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Société - Page 13

  • Délai d'incubation de la rougeole augmenté

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    France: au 13 avril, le pays comptait 427 cas de rougeole dont un décès

    En France, du 1er janvier au 13 avril 2025, 427 cas de rougeole ont été déclarés, soit un total approchant le nombre de cas (483) déclarés en 2024.

    Parmi eux se trouvent des enfants de moins de deux ans: je croyais que la vaccitation ROR était obligatoire depuis au moins deux ans???

    Mais, ce que nous ne savions pas et dont IL FAUT SE MÉFIER

    Sur les 427 cas déclarés, 65 (15%) étaient des cas importés (notion d’un séjour à l’étranger pendant LES 7 A 18 JOURS QUI PRECEDAIENT L’ÉRUPTION).

    D'après un article de Santé publique France

  • Nié par la gauche, le racisme anti-blancs est un phénomène massif en France

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    Le racisme anti-Blancs existe bel et bien. Un racisme que Le Monde diplomatique – journal qui, avec ses autres déclinaisons, poursuit depuis plusieurs années sa descente dans l’abîme du militantisme ultragauchiste, sans doute en souvenir de son pire journaliste de jadis, le sinistre et malfaisant Edwy Plenel – qualifiait en 2021 de "mythe de la dépossession raciale", dans un article présentant un livre pétri de déni, Pauvre petit blanc, signé Sylvie Laurent, une enseignante de Sciences Po, tout se tient.

    Livre qui pourfendait la réalité wokiste aux États-Unis mais dont l’auteur ne semblait pas prendre la mesure, malgré les faits aussi évidents que le nez au milieu du visage.

    https://www.monde-diplomatique.fr/

    Pourtant, ce racisme, que l’on voudrait couvrir tel le sein de Dorine à qui Tartuffe tend un mouchoir afin de le dissimuler, est une réalité dans tout l’Occident chrétien. Car il frappe à la fois les Blancs et les chrétiens, et évidemment les juifs, ce que d’autres nient, croyant ainsi servir une cause patriotique par un antisémitisme qui ne sert en fait que nos ennemis. Mais laissons ceux-là à leurs fantasmes, ce n’est pas ici le sujet.

    Le racisme anti-Blancs, en plus d’être mortel – les Blancs étant majoritairement assassinés chez eux, notamment en France –, constitue un harcèlement permanent, servi par une censure impitoyable qui s’étend partout comme l’ombre du vampire la nuit. Ainsi l’enseignant de l’université Lyon 2 – récemment obligé de quitter son cours et fustigé par la présidente de son université, elle-même blanche ! – en est l’un des derniers exemples criants. Car en refusant d’aller dans le sens de la propagande palestinienne, cet enseignant s’est de facto rangé du côté des Blancs à abattre.

    On ne compte pas non plus les sorties haineuses à l’encontre de la culture occidentale – donc blanche – entre autres dans les médias, parmi les élus de certaines organisations politiques détestant ouvertement la France – et qui sont, eux, de vraies bêtes immondes – et même dans les décisions de justice en faveur des non-Blancs contre des Blancs. Toute la société se trouve ainsi sous le joug de ce racisme dont on interdit qu’il dise son nom. À tel point que les chercheurs qui auraient l’outrecuidance de se pencher sur cette question vitale de société sont bannis.

    Ce tabou vent d’être levé par François Bousquet – essayiste fort logiquement classé à l’extrême droite par l’officine de propagande encyclopédique Wikipédia –, avec la parution d’un livre qui ne fera pas les bonnes pages de la presse gauchiste : Le racisme antiblanc, l’enquête interdite.

    Son éditeur le présente ainsi: "Ce livre est une enquête, première du genre. Il se déploie en deux mouvements. Le premier, "Le chic gauchiste", concis mais incisif, démonte l’imposture du racisme systémique, qui fonctionne comme un verrou mental empêchant de penser le racisme anti-blanc – ce “non-objetˮ sociologique. Le second, “Le choc racisteˮ, en constitue la pierre angulaire. Il donne la parole aux victimes, celles que l’on réduit au silence, car reconnaître leur souffrance reviendrait à dynamiter le récit dominant. Or, tous les témoignages rassemblés ici convergent vers une même réalité : loin d’être un fantasme, le racisme anti-blanc est un discours de haine explicite et un phénomène aussi massif qu’occulté. C’est cette vérité interdite que vous allez découvrir. "

    Le "récit dominant" dont il est question ici nous le pourfendons à longueur d’articles sur Riposte Laïque, certains d’entre nous ayant été eux-mêmes victimes de ce racisme institutionnel.

    Oui, institutionnel, car comment expliquer autrement des concepts officialisés tels que la discrimination positive ou le vivre-ensemble, qui ne sont rien d’autre que des racismes visant à culpabiliser le Blanc et, inversement, dédouaner de tous ses crimes l’Autre, celui qui n’est pas Blanc ? On est là face à une propagande implacable, étayée par les loi liberticides Pleven (1972), Gayssot (1990) et Taubira (2001), cette dernière étant sans doute la pire des trois puisqu’elle réécrit l’Histoire dans le sens de l’idéologie antiraciste – qui est de fait raciste – en niant la suprématie esclavagiste du monde musulman pour ne se concentrer que sur les "crimes" blancs.

    La préférence antinationale, dans les emplois, le logement, les attributions d’aides, est la règle, avec la bénédiction des pouvoirs publics. Et malheur à qui proteste, il tombe sous le coup de la loi. Promenez-vous ainsi dans les musées nationaux et demandez-vous pourquoi, parmi le personnel, les Noirs y sont surreprésentés. Allez dans les cités et constatez le nombre de Blancs, dérisoire. Interrogez-vous sur le temps qu’il vous faut pour obtenir des aides lorsque les migrants sont pris en charge à peine le pied posé sur notre sol, etc.

    La responsabilité de cette injustice criminelle incombe aussi à de pseudo-intellectuels comme le très évitable BHL, qui, dans son torchon, L’Idéologie française, accablait une France dont il profite allègement au passage. Dans ce mauvais livre, il n’hésitait pas à salir Maurice Barrès en l’accusant d’être, avec d’autres, à l’origine du national-socialisme, niant le patriotisme exalté de l’intéressé et sa défiance à l’égard de l’Allemagne, notamment dans son livre Colette Baudoche, paru en 1909. Le même Barrès qui salua le courage des soldats israélites ayant combattu sous le drapeau français en 1914-1918, et qui revint même sur ses positions concernant l’affaire Dreyfus. Enfin, Barrès est mort en 1923, dix avant l’avènement d’Hitler, qu’il n’aurait surement pas soutenu. Mais de cela BHL n’a cure, et l’on peut par contre dire de lui qu’il fut l’un des artisans majeurs du racisme anti-Blancs, un racisme qui explose aujourd’hui à la figure des juifs français, considérés comme les pires des Blancs dans l’esprit des musulmans.

    Dernier exemple de racisme anti-Blancs, et pas des moindres, les non-Blancs qui s’assimilent à notre identité culturelle et qui sont la proie de leurs semblables, car considérés comme des traîtres qu’il faut aussi abattre. Il se voient ainsi traiter de "nègres de maison" ou de "bougnoules de service", toutes choses entendues par l’auteur de ces lignes dans des manifestations parisiennes antiracistes!

    Ainsi, où qu’il regarde, le Blanc se sent légitiment en insécurité, voire en danger de mort, dans l’indifférence générale qui pourrait, espérons-le, provoquer un sursaut de sa part, si violent fût-il.

    Car, dans cette "ténébreuse affaire", il ne s’agit ni plus ni moins que de sa survie…

    Cyrano

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)

  • Bleuet de France, portons-le fièremet

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    défend Patricia Mirallès, ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens combattants

    ENTRETIEN. Le Bleuet fête son centenaire et continue d'incarner la solidarité envers les soldats blessés, mais aussi les victimes du terrorisme. Pour Patricia Mirallès, ministre déléguée auprès du ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens combattants, plus qu'un symbole, il doit être “un levier de mobilisation”.

    Par Marie de Greef-Madelin, Maxime Coupeau – Valeurs Actuelles

    En 1925, deux infirmières, Charlotte Malleterre, fille et femme de général, et Suzanne Leenhardt, veuve d’un capitaine d’infanterie, créent le Bleuet de France pour venir en aide aux blessés de guerre et aux gueules cassées dont elles s’occupent à l’hôpital militaire des Invalides. Elles organisent des ateliers de confection de Bleuets en tissu et papier journal dont les recettes vont au profit des mutilés de la Grande Guerre. Depuis le 14 juillet 2023, les Français sont invités à arborer un Bleuet du 1er au 8 mai, le 14 juillet, du 1er au 11 novembre, ainsi que le 11 mars en mémoire des victimes du terrorisme.

    Valeurs actuelles. Que représente pour vous ce Bleuet de France?

    Patricia Mirallès. Ce n’est pas juste une fleur accrochée à un revers de veste. C’est un engagement, une promesse: celle de ne jamais oublier ceux qui ont souffert pour la France. Le bleuet est né dans les tranchées, mais il a su évoluer avec l’histoire. Il incarne la solidarité envers nos soldats blessés, les familles endeuillées et toutes les victimes de la violence barbare. À l’approche du 11 mars, Journée internationale du souvenir en hommage aux victimes du terrorisme, mon message est clair: souvenons- nous, mais surtout, ne restons pas spectateurs. Chaque attentat brise des vies, laisse des blessures invisibles. Derrière chaque nom, il y a une histoire, un combat pour se reconstruire. Des centaines de victimes du terrorisme bénéficient d’un accompagnement psychologique, financier et humain complémentaire. Le Bleuet finance des soins, soutient les familles, aide à retrouver un équilibre après l’horreur.

    ​Cette année, le Bleuet de France fête ses 100 ans. Que lui souhaitez-vous?

    Ce centenaire, c’est un siècle d’entraide et de mémoire. Mais nous ne voulons pas qu’il fane. Car tant qu’il y aura des guerres, tant qu’il y aura des attentats, il faudra être là pour ceux qui restent debout. Dans cent ans, nous voulons que le Bleuet soit toujours là, d’un éclat toujours aussi vif. Alors, portons-le fièrement et faisons-le grandir. Parce qu’aider, c’est agir. Parce que se souvenir, c’est aussi construire l’avenir. Ce centenaire est aussi l’opportunité de redonner un nouveau souffle au Bleuet de France. Car, même après un siècle d’existence, le Bleuet de France n’a rien perdu de son importance. Aujourd’hui, il doit devenir davantage qu’un simple symbole: il doit se transformer en un véritable levier de mobilisation sociale et politique.

    ​Comment transmettre les valeurs que ce Bleuet incarne?

    Nous nous devons d’investir pleinement dans cette ambition, de faire de cette petite fleur bleue un point d’ancrage dans notre société, un point de convergence autour des valeurs de la République. Mais aussi le signe vivant de nos capacités de résilience. Il est, et restera, une fleur essentielle à notre pacte républicain. Nous semons aujourd’hui les graines qui fleuriront le siècle à venir.

    LE BLEUET DE FRANCE: RÉPARER LES VIVANTS

    Autrefois dédié aux seuls poilus mutilés, le Bleuet de France vient en aide depuis un siècle aux blessés de guerre, aux veuves des soldats et aux pupilles de la nation. Depuis les années 1990, les victimes des attentats terroristes entrent dans son champ d'action.

    ​Cette institution, aujourd’hui fonds de dotation privé, est née au lendemain de la Grande Guerre  Elle a, depuis un siècle, la vocation de venir en aide aux blessés de guerre, aux veuves des soldats morts au combat et aux pupilles de la nation, ces enfants à qui la furie de la guerre a enlevé ou mutilé un parent. Agrafé à la boutonnière, le bleuet rappelle à la nation le sacrifice de ses soldats pour sa liberté et son devoir de solidarité envers ceux qui restent. Mais alors que le poppy (coquelicot) fleurit outre-Manche tout le mois de novembre au revers de la veste des sujets britanniques, le bleuet flétrit sur celle de nos anciens combattants.

    ​"LE BLEUET DOIT DEVENIR NOTRE EMBLÈME NATIONAL!"

    "La disparition des derniers poilus et des vétérans de la Seconde Guerre mondiale bouleverse la transmission de la mémoire. C’est aussi le rôle du Bleuet de perpétuer, auprès de la jeunesse, le souvenir du sacrifice de ces Français tombés pour notre liberté", souligne Pierre-Emmanuel de Laforcade, directeur exécutif du fonds de dotation.

    Reste que le Royaume-Uni récolte quelque 35 millions d’euros chaque année, quand nos quatre collectes annuelles sur les places publiques (11 mars, 8 mai, 14 juillet et 11 novembre) ont rapporté, l’an passé, à peine un million d’euros…

    "Le Bleuet doit devenir notre emblème national!", ambitionne la secrétaire d’État chargée des Anciens Combattants et de la Mémoire. Pour lui donner un nouveau souffle, Patricia Mirallès a publié une circulaire, cet été, invitant les représentants de l’État et les autorités militaires à porter la fleur nationale à la boutonnière les premières semaines de mai et de novembre.

    Depuis les années 1990 et la montée du terrorisme sur notre territoire, les victimes des attentats sont, elles aussi, entrées dans le champ d’action du Bleuet. Sur les 25 000 personnes bénéficiant de l’aide du fonds de dotation, 5000 SONT DES VICTIMES DU TERRORISME.

    Et les enfants de ces nouvelles “gueules cassées de notre époque, des pupilles de la nation.

    ​Sur ce terreau, comme autrefois celui des tranchées, pousse depuis un siècle le Bleuet. Pour réparer ceux qui restent.

    https://boutique.bleuetdefrance.fr