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Politique - Page 29

  • Gang des Pakistanais: atroce, inhumain!

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    Mercredi 8 Janvier 2025. Les députés travaillistes anglais rejettent l’enquête nationale sur les gangs pakistanais réclamée par Kemi Badenoch, du parti conservateur.

    5 Août 2000, incendie criminel de la maison de Lucy Lowe 16 ans. L’incendie tue Lucy et l’enfant qu’elle portait, sa sœur, et sa mère. Le criminel Azhar Ali Mehmood, un chauffeur de taxi pakistanais, violait régulièrement Lucy depuis deux ans. Il la menaçait parce qu’elle annonçait qu’elle allait tout dévoiler à la presse locale. Elle avait été contrainte d’avorter plusieurs fois.

    Les enquêteurs sont sceptiques, il s’agit d’un conflit de voisinage. Ils recoupent certaines affaires entre elles, des faits divers relevant de jeunes adolescentes blanches, voire fillettes, dans la même ville, victimes d’un viol collectif à la fin des années 1990. Les articles de presse décrivaient non des mineures, mais des femmes qui auraient été un peu forcées, un peu droguées, en échange de rapports sexuels. Le silence règne autour des agresseurs. Dans les années 2000, rien n’est très clair. On parle de jeunes prostituées volontaires, à l’image de Lucy, d’adultes qui auraient une emprise. La seule réponse des autorités, c’est la création de l’organisation Risky Business, pour faire de la sensibilisation sur l’exploitation sexuelle des jeunes Anglaises blanches.

    En 2002, l’avocate Adèle Weir s’interroge sur ces faits divers qui n’ont aucun lien entre eux. Elle publie un rapport qui révèle l’existence à ROTTERHAM d’un vaste réseau d’exploitation sexuelle d’enfants et d’adolescentes. Elle détaille le nom des suspects, les numéros d’immatriculation des véhicules utilisés pour transporter les filles, le modus opérandi des viols et des pédophiles, les liens des suspects entre eux et avec des entreprises locales, et les connexions de ces pédophiles à la ville de ROTTERHAM. Le rapport met en évidence le rôle actif de la famille de Shahid Hussain, dans l’exploitation des jeunes filles. Tous les pédophiles sont des Pakistanais. C’est un scandale de classe mondiale.

    A l’époque, le rapport passe inaperçu. Seule réaction: les autorités anglaises disent à Adèle Weir d’arrêter de mentionner l’ethnie des criminels. Grâce à l’organisation Risky Business, Adèle Weir a pu obtenir des centaines de témoignages qui décrivent le même mode de fonctionnement atroce, la même dynamique, les mêmes pédophiles et les mêmes victimes. Les victimes ont porté plainte, ont consulté les autorités et les services sociaux. Toutes ces structures ont renvoyé les victimes. L’ordinateur de Adèle Weir est piraté, ses fichiers sont supprimés. Les médias ignorent le rapport.

    Jayne Senior, coordonnatrice de projet social, travaille pour l’organisation Risky Business. Elle continue de collecter des informations et des témoignages sur l’exploitation sexuelle dans la ville de ROTTERHAM, et aussi dans d’autres villes anglaises. Alors, Jayne Senior est bloquée par sa hiérarchie.

    En 2003, la professeure Angie Hill est mandatée pour comprendre l’explosion du trafic de drogue et de la prostitution dans ROTTERHAM. Elle publie un rapport qui cible un nombre significatif de jeunes filles anglaises blanches, de familles pauvres ou en difficulté sociale, qui ont connu des viols de masse, de la pédophilie, et de l’extorsion sexuelle forcée. Elle explique que ces enfants sont enlevées par des adultes, droguées, prostituées et violées pendant des jours par des centaines d’hommes. Plusieurs victimes sont tombées enceintes, sont en dépression, forcées d’avorter.

    Ce rapport explosif met en lumière toute une organisation criminelle et des viols de masse. Tout le monde est mis en cause: les autorités, les services sociaux, la police et les médias. Mais ce rapport est passé sous silence. On dissimule l’aspect communautaire des viols de masse et l’origine ethnique des pédophiles.

    En 2004, la députée Anne Cryer soulève le problème, mais est traitée de raciste et reçoit des menaces de mort. Un documentaire aborde la question de la pédophilie raciste, les viols de jeunes blanches par des Pakistanais; ce documentaire est retiré des programmes après des pressions de groupe antiracistes.

    Mars 2006. Angie Hill revient à la charge avec un nouveau rapport. Elle explique que la situation s’est dégradée depuis 2003, avec une explosion du nombre de victimes de viols collectifs et d’avortements forcés. Ces victimes sont menacées par des armes à feu pendant les viols, parfois déplacées vers d’autres villes, pour y être exploitées sexuellement, ce qui donne lieu à un trafic régional, sinon national. Les pédophiles organisent des veilles pour repérer des fillettes.

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  • La résistance de Narges Mohammadi contre le voile et les mollahs

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    Narges Mohammadi est une militante iranienne des droits humains et militante contre la peine de mort en Iran. Arrêtée pour la première fois en 1998, depuis elle a passé la majeure partie de sa vie en prison. Elle a 52 ans.

    Narges Mohammadi lutte depuis 25 ans contre le voile islamique.

    En septembre 2023, elle brûle son hijab pour marquer l’anniversaire de la mort de Mahsa Amini, cette jeune fille battue à mort parce qu’elle ne portait pas bien son foulard.

    Le 6 octobre 2023, elle reçoit le prix Nobel de la paix. Elle ne peut pas se rendre à Oslo mais ce sont ses fils jumeaux de 17 ans qui lisent son discours, devant son fauteuil vide. Dans ce discours elle affirme son combat pour la liberté, et contre "ce régime religieux tyrannique et misogyne qui l’enferme derrière les hauts murs froids d’une prison".

    En mars 2024, elle appelle à criminaliser "l’apartheid de genre" et dénonce une "ségrégation systématique et institutionnalisée à l’égard des femmes en Iran".

    Tout récemment, elle est battue par ses gardiens de prison, car elle proteste contre une série d’exécutions de femmes. Elle fait alors une crise cardiaque qui entraîne son hospitalisation d’urgence. Sa famille craint pour sa vie.

    Narges Mohammadi a fait du quartier des femmes de la prison d’Evin à Téhéran un bastion de la résistance des femmes aux mollahs sanguinaires. La prison n’a pas réussi à la faire taire.

    Malgré les tortures au sein même de la prison, les brimades sexuelles, les exécutions. Les femmes luttent pour se faire entendre, luttent pour avoir par exemple des livres, et arrivent même à organiser des moments festifs.

    Narges Mohammadi vient de connaître une période de liberté : elle a été libérée trois semaines vers la mi-décembre, pour raisons de santé. Mais c’est au moins trois mois qu’il lui faudrait, pour se remettre de soins insuffisants.

    Ces soins à la suite d’une tumeur à la jambe ont pris du retard, car Narges Mohammadi a refusé d’être transférée aux conditions requises par les mollahs : elle devait porter le voile.

    De ces trois semaines de liberté, elle n’en a pas profité pour faire la fête, ni pour se reposer ! Elle a accordé des entretiens au Monde, au Figaro, au magazine Elle, et à ses compatriotes, dans lesquels elle répète sans relâche qu’elle est contre le port obligatoire du voile, contre la peine de mort, contre le système de détention qui pratique la torture en Iran et pour le mouvement Femme, vie, liberté.

    Au Figaro qui lui demande pourquoi le voile obsède autant le pouvoir iranien, elle répond : "Le voile obligatoire a toujours été un outil efficace au service des régimes religieux afin d’instaurer la soumission et de perpétuer la répression dans la société".

    Elle ajoute: "Une société dont la moitié de la population est soumise au pouvoir d’un Etat religieux par le biais du hijab obligatoire a un lien intrinsèque avec la servilité".

    Elle le martèle: "Le face à face musclé du régime avec les femmes au sujet du hijab ne concerne pas uniquement un code vestimentaire ou je ne sais quelle prescription religieuse mais a pour but leur assujettissement et la pérennisation de la dictature religieuse".

    Et enfin: "Il faut criminaliser l’apartheid de genre pratiqué en Iran contre les femmes".

    Comme c’est bien dit!

    Et comme on aimerait que nos pseudo-féministes françaises comprennent enfin que par leur attitude pro-islam et pro-immigration forcenée, elles soutiennent l’avènement en France de cette horrible dictature islamique misogyne qui les brisera totalement si elle est au pouvoir un jour, en France.

    La République islamique, dit aussi Narges, "viole sans aucun scrupule les droits humains et les droits des femmes. Elle est intrinsèquement incapable d’assumer la liberté, la démocratie, l’égalité des droits".

    Narges Mohammadi a malgré tout de l’espoir, dit son avocat Chirine Ardakani à France-info. Car depuis quelques années la population devant les tortures, la répression épouvantable, les pendaisons qui continuent, ne croit plus en la République islamique. Ce régime totalitaire finira bien par s’effondrer.

    Ce qui se passe en Iran nous regarde absolument, contrairement à ce que pensent certains égoïstes n’ayant aucune vision. Ce qui se passe en Afghanistan, aussi. En Syrie, également. Car il y a en France ce qu’on peut appeler des forces du mal, que beaucoup refusent de voir, qui aimeraient instaurer ce genre de régime chez nous.

    Pour pasticher des paroles célèbres, le voile est un étendard, et certaines traditions sont des marqueurs. Ajoutons que le bazar importé par des migrants envoyés exprès, dont certains utilisent l’intifada, les viols et les égorgements, est en quelque sorte leur moyen d’action pour préparer notre effondrement, la tyrannie, notre remplacement et notre avilissement.

    Nous devons résister à ces forces du mal et, tout simplement, rester la France.

    Sophie Durand

  • Le rapport parlementaire qui disait la vérité sur les migrants

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    Si c’est nous qui l’avions écrit, nous serions abreuvés d’insultes, traités de racistes, de sans humanité et, plus grave encore, de Français de souche (en ce qui me concerne, cela paraît difficile!), d’islamophobes, d’africanophobes, de musulmanophobes, et j’en passe…

    Eh bien non! Il s’agit du "Rapport officiel N° 275 de la Commission des Affaires étrangères, remis à l’Assemblée nationale le 12 octobre 2017 par Pierre-Henri Dumont, député".

    Tous ces chiffres sont donc des chiffres réels et je vous les communique tels quels, en toute objectivité et sans manipulation:

    Les 2/3 des migrants qui pénètrent en France sont des migrants économiques (et non pas des demandeurs d’asile).

    95% de ces migrants sont de jeunes hommes en très grande majorité sans aucune qualification (donc de vraies chances pour notre pays. Ne nous disait-on pas qu’ils étaient presque tous des ingénieurs, des docteurs, des diplômés, etc.?).

    En 2017, 100.755 demandes d’asile ont été enregistrées en France, plus de 14% qu’en 2016 (bizarre, vu qu’il y a moins de guerres, aussi bien en Syrie qu’en Irak où tous les territoires ont été reconquis!)

    *Pour information: les chiffres officiels des demandeurs d’asile depuis 2017: 2018 – 123.625

    2019 – 132.826 – 2023 – 142.649.

    Le taux de refus des demandes d’asile est passé de 5% en 2016 à 83,4% en 2023.

    Les expulsions des demandeurs d’asile refusés n’atteignent pas les 9% de ces 83,4%.

    **423.000 " sans-papiers " bénéficient de l’AME (Aide Médicale d’État) en 2023 soit 100.000 de plus qu’en 2011 et 123.000 de plus qu’en 2017.

    Et une augmentation de plus de 40% entre 2017 et 2023 (mais n’ayez aucune crainte, Macron a augmenté la CSG des riches retraités (ceux percevant au-dessus du SMIC) pour diminuer le déficit de la Sécu, causé par l’AME). OUI, et alors??? Ils ont travaillés et cotisés non??? NDLR

    Environ 600.000 sans-papiers circulent en France (estimation effectuée en 2021).

    Tous les départements bénéficient actuellement de cette distribution de chances pour la France, jusque dans les plus petites communes, cependant ce rapport officiel de l’Assemblée nationale vous met en garde:

    "Méfiez-vous car, dans le département du Pas-de-Calais, qui ne cesse d’accueillir, bien malgré lui, de nouveaux arrivants, entre 2013 et 2014, date de leur arrivée massive, les vols ont augmenté de 27%".

    En ce qui concerne les agressions, viols et crimes: aucune statistique (officielle).

    Et ce n’est pas tout, tenez-vous bien:

    "Ces migrants, qui sont majoritairement de jeunes hommes, ont "un rapport aux femmes radicalement divergent des valeurs portées par la République".

    C’est la "Commission des Affaires étrangère" de l’Assemblée nationale qui vous l’affirme et, si j’ai bien compris, vous conseille de surveiller vos femmes, vos filles, vos mères et même vos grands-mères (pour eux, pas de date limite, ni de début, ni de fin de consommation) afin qu’elles ne se promènent pas seules dans les endroits déserts, ni à la nuit tombée, qu’elles ne s’habillent pas d’une manière trop provocante et qu’elles évitent de trop se maquiller afin de paraître moins attirantes, on ne sait jamais, des fois que, par malheur, elles croiseraient l’une de ces  chances pour la France"!

    Manuel Gomez

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR