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politique - Page 15

  • Une jeunesse sacrifiée sur l’autel du sexe hypertrophié

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    En Avril 2025, trois présidents de Conseil Départemental, Pierre Bédier des Yvelines, François Durovray de l’Essonne, Martine Vassal des Bouches-du-Rhône, sont visés par trois plaintes. Des enfants, placés dans des foyers, sous la protection de l’ASE, Aide Sociale à l’Enfance, ont été livrés à la prostitution.

    Une mère raconte que sa fille âgée de 13 ans a été séquestrée dans un hôtel à Toulon par des proxénètes. Les services police l’ont récupérée. Puis "ma fille s’est retrouvée deux semaines à Toulon dans un foyer d’urgence toute seule. On l’a fait revenir simplement seule dans un taxi, seule après avoir connu un cauchemar. On l’a forcée à prendre de la cocaïne, à faire des passes". Aujourd’hui, la jeune fille se fait du mal, elle préfère être seule et elle est déscolarisée, elle fait des crises de stress, c’est très dur".

    Une loi votée en 2022 interdit à l’ASE l’hébergement en hôtel, mais le décret d’application a été promulgué le 1er Février 2024. Le 25 Janvier 2023, Lily, 15 ans, a été retrouvée pendue dans une chambre d’hôtel, dans la banlieue de Clermont-Ferrand.

    À Marseille, Jennifer Abitbol, éducatrice assure à France info: "À Marseille, il n’y a pas un foyer où je n’ai pas mis les pieds, où il n’y a pas de prostitution. Les gamines à partir de 22 heures se préparent, il y en a même qui sortent en string. C’est filmé, il y a les voitures qui défilent avec leurs plaques".

    Maître Michel Aumas défend une trentaine d’enfants. Il dépose des recours aux tribunaux de Marseille, Versailles et Evry. Il dénonce un "phénomène national. Nous lançons l’alerte pour que tout le monde sache qu’en France, à l’heure actuelle, des petits garçons et des petites filles se prostituent en très grand nombre, dans l’inaction totale des présidents de département… L’Etat a échoué dans la protection de l’enfance. Le fait qu’il n’y ait pas de réaction, d’organisation de la réponse de l’Etat, c’est ça que nous dénonçons. Nous livrons les enfants aux chiens".

    Un rapport parlementaire évoque 15 000 mineurs victimes de prostitution en France, en majorité placés. Et si ces chiffres étaient minorés? La défaillance des responsables politiques, des services sociaux est impardonnable, d’autant que ces jeunes se trouvent en situation de faiblesse. Mais qui se soucie de morale aujourd’hui?

    Ces tristes affaires mettent en cause le monde politique, les oligarques qui dirigent le pays, les régions, les départements, les grandes villes, les députés, les sénateurs, tous indifférents aux malheurs de la jeunesse. Un monde politique corrompu, pervers, véreux, dénaturé, à l’image du premier d’entre eux. Pas tous bien sûr, mais une grande partie. Et ce modèle se reflète, se réplique sur la population, dont une portion en adopte les principes.

    En Essonne, l’ASE est le premier poste de dépense, avec 200 millions d’euros. François Durovray a félicité les jeunes suivis par l’ASE qui ont obtenu un diplôme, mais 70% des jeunes sortant de l’ASE n’ont aucun diplôme, et un SDF sur quatre vient de la protection de l’enfance.

    Dans les Yvelines, avec 165 millions d’euros, le problème n’est pas financier. Pierre Bédier explique: "L’ASE est une politique mal évaluée car personne n’a vraiment envie de se pencher sur son évaluation". Pierre Bédier, qui cumule les atteintes à la probité, mis en examen pour favoritisme, recel d’abus de biens sociaux, corruption…

    Dans les Bouches-du-Rhône, après une enquête de l’inspection générale des affaires sociales dans les foyers de l’ASE, la directrice a été démise de ses fonctions. Martine Vassal, présidente du Conseil départemental, déjà mise en garde à vue pour un scandale du marché de l’eau, ne veut pas retomber dans un autre scandale. Elle déclare n’être pour rien dans les dysfonctionnements des foyers de l’ASE.

    Ces tristes affaires mettent en relief les épreuves qui affectent la jeunesse, enfance et adolescence. Ces épreuves relèvent essentiellement de la formation et de l’initiation transmises par l’Education nationale et du laxisme d’Etat… pire encore de la volonté de l’Etat et de ses représentants.

    Les dommages sexuels causés à l’enfance se produisent sous nos yeux, et ont un caractère intentionnel. Nombre d’adultes sont aujourd’hui dépressifs, traumatisés, malheureux dans leur couple et leur sexualité : sexualité compulsive et addictive, sexualité dégradante pour eux-mêmes, impossible rencontre avec l’autre, isolements, perversions, impuissance, frigidité. Cela s’explique notamment par deux raisons.

    Première raison. L’ampleur des transgressions sexuelles enfantines, qui sont passées sous silence, considérées comme des "jeux", ou encore sont déniées.

    Deuxième raison. La sexualisation des enfants, qui fait partie d’une opération psychologique de masse des lobbies, et aussi d’une opération marketing. Le sexe, ça rapporte. Le sexe fait partie de l’industrie de consommation. Peu importe qu’il s’agisse d’enfants ou d’adolescents, point de moralité ou de bons sentiments lorsqu’il s’agit de business. Et au-delà du business, il existe un projet politique de soumission de masse par les traumatismes sexuels infantiles.

    La sexualité sans amour, c’est comme la science sans conscience, c’est comme la médecine sans le soin: ce sont des recettes de cuisine. Le déni des sentiments renvoie chacun à sa solitude existentielle. Au contraire, la sexualité avec amour ouvre les portes du septième ciel, c’est-à-dire d’une libération initiatique.

    Les éducateurs à la sexualité parlent de "respect", mais considèrent l’autre comme un pur appareil génital, un appareil à trous à reboucher, sans considération pour les états d’âme, pour la qualité de la relation.

    Le traumatisme sexuel infantile consiste à vouloir faire mûrir trop vite un fruit qui n’est pas mûr. Ces traumatismes abîment la vie psychique à vie. Ces traumatismes sont maquillés comme s’il s’agissait d’actes banals. Ou on suggère ces traumatismes pour soi-disant les prévenir, par exemple visualiser des vidéos pornographiques de pénétration sexuelle anale en présence des enfants. Tout ceci pour la satisfaction sexuelle et la jouissance d’adultes, qui instrumentalisent les enfants, par définition sans défense et innocents de ce qui leur est suggéré – imposé.

    Le programme de l’OMS vise à soumettre les lois des Etats à son idéologie sur " les droits sexuels et reproductifs", dont l’éducation à la sexualité est partie intégrante. En effet, le projet international, par les "droits sexuels" et "l’éducation sexuelle" propose un projet de "santé" organisé autour de deux axes :

    Premier axe. La sexualité réduite à une conception utilitariste, consumériste et matérialiste.

    Deuxième axe. La légalisation de la pédophilie, ou plutôt pédocriminalité, sur la base d’une confusion et d’une indifférenciation grave entre les états d’enfants, d’adolescents et d’adultes.

    Cette perversion généralisée avance masquée, comme toute perversion. Elle est au service du projet paranoïaque de totalitarisme mondial. La paranoïa est une psychose fondée sur le délire interprétatif, un délire de persécution, d’apparence rationnelle. Cette "folie raisonnante" présente la façade de la raison, de la logique, du discours argumenté. La paranoïa nie le passé, l’altérité, la différence sexuée, désigne des boucs émissaires à abattre, divise le collectif, supprime tout droit à l’intime et à la subjectivité. La paranoïa prêche que c’est pour le bien des autres. Elle empêche l’autre de se défendre et le sidère psychiquement. La paranoïa dénonce un complot supposé d’autrui à son encontre. En réalité, la paranoïaque crée sans arrêt de nouveaux complots dont il attribue l’origine à d’autres, justifiant ainsi les interventions de légitime défense.

    Selon Judith Reismann, universitaire américaine (1935-202), les deux rapports Kinsey de 1948 et 1953 furent le point de départ de la révolution sexuelle et des changements des mentalités: reconnaissance de l’homosexualité, programmes d’éducation sexuelle dans les établissements scolaires, normalisation de comportements considérés jusque-là comme socialement et moralement inacceptables, par exemple l’inceste, la sodomie, la pédophilie, la zoophilie. Judith Reismann remonte aux origines nazies de l’idéologie de Kinsey. Le sexe à outrance nous met donc sous emprise nazie.

    Victor Klemperer, écrivain allemand, témoin du nazisme (1881-1960), étudia le problème de la langue dans les totalitarismes. Il écrit : "Le nazisme s’insinua dans la chair et le sang du grand nombre à travers des expressions isolées, des tournures syntaxiques qui s’imposaient et qui furent adoptées de façon mécanique et inconsciente… La langue pense à ma place, dirige mes sentiments, régit tout mon être moral. Et qu’arrive-t-il si cette langue cultivée est constituée d’éléments toxiques ou si l’on en a fait le vecteur d’éléments toxiques? Les mots peuvent être comme de minuscules doses d’arsenic : on les avale sans y prendre garde, ils semblent ne faire aucun effet, et voilà qu’après quelque temps, l’effet toxique se fait sentir".

    Aujourd’hui, depuis une vingtaine d’années, et rien ne semble pouvoir arrêter ce cycle infernal, l’empoisonnement idéologique des enfants et de la population se fait par le langage, par les mots qui véhiculent de minuscules doses d’arsenic, par la culture, par des confusions de sens. Ainsi, on favorise un contexte de passages à l’acte : transgression sur mineurs de la part des adultes, transgression de mineurs envers d’autres mineurs… jusqu’à la prostitution de fillettes provenant de l’Aide Sociale à l’Enfance ou d’ailleurs… jusqu’aux agressions sexuelles quotidiennes… jusqu’aux meurtres sexuels banalisés… jusqu’aux pratiques sexuelles de paraphilie ordinaires…

    Tout est normalisé, tout est conforme à la nouvelle morale bourgeoise, alors les politiques, les juges, les magistrats, les journalistes, eux-mêmes parfois impliqués dans ces actes devenus des rites, se taisent et se protègent. Voilà comment des bons bourgeois huppés, des notables bien sous tous rapports peuvent profiter sexuellement de pauvres gamines démunies et désemparées, et aussi de pauvres gamins miséreux et désorientés.

    Mais la sexualisation des enfants ne suffisait pas. L’idéologie transgenre a été introduite par les ABCD de l’égalité, un programme d’enseignement français proposé par Najat Vallaud-Belkacem, alors ministre des Droits des femmes.

    En Septembre 2021, la circulaire Blanquer prévoit que l’élève peut changer de genre et de prénom à l’école, sans que cela soit conditionné à "la production d’un certificat médical ou à l’obligation d’un rendez-vous avec un personnel de santé". L’école doit reconnaître que l’enfant est ce qu’il dit être. L’école installe le doute dans l’esprit des enfants et adolescents: un garçon peut être une fille, une fille peut être un garçon.

    La circulaire Blanquer autorise également les enfants transgenres à utiliser les toilettes, les vestiaires et le dortoir de l’internat du sexe opposé. Le 14 Juin 2023, le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis présente l’expérimentation de toilettes neutres au collège. Dans ce domaine, comme dans les autres, la France suit le monde anglo-saxon, avec un décalage de quelques années.

    L’idéologie transgenre fait de l’entrisme dans les écoles. On remplace le mot "femme" par " personne ayant un utérus". On écrit appareil reproducteur " féminin", féminin entre guillemets. On apprend qu’un homme peut être enceint. Un adolescent mal dans sa peau est peut-être trans. On ne peut plus affirmer qu’il y a deux sexes seulement.

    Dans un manuel scolaire de SVT de seconde, on lit ceci : " L’identité sexuelle est le fait de se sentir homme ou femme… Elle est le résultat d’une construction dans laquelle interviennent des facteurs biologiques (sexe génétique et phénotypique), psychologiques et sociaux. La construction de cette identité est personnelle, et peut évoluer au cours de la vie".

    Révisionnisme scientifique à l’école. Propagande en faveur du transgenrisme. Il faut adhérer au culte du changement de genre.

    Les bloqueurs de puberté permettent d’arrêter la production d’hormones sexuelles responsables de la puberté. Ces médicaments très agressifs, utilisés pour retarder la puberté précoce chez certains enfants qui souffrent d’un dérèglement hormonal, doivent être administrés sur deux ans maximum. Pourtant, certains enfants trans les prennent pendant six ans.

    Les hormones sexuelles agissent sur les caractères sexuels, et sont aussi essentielles à la santé osseuse. Pour cette raison, les bloqueurs de puberté détruisent le squelette.

    Pendant la puberté, les hormones sexuelles agissent sur le développement cognitif. La perturbation de la production de ces hormones empêche de développer des capacités d’abstraction. En évitant l’étape de la puberté, l’enfant manque un passage de son développement biologique, psychique et social.

    Ainsi, on s’attaque à l’intégrité physique d’enfants qui ne sont pas malades, au nom d’une idéologie qui sert un projet politique transhumaniste. Les intérêts de l’enfant ne comptent pas. Les parents ne peuvent s’opposer, sous peine que l’Etat prenne leur enfant. Les médecins se transforment en bouchers et en charcutiers.

    Dans les Gay Pride, des hommes et des femmes nus ou à moitié nus, d’autres munis d’accessoires sadomasochistes, des drag-queens… des trottoirs noirs de monde… et la présence massive d’enfants, emmenés ici par leurs parents.

    Certaines écoles et médiathèques sollicitent ces hommes déguisés en "hyperfemmes", travestis en femmes, pour conter des histoires à des enfants ou pour danser devant eux. Et pour aider les enfants "à déconstruire les stéréotypes de genre".

    Dans les années post-68, des journaux comme "Libération" promouvaient "la pédophilie heureuse et non violente". Les opposants furent accusés de faire partie de "la tyrannie bourgeoise". Cinquante ans plus tard, la gauche intersectionnelle queer inclusive hurle à "la panique morale". Les gens sains d’esprit tyranniseraient la bien-pensance. Même combat. Rien n’a changé. Tout a empiré.

    Mais dans ce combat, les grandes victimes sont les enfants et les adolescents, sacrifiés sur l’autel du sexe, du transgenrisme, Dans le document des 6. 6. 6. c’est-à-dire les plus hauts responsables de la finance mondiale, "Panem et Circenses", du pain et des jeux du cirque, formulé en Juin 1967 à Toronto, on peut lire :

    " Pour achever l’éclatement de la famille et du système d’éducation, donc de la Société en général, il est primordial d’encourager la "Liberté Sexuelle" à tous les échelons de la société occidentale. Il faut réduire l’individu, donc les masses, à l’obsession de satisfaire leurs instincts primaires par tous les moyens possibles …

    Cette " Libération Sexuelle " sera le moyen ultime par lequel il nous sera possible de faire disparaître de la " Conscience Populaire " toute référence au " Bien et au Mal " …

    Cette porte ouverte pour l’encouragement à la " Liberté Sexuelle", au " Divorce", à "l’Avortemen "sur demande, à la reconnaissance légale des diverses formes d’homosexualité nous aidera à modifier en profondeur les bases historiques du " Droit Légal " des Sociétés. Elle sera un atout majeur pour pousser l’ensemble des individus à un relâchement général des mœurs; pour diviser les individus les uns par rapport aux autres selon leurs instincts et leurs intérêts propres; POUR DÉTRUIRE L’AVENIR DE LA JEUNESSE en la poussant aux expériences de la sexualité hâtive et de l’avortement; et pour briser moralement les générations futures en les poussant à l’alcoolisme, aux drogues diverses (dont nos Officiers supérieurs des Loges Internationales se chargeront d’en prendre le contrôle au niveau mondial), et au suicide (celui-ci considéré par une jeunesse désabusée et abandonnée à elle-même, comme étant une fin chevaleresque) …

    Tout ce qui arrive est prévu, organisé, programmé depuis longtemps. Les marionnettes au pouvoir ne font qu’appliquer un projet. Elles sont choisies et " élues démocratiquement " pour ça. Dans un discours électoral de 2017, Macron en transe terminait son bavardage par cette harangue prophétique: "Car c’est notre projet".

    NOTRE PROJET. Il avait tout dit. DÉTRUIRE L’AVENIR DE LA JEUNESSE, et donc détruire la jeunesse, fait bien partie du projet, c’est écrit en toutes lettres dans ce document officiel.

    Jean Saunier

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)

  • Un vent de Liberté souffle sur le Royaume-Uni

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    Hier, se déroulaient outre-Manche des élections équivalentes à nos élections municipales en France.

    Les premiers résultats sont là, ils indiquent une poussée spectaculaire du parti national anglais Réform UK de Nigel Farage (cf. tableau ci-dessus). Il s’agit d’un véritable camouflet pour les partis moribonds du Système qui s’écroulent totalement.

    Il faut rappeler que la Grande-Bretagne est victime depuis des décennies d’une politique migratoire insensée qui engendre aujourd’hui un véritable état de guerre inter-ethnique extrêmement violent comme on a pu le constater l’été dernier à travers tout le royaume.

    Or, face à cette situation qu’il a lui-même engendré, le pouvoir travailliste (en pleine déconfiture) a préféré jeter en prison l’un des plus courageux militants de la cause de l’identité britannique, l’éveilleur de peuple Tommy Robinson.

    Hier, les Anglais ont sonné la fin de la récréation et condamné sans appel les politiques de soumission aux diktats de Bruxelles, qu’elles soient menées par les travaillistes ou par les conservateurs. Un vent de liberté commence à souffler sur le Royaume-Uni…

    Roland Hélie

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com

  • Nié par la gauche, le racisme anti-blancs est un phénomène massif en France

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    Le racisme anti-Blancs existe bel et bien. Un racisme que Le Monde diplomatique – journal qui, avec ses autres déclinaisons, poursuit depuis plusieurs années sa descente dans l’abîme du militantisme ultragauchiste, sans doute en souvenir de son pire journaliste de jadis, le sinistre et malfaisant Edwy Plenel – qualifiait en 2021 de "mythe de la dépossession raciale", dans un article présentant un livre pétri de déni, Pauvre petit blanc, signé Sylvie Laurent, une enseignante de Sciences Po, tout se tient.

    Livre qui pourfendait la réalité wokiste aux États-Unis mais dont l’auteur ne semblait pas prendre la mesure, malgré les faits aussi évidents que le nez au milieu du visage.

    https://www.monde-diplomatique.fr/

    Pourtant, ce racisme, que l’on voudrait couvrir tel le sein de Dorine à qui Tartuffe tend un mouchoir afin de le dissimuler, est une réalité dans tout l’Occident chrétien. Car il frappe à la fois les Blancs et les chrétiens, et évidemment les juifs, ce que d’autres nient, croyant ainsi servir une cause patriotique par un antisémitisme qui ne sert en fait que nos ennemis. Mais laissons ceux-là à leurs fantasmes, ce n’est pas ici le sujet.

    Le racisme anti-Blancs, en plus d’être mortel – les Blancs étant majoritairement assassinés chez eux, notamment en France –, constitue un harcèlement permanent, servi par une censure impitoyable qui s’étend partout comme l’ombre du vampire la nuit. Ainsi l’enseignant de l’université Lyon 2 – récemment obligé de quitter son cours et fustigé par la présidente de son université, elle-même blanche ! – en est l’un des derniers exemples criants. Car en refusant d’aller dans le sens de la propagande palestinienne, cet enseignant s’est de facto rangé du côté des Blancs à abattre.

    On ne compte pas non plus les sorties haineuses à l’encontre de la culture occidentale – donc blanche – entre autres dans les médias, parmi les élus de certaines organisations politiques détestant ouvertement la France – et qui sont, eux, de vraies bêtes immondes – et même dans les décisions de justice en faveur des non-Blancs contre des Blancs. Toute la société se trouve ainsi sous le joug de ce racisme dont on interdit qu’il dise son nom. À tel point que les chercheurs qui auraient l’outrecuidance de se pencher sur cette question vitale de société sont bannis.

    Ce tabou vent d’être levé par François Bousquet – essayiste fort logiquement classé à l’extrême droite par l’officine de propagande encyclopédique Wikipédia –, avec la parution d’un livre qui ne fera pas les bonnes pages de la presse gauchiste : Le racisme antiblanc, l’enquête interdite.

    Son éditeur le présente ainsi: "Ce livre est une enquête, première du genre. Il se déploie en deux mouvements. Le premier, "Le chic gauchiste", concis mais incisif, démonte l’imposture du racisme systémique, qui fonctionne comme un verrou mental empêchant de penser le racisme anti-blanc – ce “non-objetˮ sociologique. Le second, “Le choc racisteˮ, en constitue la pierre angulaire. Il donne la parole aux victimes, celles que l’on réduit au silence, car reconnaître leur souffrance reviendrait à dynamiter le récit dominant. Or, tous les témoignages rassemblés ici convergent vers une même réalité : loin d’être un fantasme, le racisme anti-blanc est un discours de haine explicite et un phénomène aussi massif qu’occulté. C’est cette vérité interdite que vous allez découvrir. "

    Le "récit dominant" dont il est question ici nous le pourfendons à longueur d’articles sur Riposte Laïque, certains d’entre nous ayant été eux-mêmes victimes de ce racisme institutionnel.

    Oui, institutionnel, car comment expliquer autrement des concepts officialisés tels que la discrimination positive ou le vivre-ensemble, qui ne sont rien d’autre que des racismes visant à culpabiliser le Blanc et, inversement, dédouaner de tous ses crimes l’Autre, celui qui n’est pas Blanc ? On est là face à une propagande implacable, étayée par les loi liberticides Pleven (1972), Gayssot (1990) et Taubira (2001), cette dernière étant sans doute la pire des trois puisqu’elle réécrit l’Histoire dans le sens de l’idéologie antiraciste – qui est de fait raciste – en niant la suprématie esclavagiste du monde musulman pour ne se concentrer que sur les "crimes" blancs.

    La préférence antinationale, dans les emplois, le logement, les attributions d’aides, est la règle, avec la bénédiction des pouvoirs publics. Et malheur à qui proteste, il tombe sous le coup de la loi. Promenez-vous ainsi dans les musées nationaux et demandez-vous pourquoi, parmi le personnel, les Noirs y sont surreprésentés. Allez dans les cités et constatez le nombre de Blancs, dérisoire. Interrogez-vous sur le temps qu’il vous faut pour obtenir des aides lorsque les migrants sont pris en charge à peine le pied posé sur notre sol, etc.

    La responsabilité de cette injustice criminelle incombe aussi à de pseudo-intellectuels comme le très évitable BHL, qui, dans son torchon, L’Idéologie française, accablait une France dont il profite allègement au passage. Dans ce mauvais livre, il n’hésitait pas à salir Maurice Barrès en l’accusant d’être, avec d’autres, à l’origine du national-socialisme, niant le patriotisme exalté de l’intéressé et sa défiance à l’égard de l’Allemagne, notamment dans son livre Colette Baudoche, paru en 1909. Le même Barrès qui salua le courage des soldats israélites ayant combattu sous le drapeau français en 1914-1918, et qui revint même sur ses positions concernant l’affaire Dreyfus. Enfin, Barrès est mort en 1923, dix avant l’avènement d’Hitler, qu’il n’aurait surement pas soutenu. Mais de cela BHL n’a cure, et l’on peut par contre dire de lui qu’il fut l’un des artisans majeurs du racisme anti-Blancs, un racisme qui explose aujourd’hui à la figure des juifs français, considérés comme les pires des Blancs dans l’esprit des musulmans.

    Dernier exemple de racisme anti-Blancs, et pas des moindres, les non-Blancs qui s’assimilent à notre identité culturelle et qui sont la proie de leurs semblables, car considérés comme des traîtres qu’il faut aussi abattre. Il se voient ainsi traiter de "nègres de maison" ou de "bougnoules de service", toutes choses entendues par l’auteur de ces lignes dans des manifestations parisiennes antiracistes!

    Ainsi, où qu’il regarde, le Blanc se sent légitiment en insécurité, voire en danger de mort, dans l’indifférence générale qui pourrait, espérons-le, provoquer un sursaut de sa part, si violent fût-il.

    Car, dans cette "ténébreuse affaire", il ne s’agit ni plus ni moins que de sa survie…

    Cyrano

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)