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politique - Page 7

  • Nié par la gauche, le racisme anti-blancs est un phénomène massif en France

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    Le racisme anti-Blancs existe bel et bien. Un racisme que Le Monde diplomatique – journal qui, avec ses autres déclinaisons, poursuit depuis plusieurs années sa descente dans l’abîme du militantisme ultragauchiste, sans doute en souvenir de son pire journaliste de jadis, le sinistre et malfaisant Edwy Plenel – qualifiait en 2021 de "mythe de la dépossession raciale", dans un article présentant un livre pétri de déni, Pauvre petit blanc, signé Sylvie Laurent, une enseignante de Sciences Po, tout se tient.

    Livre qui pourfendait la réalité wokiste aux États-Unis mais dont l’auteur ne semblait pas prendre la mesure, malgré les faits aussi évidents que le nez au milieu du visage.

    https://www.monde-diplomatique.fr/

    Pourtant, ce racisme, que l’on voudrait couvrir tel le sein de Dorine à qui Tartuffe tend un mouchoir afin de le dissimuler, est une réalité dans tout l’Occident chrétien. Car il frappe à la fois les Blancs et les chrétiens, et évidemment les juifs, ce que d’autres nient, croyant ainsi servir une cause patriotique par un antisémitisme qui ne sert en fait que nos ennemis. Mais laissons ceux-là à leurs fantasmes, ce n’est pas ici le sujet.

    Le racisme anti-Blancs, en plus d’être mortel – les Blancs étant majoritairement assassinés chez eux, notamment en France –, constitue un harcèlement permanent, servi par une censure impitoyable qui s’étend partout comme l’ombre du vampire la nuit. Ainsi l’enseignant de l’université Lyon 2 – récemment obligé de quitter son cours et fustigé par la présidente de son université, elle-même blanche ! – en est l’un des derniers exemples criants. Car en refusant d’aller dans le sens de la propagande palestinienne, cet enseignant s’est de facto rangé du côté des Blancs à abattre.

    On ne compte pas non plus les sorties haineuses à l’encontre de la culture occidentale – donc blanche – entre autres dans les médias, parmi les élus de certaines organisations politiques détestant ouvertement la France – et qui sont, eux, de vraies bêtes immondes – et même dans les décisions de justice en faveur des non-Blancs contre des Blancs. Toute la société se trouve ainsi sous le joug de ce racisme dont on interdit qu’il dise son nom. À tel point que les chercheurs qui auraient l’outrecuidance de se pencher sur cette question vitale de société sont bannis.

    Ce tabou vent d’être levé par François Bousquet – essayiste fort logiquement classé à l’extrême droite par l’officine de propagande encyclopédique Wikipédia –, avec la parution d’un livre qui ne fera pas les bonnes pages de la presse gauchiste : Le racisme antiblanc, l’enquête interdite.

    Son éditeur le présente ainsi: "Ce livre est une enquête, première du genre. Il se déploie en deux mouvements. Le premier, "Le chic gauchiste", concis mais incisif, démonte l’imposture du racisme systémique, qui fonctionne comme un verrou mental empêchant de penser le racisme anti-blanc – ce “non-objetˮ sociologique. Le second, “Le choc racisteˮ, en constitue la pierre angulaire. Il donne la parole aux victimes, celles que l’on réduit au silence, car reconnaître leur souffrance reviendrait à dynamiter le récit dominant. Or, tous les témoignages rassemblés ici convergent vers une même réalité : loin d’être un fantasme, le racisme anti-blanc est un discours de haine explicite et un phénomène aussi massif qu’occulté. C’est cette vérité interdite que vous allez découvrir. "

    Le "récit dominant" dont il est question ici nous le pourfendons à longueur d’articles sur Riposte Laïque, certains d’entre nous ayant été eux-mêmes victimes de ce racisme institutionnel.

    Oui, institutionnel, car comment expliquer autrement des concepts officialisés tels que la discrimination positive ou le vivre-ensemble, qui ne sont rien d’autre que des racismes visant à culpabiliser le Blanc et, inversement, dédouaner de tous ses crimes l’Autre, celui qui n’est pas Blanc ? On est là face à une propagande implacable, étayée par les loi liberticides Pleven (1972), Gayssot (1990) et Taubira (2001), cette dernière étant sans doute la pire des trois puisqu’elle réécrit l’Histoire dans le sens de l’idéologie antiraciste – qui est de fait raciste – en niant la suprématie esclavagiste du monde musulman pour ne se concentrer que sur les "crimes" blancs.

    La préférence antinationale, dans les emplois, le logement, les attributions d’aides, est la règle, avec la bénédiction des pouvoirs publics. Et malheur à qui proteste, il tombe sous le coup de la loi. Promenez-vous ainsi dans les musées nationaux et demandez-vous pourquoi, parmi le personnel, les Noirs y sont surreprésentés. Allez dans les cités et constatez le nombre de Blancs, dérisoire. Interrogez-vous sur le temps qu’il vous faut pour obtenir des aides lorsque les migrants sont pris en charge à peine le pied posé sur notre sol, etc.

    La responsabilité de cette injustice criminelle incombe aussi à de pseudo-intellectuels comme le très évitable BHL, qui, dans son torchon, L’Idéologie française, accablait une France dont il profite allègement au passage. Dans ce mauvais livre, il n’hésitait pas à salir Maurice Barrès en l’accusant d’être, avec d’autres, à l’origine du national-socialisme, niant le patriotisme exalté de l’intéressé et sa défiance à l’égard de l’Allemagne, notamment dans son livre Colette Baudoche, paru en 1909. Le même Barrès qui salua le courage des soldats israélites ayant combattu sous le drapeau français en 1914-1918, et qui revint même sur ses positions concernant l’affaire Dreyfus. Enfin, Barrès est mort en 1923, dix avant l’avènement d’Hitler, qu’il n’aurait surement pas soutenu. Mais de cela BHL n’a cure, et l’on peut par contre dire de lui qu’il fut l’un des artisans majeurs du racisme anti-Blancs, un racisme qui explose aujourd’hui à la figure des juifs français, considérés comme les pires des Blancs dans l’esprit des musulmans.

    Dernier exemple de racisme anti-Blancs, et pas des moindres, les non-Blancs qui s’assimilent à notre identité culturelle et qui sont la proie de leurs semblables, car considérés comme des traîtres qu’il faut aussi abattre. Il se voient ainsi traiter de "nègres de maison" ou de "bougnoules de service", toutes choses entendues par l’auteur de ces lignes dans des manifestations parisiennes antiracistes!

    Ainsi, où qu’il regarde, le Blanc se sent légitiment en insécurité, voire en danger de mort, dans l’indifférence générale qui pourrait, espérons-le, provoquer un sursaut de sa part, si violent fût-il.

    Car, dans cette "ténébreuse affaire", il ne s’agit ni plus ni moins que de sa survie…

    Cyrano

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)

  • Trump a viré Macron, qui voulait s’incruster dans sa discussion avec Zelensky

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    Qu’elle est loin cette belle France gaullienne que le monde entier respectait, aussi bien à Washington, qu’à Moscou ou Pékin.

    Macron se veut le centre du monde. Regardez la façon dont il interrompt Joe Biden en pleine discussion, lors du G7 de 2022 en Allemagne. Un sans gêne qui en dit sur l’ego de l’artiste.

    Notre narcissique Président, qui s’agite en tous sens et joue perpétuellement des coudes pour être au premier rang de la photo, vient de se faire recadrer par Donald Trump, à Rome.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=1UOixeXQxeM

     

    Zelensky ayant réussi à arracher un court entretien de dix minutes au président américain, le pot de colle nommé Macron a voulu s’imposer dans la discussion. Trois chaises étaient prêtes.

    Mais non seulement Trump n’a pas serré la main tendue de Macron, mais il lui a signifié son refus d’un échange à trois. La rencontre s’est terminée en un tête à tête Trump/Zelensky.

    Mis à l’écart sans ménagement, Macron et son complice Starmer ont tenté une seconde rencontre avec Trump dans l’après-midi. Mauvaise pioche! Trump, agacé par ces Européens hostiles à sa politique jugée trop russophile, a décidé de reprendre son avion après la messe.

    Ce qui devait être un coup d’éclat est un fiasco. Macron ne fait plus illusion que chez les Français, assez naïfs pour redonner un coup de lustre à sa cote de popularité. 5 points de plus dans les sondages, pendant que Bayrou s’enfonce, c’est toujours bon à prendre.

    Le bilan Macron restera le pire de la Ve République, même si les quinquennats de Sarkozy et de Hollande sont des bides absolus.

    Comme le dit si élégamment Trump, "Tout ce que touche Macron se transforme en m… ".

    (…)

    Sur le plan international, notre diplomatie n’est qu’un chapelet de désastres.

    – Macron voulait une coalition contre le Hamas: fiasco.

     

    – Il a voulu s’ingérer dans la politique libanaise en copinant avec le Hezbollah: fiasco.

    – Il a cru pouvoir apporter sa touche paternaliste en Afrique: fiasco.

    – Il a clamé que Poutine ne devait ni ne pouvait gagner la guerre: fiasco.

    – Il a voulu flatter Alger en crachant sur la colonisation: fiasco.

    – Il veut reconnaître un Etat palestinien en juin: encore un fiasco qui s’annonce.

    – Il fait maintenant acte de repentance devant Haïti, première république noire de l’histoire, indépendante depuis plus de 200 ans mais devenue le pays le plus pauvre du monde.

    Macron adore remuer la vase et culpabiliser la France si cela peut lui attirer les projecteurs. Il a toujours eu honte de son pays et de son histoire. Il ne comprend rien. Comment un chef d’Etat peut-il être respecté dans le monde s’il ne respecte pas son propre pays et son peuple?

    À la tribune de l’ONU, en 2018, notre Président a osé déclarer devant 193 nations:

    "Je viens d’un pays qui a fait beaucoup de mal, beaucoup de mauvaises choses"

    Aucun chef d’Etat dans le monde n’a jamais sali ainsi son pays.

    Macron veut mettre en place une commission d’historiens pour déterminer si la France est responsable du naufrage haïtien, pour avoir accordé l’indépendance à celle île riche et prospère, qu’on surnommait la Perle des Antilles, moyennant une rançon de 21 milliards d’euros actuels.

    Il devrait au contraire s’interroger sur l’incompétence de ce pays à émerger de la misère, de la corruption et de la violence. En 220 ans tout a empiré. Ce sont les gangs qui mettent Haïti en coupe réglée.

    Mais Macron n’a pas la sagesse ni la lucidité d’un Thabo Mbeki, ancien président sud-africain qui déclarait à l’université de Kingston (Jamaïque), après un passage à Haïti:

    https://www.alterpresse.org/spip.php?article573

    "L’histoire de la révolution haïtienne doit susciter la confiance parmi les masses africaines et modeler leur conduite, de manière à être nos propres libérateurs de la pauvreté, du sous-développement, de la marginalisation et du paradigme qui nous fait passer pour des populations vivant de la charité des autres.

    Quand nous disons l’histoire de la révolution haïtienne, nous ne devrions pas nous arrêter à la glorieuse victoire de 1804. Nous devrions également parler de ce qui s’est produit après, de ce qui s’est produit après que la Diaspora africaine ait donné aux Africains de partout le grand cadeau de la première république noire d’Haïti.

    A cet égard, nous devons reconnaître que, les révolutions américaines et françaises ont réussi à créer les conditions du développement des américains et français, tandis que tel n’a pas été le cas d’Haïti. En effet, ce pays a pris une voie diamétralement opposée à celle du développement.

    En tant qu’Africains, en Afrique et dans la Diaspora africaine, nous devons répondre à la question de savoir pourquoi il y a eu cette divergence d’expérience au lendemain des révolutions américaines, françaises et haïtiennes, qui sont liées. En répondant à cette question, nous pourrons également dire pourquoi, à bien des égards, la condition africaine, certainement en Afrique sub-saharienne, a été catastrophique durant de nombreuses années, en dépit de notre existence comme républiques noires, tel le cas d’Haïti pendant deux cents ans".

    Pour Thabo Mbeki, c’est aux Noirs qu’il appartient de sortir par eux-mêmes de leur misère.

    Mais pour Macron, si Haïti est le pays le plus pauvre du monde après plus de deux siècles d’indépendance, c’est encore la faute de la France.

    À Madagascar, il vient encore de faire acte de repentance et veut créer les conditions du pardon de la colonisation.

    Mais ce que ne dira jamais Macron car il l’ignore sans doute, c’est qu’en arrivant à Madagascar nous y avons trouvé des traditions barbares, comme les sacrifices humains les plus cruels et les infanticides rituels. Nous y avons mis fin.

    Tout cela fait partie de l’indéniable oeuvre civilisatrice de la colonisation, que le fossoyeur de la France ne reconnaîtra jamais.

    Après tant de mal fait à notre pays, puisse Macron partir au plus vite et ne jamais revenir. Pour sauver notre pays du naufrage, il nous faudrait un président qui aime profondément la France et son histoire. Un leader sage et compétent, qui ne soit pas un minable carriériste narcissique, en quête perpétuelle des projecteurs. Le contre modèle d’un Macron.

    Tous les gros dossiers internationaux se règleront sans Macron. Que ce soit sur Gaza, sur l’Iran ou l’Ukraine, ni Poutine, ni Trump, ni Netanyahou n’ont besoin d’un agité qui dit tout et son contraire. Les coups médiatiques sans lendemain, ça ne marche plus.

    Jacques Guillemain

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)

  • Tout savoir sur les CAPES "en chocolat"

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    Beaucoup de s’émouvoir du fait que le concours du CAPES pour accéder au poste de professeur des collèges puisse s’obtenir désormais à bac+3 et non plus, à bac+5 en vertu de l’arrêté du 17 avril 2025, se référant à ce qu’il fut… il y a déjà pas mal de temps…

    Quelle importance, allais-je dire, puisqu’en vertu de la révolution scolaire* en cours, l’Ecole publique – qui arrime l’Ecole privée sous contrat – n’est plus une Ecole, et ce, du primaire à l’université puisque désormais basée, non plus sur l’instruction et la formation intellectuelle en littérature, histoire, géographie, sciences… mais sur l’acquisition et le respect des valeurs – dites – de la République appréhendées à travers un document essentiel – le "vade-mecum de la laïcité" –  érigé en bible en lieu et place des manuels d’histoire, de géographie, lettres…

    Il faut bien comprendre que les professeurs qui essaient d’enseigner encore aujourd’hui sont les derniers des Mohicans et que le système scolaire public, euthanasié par ceux qui sont censés nous gouverner,  est en train de rendre son dernier souffle,  les prétendus CAPES – entre autres – fortement dégradés, n’étant destinés qu’à abuser le public sur la réalité scolaire.

    DIFFERENTS TYPES DE CAPES

    En effet, d’ores et déjà, le CAPES ne vaut plus grand-chose, ayant subi ces dernières années de sérieux coups de boutoir par les réformes successives – 2009, 2013, 2021 – et nous pouvons en donner une illustration à travers les différents types de CAPES: externe, interne et de 3e voie (sic).

    CAPES externe

    Le CAPES externe est celui obtenu après le cursus universitaire correspondant – depuis 2021 et jusqu’à ce jour: bac+5.

     

    En ce qui concerne le CAPES externe de maths 2024, un article du Figaro étudiant de Camille Pineau du 26 décembre 2024 rend compte d’une épreuve du CAPES de maths 2024:

    La première épreuve du concours externe était un QCM auquel il fallait répondre par vrai ou faux à des questions de proportionnalité, d’arithmétique et de géométrie!

    .1er ex. "Après une augmentation de 55%, le coût d’un produit a baissé de 28%; le pourcentage d’augmentation total est de 27%" … vrai ou faux?

     

    .2e ex.: 3/11= 0,272727272727

     

    Manon Chiappa, professeur de maths en région bordelaise, estime que "le niveau d’aujourd’hui est incomparable avec les épreuves en 2004 "…

    " … Ce qui peut surprendre " – remarque la journaliste – puisque depuis 2021, le CAPES est accessible uniquement aux étudiants inscrits en master 2 ou titulaires d’un bac+5".

    C’est bien évidemment la preuve que le niveau universitaire, suivant en cela celui du secondaire, est en chute libre, et pour cause!

    Et le professeur de poursuivre:

    " … Maintenant, davantage d’importance est accordée aux épreuves didactiques (!!!), ce qui est essentiel pour notre métier puisque ces compétences sont directement liées à l’enseignement; il était nécessaire que le concours évolue dans ce sens "!!!

    L’histoire ne dit pas si Manon est de la même famille que Marlène! En tout cas, dans l’esprit,  oui!

    En ce qui concerne le CAPES de lettres 2024, France-info du 15/05/2024 relaie le discours de Romain Vignest, président de l’association des professeurs de lettres, qui relate le fait qu’aux oraux du CAPES, au moins 3 épreuves sur 4 évaluent la conformité du candidat avec le dogme pédagogique prescrit par l’Education nationale:

    "On ne va pas vérifier qu’il maîtrise excellemment la littérature et la langue française… ce n’est pas ce qu’on évalue… Vous avez des gens qui parfois, n’ont jamais lu un roman de Balzac ou qui souvent, n’ont jamais lu une pièce de Racine… ils ne savent même pas conjuguer le subjonctif; parce que précisément, ce n’est pas le savoir qu’on évalue… "

    Ce qui se conçoit aisément, puisque l’objectif de l’Ecole n’est plus d’instruire.

    CAPES interne

    C’est celui obtenu traditionnellement dans le prolongement d’une expérience professionnelle de professeur; pour l’admissibilité, il comporte une épreuve écrite ou un dossier de reconnaissance d’acquis professionnels, et pour l’admission, d’une épreuve orale.

    CAPES de 3e voie

    Quant au CAPES de 3e voie, il est notamment ouvert à d’anciens CEJ (Contrat d’Engagement Jeune), CES (Contrat Emploi Solidarité), CEC (Contrat d’Emploi Consolidé), sans justification de diplômes.

    Le CEJ étant un dispositif destiné à aider les jeunes de 16 à 25 ans en situation de précarité.

    Le CES étant destiné à favoriser l’insertion professionnelle des personnes sans emploi, rencontrant des difficultés particulières d’accès à l’emploi.

    Le CEC  étant un contrat de travail à temps partiel (en général, 30 heures/semaine) pour une durée déterminée de 12 mois renouvelables dans la limite de 5 ans, destiné aux personnes en difficulté sur le marché du travail, en particulier celles qui, ayant bénéficié d’un ou plusieurs contrats emploi-solidarité et qui n’ont pas trouvé d’emploi à l’issue de ces contrats; il est remplacé progressivement par le Contrat d’Accompagnement dans l’Emploi et le Contrat d’Avenir.

    Bref, du personnel incapable d’enseigner quoi que ce soit, ce qui n’est évidemment pas l’objet de leur mission.

    CONCLUSION

     

    C’est assez dire que le fait de s’émouvoir de la loi de la réduction de l’obtention du CAPES de bac+5 à bac+3 n’a rigoureusement aucune importance ni aucun sens!

    Par contre, si nous voulons préserver nos enfants et leur permettre de se construire intellectuellement et les rendre aptes à jouer un rôle dans la société, il faut fuir ce système et c’est urgent, car nos enfants sont en danger, non seulement intellectuel mais aussi moral!

    Il ne s’agit plus de contester une mesure ou une autre, cela n’a pas de sens dans un système dont le délitement général est organisé depuis de nombreuses années et que nous arrivons au terme de cette dégradation.

    Tout se tient, et c’est l’ensemble du système qu’il faut rejeter.

    Contester publiquement et en masse cette pseudo-Ecole, exiger publiquement le bon scolaire pour chaque enfant, autrement dit que toutes les familles reçoivent de l’Etat un chèque d’un montant égal à ce qu’il coûte dans l’enseignement public de telle sorte qu’elles puissent choisir l’établissement scolaire de leur enfant: système de mise en concurrence qui est le meilleur gage de restauration d’un système éducatif de qualité.

    Claude Meunier-Berthelot

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)