Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

actualité - Page 5

  • dans mon autre blog

    Imprimer

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2025/07/10/eric-denece-francois-faivre-olivier-marleix-et-les-autres-ge-6554613.html

  • Ce qui attendra le successeur de Macron…

    Imprimer

    Bayrou cherche 40 milliards d’économies? Immigration, UE… voilà des pistes!

    Le Président-martyr qui succédera à Emmanuel Macron, soit avant 2027, soit en 2027, aura une tâche particulièrement ardue pour tenter, au moins, de réduire le déficit de la France. Une France en faillite que lui aura laissée son prédécesseur.

    S’il décide d’employer les grands moyens, il se trouvera confronté à une grève générale qui immobilisera le pays durant plusieurs semaines.

    Il lui sera donc conseillé de procéder par des économies de quelques milliards par ci par là et cela sera d’autant plus facile que la Cour des comptes lui fournira tous les détails afin de réduire les dépenses de l’État, des finances publiques et des subventions, administrations départementales, aides au développement, etc.

    Un exemple: s’attaquer immédiatement à l’immigration incontrôlée qui, selon l’OID (Observatoire de l’immigration et de la démographie) coûterait 3,4% du PIB de la France, soit environ 10 milliards.

    L’immigration économique aggrave le déséquilibre du marché du travail et augmente le taux du chômage, actuellement de 7,6%.

    Le taux d’emploi des immigrés est, chez nous, l’un des plus faibles de l’Europe, juste après la Belgique (ce qui n’est pas une référence!): 1,7 million d’immigrés qui n’ont ni emplois, ni retraites et ni études.

    L’immigration coûte bien plus qu’elle ne rapporte surtout que le regroupement familial, en France, est le plus élevé d’Europe et que le nombre de bénéficiaire du droit d’asile a triplé au cours des dix dernières années et que l’engorgement familial a échappé totalement au contrôle des dirigeants.

    Selon certains économistes, notamment Charles Gave, environ 100 milliards pourraient être supprimés durant les cent premiers jours. Ce serait un début avant de s’attaquer aux problèmes majeurs, par exemple le service public (réduction des fonctionnaires), mais là le courage ne suffit plus, seul le sacrifice s’impose.

    Manuel Gomez

  • Education sexuelle scolaire

    Imprimer

    Le programme EVARS promeut la tolérance, la liberté, l’égalité, le rejet des persécutions

    Depuis des années, l’éducation à la sexualité suscite de telles controverses qu’Elisabeth Borne, ministre de l’Education nationale, a concocté une nouvelle mouture.

    Le premier programme d’éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité, proposé par le ministère de l’Education nationale, a été publié au Journal officiel le 6 février 2025. Sa mise en œuvre est prévue pour la rentrée de septembre 2025. C’est le plan EVARS.

    L’éducation à la sexualité est apparue avec la loi de Martine Aubry du 4 juillet 2001. Le Code de l’éducation indique que "Une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles par groupes d’âge homogène".

    L’éducation à la sexualité, créée par la loi n° 2001-588 du 4 juillet 2001, se déploie de manière progressive de l’école maternelle jusqu’aux classes du lycée, à travers une approche globale, positive et bienveillante.

    Le programme EVARS précise ses orientations. Dans ses objectifs comme dans ses démarches, l’éducation à la sexualité permet l’apprentissage du respect de l’intimité corporelle et psychique des élèves, en tenant compte de leur rythme de croissance et de développement, de leurs différences et de leurs singularités. En particulier:

    Egalité de considération et de dignité, égalité entre les femmes et les hommes, lutte contre les discriminations opérées entre les personnes sur le fondement "de leur sexe", "de leur identité de genre", et "de leur orientation sexuelle", prévention des violences sexistes et sexuelles, repérage de l’inceste.

    L’éducation à la sexualité promeut des relations respectueuses et participe au développement de compétences psycho-sociales.

    L’éducation à la sexualité s’ordonne selon trois questions:

    Comment se connaître, vivre et grandir sereinement avec son corps?

    Comment rencontrer les autres, construire avec eux des relations respectueuses et s’y épanouir?

    Comment trouver sa place dans la société, y être libre et responsable?

    L’éducation à la sexualité nécessite un ajustement à l’âge et à la maturité des élèves, et se construit en deux étapes successives: Dans le premier degré, éducation à la vie affective et relationnelle. Dans le second degré, prévention et information, parcours progressif visant l’épanouissement personnel et relationnel, tout en cultivant une réflexion sur les dimensions affectives, sociales et culturelles de la sexualité.

    Les professeurs conçoivent et organisent collégialement la mise en œuvre pédagogique de cette éducation sous le pilotage et avec le soutien des directeurs d’école ou des chefs d’établissement.

    Lire la suite