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MANDARINE - Page 3

  • Il est temps de revenir aux basiques de la démocratie

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    Image I.A.

    Le fascisme choisi est un système démocratique comme un autre dès lors qu’il est plébiscité par une majorité de citoyens dans un pays donné.

    Si dans ledit pays donné, une majorité de ces mêmes citoyens décide qu’il faut pendre des milliers de juges, cela relève bien du choix majoritaire, donc démocratique.

    Pareil avec les politiciens et le patronat qui auraient ruiné ledit pays, si plus de 50 % des toujours citoyens exigent leur pendaison en place publique avec saisie de l’ensemble de leurs biens et avoirs en compensation de la destruction de la Nation, c’est encore la démocratie qui joue et l’emporte en même temps qu’elle les emporte.

    PRENONS NOTRE CONSTITUTION, LE SEUL SOUVERAIN DU PAYS EST LE PEUPLE.

    Cela valait tant que la France disposait d’un peuple homogène qui ne se frictionnait que pour une répartition des richesses et la lutte des classes, mais avec une population qui partageait les mêmes valeurs laïques et chrétiennes avec une communauté juive et quelques autres qui souffraient de pouvoir vivre comme elles l’entendaient sans emmerder les autres ni avoir la prétention de.

    Mais aujourd’hui la Constitution n’est plus adaptée à la démographie actuelle, il y a au moins deux peuples en France dont le mahométan haineux d’importation et les tout aussi haineux extra-européens indigénistes racisés et racistes.

    Il y a une majorité de citoyens qui aiment la France et un tiers de la population qui n’aspire qu’à détruire la France, c’est le corps électoral de LFI-écolos-socialo-communistes et autres cégétistes dont je vous ai déjà entretenu:

    " Les trois corps se composent comme suit:

    1° les souverainistes qui veulent reprendre les rênes du pays,

    2° un centre mou du Modem aux Républicains,

    3° un corps électoral qui a la haine des deux autres, de la France, de l’Occident et des Blancs qui va de LFI-écolos-mahométans jusqu’aux cégétistes et socialistes.

    C’est simple à comprendre, à partir du moment où un tiers du corps électoral global du pays a la haine dudit pays, de ses souchiens et de l’Occident plus généralement, vous ne trouverez jamais la paix interne, le système parlementaire restera vicié avec les mous et le pays paralysé tant que le corps qui hait la France et les Français existera et menacera lesdits mous de recourir à la rue et aux émeutes ".

    Prenons les sectateurs adeptes de Mahomet; sondage après sondage, une majorité d’entre eux met le Coran au-dessus de la Constitution et une autre partie des sondés pratique la taqîya en faisant semblant.

    Ils ne sont pas du Peuple souverain, ils ressortent d’une autre Constitution que celle de 1958, peuvent-ils alors prétendre à être français dans ces conditions?

    Bien sûr que non, qui ne reconnaît pas la Constitution de 1958 mais ressort d’autres constitutions ne peut pas être français, et les papiers qu’il produirait ne pourraient être de que faux grossiers ou résulter d’un trafic de délivrance de papiers moyennant bakchich.

    Les préfets qui délivrent des papiers aux coraniques depuis 40 ans prennent-ils la précaution de vérifier que les récipiendaires mettent bien le Coran en dessous de notre Constitution?

    On est en droit d’en douter compte tenu des sondés qui arguent de leur citoyenneté tout en mettant le Coran au-dessus de tout.

    Depuis 40 ans, on est donc fondé à penser que les préfets toucheraient de magnifiques bakchichs et ici on s’interroge: pourquoi Mediapart et le parquet national financier ne se sont-ils pas déjà penchés sur ce trafic papier-financier digne du trafic de piastres de la IVe République?

    Prenons Mélenchon qui veut créoliser la France, soit donc rejouer en inversé de coloration les purifications ethniques des grands blonds aryens des nazis en leur temps.

    On a condamné les nazis pour agissements contraires aux droits humains, mais on laisse Mélenchon libre: pourquoi Mediapart et la ligue des Droits Humains ne se sont-ils pas déjà penchés sur le cas dudit Mélenchon qui s’est lancé publiquement dans un eugénisme que l’on croyait condamné et condamnable? Pourquoi les magistrats de France ne l’ont-ils pas mis en préventive pour purification ethnique?

     

    D’où vient cette protection dont les mélenchonistes jouissent, empêchant par là même leurs opposants de jouir de tranquillité comme Job?

    Pire, les mélenchonistes affichent sans complexe dans tout l’espace public leurs attitudes, leurs discours ainsi que leurs actes, leur antisémitisme et leur haine des Blancs de France, et pourtant ils jouissent ici encore et toujours d’une étonnante protection. Pourquoi?

    Certains avancent que lesdits mélenchonistes qui ont été et sont toujours acoquinés avec la Caste et la doxa générale tiendraient des dossiers kompromats sur les détournements de fonds opérés par tous les politiciens et les partis de ces cinquante dernières années, ainsi qu’une connaissance aiguë des filières des flux financiers via des associations, subventions, aides et organismes migratoires et entreprises bénéficiant de marchés publics, et savent une grande partie des politiciens, dont certains de premier plan, bénéficiaires de comptes offshore alimentés par lesdits détournements de fonds.

    La chose est plus que plausible, tant Jean-Luc Mélenchon que les écolos, communistes et socialistes ont été suffisamment au gouvernement des 50 dernières années pour avoir des connaissances accrues en la matière, et en savent probablement un peu plus de ces filières de détournements de fonds que le pékin moyen.

    Peut-on alors avancer que la France est une démocratie dès lors qu’une majorité de la population est interdite d’eugénisme par la magistrature mais qu’une caste, le corps électoral mélenchoniste, peut s’y adonner et s’y vautrer impunément avec la délectation d’un Pol Pot qui voudrait purifier son pays?

    Eh bien non puisque la majorité est lésée alors que le propre d’une démocratie est de répondre aux vœux du plus grand nombre: ici ce serait l’élimination physique au besoin de tout le corps électoral mélenchoniste haineux de la France tout simplement si une majorité qui voudrait sauver ce pays de leur haine le décidait.

    Car comme je le rappelais au début, le fascisme choisi est un système démocratique comme un autre dès lors qu’il est plébiscité par une majorité de citoyens dans un pays donné, et si dans ledit pays donné ladite majorité de ces mêmes citoyens décide qu’il faut pendre des milliers de juges et tout un corps électoral haineux dudit pays, cela relève bien d’un choix majoritaire, donc démocratique.

     

    Jean d’Acre

  • Soros va-t-il enfin rendre des comptes?

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    L’Open Society Foundations est devenue la cible de la justice américaine

    Le 25 septembre, le ministère de la Justice des États-Unis a ordonné à plusieurs bureaux de procureurs fédéraux d’enquêter sur l’Open Society Foundations (OSF), un ensemble de fondations créées par le milliardaire George Soros, et d’envisager une série d’accusations criminelles pour fraude, blanchiment d’argent, racket et soutien matériel au terrorisme.

    Un mois auparavant, le 27 août, Donald Trump avait déclaré sur Truth Social que "George Soros et son fils, un extrémiste de gauche, devraient être inculpés par RICO1 pour leur soutien à des manifestations violentes". Soros et sa "bande de psychopathes ont causé de graves dommages à notre pays", a ajouté le président des États-Unis.

    L’Open Society Foundations a regretté cette "tentative de museler les détracteurs de Trump" et a nié "soutenir et financer le terrorisme".

    Qu’est-Ce Que l’Open Society Foundations?

    L’Open Society Foundations est un réseau "philanthropique" international qui s’est donné pour objectif de financer un ensemble de causes progressistes, identitaires, woke, antiracistes, immigrationnistes.

    Le fondateur de ce réseau est George Soros, authentique génie de la finance qui a constitué un patrimoine considérable. En 1992, en pariant sur la dévaluation de la livre britannique, le fonds Soros a réalisé un profit d’un milliard de dollars en une seule journée. Si l’on en croit le New York Times, le total des actifs gérés aujourd’hui par les entités de M. Soros s’élève à environ 23 milliards de dollars. Selon le New York Times toujours, les différentes fondations de Soros affirment avoir dépensé plus de 24 milliards de dollars à ce jour, dont 1,2 milliard en 2024.

    POURQUOI TRUMP CIBLE-T-IL LA FONDATION?

    Donald Trump a des raisons personnelles d’en vouloir à George Soros. Ce dernier l’a traité d’"escroc" en 2023 et a financé Color of Change, une association de procureurs progressistes qui a soutenu la candidature d’Alvin Bragg au poste de procureur du comté de New York.

    Et ledit Alvin Bragg a mis en examen Donald Trump en 2023, l’accusant d’avoir utilisé des fonds provenant de ses entreprises pour acheter le silence de Stormy Daniels, une actrice pornographique avec laquelle le président aurait eu une aventure.

    Bien entendu, la presse américaine s’interroge sur l’éventuelle instrumentalisation de la justice par le président américain. À juste titre. Mais une enquête fédérale sur un groupe financier soupçonné d’avoir pesé sur la justice et les institutions américaines ne manque pas d’intérêt.

    D’après la Heritage Foundation, une fondation conservatrice, George Soros et son Open Society Foundations ont investi des dizaines de millions de dollars pour faire " élire des procureurs qui s’opposent à la peine de mort, à la libération sous caution, qui se montrent indulgents avec les criminels, dénigrent la police, refusent de poursuivre la plupart des délits et pousseraient à l’adoption d’autres réformes radicales ".

    L’HOMME QUI AVAIT DES IDEES

    George Soros a construit sa vie sur la croyance qu’il avait des idées, lesquelles méritaient de s’imposer à la collectivité mondiale.

    Il a publié 14 livres aux titres narcissiques ("Soros on Soros", "Soros sur Soros"), ou pompeux ("The Alchemy of Finance", "L’Alchimie de la finance"), dont peu resteront dans les mémoires. Le Prix Nobel d’économie Robert Solow a considéré que l’ouvrage de Soros publié en 1998, "The Global Crisis of Capitalism" ("La crise mondiale du capitalisme") était " d’une embarrassante banalité".

    Le Pr Solow a ajouté que M. Soros "veut être un philosophe, une sorte de philosophe-roi … en s’y efforçant, il révèle la difficulté fondamentale du philosophe-roi. C’est sacrément difficile".

    Au New Yorker, en 2004, Soros s’est plaint que la chaîne Fox ou le Comité national du Parti républicain "dénigraient sa personne pour éviter d’avoir à répondre à ses idées". Lorsque la journaliste du New Yorker lui a demandé de "nommer une seule chose au monde qu’il aurait aimé obtenir", il a répondu plaintivement: "Je veux que mes idées soient entendues".

    Comme l’écrit férocement James Kirchick dans Tablet Magazine: "Soros souffre de ce trouble de la personnalité propre aux très très riches: il souhaite désespérément être pris au sérieux en tant qu’intellectuel public, alors qu’il n’a rien de très profond à dire".

     

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  • Pierre de Villiers: "La France est désarmée et la guerre arrive"

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    L’ex-chef d’État-major des Armées s’est exprimé, ce 10 septembre, devant un parterre de dirigeants de start-up réunis par Challenges et ses partenaires à l’occasion de l’édition 2025 du Trophée des futures licornes.

    L’ancien chef d’Etat-major des Armées, Pierre de Villiers, débarqué en juillet 2017 par Emmanuel Macron, est sorti de la cure de silence médiatique qu’il s’est imposé depuis deux ans. Invité du Trophée des futures licornes, dont Challenges est partenaire, il a remercié les lauréats et salué leurs aventures entrepreneuriales: "Ils sont l’expression du génie français, un signe d’espérance". De l’espérance, il en faut, quand on écoute Pierre de Villiers. Interrogé sur la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon, il commence tout de même sur une note positive en se félicitant du choix d’un (ancien) ministre des Armées pour ce poste, rappelant l’exemple de Pierre Messmer et estimant qu’il s’agit en tout cas "d’une bonne nouvelle, d’un bon signe".

    Il indique avoir une très bonne opinion du nouveau Premier ministre, car il a aussi lu son livre (Vers la guerre? éd. Plon), qu’il a trouvé " excellent ". Mais au-delà de cette nomination, il ponctue par cette exhortation lapidaire, demandant désormais des actes: "Oui, mais on fait quoi maintenant? Il faut accélérer! "

    Pierre de Villiers décrit un échiquier géopolitique et militaire où l’on fait face au retour de deux zones de conflictualité – l’Ouest avec le bloc de l’Est, le Proche-Orient – auxquels s’ajoutent les questions de l’islamisme et du dérèglement climatique. Mais au-delà de ces problèmes qui existaient déjà et qui ne font que se renforcer, il pointe surtout un monde devenu très instable: " C’est bien là la grosse différence par rapport à avant".

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