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  • Les crèches sont légales dans la République française

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    Des juges politiques rejettent, de leur propre chef, certaines lois pourtant fondamentales. Ils sanctionnent, au nom de la laïcité, des municipalités pour avoir installé des crèches, alors que Noël approche.

    Des libre-penseurs acharnés les saisissent en toute certitude de leur proximité idéologique. Leur athéisme militant les porte à interdire pour les autres ce qu’ils réclament pour eux-mêmes, en affirmant, dans un étonnant paradoxe, agir au nom de la liberté de conscience.

    Ils contestent la présence millénaire de la religion catholique dans la vie des communes et dans le tréfonds de l’âme française. Leur intention est de détruire la source de notre civilisation. Leur acharnement est notoirement sélectif.

    Un bref rappel historique me paraît utile pour éclairer cette affirmation.

    La loi de 1905 a été immédiatement reconnue comme abusive et dangereuse pour l’unité nationale. Elle ne rejetait pourtant pas les grands principes chrétiens. Elle traitait de la seule Église catholique et de son pouvoir d’influence dans le fonctionnement de l’État. Elle fut le fruit d’une commission créée par Émile Combes, alors président du Conseil, ancien séminariste, devenu anticlérical.

    Présidée par Ferdinand Buisson, d’origine protestante, agrégé de philosophie et président de l’Association nationale des libre-penseurs de France. La commission avait comme rapporteur le socialiste Aristide Briand. Briand cultivait la volonté de réconcilier l’Église et l’État en déplorant les conséquences de l’esprit anticlérical qui avaient caractérisé les années du gouvernement d’Émile Combes (1902-1905). Il ne souhaitait pas aller jusqu’à la séparation et entendait promouvoir une évolution prudente pour lutter contre l’influence pesante de l’Église.

    Cette commission était composée de trente-trois membres. Dix-sept députés étaient favorables à la séparation, dont cinq membres dirigeants de l’association nationale des libre-penseurs. Seize membres – à peine un de moins – ne désiraient pas cette rupture, ce qui montre bien l’ambiguïté des attitudes des représentants du peuple face à cette évolution envisagée.

    Le risque était donc grand de déboucher sur un projet de loi extrêmement rigoureux à l’égard de l’Église. Mais Briand et Buisson comprirent qu’il fallait éviter un périlleux affrontement et, qu’en conséquence, le texte devait être modéré. Des religieux furent consultés. Leurs avis, pris en considération, permirent de rallier les dirigeants des milieux catholiques qui sentaient bien que le régime ancien d’intimité entre l’Église et l’État n’était plus tenable.

    Cette loi fut promulguée le 9 décembre 1905. Elle fut très rapidement amendée, car certains aspects suscitèrent de graves troubles dans le pays. Ils furent provoqués par des inventaires qui devaient aboutir à la saisie des biens de l’Église non nécessaires au culte. Devant la gravité des incidents, Clemenceau décida de mettre un terme à ces inventaires. L’application de la loi de 1905, dans son acception première, avait révolté une majeure partie de la population. Elle fut donc suivie d’autres lois et d’un très net retour en arrière sur des aspects essentiels.

    Nul ne peut donc s’y référer.

    En effet les lois de 1907, 1908 et de 1924 ont fondamentalement modifié l’esprit initial.

    La loi du 28 mars 1907 supprima l’obligation de déclaration préalable pour les réunions publiques organisées par l’Église. Environ 30.000 édifices furent mis, gratuitement, à la disposition de l’Église et les sonneries de cloches explicitement autorisées.

    D’une manière générale, la jurisprudence administrative fut amenée à légitimer les manifestations religieuses comme manifestations publiques satisfaisant à des traditions et à des usages, notamment s’agissant des enterrements, des processions et des pèlerinages. Dans l’esprit de cette modification, les crèches, s’inscrivant dans ces usages et coutumes, ne peuvent pas être interdites. Une telle interdiction serait contraire à la loi.

    La loi du 13 avril 1908 confirma la volonté d’apaisement du gouvernement. Les églises se voyaient considérées comme des propriétés communales.

    Cette loi prévoyait également la création de mutualités ecclésiastiques, ce qui signifiait la reconnaissance par l’État du rôle particulier du clergé. Dès le début de la guerre de 14/18 toutes les mises à l’écart de l’Église furent révoquées: "Le monde catholique n’est plus au ban de la République".

    Au sortir de la guerre, qui avait vu l’Union nationale, le gouvernement décida, tout à la fois, de transférer au Panthéon le cœur de Gambetta, illustre fondateur de la République et d’honorer le souvenir de Jeanne d’Arc – sainte Jeanne – en proclamant fête nationale le deuxième dimanche de mai.

    En 1924 un compromis élaboré avec le Vatican, aboutit à la reconnaissance des associations diocésaines, placées sous l’autorité des évêques. Elles reçurent le statut "d’associations cultuelles", dérogatoire au statut des associations de 1901.

    Autrement dit l’organisation de type épiscopal de l’Église catholique était reconnu par la République.

    Le constat est clair, l’État joue son rôle et l’Église, contributrice puissante à la nature de la société française, dispose officiellement du sien. Les deux se reconnaissent au point d’ailleurs que le chef de l’État est co-prince de la catholique Andorre avec l’évêque d’Urgell, chanoine d’honneur de Saint-Jean de Latran, de Saint-Jean de Maurienne, de la cathédrale d’Embrun, de Saint-Julien du Mans, de Saint-Jean de Lyon et de quelques autres lieux dont Saint-Germain-des-Prés.

    Aucun président n’a récusé ces fonctions. Notre République, à son plus haut niveau, est impliquée dans l’Église catholique. N’oublions pas que le président de la République française désigne les évêques des évêchés de Metz et Strasbourg, en vertu du concordat de 1801 toujours en vigueur en Alsace-Moselle. En cela il est un des derniers chefs d’État au monde à disposer d’une telle prérogative.

    Pour résumer cette relation naturelle, il suffit de se souvenir de l’émotion qui a saisi le peuple de France lors de l’incendie de Notre-Dame de Paris. Elle est la cathédrale de tous les vrais Français. Elle est érigée en un symbole national.

    Ces lois sur la laïcité sont donc imprégnées de catholicisme. C’est un fait. Elles fixent des règles que les juges rouges trahissent sans complexe. La loi à laquelle se réfèrent certains, dont quelques juges, est obsolète depuis très longtemps.

    EN VERITE, si nous devions présenter de manière simple les rapports entre l’Église et l’État, nous pourrions dire qu’il existe, de fait, une sorte de partage des responsabilités. À l’État la vie publique, l’organisation de la Nation et sa défense, à l’Église la charge de la vie spirituelle de la Nation dans la liberté de conscience reconnue pour chacun.

    Ces lois modifiant fondamentalement celle de 1905 ne conviennent pas aux idéologues athées, gauchistes et antifrançais. Elles ne sont pas citées non plus dans les discours politiciens où la seule référence évoquée reste la loi obsolète de 1905.

    C’est une fausseté, une ignorance des politiques ou un déni du droit français.

    Je crois, en vérité, qu’il s’agit surtout de lâcheté. Cette loi est depuis près de 120 ans illisible et inapplicable en l’état. En conséquence, se référer à la loi de 1905 dans sa rédaction initiale, en faisant abstraction des considérables modifications qui l’ont suivie au point de créer une collaboration entre l’État et l’Église, est proprement hypocrite.

    Il s’agit d’une falsification. La laïcité, évolution du gallicanisme, négociée avec l’Église, demeure d’inspiration chrétienne.

    Que les libre-penseurs, les juges rouges et les contestataires de la Nation française l’admettent ou non!

    Cependant, ces provocations sur la présence des crèches dans l’espace public, appuyées par des sanctions iniques, présentent l’intérêt de soulever la question de la pertinence de ces lois dans le contexte bouleversé de la population vivant en France aujourd’hui. La laïcité telle que conçue n’est ni l’athéisme ni la neutralité de l’État.

    Ces lois incluent naturellement le protestantisme et le judaïsme dont les relations avec l’État, pour cette religion, sont établies depuis l’Empire. Cette tentative de détournement de la vraie laïcité n’a d’autre explication que l’inquiétude des pouvoirs publics à l’égard de la communauté islamique, installée chez nous en nombre.

    Elle conteste les fondements civilisationnels du peuple français. Elle exige que sa religion conquérante soit reconnue par l’État.

    Ce n’est pas possible.

    Ces lois sur la laïcité, par nature, excluent l’islam. C’est incontestable. Cette idéologie totalitaire à connotation religieuse s’affiche comme une théocratie. Seules les lois tirées du Coran, la charia, s’imposent aux croyants. L’islam privilégie l’oumma à la nation. Il se situe hors du champ d’application de la laïcité imprégnée du catholicisme, et d’ailleurs hors de nos lois. Deux interrogations me viennent à l’esprit; elles sont liées. Ces lois auraient-elles survécu à une Algérie restée française? Ces lois peuvent-elles perdurer avec la présence d’une population émigrée, musulmane, donc étrangère à nos références et hostile à la marque chrétienne de ces lois? L’indépendance de l’Algérie n’a fait que différer de quelques dizaines d’années cette question…

    SELON MOI, TROIS SOLUTIONS SE PRESENTENT.

    La première serait d’abandonner, par une loi nouvelle, cette laïcité qui pourtant demeure un marqueur déterminant de notre société. L’image de la France serait alors fondamentalement transformée.

    La seconde serait de pousser ces populations, que leur religion rend inassimilables, à retourner dans leurs pays d’origine.

    La troisième, enfin, relève de nos évêques. Elle serait de revenir à la mission de conversion donnée par le Christ aux apôtres et reprise par Saint-Paul. Utopie bien sûr!

    Au regard de l’absence de courage de nos politiques, et probablement aussi de nos chefs religieux, je crains surtout que nous nous dirigions vers une guerre interne qui ne sera pas civile, mais de religion.

    LES CRECHES SONT DONC PLEINEMENT LEGALES DANS LES LIEUX PUBLICS. Elles témoignent de l’attachement du peuple français à sa civilisation.

    Je vous souhaite à tous un bon temps de l’Avent.

    Général Henri ROURE

     

    Ils auraient dû aller jusqu’au bout de leur logique en faisant interdire la célébration ostensible de Noël, qui demeure, malgré les outrances commerciales, la commémoration de la naissance de Jésus-Christ.

    Ils devraient en toute équité se pencher sur les envahissantes prières des rues des musulmans et sur la vente dans les grandes surfaces de la nourriture halal. Il est vrai que l’islam se montre comme une totalitarisme religieux dangereux pour qui conteste sa pratique et sa prétention à l’universalité. Mais non… Ces personnages, sectateurs d’une étrange justice, comptent sans aucun doute sur l’ignorance des hommes politiques et sur leur lâcheté pour violer et faire violer, sans aucun scrupule, les lois sur la laïcité.

    Je m’explique ou plutôt je me permets de revenir sur l’origine de la laïcité et sur sa vraie nature.

    En France le déni de Dieu, le Dieu des Chrétiens naturellement, a trouvé un terreau dans la loi sur la laïcité de 1905.

    Or cette loi, en l’état, n’existe plus.

    Un bref rappel historique me paraît utile pour éclairer cette affirmation.

    La loi de 1905 a été immédiatement reconnue comme abusive et dangereuse pour l’unité nationale. Elle ne rejetait pourtant pas les grands principes chrétiens. Elle traitait de la seule Église catholique et de son pouvoir d’influence dans le fonctionnement de l’État. Elle fut le fruit d’une commission créée par Émile Combes, alors président du Conseil, ancien séminariste, devenu anticlérical.

    Présidée par Ferdinand Buisson, d’origine protestante, agrégé de philosophie et président de l’Association nationale des libre-penseurs de France. La commission avait comme rapporteur le socialiste Aristide Briand. Briand cultivait la volonté de réconcilier l’Église et l’État en déplorant les conséquences de l’esprit anticlérical qui avaient caractérisé les années du gouvernement d’Émile Combes (1902-1905). Il ne souhaitait pas aller jusqu’à la séparation et entendait promouvoir une évolution prudente pour lutter contre l’influence pesante de l’Église.

    Cette commission était composée de trente-trois membres. Dix-sept députés étaient favorables à la séparation, dont cinq membres dirigeants de l’association nationale des libre-penseurs. Seize membres – à peine un de moins – ne désiraient pas cette rupture, ce qui montre bien l’ambiguïté des attitudes des représentants du peuple face à cette évolution envisagée.

    Le risque était donc grand de déboucher sur un projet de loi extrêmement rigoureux à l’égard de l’Église. Mais Briand et Buisson comprirent qu’il fallait éviter un périlleux affrontement et, qu’en conséquence, le texte devait être modéré. Des religieux furent consultés. Leurs avis, pris en considération, permirent de rallier les dirigeants des milieux catholiques qui sentaient bien que le régime ancien d’intimité entre l’Église et l’État n’était plus tenable.

    Cette loi fut promulguée le 9 décembre 1905. Elle fut très rapidement amendée, car certains aspects suscitèrent de graves troubles dans le pays. Ils furent provoqués par des inventaires qui devaient aboutir à la saisie des biens de l’Église non nécessaires au culte. Devant la gravité des incidents, Clemenceau décida de mettre un terme à ces inventaires. L’application de la loi de 1905, dans son acception première, avait révolté une majeure partie de la population. Elle fut donc suivie d’autres lois et d’un très net retour en arrière sur des aspects essentiels.

    Nul ne peut donc s’y référer.

    En effet les lois de 1907, 1908 et de 1924 ont fondamentalement modifié l’esprit initial.

    La loi du 28 mars 1907 supprima l’obligation de déclaration préalable pour les réunions publiques organisées par l’Église. Environ 30.000 édifices furent mis, gratuitement, à la disposition de l’Église et les sonneries de cloches explicitement autorisées.

    D’une manière générale, la jurisprudence administrative fut amenée à légitimer les manifestations religieuses comme manifestations publiques satisfaisant à des traditions et à des usages, notamment s’agissant des enterrements, des processions et des pèlerinages. Dans l’esprit de cette modification, les crèches, s’inscrivant dans ces usages et coutumes, ne peuvent pas être interdites. Une telle interdiction serait contraire à la loi.

    La loi du 13 avril 1908 confirma la volonté d’apaisement du gouvernement. Les églises se voyaient considérées comme des propriétés communales.

    Cette loi prévoyait également la création de mutualités ecclésiastiques, ce qui signifiait la reconnaissance par l’État du rôle particulier du clergé. Dès le début de la guerre de 14/18 toutes les mises à l’écart de l’Église furent révoquées: "Le monde catholique n’est plus au ban de la République".

    Au sortir de la guerre, qui avait vu l’Union nationale, le gouvernement décida, tout à la fois, de transférer au Panthéon le cœur de Gambetta, illustre fondateur de la République et d’honorer le souvenir de Jeanne d’Arc – sainte Jeanne – en proclamant fête nationale le deuxième dimanche de mai.

    En 1924 un compromis élaboré avec le Vatican, aboutit à la reconnaissance des associations diocésaines, placées sous l’autorité des évêques. Elles reçurent le statut "d’associations cultuelles", dérogatoire au statut des associations de 1901.

    Autrement dit l’organisation de type épiscopal de l’Église catholique était reconnu par la République.

    Le constat est clair, l’État joue son rôle et l’Église, contributrice puissante à la nature de la société française, dispose officiellement du sien. Les deux se reconnaissent au point d’ailleurs que le chef de l’État est co-prince de la catholique Andorre avec l’évêque d’Urgell, chanoine d’honneur de Saint-Jean de Latran, de Saint-Jean de Maurienne, de la cathédrale d’Embrun, de Saint-Julien du Mans, de Saint-Jean de Lyon et de quelques autres lieux dont Saint-Germain-des-Prés.

    Aucun président n’a récusé ces fonctions. Notre République, à son plus haut niveau, est impliquée dans l’Église catholique. N’oublions pas que le président de la République française désigne les évêques des évêchés de Metz et Strasbourg, en vertu du concordat de 1801 toujours en vigueur en Alsace-Moselle. En cela il est un des derniers chefs d’État au monde à disposer d’une telle prérogative.

    Pour résumer cette relation naturelle, il suffit de se souvenir de l’émotion qui a saisi le peuple de France lors de l’incendie de Notre-Dame de Paris. Elle est la cathédrale de tous les vrais Français. Elle est érigée en un symbole national.

    Ces lois sur la laïcité sont donc imprégnées de catholicisme. C’est un fait. Elles fixent des règles que les juges rouges trahissent sans complexe. La loi à laquelle se réfèrent certains, dont quelques juges, est obsolète depuis très longtemps.

    EN VERITE, si nous devions présenter de manière simple les rapports entre l’Église et l’État, nous pourrions dire qu’il existe, de fait, une sorte de partage des responsabilités. À l’État la vie publique, l’organisation de la Nation et sa défense, à l’Église la charge de la vie spirituelle de la Nation dans la liberté de conscience reconnue pour chacun.

    Ces lois modifiant fondamentalement celle de 1905 ne conviennent pas aux idéologues athées, gauchistes et antifrançais. Elles ne sont pas citées non plus dans les discours politiciens où la seule référence évoquée reste la loi obsolète de 1905.

    C’est une fausseté, une ignorance des politiques ou un déni du droit français.

    Je crois, en vérité, qu’il s’agit surtout de lâcheté. Cette loi est depuis près de 120 ans illisible et inapplicable en l’état. En conséquence, se référer à la loi de 1905 dans sa rédaction initiale, en faisant abstraction des considérables modifications qui l’ont suivie au point de créer une collaboration entre l’État et l’Église, est proprement hypocrite.

    Il s’agit d’une falsification. La laïcité, évolution du gallicanisme, négociée avec l’Église, demeure d’inspiration chrétienne.

    Que les libre-penseurs, les juges rouges et les contestataires de la Nation française l’admettent ou non!

    Cependant, ces provocations sur la présence des crèches dans l’espace public, appuyées par des sanctions iniques, présentent l’intérêt de soulever la question de la pertinence de ces lois dans le contexte bouleversé de la population vivant en France aujourd’hui. La laïcité telle que conçue n’est ni l’athéisme ni la neutralité de l’État.

    Ces lois incluent naturellement le protestantisme et le judaïsme dont les relations avec l’État, pour cette religion, sont établies depuis l’Empire. Cette tentative de détournement de la vraie laïcité n’a d’autre explication que l’inquiétude des pouvoirs publics à l’égard de la communauté islamique, installée chez nous en nombre.

    Elle conteste les fondements civilisationnels du peuple français. Elle exige que sa religion conquérante soit reconnue par l’État.

    Ce n’est pas possible.

    Ces lois sur la laïcité, par nature, excluent l’islam. C’est incontestable. Cette idéologie totalitaire à connotation religieuse s’affiche comme une théocratie. Seules les lois tirées du Coran, la charia, s’imposent aux croyants. L’islam privilégie l’oumma à la nation. Il se situe hors du champ d’application de la laïcité imprégnée du catholicisme, et d’ailleurs hors de nos lois. Deux interrogations me viennent à l’esprit; elles sont liées. Ces lois auraient-elles survécu à une Algérie restée française? Ces lois peuvent-elles perdurer avec la présence d’une population émigrée, musulmane, donc étrangère à nos références et hostile à la marque chrétienne de ces lois? L’indépendance de l’Algérie n’a fait que différer de quelques dizaines d’années cette question…

    SELON MOI, TROIS SOLUTIONS SE PRESENTENT.

    La première serait d’abandonner, par une loi nouvelle, cette laïcité qui pourtant demeure un marqueur déterminant de notre société. L’image de la France serait alors fondamentalement transformée.

    La seconde serait de pousser ces populations, que leur religion rend inassimilables, à retourner dans leurs pays d’origine.

    La troisième, enfin, relève de nos évêques. Elle serait de revenir à la mission de conversion donnée par le Christ aux apôtres et reprise par Saint-Paul. Utopie bien sûr!

    Au regard de l’absence de courage de nos politiques, et probablement aussi de nos chefs religieux, je crains surtout que nous nous dirigions vers une guerre interne qui ne sera pas civile, mais de religion.

    LES CRECHES SONT DONC PLEINEMENT LEGALES DANS LES LIEUX PUBLICS. Elles témoignent de l’attachement du peuple français à sa civilisation.

    Je vous souhaite à tous un bon temps de l’Avent.

    Général Henri ROURE

  • Perdu: 10 milliards d'euros!!!!

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    Les Pieds nickelés de Bercy annoncent une perte inexpliquée de 10 milliards de TVA

    De plus en plus grandiose. En plein débat budgétaire, Bercy perd 10 milliards de TVA sans savoir ni où, ni comment! Plus nous sommes ruinés et plus l’argent se volatilise.

    Tandis que Matignon cherche désespérément 40 milliards d’économies, à Bercy c’est la valse des milliards. Ce sont donc 5% des recettes de la TVA qui se sont envolés sans explication.

    On se croirait en Ukraine, où les milliards disparaissent ni vu ni connu.

    Cela représente un trou de 600 euros dans le budget annuel d’une famille de quatre personnes. Ce n’est pas rien alors que le pays croule sous les dettes et supporte déjà une fiscalité confiscatoire.

    La France est vraiment une république bananière qui n’a plus sa place parmi les démocraties avancées, censées être des modèles d’intégrité, de sérieux et de compétence en matière de gouvernance. Nous sommes gouvernés par des incapables et des irresponsables qui se foutent de tout, car responsables uniquement de ce qui va bien. LA GABEGIE, C’EST TOUJOURS LA FAUTE DU SAINT-ESPRIT.

    Quand ce ne sont pas l’Élysée et Bercy qui se renvoient la balle pour endosser la responsabilité des 300 milliards de dettes supplémentaires toujours inexpliquées, c’est Bercy qui nous annonce avoir perdu 10 milliards de TVA, sans la moindre idée des causes de ce trou béant. Ce sera comme d’habitude dans notre république de bons à rien: ni responsables, ni coupables. Tous ces bras cassés savent pouvoir compter sur le crétin de contribuable, éternel dindon de la farce et roue de secours incontournable du pouvoir.

    Car en attendant, en plein débat budgétaire, il va falloir trouver 10 milliards supplémentaires pour boucler le budget. Donc 10 milliards d’impôts à prévoir.

     

    https://www.epochtimes.fr/dix-milliards-de-tva-introuvables-le-gouvernement-lance-une-mission-durgence-3109486.html

     

    Affolé, Matignon lance une mission d’urgence pour éclaircir ce mystère. Nul doute que nos lumières de Bercy trouveront une explication plus ou moins alambiquée pour s’exonérer du désastre et mettre cela sur le dos de défaillances imprévisibles. En attendant, chaque citoyen, bébés compris, vient de perdre 150 euros, évaporés comme un mirage dans le désert.

    La TVA, c’est 200 milliards collectés chaque année. C’est la principale recette fiscale de l’État. Perdre 5% de cette manne financière, c’est assez ahurissant.

    Mais il se dit que les outils de contrôle de cet impôt majeur sont inadaptés, surestimant à tort son rendement de plusieurs milliards. La stabilité financière du pays est donc de plus en plus bancale.

    Un pays en faillite, dont la charge de la dette est le premier poste budgétaire, qui de plus perd 10 milliards sans savoir ni où, ni comment, avouons que cela ne manque pas de sel.

    Ce désastre illustre encore le délabrement de notre pays, dirigé par un incapable, qui s’est entouré de plus incapables que lui, sous réserve qu’ils lui fassent allégeance et lui jurent fidélité. Ce bonnet d’âne que la France détient dans tous les domaines, école, dette, fiscalité, insécurité, est parfaitement justifié.

    Il est temps que le FMI prenne les commandes de ce pays en perdition, gouverné par des Pieds nickelés depuis trop longtemps. Nous étions le phare de l’Europe en 1975, riches et admirés. Mais des légions d’incapables ont dilapidé l’héritage des Trente Glorieuses. Macron, en deux quinquennats apocalyptiques, nous a mis au rang d’un pays du tiers-monde, en faillite totale tandis que les malfrats imposent leur loi. C’est simple, ce pays n’est plus gouverné et il n’y a plus d’État. Telle est la sinistre vérité.

    Jacques Guillemain

  • Bienvenue dans l’école de la République en 2025…

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    La militante "décolonialiste" Assa Traoré était au programme de français dans un collège de Vendée. Les parents devait acheter son livre Lettre à Adama, où elle décrit la police comme un   arsenal de guerre " destiné à   soumettre et écrase " la population.

    Heureusement, les Parents Vigilants ont agi: Suite au signalement par les Parents Vigilants, la professeur de français a dû renoncer à faire lire le livre d’Assa Traoré à ses élèves.

    Dans un lycée de Gironde, des élèves assistent à un spectacle où une comédienne mime une pénétration vaginale devant eux, dans une ambiance rouge sexshop, sous prétexte " d’affirmation de soi ". Le spectacle était référencé par le Pass Culture. Financé par vos impôts.

    Dans une école de Normandie, des enfants de 9 ans apprennent que les garçons peuvent se maquiller, porter du vernis et des talons. Ce n'est pas un jeu libre. C'est une consigne de l'enseignante. Une " charte des droits des garçons " accrochée au mur de la classe. Un retournement des valeurs, instillé semaine après semaine.

    Gabriel, 9 ans, rentre chez lui et dit à ses parents: "  La maîtresse nous a dit que vous allez vous opposer, mais ce qu'on dit en classe, c'est ça, la vérité. " 

    Tout cela serait passé inaperçu si les Parents Vigilants n’avaient pas lancé l’alerte.

    Parents du petit Gabriel, Antoine (médecin) et Alicia (psychologue) ont rapidement détecté les signaux d'alerte. Leur fils, qui aimait son enseignante, était de plus en plus mal à l'aise.

     " À 9 ans, les jeux d'identification sont majeurs. Jouer sur le travestissement à cet âge est profondément perturbant pour des cerveaux aussi malléables. En tant que professionnels de santé, nous ne pouvons pas laisser notre enfant face à une telle source de perturbation. "

    Cette alerte des Parents Vigilants est d'ailleurs passée dans l'émission Ligne Droite

    Antoine et Alicia, les parents, ont conclu leur témoignage par ces mots:

     Témoigner auprès de Parents Vigilants, c'est une façon de se battre pour notre patrie et d'avancer".

    Ils ont eu le courage de parler. D'autres parents aussi. Mais des centaines, peut-être des milliers d'autres vivent la même chose sans oser le dire.

    Par peur du regard des autres.

    Par peur de passer pour des "réacs".

    Par peur de ne pas être pris au sérieux.

    Pendant ce temps, les enfants continuent d'être exposés.

    DEFENDEZ VOS ENFANTS!

    Pour protéger les enfants. Pour alerter les autres parents. Pour que cette dérive cesse.

    Pas pour faire du bruit. Pas pour polémiquer.

    Battez-vous avec d'autres parents: il est possible de faire bouger les choses. Il y a cette association Parents Vigilants, cherchez sur internet