Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique - Page 32

  • Trump a viré Macron, qui voulait s’incruster dans sa discussion avec Zelensky

    Imprimer

    Qu’elle est loin cette belle France gaullienne que le monde entier respectait, aussi bien à Washington, qu’à Moscou ou Pékin.

    Macron se veut le centre du monde. Regardez la façon dont il interrompt Joe Biden en pleine discussion, lors du G7 de 2022 en Allemagne. Un sans gêne qui en dit sur l’ego de l’artiste.

    Notre narcissique Président, qui s’agite en tous sens et joue perpétuellement des coudes pour être au premier rang de la photo, vient de se faire recadrer par Donald Trump, à Rome.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=1UOixeXQxeM

     

    Zelensky ayant réussi à arracher un court entretien de dix minutes au président américain, le pot de colle nommé Macron a voulu s’imposer dans la discussion. Trois chaises étaient prêtes.

    Mais non seulement Trump n’a pas serré la main tendue de Macron, mais il lui a signifié son refus d’un échange à trois. La rencontre s’est terminée en un tête à tête Trump/Zelensky.

    Mis à l’écart sans ménagement, Macron et son complice Starmer ont tenté une seconde rencontre avec Trump dans l’après-midi. Mauvaise pioche! Trump, agacé par ces Européens hostiles à sa politique jugée trop russophile, a décidé de reprendre son avion après la messe.

    Ce qui devait être un coup d’éclat est un fiasco. Macron ne fait plus illusion que chez les Français, assez naïfs pour redonner un coup de lustre à sa cote de popularité. 5 points de plus dans les sondages, pendant que Bayrou s’enfonce, c’est toujours bon à prendre.

    Le bilan Macron restera le pire de la Ve République, même si les quinquennats de Sarkozy et de Hollande sont des bides absolus.

    Comme le dit si élégamment Trump, "Tout ce que touche Macron se transforme en m… ".

    (…)

    Sur le plan international, notre diplomatie n’est qu’un chapelet de désastres.

    – Macron voulait une coalition contre le Hamas: fiasco.

     

    – Il a voulu s’ingérer dans la politique libanaise en copinant avec le Hezbollah: fiasco.

    – Il a cru pouvoir apporter sa touche paternaliste en Afrique: fiasco.

    – Il a clamé que Poutine ne devait ni ne pouvait gagner la guerre: fiasco.

    – Il a voulu flatter Alger en crachant sur la colonisation: fiasco.

    – Il veut reconnaître un Etat palestinien en juin: encore un fiasco qui s’annonce.

    – Il fait maintenant acte de repentance devant Haïti, première république noire de l’histoire, indépendante depuis plus de 200 ans mais devenue le pays le plus pauvre du monde.

    Macron adore remuer la vase et culpabiliser la France si cela peut lui attirer les projecteurs. Il a toujours eu honte de son pays et de son histoire. Il ne comprend rien. Comment un chef d’Etat peut-il être respecté dans le monde s’il ne respecte pas son propre pays et son peuple?

    À la tribune de l’ONU, en 2018, notre Président a osé déclarer devant 193 nations:

    "Je viens d’un pays qui a fait beaucoup de mal, beaucoup de mauvaises choses"

    Aucun chef d’Etat dans le monde n’a jamais sali ainsi son pays.

    Macron veut mettre en place une commission d’historiens pour déterminer si la France est responsable du naufrage haïtien, pour avoir accordé l’indépendance à celle île riche et prospère, qu’on surnommait la Perle des Antilles, moyennant une rançon de 21 milliards d’euros actuels.

    Il devrait au contraire s’interroger sur l’incompétence de ce pays à émerger de la misère, de la corruption et de la violence. En 220 ans tout a empiré. Ce sont les gangs qui mettent Haïti en coupe réglée.

    Mais Macron n’a pas la sagesse ni la lucidité d’un Thabo Mbeki, ancien président sud-africain qui déclarait à l’université de Kingston (Jamaïque), après un passage à Haïti:

    https://www.alterpresse.org/spip.php?article573

    "L’histoire de la révolution haïtienne doit susciter la confiance parmi les masses africaines et modeler leur conduite, de manière à être nos propres libérateurs de la pauvreté, du sous-développement, de la marginalisation et du paradigme qui nous fait passer pour des populations vivant de la charité des autres.

    Quand nous disons l’histoire de la révolution haïtienne, nous ne devrions pas nous arrêter à la glorieuse victoire de 1804. Nous devrions également parler de ce qui s’est produit après, de ce qui s’est produit après que la Diaspora africaine ait donné aux Africains de partout le grand cadeau de la première république noire d’Haïti.

    A cet égard, nous devons reconnaître que, les révolutions américaines et françaises ont réussi à créer les conditions du développement des américains et français, tandis que tel n’a pas été le cas d’Haïti. En effet, ce pays a pris une voie diamétralement opposée à celle du développement.

    En tant qu’Africains, en Afrique et dans la Diaspora africaine, nous devons répondre à la question de savoir pourquoi il y a eu cette divergence d’expérience au lendemain des révolutions américaines, françaises et haïtiennes, qui sont liées. En répondant à cette question, nous pourrons également dire pourquoi, à bien des égards, la condition africaine, certainement en Afrique sub-saharienne, a été catastrophique durant de nombreuses années, en dépit de notre existence comme républiques noires, tel le cas d’Haïti pendant deux cents ans".

    Pour Thabo Mbeki, c’est aux Noirs qu’il appartient de sortir par eux-mêmes de leur misère.

    Mais pour Macron, si Haïti est le pays le plus pauvre du monde après plus de deux siècles d’indépendance, c’est encore la faute de la France.

    À Madagascar, il vient encore de faire acte de repentance et veut créer les conditions du pardon de la colonisation.

    Mais ce que ne dira jamais Macron car il l’ignore sans doute, c’est qu’en arrivant à Madagascar nous y avons trouvé des traditions barbares, comme les sacrifices humains les plus cruels et les infanticides rituels. Nous y avons mis fin.

    Tout cela fait partie de l’indéniable oeuvre civilisatrice de la colonisation, que le fossoyeur de la France ne reconnaîtra jamais.

    Après tant de mal fait à notre pays, puisse Macron partir au plus vite et ne jamais revenir. Pour sauver notre pays du naufrage, il nous faudrait un président qui aime profondément la France et son histoire. Un leader sage et compétent, qui ne soit pas un minable carriériste narcissique, en quête perpétuelle des projecteurs. Le contre modèle d’un Macron.

    Tous les gros dossiers internationaux se règleront sans Macron. Que ce soit sur Gaza, sur l’Iran ou l’Ukraine, ni Poutine, ni Trump, ni Netanyahou n’ont besoin d’un agité qui dit tout et son contraire. Les coups médiatiques sans lendemain, ça ne marche plus.

    Jacques Guillemain

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)

  • Le cardinal Sarah, partisan d’une morale naturelle, ne sera probablement pas élu pape

    Imprimer

    Lors de la conférence "Dieu ou rien", en 2018, le cardinal Sarah a fustigé une civilisation occidentale qui nie Dieu. Il dénonce l’avortement, l’euthanasie, l’idéologie du genre, comme "des droits distordus". Il accuse les idéologues progressistes wokistes et les puissances modernes de vouloir "détruire l’humanité".

    Pour le cardinal Sarah, seul un retour à la morale naturelle peut sauver l’homme de l’auto destruction.

    "Dans l’essor de la puissance économique de l’Europe et dans le contexte culturel, plus spécifiquement de la société occidentale, il n’est pas exagéré d’affirmer que l’homme travaille, organise, et gère les rapports humains, politiques, économiques et commerciaux, provoque des guerres, produit des armes de destruction massive, envahit et conquiert des pays uniquement ou presque pour amasser et accumuler des richesses matérielles et asseoir son autorité et son hégémonie.

    Avec la belle et noble raison d’installer de force et partout la démocratie et d’apporter la paix, la liberté, l’Europe et les Etats-Unis ont créé le chaos dans beaucoup de pays, surtout au Moyen-Orient et en Afrique. Mon jugement peut paraître inexact ou exagéré, mais nous ne pouvons pas nier la réalité aujourd’hui. Regardez l’Irak, la Lybie, la Syrie, l’Afghanistan.

    L’Europe traverse depuis plus d’un siècle une crise de civilisation sans précédent. Cette crise n’est donc pas récente, mais elle ne cesse de s’approfondir, de s’aggraver et de démolir toute référence à Dieu. Les seuls moyens humains, les seules négociations politiques ou diplomatiques, sont impuissants à opérer l’unité, à établir la paix entre les hommes …

    Aujourd’hui, les puissances occidentales promeuvent de faux droits, des droits distordus, pour donner à tous et à tous les citoyens du monde un accès sans entrave au sexe et le pouvoir de s’autodéterminer indépendamment de leur identité sexuelle.

    Ils veulent changer la culture, établir une société sexuellement indifférenciée. Ils prétendent libérer l’humanité, pour ainsi dire non seulement de Dieu qui l’a créée, mais aussi de l’homme et de la femme, libérer l’humanité du père, de la mère, de l’époux, du mariage et de la famille. Ainsi adviendra une culture nouvelle et mondiale, célébrant au nom de la liberté l’individu absolutiste, et des choix menant à la mort de l’homme et de la femme et à la destruction de notre humanité.

    Ces nouveaux droits dénommés civils sont aux deux extrêmes: le droit de mourir et le droit de ne pas naître. Entre les deux, se placent le droit à l’avortement, le droit aux manipulations génétiques, le droit à l’enfant réduit à n’être qu’une chose ou un objet. Mais il y a aussi le droit à l’insulte et à la profanation des religions.

    En regardant et en analysant notre monde et sa volonté d’émancipation et d’autonomie par rapport à Dieu, nous constatons bien qu’au nom d’une perversion de la liberté désormais déboussolée, nous sommes confrontés à une tentative sans précédent dans l’histoire de l’humanité, celle de détruire l’humanité elle-même, de détruire la capacité que l’homme a naturellement, la capacité d’aimer, et de priver ainsi l’humanité d’une source irremplaçable de lumière, de force et d’amour, c’est-à-dire Dieu.

    Lire la suite

  • "Paralysées par la peur", les élites laissent la France glisser vers la guerre civile,

    Imprimer

    dénonce une haut fonctionnaire

    Selon Le Figaro, le haut fonctionnaire Céline Cléber publie sous pseudonyme Douce France (Toucan), un roman de politique-fiction où la France bascule "progressivement, sous les coups de boutoir d’une petite minorité d’extrémistes violents", tandis que "les autorités, paralysées par la peur, ne parviennent pas à endiguer le conflit".

    L’auteur explique vouloir "faire pénétrer le lecteur dans les arcanes de la vie politique et administrative" et alerte sur la fragilité institutionnelle face au "danger islamiste".

    Le récit débute avec l’assassinat d’un prêtre par un islamiste, précipitant des émeutes qui virent à la guerre civile; seuls un conseiller de l’Élysée, un sénateur et un préfet tentent d’enrayer la chute. Cléber présente son livre comme "le roman vrai de la guerre civile à venir", fustige la culture du "pas de vagues" dans une haute fonction publique peuplée de "bêtes à concours", et rappelle, citant Léonard de Vinci, que "ne pas prévoir, c’est déjà gémir".

    Selon elle, la violence est déjà " larvée " dans certains territoires, et l’avenir dépendra " du courage, de la vertu de ceux qui dirigeront le pays".