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MANDARINE - Page 6

  • La montée de la cryptographie post-quantique

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    une course discrète pour sécuriser l’avenir du numérique

    L’ombre des ordinateurs quantiques plane sur la cybersécurité. Alors que ces machines d’un nouveau genre progressent à un rythme fulgurant, elles menacent de rendre obsolètes les systèmes de chiffrement actuels d’ici 2030. Face à cette échéance, chercheurs et experts en sécurité informatique s’activent pour concevoir une nouvelle génération d’algorithmes: la cryptographie post-quantique. L’enjeu est considérable, car l’ensemble des communications numériques sécurisées – des transactions bancaires aux échanges gouvernementaux – est en péril.

    Selon les spécialistes, le temps presse. L’arrivée du " Q-Day ", ce moment où les ordinateurs quantiques pourraient briser les protections cryptographiques actuelles, pourrait survenir plus tôt que prévu. Contrairement aux ordinateurs classiques qui manipulent des bits (0 ou 1), les ordinateurs quantiques exploitent des qubits, capables d’exister dans une superposition d’états. Cette caractéristique leur confère une puissance de calcul inédite, leur permettant d’explorer simultanément un grand nombre de solutions.

    Les algorithmes de chiffrement actuels, comme le RSA (Rivest-Shamir-Adleman) ou la cryptographie sur les courbes elliptiques (ECC), reposent sur des problèmes mathématiques tellement complexes qu’un ordinateur classique mettrait un temps prohibitif à les résoudre. Mais l’algorithme quantique de Shor permettrait, lui, de factoriser de grands nombres en quelques heures, rendant ces systèmes vulnérables.

    FACE AU PERIL QUANTIQUE, DES STRATEGIES DE DEFENSE INTERMEDIAIRES

    Une menace qui n’est plus purement théorique. Des chercheurs ont récemment démontré qu’un ordinateur quantique pourrait casser un chiffrement, relançant les inquiétudes dans le monde de la cybersécurité. Selon un rapport de Gartner publié en 2024, les systèmes asymétriques actuels pourraient être compromis dès 2029 et totalement obsolètes d’ici 2034.

    Face à ces risques, la protection des données devient plus que jamais une priorité. Si la cryptographie post-quantique est en plein développement, certaines solutions intermédiaires, comme les réseaux privés virtuels (VPN), permettent déjà d’améliorer la confidentialité des communications.

    En masquant l’adresse IP et en chiffrant les échanges de données, un VPN complique toute tentative d’interception malveillante. Qu’il s’agisse de contourner la censure, de sécuriser une connexion sur un réseau Wi-Fi public ou de protéger ses échanges en ligne, son usage devient un réflexe essentiel pour de nombreux internautes.

    Si l’offre de VPN est vaste sur Windows et Android, elle reste plus limitée sur macOS, où certaines solutions ne proposent pas toujours les mêmes fonctionnalités ou protocoles de chiffrement. Cela rend d’autant plus important de choisir une option adaptée et de maîtriser son installation. Pour ceux qui utilisent un Mac, installer un VPN sur macOS à la fois efficace et fiable constitue ainsi une première étape vers une cybersécurité renforcée.

    UNE NOUVELLE GENERATION D’ALGORITHMES POUR CONTRER LA MENACE

    Selon une définition donnée par l’ANSSI, la cryptographie post-quantique repose sur des algorithmes capables de résister aux attaques quantiques tout en conservant une sécurité efficace contre les attaques classiques. Contrairement aux systèmes actuels, ces nouveaux schémas cryptographiques s’appuient sur des problèmes mathématiques réputés insolubles, même pour les ordinateurs quantiques. " La cryptographie post-quantique désigne le développement d’algorithmes capables de sécuriser les communications de machine à machine à l’ère quantique ", précise un article de DigiCert.

    LES PILIERS TECHNIQUES DE LA CRYPTOGRAPHIE POST-QUANTIQUE

    Pour concevoir des protocoles résistant aux futurs assauts quantiques, plusieurs voies sont étudiées:

        La cryptographie en treillis, exploitée par les algorithmes Crystals-Kyber et Crystals-Dilithium, qui repose sur des problèmes mathématiques complexes.

        La cryptographie basée sur le code, utilisant des techniques de correction d’erreurs pour protéger les messages.

        La cryptographie à base de hachage, qui repose sur la robustesse des fonctions de hachage, avec des solutions comme Sphincs+.

        La cryptographie symétrique, qui, grâce à des clés plus longues, pourrait résister aux attaques quantiques.

    UNE STANDARDISATION EN COURS, MAIS UN CALENDRIER SERRE

    L’été 2024 a marqué un jalon avec la validation par le NIST des premiers standards de cryptographie post-quantique. Trois nouveaux algorithmes ont été retenus: ML-KEM (ex-CRYSTALS-KYBER), pour le chiffrement et l’échange de clés et ML-DSA (ex CRYSTALS-Dilithium) pour la signature numérique. SLH-DSA (Sphincs+) constituant une solution alternative.

    "La question n’est plus de savoir si cela arrivera, mais quand. Pour les entreprises, la cryptographie post-quantique n’est plus une hypothèse lointaine, mais une nécessité stratégique immédiate", prévient un article du Journal du Net. Les cybercriminels, conscients de cet avenir inéluctable, adoptent une nouvelle stratégie, le "Harvest Now, Decrypt Later" ("récolter maintenant, déchiffrer plus tard "). Comme son nom l’indique, c’est une approche de surveillance qui consiste à collecter et conserver sur le long terme des données chiffrées, bien que celles-ci soient actuellement indéchiffrables. L’objectif étant d’anticiper de futures avancées technologiques en cryptanalyse (notamment l’arrivée des ordinateurs quantiques) qui permettraient un jour de les décrypter. Cette échéance hypothétique est désignée sous le terme Y2Q (ou Q-Day).

    La transition vers la cryptographie post-quantique dépasse la simple mise à jour technologique; elle implique une refonte stratégique. Loin d’être une menace abstraite, cette rupture impose de repenser dès aujourd’hui les standards de sécurité, sous peine de voir des décennies d’innovations balayées en un instant. La cryptographie post-quantique ne sera pas une solution définitive, mais elle représente une étape clé dans l’adaptation de la cybersécurité aux évolutions technologiques.

    Trustmy science

  • Une immigration politique financée par George Soros

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    The Telegraph rend compte d’une étude menée par le professeur Matt Goodwin, de l’Université de Buckingham. Selon cette étude, les Britanniques blancs passeront de 73% de la population en 2025 à 33,7% en 2200. Soit une baisse de 40%.

    Les Britanniques non blancs, les personnes nées à l’étranger ou de parents immigrés passeront de 20% en 2025 à 60,6% en 2100. Soit une hausse de 40%.

    Les deux courbes se croisent en 2070, c’est-à-dire que les allogènes rejoignent les autochtones en nombre en 2070. La tendance est continue, régulière, inéluctable.

    La population musulmane, estimée aujourd’hui à 7% pourrait atteindre 19,2% en 2100, voire 25% dans un scénario de forte immigration musulmane.

    Les grandes villes sont en première ligne. Selon le dernier recensement de 2022, Londres et Birmingham sont déjà à majorité non-blanche britannique.

    Les mêmes chiffres, à quelques nuances près, se reproduisent en France, en Allemagne, dans l’Europe de l’Ouest. Des grandes villes, des régions, perdent leur identité. Un basculement identitaire se produit. La baisse et la hausse de 40%, simultanées et réciproques, signifient un Grand Remplacement. Le changement de population est massif. Des turbulences politiques, sociales, des affrontements, des conflits, déjà présents, risquent de s’amplifier et de tourner à la guerre civile.

    Cette situation ne doit rien au hasard. Au-delà des faits numériques et sociaux incontestables, se cache une volonté politique délibérée, en lien avec l’idéologie mondialiste cosmopolite. L’immigration est au service de l’empire, d’où une mondialisation de la population.

    Dès le début des années 1970, la France fut infectée par le tiers-mondisme, complément de l’antiracisme, valorisation de tout ce qui est anti-occidental. Le tiers-mondisme exalte toutes les civilisations autres que l’occidentale, particulièrement l’islamique ou l’africaine. Après la décolonisation, est venue sa suite logique et prévue, l’immigration.

    Il fallait importer la révolution d’Afrique en Occident en faisant venir le tiers-monde dans les pays occidentaux. À cette fin, pendant la guerre froide, Moscou a programmé l’immigration comme un moyen privilégié d’affaiblir l’Occident. En France, l’ordre immigrationniste a été répercuté par le Parti Communiste et sa cohorte d’intellectuels.

    En exaltant le tiers-mondisme et en poussant à l’immigration, la révolution de Mai 68 a créé de nouveaux pauvres en Occident, mais elle a trouvé tout de suite la parade, l’alibi caritatif. Il fallait s’occuper des pauvres pour qu’ils votent "bien". Sinon, leur révolte les mènerait vers un parti hors système maçonnique, "coupable" de nationalisme, donc" coupable " de s’opposer au programme mondialiste. Des prêtres, des comiques, des films pleurnichards, les Enfoirés, l’imposture des organisations dites humanitaires, montrent l’exploitation du caritatif. Ces organisations sont toutes "du monde": "Médecins du monde", "Enfants du monde". Et leurs membres tous gauchistes et mondialistes… Pas tous honnêtes.

    La France de Pompidou choisit la voie de l’immigration. Puis en 1974-1975, Giscard et Chirac décidèrent le regroupement familial des Africains sur notre sol et le suicide familial des Français avec le divorce par consentement mutuel et la loi Veil dépénalisant l’avortement.

    Un rapport de l’ONU préconisait une immigration massive en Europe d’ici à 2050. Le terme de "remplacement" figure dans le titre de ce rapport et à l’intérieur.

    "La migration de remplacement désigne la migration internationale dont un pays aurait besoin pour compenser le déclin de la population et le vieillissement de sa population résultant de faibles taux de natalité et de mortalité".

    Le document présentait trois scénarios. Premier scénario: accueil de 5,5 millions d’immigrés entre 2010 et 2050 pour conserver en France le même nombre d’habitants. Donc diminution des Français de souche compensée par une augmentation des immigrés.

    Deuxième scénario. Conserver un rapport de trois actifs pour un retraité. D’où l’importation de 16 millions d’immigrés sur la période 2020-2040, et un grand remplacement rapide.

    Troisième scénario. Pour un rapport de 4,4 entre actifs et retraités, nécessité d’importer 93 millions d’immigrés entre 2000 et 2050. Soit près de deux millions par an.

    Il faut se résoudre à l’immigration pour sauver les retraites. Il s’agit d’un chantage, car une alternative existe, lancer une politique nataliste en Europe. Mais ni l’ONU, ni le gouvernement français, ni les démographes n’ont envisagé ce remède, même pas comme hypothèse. La politique nataliste en Europe n’a pas été évoquée, sur décision idéologique.

    Le malthusianisme a été imposé au Nord quand l’explosion démographique touchait le Sud. Le suicide démographique du Nord a été orchestré et planifié. Le transfert ethnique par l’immigration massive a été concerté et mis au point. L’excès du Sud s’est déversé dans le manque ainsi créé au Nord. Les migrations sont déterminées par la sociologie et par l’économie. Mais la démographie dépend aussi et surtout de la politique.

    Les élites ne peuvent plus nier la délinquance et la criminalité liée à l’invasion migratoire, alors elles nient l’ampleur de l’immigration, elles minimisent les chiffres. La vraie question est la suivante: Combien y a-t-il d’individus issus d’ethnies nord africaines et sub-sahariennes en Europe? Personne ne répond car le recueil des données statistiques a été interdit en France. Finalement, on a laissé s’installer un communautarisme de fait.

    Autre ligne de défense du négationniste démographique: les migrations massives résultent de la pression démographique dans le Sud, associée à l’insuffisance des moyens de subsistance. C’est donc inéluctable, c’est une obligation. On reprend le sens de l’histoire: les migrants cherchent un espace vital, comme Hitler pour le peuple allemand. On revient à l’explication de Malthus: la population s’accroît en progression géométrique et les subsistances en progression arithmétique.

    L’émigration du Sud vers le Nord est donc la seule solution possible.

    Mais la politique d’immigration en France a été conçue vers 1973. La première conférence internationale sur les populations a eu lieu en 1974, à Bucarest. A cette époque, l’Europe renouvelle encore à peu près ses générations. L’Europe comptait 675 millions d’habitants et l’Afrique 400. Il y avait 1,7 Européen pour 1 Africain. De nos jours, l’Europe compte 745 millions d’habitants et l’Afrique 1 milliard et 320 millions. Il y a 0,6 Européen pour 1 Africain (chiffres de Martin Pelletier).

    Il a été décidé en 1974 qu’un continent vide remplisse un continent plein. Une politique nataliste appropriée aurait pu rendre à l’Europe la vitalité nécessaire et éviter son vieillissement. Mais on ne l’a pas voulu.

    L’immigration de masse vise certains pays, les pays d’Europe de l’Ouest, le Canada, les Etats-Unis. Elle en épargne d’autres: la Chine, le Japon, l’Arabie saoudite. La Révolution oppose Blancs et non-Blancs. Le monde occidental est ciblé prioritairement.

    Cette politique d’immigration, voulue et organisée de longue date, coûte très cher. Elle est financée par des milliardaires, comme George Soros, issu de la bourgeoisie juive de Hongrie, à la tête de l’Open Society Foundations, né en 1930. Georges Soros met des milliards à la disposition de son combat révolutionnaire. La complicité avec les élites néoconservatrices et démocrates le rend efficace et dangereux. Une opération de guerre est menée ouvertement, par le fascisme, la synarchie, la révolution, l’empire.

    La "Société ouverte" est un élément clé de l’idéologie de Soros et des actions promues en faveur de l’immigration. Ce concept de "Société ouverte", repris à Karl Popper, philosophe autrichien naturalisé britannique (1902-1994), implique la mort des Etats-nations et leur dissolution dans un creuset, un melting pot, mêlant tous les peuples, toutes les civilisations, toutes les cultures et toutes les religions sous l’égide d’un Gouvernement Mondial.

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  • Quand la Chine nous submergera

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    Prise entre le marteau américain et l’enclume chinoise, l’UE va littéralement s’effondrer. Ce texte est inspiré de la chronique de Bertille Bayard dans le Figaro, parfaitement documentée et titrée: "Quand la Chine nous submergera".

    Ecrasée de normes environnementales démentielles, sans aucune matière première, ouverte comme jamais à la concurrence déloyale qui tue son industrie et son agriculture, envahie par une immigration sous-qualifiée qui coûte plus cher en social que sa contribution au PIB, divisée comme jamais, l’Europe a perdu toute compétitivité et roule vers le terminus de son histoire à tombeau ouvert.

    Elle est coincée entre une Amérique dominatrice qui nous méprise et une Chine qui nous roule dans la farine avec le sourire perfide de Xi-Jinping.

     

    Pour l’UE, dirigée par des technocrates incompétents, aussi nuls en économie qu’intransigeants sur leurs diktats mondialistes suicidaires, l’avenir va être tragique. Et tout va s’accélérer. Nos dirigeants se croient puissants parce qu’ils sont à la tête d’un marché de 450 millions d’habitants, mais le déclassement européen est irréversible et constant depuis des années.

    Laissons de côté le désastre identitaire et démographique qui se profile et restons sur le plan économique.

    Voilà 25 ans que la Chine a intégré l’OMC. En 1/4 de siècle, le céleste Empire est devenu l’atelier du monde, pesant  1/3 de la production industrielle planétaire et gagnant 1 point chaque année. En 2040, ce géant atteindra 50% de la production mondiale.

    Quand on se souvient de la Chine des années 1950, qui avait 1000 ans de retard et qui ne produisait que des lampions et des cerfs-volants, on reste sidéré par l’immense bond en avant accompli ( un bond véritable, pas comme celui de Mao qui fut un fiasco ). Pékin maitrise toutes les technologies et a même posé un vaisseau spatial sur la face cachée de la Lune, ce que l’Europe serait bien incapable de réaliser, alors qu’elle est le berceau de toutes les inventions scientifiques.

    La Chine, c’est un défi bien plus menaçant que celui du Japon dans les années 1980. Le pays du Soleil Levant avait en effet fait trembler l’Occident en inondant le monde de ses produits. Les Japonais pensaient prendre leur revanche sur leur défaite de 1945 et dominer le monde économiquement. Mais la crise de 1990 en a décidé autrement.

    Entre 1990 et 1997, les pertes boursières et immobilières du Japon se sont élevées à 9 000 milliards de dollars, ce qui représente deux années de PIB. Le pays ne s’en est jamais relevé, même s’il continue sur sa lancée. Mais ne faisant plus d’enfants et rejetant toute immigration, même choisie, il finira par disparaitre. Cela ne m’empêchera pas de dormir, je n’aime pas les Japonais. Leur armée impériale s’est comportée comme des barbares durant des siècles. Quant à l’honneur des Samouraïs, je lui accorde le même crédit qu’une fable.

    Mais revenons à la Chine.

    Les taxes démentielles infligées par Trump font du mal à Pékin, mais ce pays a les moyens d’appliquer une certaine réciprocité avec ses terres rares et en rationnant ses métaux précieux dont l’Occident a besoin. De plus, les écarts de coût de production avec l’Europe sont dévastateurs pour nos usines et insurmontables.

    On les estime entre 30 et 40% dans 80% des secteurs industriels. Autant dire partout.

    Il faut bien comprendre que si l’Amérique ferme ses portes à la Chine, c’est l’Europe que Pékin va inonder de ses produits. C’est le cas avec ses voitures électriques très compétitives. Et chacun sait que les barrières douanières ont un effet boomerang plus nuisible que bénéfique. Quand un pays n’est pas compétitif, se barricader ne sert à rien.

    Les Chinois accélèrent pied au plancher.

    Ils détiennent 9% du marché mondial de la voiture électrique contre 1% il y a un an!

    L’usine BYD, c’est 7 fois la taille de l’usine Tesla d’Elon Musk au Texas.

    La flotte de navires pour exporter ces voitures est du même tonneau, gigantesque.

    La Chine est aussi robotisée que l’Allemagne. Et aujourd’hui, son réveil est bien réel.

    Elle s’attaque et s’impose dans tous les secteurs: acier, chimie, automobile, machines-outils, équipements énergétiques, nucléaire, santé, électronique…avec des secteurs largement subventionnés.

    Elle comble son retard dans l’armement à grand vitesse. Son avance sur les batteries est colossale et met à mal la jeune industrie européenne. La société suédoise North-volt bat de l’aile et l’usine franco-allemande ACC se bat comme elle le peut. Son patron résume tout:

    "De professeurs, nous sommes passés à élèves"

    "L’Europe est désormais le pays émergent face à une Chine développée"

    Les transferts de technologie vont devoir s’inverser! Impensable il y a dix ans!

    Mais le coût de la main d’œuvre et notre social illimité plombe notre compétitivité. Sans parler de la concurrence déloyale qui liquide usines et agriculture et contre laquelle Bruxelles n’a rien fait durant 20 ans. L’Union semble se réveiller face à la Chine, mais sans doute trop tard.

    L’UE tente de se défendre en limitant son marché ou en instaurant des règles plus équitables avec la Chine. Cela ressemble à un coup d’épée dans l’eau.

    A vrai dire, avec tous nos handicaps, parmi lesquels l’immigration de basse qualité n’est pas le moindre, je vois mal comment l’Europe va s’en sortir. On ne concurrencera pas les Chinois toujours en tête du classement mondial des QI nationaux, avec une immigration sans qualification et trop souvent illettrée, voire analphabète. Cette immigration de masse nivèle l’UE par le bas.

    Il y a encore 750 millions d’analphabètes dans le monde.

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/750-millions-d-analphabetes-dans-le-monde-mais-des-progres-2754405

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/750-millions-d-analphabetes-dans-le-monde-mais-des-progres-2754405

    20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50% d’analphabètes dans leur population: l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Ethiopie, la Gambie, la Guinée Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan.

    Et parmi ceux-ci, 10 font partie de nos ex-colonies africaines!

    A l’heure de l’IA, il nous faudrait des légions de cerveaux asiatiques pour remonter la pente.

    Jacques GUILLEMAIN