nous cherchons à nous opposer. Comment, en tant que socialiste, ne pouvez-vous pas être antisémite?

        Nous devons trouver et suivre la route menant de l’individualisme au socialisme sans passer par la révolution.

        Pourquoi avons-nous besoin de socialiser les banques et les usines? Nous devons socialiser les êtres humains.

        Nous sommes socialistes, nous sommes les ennemis du système capitaliste actuel, exploiteur de la faiblesse économique, avec ses salaires injustes, son évaluation injuste de la personne humaine en fonction de sa richesse et de son capital plutôt que par sa responsabilité et sa performance, et nous sommes déterminés à détruire ce système par tous les moyens.

    On retrouve cela dans les discours d’une certaine jeunesse qui sévit dans les rangs de LFI et chez les antifas.

    Ce type de discours, vous ne le trouverez pas sur Wikipédia. Tout ce qui fait référence au peuple, à la révolution et au socialisme dans le discours des nazis, a été effacé. C’est un choix! Mais ce choix interdit à de nombreuses personnes de se faire une idée de cette révolution socialiste allemande.

    Nous retrouvons, d’ailleurs, ce même effacement de la racine socialiste au sujet du fascisme, inventé par Mussolini. Lui aussi, ex-socialiste, dans ses discours, il vantait sa politique socialiste et nationale.

    À sa décharge, il n’aura jamais pratiqué l’extermination. Mussolini déclara d’ailleurs: La race! C’est un sentiment, non une réalité ; 95%, au moins, est un sentiment. Personne ne me fera jamais croire que des races purement biologiques peuvent exister aujourd’hui.

    Il est très curieux que notre jeunesse inculte en histoire, dont on dit qu’elle a le niveau d’instruction en première année de faculté d’une classe de CM2, nous rebat les oreilles d’un fascisme dont elle ignore tout. Elle me rappelle les soldats ukrainiens d’aujourd’hui, qui ignorent pourquoi, certains dans leurs armées, se pavanent avec des insignes et des drapeaux nazis.

    Brigade Azov, célèbre pour avoir fait tuer des civils à Marioupol dans un grand silence médiatique des médias français! Brigade nazie et fière de l’être.

    L’ignorance est la mère de la violence. L’agressivité est un signe de faiblesse! Dans ma jeunesse, j’ai appris ces maximes de bon sens! Lorsque l’on n’a plus les mots, on en vient aux mains!

    C’est par la volonté de gauchistes qui ont sévi à l’Éducation nationale depuis cinquante ans. Ils ont voulu effacer l’histoire de notre nation. La France de ces gens-là aura transformé des milliers de jeunes, et de jeunes parents désormais, en prodigieux crétins ignorant les réalités historiques! Ils sont responsables des conflits de demain en ayant effacé l’éclairage du passé!

    Amusez-vous à tester gentiment vos enfants et petits-enfants! Vous serez atterrés!

    Wikipédia aurait pu être une bouée de sauvetage! C’est pire encore! L’intelligence artificielle s’en mêle! Un jeune d’aujourd’hui pourra faire ses devoirs avec ce système sans avoir à comprendre ni réfléchir!

    Nous savons ce que vaut le niveau de la jeunesse. Elle ne sait même pas ce qu’est la Shoah. Elle manifeste contre Israël sans même savoir pourquoi ce pays existe, ce qui n’en fait pas pour autant un pays gouverné par des anges! Elle prend Clovis pour un contemporain de Louis XIV, Napoléon 1er s’éclairant avec des lampes électriques aux Tuileries, etc.

    Dans quelques années, ils auront tout oublié de notre passé glorieux! Ils seront prêts à se lancer dans des guerres sur des bases fallacieuses, au nom du socialisme, de l’écologisme, de l’humanisme, et je ne sais quelle autre fadaise, inventée pour favoriser l’industrie militaire! Je suis effaré…

    Gérard Brazon

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Arrêtez d’ennuyer les Français!

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    Le 15 mars 1968, le journaliste Pierre Viansson-Ponté publiait dans Le Monde une tribune devenue ironiquement célèbre: "Quand la France s’ennuie". En effet deux mois plus tard, la France entrait dans le tourbillon de Mai 68 et ne s’ennuyait plus du tout.

    Mais, aujourd’hui, un ennui bien pire que celui des années soixante revient en force dans notre pays.

    LA FÊTE EST FINIE MAIS LE CAUCHEMAR CONTINUE

    En ce mois de janvier 2025 nos concitoyens croyaient, au sortir des fêtes, se réveiller d’un mauvais rêve. Hélas! ni les Jeux olympiques, ni le père Noël, ni le réveillon n’ont rien changé: le cauchemar français continue de plus belle.

    Chéri-Bibi est toujours Président de la République, Ursula préside encore la Commission européenne et François B. joue toujours au Premier ministre en sursis, en mode vitesse lente.

    Un Premier ministre qui rassemble un gouvernement de revenants et surtout de loosers [1], ceux-là mêmes qu’une majorité d’électeurs a censurés l’été dernier.

    Mais la post-démocratie européenne fonctionne ainsi: l’électeur ne décide plus rien.

    Voilà pourquoi les Français, de nouveau, commencent à sérieusement s’ennuyer.

    UN MAUVAIS FILM PASSE EN BOUCLE

    Les Français s’ennuient parce qu’on leur repasse en boucle le même mauvais film institutionnel, comme sur la TNT: les petites phrases politiciennes qui ne changent jamais rien, les commémorations perpétuelles, les combines parlementaires, le duo classique entre les ministres de l’Intérieur (le méchant) et de la Justice (le gentil), les cris d’orfraie de la gauche pour faire croire que l’on agit contre l’immigration ou la délinquance, les débats politiques convenus dans les médias, les promesses jamais tenues, les impôts et les taxes qui augmentent toujours, les libertés qui se réduisent, les voitures incendiées et les refus d’obtempérer qui ne cessent pas.

    Les Français s’ennuient car ils savent qu’ils sont constitutionnellement dépossédés de la possibilité de zapper ce mauvais scénario.

    EN ARRIÈRE TOUTE!

    Les Français s’ennuient parce que Chéri-Bibi leur a fait remonter le temps: ils vivent désormais comme leurs grands-parents, sous la IVe République.

    Nous voici revenus au régime des partis, aux militaires patrouillant dans les rues, aux problèmes algériens et à la France risée du monde.

    En 2024, quatre Premiers ministres en un an, et des ministres dont on ignore la plupart du temps le nom et les attributions, puisqu’ils ne font que passer. Et qu’ils ne font de toute façon que communiquer, puisque l’essentiel se décide maintenant à Bruxelles, à Francfort, à Berlin ou à Washington, plus à Paris.

    LA TOTALE

    Les Français s’ennuient car – et la nuance est de taille – sous la IVe République il y avait encore un État, une administration, une armée, une agriculture et une économie fonctionnels et à même de compenser l’impuissance politique.

    Aujourd’hui, tout cela n’existe plus car le socialisme et le macronisme ont tout déconstruit.

    Les Français vivent donc La Totale, mais selon un scénario nettement moins drôle que celui du film de Claude Zidi.

    Car ils subissent un État déliquescent, une économie désindustrialisée, une insécurité galopante, un endettement abyssal, un système politique bloqué, un chômage qui, toutes catégories confondues, avoisine les 17%, et un pays en voie de tiers-mondisation.

    Cela commence à faire beaucoup, et c’est même sans précédent dans notre histoire proche.

    Il ne nous manque plus que la guerre pour que le désastre soit complet, mais on sait que nos oligarques néo-conservateurs et atlantistes s’activent à nous y précipiter.

    Ils ne s’ennuient pas: on les ennuie trop

    Soyons juste: nos concitoyens ne font pas que s’ennuyer, ils trouvent surtout qu’on les ennuie trop.

    Et ces nuisances s’appellent écologie punitive, fiscalisme, bureaucratie, justice idéologisée, censure politiquement correcte, immigration incontrôlée et islamisme.

    En 2025, des milliers d’automobilistes dans toute la France découvrent ainsi les ZFE qui leur interdisent l’accès aux centre-villes, ou les nouveaux radars embarqués qui les traquent; comme ces propriétaires qui découvrent qu’ils ne peuvent plus louer si leur diagnostic énergétique n’est pas bon ; comme ces familles confrontées à la hausse des coûts de l’alimentation, du logement et de l’énergie ; comme ces agriculteurs qui ne comprennent pas qu’on les mette volontairement en concurrence avec des producteurs qui ne respectent pas les mêmes normes qu’eux.

    ARRETEZ D’EMM… LES FRANÇAIS!

    "Arrêtez d’emm… les Français", lançait le Président Georges Pompidou qui voyait poindre, sur la fin de sa vie, les ravages de la technocratie dans notre pays.

    Un avertissement d’autant plus actuel que les Français ont démontré dans leur histoire qu’ils avaient souvent l’ennui… révolutionnaire.

    À bon entendeur, salut!

    Michel Geoffroy