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politique - Page 7

  • Pour réaliser le plan maçonnique, il faut former les esprits et agir sur les mentalités

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    L’Encyclopédie, entreprise maçonnique prépare les esprits à la Révolution. Les loges de l’époque forment l’opinion. Car les philosophes du XVIIIe siècle sont violemment hostiles à l’instruction populaire dont l’idée même leur fait horreur. Voltaire l’avoue crument:

    "Il me paraît essentiel qu’il y ait des gueux ignorants … La raison triomphera chez les honnêtes gens, mais la canaille n’est pas faite pour elle. A l’égard de la canaille, je ne m’en mêle pas, elle restera toujours canaille. Je cultive mon jardin, mais il faut bien qu’il y ait des crapauds. Le peuple sera toujours sot et barbare. Ce sont des bœufs auxquels il faut un aiguillon, un joug et du foin".

    Dans son Essai d’éducation nationale, La Chalotais, procureur général, fait grief aux religieux de leur zèle à répandre le Savoir: "Les Frères de la Doctrine chrétienne apprennent à lire et à écrire à des gens qui n’eussent dû apprendre qu’à dessiner et à manier le rabot. Le bien de la société demande que les connaissances du peuple ne s’étendent pas plus loin que ses occupations".

    Voltaire lui écrit en 1763 pour le féliciter chaleureusement: "Je vous remercie de proscrire l’étude chez les laboureurs".

    Trois ans plus tard, en 1766, Voltaire écrit: "J’entends par peuple la populace qui n’a que ses bras pour vivre. Je doute que cet ordre de citoyen n’ait jamais eu le temps ni la capacité de s’instruire et il mourrait de faim avant de devenir philosophe".

    "Si vous aviez comme moi une terre et si vous aviez des charrues, vous seriez de mon avis. Ce n’est pas le manœuvre qu’il faut instruire, c’est le bon bourgeois et l’habitant des villes. On doit prêcher la vertu au plus bas peuple. Quand la populace se mêle de raisonner, tout est perdu".

    En clair, le monde se divise en deux, le peuple et les philosophes. Le peuple n’a pas besoin de s’instruire. Mais la gauche continue à encenser Voltaire et les philosophes des Lumières.

    L’hostilité des Lumières à l’instruction de la "canaille" est fondée sur leur hostilité à l’Église. Ils veulent la suppression de l’Église, ou à défaut la suppression de l’enseignement qu’elle dispense.

    Il faudra attendre la fin du Second Empire pour que les "fils des Lumières" commencent à entrevoir l’utilité de tenir l’école. Dans un discours prononcé en loge le 11 mai 1869, Jules Simon déclarait:

    "On répète avec raison que la révolution n’est pas finie. Nous voulons qu’elle le soit. Quel est le moyen? Fonder partout des écoles".

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  • Scandale d'Etat!

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    Mort de Thomas à Crépol: un PV relance la thèse d’un meurtre à caractère raciste

    Dans "Une nuit en France", à paraître le 19 mars, le grand reporter Jean-Michel Décugis, Pauline Guéna et Marc Leplongeon reviennent sur la mort de Thomas, 16 ans, tué lors d’une bagarre à Crépol (Drôme) dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023. Un drame qui avait bouleversé la France et ému une grande partie de la classe politique française.

    Dans un entretien accordé au Nouvel Obs, Jean-Michel Décugis révèle l’existence d’un procès-verbal (PV) sensible, rédigé cinq jours après les faits, dans lequel des témoins affirment avoir entendu "des insultes racistes" au cours de la rixe. Ce document, pourtant crucial pour l’enquête, a été " classé dans les notifications de garde à vue, des documents qu’on ne consulte jamais, comme si on avait voulu le cacher", déclare le journaliste.

    Pour Jean-Michel Décugis, "l’existence de ce PV de gendarmerie est très embarrassante", car il remet en cause la version officielle, selon laquelle la mort de Thomas ne serait pas un crime raciste. À l’époque, le climat était extrêmement tendu et les pouvoirs publics n’auraient "certainement pas eu envie de jeter de l’huile sur le feu", alors que la situation était déjà particulièrement explosive.

    Un PV volontairement dissimulé ou mal classé par erreur? Impossible à dire, mais pour l’auteur, "d’un côté comme de l’autre, l’idéologie a empoisonné l’ensemble de cette enquête".

    Un élément clé qui risque de relancer la polémique autour de ce drame qui a déchiré la France.

    Valeurs actuelles

  • Archi-faux par les faussaires du climat!

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    En France, le pouvoir a fermé de façon arbitraire des labos où officiaient des hérétiques, avant d’actionner sa police politique ARCOM pour traquer les médias donnant un temps de parole aux climato-sceptiques. À l’inverse, aux USA, l’administration Trump a décidé d’en finir avec le cirque "woke" de l’ère Biden.

    Les agences fédérales ont été invitées à fermer les programmes et activités relevant de l’activisme climatique. Fini les subventions pour des études bidon dédiées au réchauffement et aux gaz à effet de serre. Furieux, les médias menteurs ont accusé la NASA d’avoir viré sa "prestigieuse directrice scientifique" (sic). Sans dire qu’elle n’est ni astrophysicienne ni ingénieur. Mais écologiste bossant pour l’IPCC.

    Les médias du NWO ont beau se déchaîner pour convaincre les peuples de l’imminence de la catastrophe, justifiant taxes et pertes de libertés, la température moyenne mondiale sur le long terme est plutôt à la baisse!

    De grossiers manquements à l’intégrité scientifique et à l’éthique servent à renforcer les discours des réchauffards

    La désinformation climatique est devenue la règle dans les médias. La science n’a plus son mot à dire. Les réchauffards sont des militants d’ultra-gauche décidés à imposer leur point de vue par les moyens les plus autoritaires et déloyaux, à défaut de pouvoir convaincre lors de débats avec des contradicteurs qualifiés.

    La passivité, le conformisme, l’aveuglement et le manque de courage de la communauté scientifique ont aggravé le phénomène, auprès d’une caste politico-médiatique ignare qui aurait été collée avec des notes éliminatoires au bac sciences des années soixante.

    Début 2025, Sveriges Radio la radio publique suédoise a diffusé une enquête sur les exagérations, falsifications et mensonges sur le changement climatique colportées par l’ONU dont le GIEC est une officine de propagande. Parmi les innombrables fausses informations destinées à terrifier les Béotiens pour mieux les taxer et les asservir, quatre ont été retenues parmi les plus récentes.

    1/ La désinformation sur l’élévation du niveau de la mer dans l’archipel des Samoa

    Dans un reportage bidonné d’août 2024, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, visite une maison abandonnée, "en raison des dégâts causés la montée des eaux de l’océan Pacifique, conséquence du réchauffement climatique", dit-il.

    Le socialiste Guterres se prendrait-il pour un grand savant parce qu’il réparait des télés avant de faire de la politique? Qu’importe, ses conseillers lui avaient suggéré de ne pas trop s’exposer personnellement. Mais à son niveau de pouvoir, assuré de la complaisance des uns et de la cécité des autres, Guterres s’est mis en scène en train de commenter avec des sanglots dans la voix, la visite d’un faré délabré.

    "Ceux qui vivaient dans cette maison ont été chassés de chez eux par le réchauffement climatique. La montée du niveau de la mer s’accélère. Elle est deux fois plus élevée que dans les années 90. Si nous ne faisons rien, les Samoa seront englouties". Avec des volcans s’élevant jusqu’à 1850 mètres? Ce cuistre connaît la géographie comme Macron.

    Ola Sandstig, un journaliste suédois, a retrouvé les rescapés qui avaient abandonné leur maison et découvert qu’ils l’avaient quittée à cause du tremblement de terre et du tsunami de 2009. Là où la terre s’est affaissée après le séisme, la mer a envahi la zone. Sans incidences ailleurs. Les tremblements de terre et les tsunamis n’ont rien à voir avec le prétendu réchauffement climatique. Pas plus qu’il ne rallume les volcans comme le croit Greta, docteur ès pataphysique.

    Sans voir qu’il se tirait une balle dans le pied, Guterres s’est lancé dans une évaluation fantaisiste de l’augmentation de la fréquence et de l’intensité des cyclones tropicaux dans le Pacifique Sud. Caramba, encore raté! Les données mondiales ne montrent pas une tendance à la hausse, et même plutôt une baisse dans la période 2000-2010.

    Pour la radio suédoise, "la séance photo et le communiqué de presse du secrétaire général de l’ONU aux Samoa ne peuvent être décrits que comme une tentative intentionnelle d’induire le public en erreur".

    2/ Selon les crapules de l’ONU, 1,7 million d’enfants de moins de 5 ans mourraient chaque année à cause d’un réchauffement du climat d’origine anthropique.

    Dans quels pays? On ne le dit pas. Sans effectuer la moindre vérification, l’UNICEF a repris cette estimation fantaisiste à son compte. Mais à l’UNICEF suédois, ils sont plus rigoureux que la maison mère. Après que des scientifiques de terrain et des statisticiens leur aient prouvé le mélange de supercherie et d’exagération du communiqué onusien, ils ont rectifié leurs déclarations.

    "Environ un million et demi d’enfants meurent chaque année dans le monde, à cause de facteurs environnementaux tels que la pollution de l’air, les rejets industriels toxiques et l’eau sale infectée de germes pathogènes".

    Cela peut sembler peu, vu l’hygiène déplorable et le sous-équipement sanitaire et médical dans les pays du tiers et du quart monde. Mais il faut tenir compte d’un phénomène de sélection naturelle après mithridatisation, transmissible par les voies de l’épigénétique, même si ce point n’est pas encore entièrement documenté.

    3/ Les femmes et les enfants courent 14 fois plus de risques de mourir que les hommes à cause du réchauffement climatique!

    Ces chiffres complétement farfelus sont repris sur les publications et les sites de l’ONU, et de ses satellites UNESCO, FAO (agriculture et alimentation), PNUD (développement économique), UNDRR (anticipation des risques) et UICN (protection de la nature).

    La source est hautement fantaisiste. Il s’agit d’un prêchi-prêcha dépourvu de toute approche scientifique, rédigé pour motiver les dons des fidèles, par un pasteur de Church World Service. Une méga secte œcuménique américaine qui ne présente aucune étude pour étayer ses affirmations. Reprises in extenso, parce que ça renforçait le vent de panique dont les réchauffistes ont besoin pour gonfler leurs voiles.

    En 2024, le Norvégien Henrik Urdal, réchauffard et directeur de l’Institut de recherche sur la paix, a posé la question suivante à propos de ces chiffres fallacieux : " Est-il acceptable de mentir pour une bonne cause? ". Il ne pouvait pas aller plus loin et demander si les trucages destinés à affoler les populations ne servaient pas à augmenter les budgets des organisations parasites de l’ONU… Puisque Urdal lui même fait partie de ces inutiles grassement payés.

    4/ L’assertion selon laquelle le nombre de catastrophes liées aux conditions climatiques aurait été multiplié par cinq au cours des 50 dernières années, toujours selon Guterres

    Dans la réalité, le nombre des catastrophes climatiques n’a pas augmenté de manière substantielle, bien au contraire, puisque en 1931, 3,7 millions de personnes sont mortes du fait de catastrophes naturelles. Pour 11.000 seulement en 2018. Alors qu’entre temps, la population mondiale a quadruplé. Mais les rapports de sinistres sont devenus plus nombreux et rapides, donc plus faciles à diffuser.

    La statistique onusienne est trompeuse parce que les communications moins chères couvrent davantage de pays, et sont maintenant accessibles sans formation particulière. On a donc obtenu à la fin du siècle dernier davantage de rapports sur les événements. Mais depuis l’an 2000, le nombre des catastrophes signalées est resté stable.

    Quant à l’accélération du nombre des cyclones, un mensonge de plus pour terroriser les foules, Richard Lindzen, physicien au MIT, démissionnaire avec fracas du GIEC comme tant d’autres refusant ces supercheries, a déclaré que " si le réchauffement climatique était avéré, la réduction du potentiel de température entre les zones tempérées et tropicales rendrait l’énergie cyclonique beaucoup moins dévastatrice".

    Et contrairement à ce qu’ânonnent les diffuseurs de prêt-à-penser, si l’on fait une statistique depuis le temps de la flibuste dans les Caraïbes, grâce aux capitaines et aux ecclésiastiques qui notaient tout, la fréquence et l’importance des tempêtes tropicales et des cyclones tendent à diminuer sur une période longue. Un caillou de plus dans le marigot putride du GIEC.

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)