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histoire - Page 29

  • Le passé, le présent et le futur de notre Suzerain

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    HUMOUR ET DÉRISION

    (…)

    La croyance veut que les réincarnations successives emportent avec elles dans les renaissances une partie des expériences passées, qui s’accumulent et expliquent la destinée de la dernière incarnation.  Concernant la dernière réincarnation de notre royal Président, je me suis dit qu’il était possible de retrouver ses réincarnations passées qui expliqueraient son règne actuel.

    On dit de lui qu’il n’est pas fini et vit sous la coupe d’une vielle bâtarde au genre indéfini. Son époque se caractérise par une fausse paix des religions, au commencement appelée vivre-ensemble. Au début de son règne, il a déclaré aux mignons petits marquis de son aréopage soyez fier d’être des amateurs, ce qui c’est très vite révélé exact, pour notre malheur.

    Cette maléfique dernière réincarnation en notre Suzerain Macron a peut-être commencé avec Philippe IV le Bel, dit Papounet. Il est un des premiers des Rois Maudits, il a trucidé les membres de l’Ordre des Templiers, les combattants à la Reconquête contre les musulmans dans les royaumes catholiques. Pour cette infamie Jacques de Molay a prononcé une malédiction sur le bûcher: " Soyez tous maudits jusqu’à la treizième génération de vos races!" Aujourd’hui il s’acharne a finir la destruction de la France  "fille aînée de l’Église" Il est colporté par des complotistes de la Reconquête du Renouveau National, qu’il serait par sa volonté à l’origine de l’incendie de Notre-Dame pour la ressusciter à son image dans une cérémonie satanique.

    Le "papounet Le Bel " frappé de la malédiction a fait une brève réincarnation en Louis X pas totalement tapé du ciboulot mais plutôt totalement débile, qui s’est rapidement mis tout le monde à dos. Des jours funestes s’annonçait pour notre royaume, le tapé Louis X allait transmettre ses gènes destructeurs à Charles VI.

    Charles VI a été le plus tapé d’entre tous, on a commencé par l’appeler " le bien-aimé ", on a fini par le renommer " le fou" En 1392, il a fait une grosse crise de folie en s’attaquant à ses propres troupes. Est-ce une réminiscence de ce passé qui a conduit Macron, autrefois lui aussi le bien-aimé, à lancer une grenade dégoupillée dans les jambes de ses propres troupes? Le gène de la folie explique cette décision aventureuse de dissolution.

    Après un long purgatoire en enfer, semble-t-il très insuffisant, Charles VI s’est réincarné en Louis XI, rongé par la suspicion et la paranoïa.

    Louis XI, réincarné en Charles IX a été le malheureux pantin de sa mère Catherine de Médicis, une vraie bâtarde. Le petit Charles IV avait commencé son règne à 10 ans, n’étant pas tout a fait fini. On retrouve là en Macron un trait de son caractère, si bien constaté par Eric Zemmour, déclarant "Emmanuel Macron est un adolescent qui n’est pas fini" Le petit Charles IX doit faire face à une guerre de religion. A la cour il a imposé le port de boucles d’oreille aux gentilshommes.

    Des spécialistes en réincarnation affirment que c’est à cette époque que certains de ses penchants se sont déclarés, à la fois à la soumission à une femme-mère autoritaire et à une attirance sexuelle contre nature.

    Charles IV réincarné en Henri III a assumé ces attirances pour les invertis, ses mignons.

    Ronsard dénonce en vers les mœurs dissolues du roi Henri III.

    "Le Roi, comme l’on dit, accole, baise et lèche

    De ses poupins mignons le teint frais nuit et jour.

    Eux, pour avoir argent, lui prêtent tour à tour 

    Leurs fessiers rebondis et endurent la brèche".

    Dans une période marquée par les guerres de religions, ces jeunes précieux réussissent l’exploit d’être détestés aussi bien par les catholiques de la Sainte-Ligue que par les protestants. Mais en même temps le roi est connu pour aimer les femmes, et tout particulièrement son épouse avec laquelle il n’aura pas d’enfants.

    Le journal Le Monde, généralement très bien informé sur les turpitudes de nos élites, a révélé: " Le soir, autour de whiskys japonais ou écossais Macron s’amuse au sein de son “boys club”: surnoms comme “petit pédé… grande tarlouze”, et Matignon rebaptisé “la cage aux folles”" Le quotidien affirme que " l’Élysée avait baptisé Matignon La cage aux folles ", lorsque Gabriel Attal était encore Premier ministre.

    Le pervers jouit de la souffrance des autres" Le Monde le lâche parce qu’ils en a assez de ses conneries avec la dissolution et l’instabilité permanente. http://www.brujitafr.fr/2024/12/selon-le-monde-le-soir-autour-de-whiskys-japonais-ou-ecossais-macron-s-amuse-au-sein-de-son-boys-club-surnoms-comme-petit-pede-et-matignon-rebaptise-la-cage-aux-folles.html

    Macron s’est ensuite incarné en Louis XIV, d’où son goût pour le faste des grandes réceptions qu’il a présidé dans le fastueux château de Versailles où il aime tant briller et dépenser quoi qu’il en coûte. Le dernier repas du prince avec le Roi d’Angleterre et 160 convives a coûté un demi-million, avec des bouteilles à 2 700 euros pièce. Rien n’est trop beau pour le brillant argentier.

    Les frais de réception du triste sire sont passées de 9,87 millions en 2021 à 21 millions en 2023. Le fonctionnement du Palais nous a coûté 124,2 M€ en 2023, 126,3 M€ en 2024 et augmentera encore de 2,5%, soit 3 millions d’euros en 2025.

    La suite, vous la connaissez, mais pour le futur il vous faudra attendre.

    Daniel Faguet

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Renverser l’État providence - 3

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    J’ai abordé avant-hier le mensonge de l’Etat sur la dette publique (Le mensonge d’État sur la dette publique – Riposte Laique) puis ces trois principales causes hier (Les trois causes de l’endettement Français – Riposte Laique). Je propose aujourd’hui de commencer cette discussion sur le renversement de l’État providence au profit des pouvoirs de la société civile. Sans vouloir ennuyer le lecteur, qu’il me permette de lui soumettre plusieurs pistes en deux articles, ce premier aujourd’hui sur le cantonnement de l’État à ses fonctions régaliennes: justice, police, défense. Je reviendrai demain sur des suggestions pour instaurer un régime nouveau au profit des pouvoirs de la société civile dans d’autres domaines: territoires, écoles, santé, innovation.

    Déjà, posons un principe de souveraineté absolue de la société civile pour maîtriser le législateur. Si nous maintenons une démocratie représentative en supprimant le sénat, celle-ci devra uniquement préparer des lois qu’elle votera en première lecture, avant de les soumettre au souverain. Il est donc impératif que le peuple vote les lois. C’est la première réforme institutionnelle majeure. Les élus n’ont de pouvoir de légiférer que dans les trois domaines du régaliens, et chaque année une votation populaire viendra valider ou annuler les votes des parlementaires. Une loi sera réputée adoptée à la seule condition de la double votation directe et indirecte. Une période d’un trimestre précédera la votation pour informer et discuter au sein de la société civile.

    LE DROIT ET LA JUSTICE

    L’objectif de la justice n’est pas de juger une personne mais des faits. Elle juge d’abord ces faits qui ont créé du désordre dans la société et qui ont fait les victimes d’une injustice: crimes ou délits. Il y a donc un premier impératif de réparation pour les victimes puis une volonté de sanction des coupables des faits incriminés sans oublier une finalité politique qui est d’assurer la société du cantonnement de ces délits et crimes ; soit la dissuasion sociale de commettre des infractions.

    La justice établit des faits au lieu de se perdre dans les conjectures des intentions. Un pays où les crimes se multiplient souffrent d’une justice non-dissuasive, un pays ou les délits et conflits juridiques empoisonnent toute la société prouve que les règles du jeu ne sont, ni claires, ni respectées. La judiciarisation est en fait le symptôme d’une société malade et corrompue, qui s’est accoutumée au prix faramineux d’une conflictualité interne permanente.

    Si nous partageons cette conception de la justice, le droit n’est pas une fin en soi, mais le moyen pacifique de régler les différends et de sanctionner ceux qui troublent l’ordre public, sans recourir à la violence ou à la vengeance. En ce sens, il faut réécrire la totalité des codes actuels dans une logique politique et sociale qui vise ces trois buts: réparer pour les victimes, sanctionner le coupable, dissuader les autres. Je vais être trivial, mais la réparation signifie rétablir les plateaux de la justice.

    Celui qui ôte la vie, on lui retire la vie. Celui qui vole, on lui confisque ses biens. Celui qui triche avec le bon sens (vendre des produits avariés par exemple) on l’oblige à indemniser les victimes et on lui retire le droit d’exercer ce métier, etc. Enfin, cela a une conséquence en termes d’exercice des libertés et responsabilités. La justice ne doit pas coûter à la nation, elle doit coûter à ceux qui obligent par leur méfait à juger. Les condamnés doivent payer l’usage de la justice et le coût des procédures dans leur ensemble.

    Enfin, la justice exprime donc la souveraineté qui une fois encore ne se délègue que provisoirement. En conséquence, les magistrats sont nommés par le souverain, donc élus en rendant des comptes aux termes de leur mandature sur les réparations, les sanctions et les résultats d’une justice dissuasive. La conséquence majeure d’une telle révolution dans notre conception du droit est que l’auteur d’un délit ou d’un crime n’est pas jugé pour lui-même, mais pour la portée politique et sociale des faits reprochés.

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  • Les trois causes de l’endettement Français - 2

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    J’ai abordé le mensonge de l’État sur la dette publique (Le mensonge d’État sur la dette publique – Riposte Laique) en promettant d’en expliquer aujourd’hui les trois principales causes.

    LA CROYANCE EN L’ETAT PROVIDENCE

    La première cause est une croyance tenace qui fascine les Français pour les secours de l’Etat. L’Etat est notre nouveau Dieu. Il est omniscient, protecteur, bienfaiteur. Il est indispensable en toute chose: neutre, arbitre, régulateur, pacificateur, etc. Le Français s’en remet toujours à l’Etat. Il renonce à sa liberté comme à sa responsabilité pour demander à l’Etat de faire, de régler le problème, d’investir, de lui offrir des services auxquels il aurait droit.

    De cela est née une doctrine de l’Etat fort et envahissant, d’un Etat qui décide, qui normalise, qui contrôle, qui agence, qui fait. Pour cela il lui faut toujours plus de pouvoir, de fonctionnaires, d’établissements publics, d’agences, de commissions. Il lui faut de multiples rouages administratifs: les communes, les intercommunalités, les départements, les régions, l’Etat lui-même.

    Et il lui faut toujours plus de ressources. Nous sommes drogués à la croyance que l’Etat est nécessaire dans toutes ces actions. Il a le devoir d’intervenir dans tous les domaines pour mieux faire que nous autres: l’école, l’hôpital, l’agriculture, la culture, l’innovation, etc. En ayant cette croyance chevillée au corps, nous avons construit le Léviathan qui se nourrit de cette justification permanente. L’Etat doit se substituer à la société civile, parce que ce sera mieux fait et plus juste. Et chacun profite un jour de quelques subsides.

    Rien n’a jamais prouvé que cela était mieux. Et tout indique depuis 50 ans que cette conception socialiste de l’Etat nous a ruiné.

    Elle nous coûte plus de 3.000 milliards de dette depuis 1974 dont 1.000 milliards lors de ces 7 dernières années et 1.000 autres milliards lors des onze années précédentes (2008-2019). En moins de 20 ans, alors que tous les services gérés par l’Etat sont en ruine, nous nous sommes endettés de 2.000 milliards. Et nous entendons encore hier Darmanin, garde des Sceaux, exiger plus de magistrats et d’auxiliaires de justice pour garantir une justice plus rapide et efficace. On apprend que nous fermons nos dernières usines, etc. Quand on préfère toujours suradministrer au lieu de s’attaquer aux causes profondes de la faillite de l’Etat.

    Soit les Français perpétuent cette folle croyance que l’Etat est l’acteur principal de la vie de tous les jours jusqu’à le voir sombrer en faillite ; soit ils comprennent qu’il s’agit d’un choix idéologique vicieux qui les prive de leurs libertés comme de leurs responsabilités à se prendre en charge. La nouvelle Révolution française doit cantonner l’Etat à trois fonctions régaliennes: police, armée, justice. Le reste ne lui appartient pas. Sommes-nous capables de reprendre librement en main notre destin?

    L’ESCLAVAGE DE LA SOLIDARITÉ NÉGATIVE

    Malheureusement, j’en doute beaucoup, car le piège du socialisme d’Etat fonctionne grâce à cette deuxième croyance, cause de notre dette. C’est la déresponsabilisation de chacun au profit d’une prise en charge universelle. L’Etat indemnise, l’Etat protège, l’Etat assiste, finance, accompagne. Même les chefs d’entreprise ont pris l’habitude de mendier des aides lorsqu’ils sont en difficultés, même les banquiers de 2008 sont sauvés par l’aide de l’Etat en vertu de la sentence: privatiser les gains, mutualiser les pertes.

    Les Français sont devenus en de nombreuses circonstances des passagers clandestins qui profitent des systèmes d’aide (leurs droits) sans imaginer qu’ils contractent une dette sociale qui pourrait exiger des contreparties. L’aide aux entreprises, l’aide à l’emploi, l’aide à domicile, l’aide aux personnes âgées, l’aide au migrants, l’aide à la scolarité. Ce socialisme de fait justifie la confiscation des richesses produites pour les redistribuer d’autorité selon le bon vouloir du législateur, lui-même lié à ses clientèles: immigrés, chômeurs, entreprises, selon sa circonscription. Cette dette reflète cette corruption permanente du quotidien où beaucoup d’entre nous estiment normal d’étendre à l’infini la solidarité nationale.

    Cette solidarité fut imaginée pour pallier les accidents réels de la vie: maladie, accidents graves du travail par les corporations dès le Moyen Âge. Elle profitait aux membres adhérents. Elle est devenue la folie socialiste d’une sécurité sociale bénéficiant à tous, même les non-contributeurs et d’une multiplication des aides d’Etat. Le coup de grâce idéologique a sans doute été donné par Macron durant la crise de la Covid. Enfermons tout le monde, arrêtons tous de travailler ou presque. L’Etat paiera, et comme le professa Hollande, son maître: C’est l’Etat qui paie, donc cela ne coûte rien. Tout est dit de cette doctrine socialiste qui a contaminé tous les esprits de France.

    Si chacun d’entre nous a un droit de tirage infini sur l’argent public, sans aucun engagement, la dette cumulée est bien celle que nous avons. À propos, l’autre jour, une jeune femme me racontait qu’elle était à un dîner de famille. Trois retraités, un enfant actif, trois petits-enfants à charge, mais aussi trois enfants inactifs et des conjoints inactifs aussi. Outre l’enfant actif, une pièce rapportée, un bon gars de Roumanie, salarié du bâtiment. Dans cette famille, deux actifs dont un étranger, pour neuf adultes à charge et trois enfants. Le modèle est viable, n’est-ce pas!

    Cette solidarité négative agit comme un anesthésique social. Plus personne ne se prend en charge, plus personne ne se sent responsable de son destin économique, plus personne ne comprend que le travail est nécessaire, tous adoptent la thèse de l’assistance de l’Etat. Et quelques-uns vont dans quelques trafics rémunérateurs, dont la drogue, qui vont miner la société.

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