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Opinions - Page 25

  • Nos grands soldats français

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    Image générée par I.A.

    En 2005, la mort accidentelle de Zyed Benna et Bouna Traoré, deux jeunes qui fuyaient la police, nous a valu trois semaines de guérilla urbaine.

    Plus près de nous, en 2023, c’est la mort de Nahel Merzouk, un "petit ange" (3) de 17 ans abattu par un policier,  qui a provoqué des émeutes, des saccages, et un climat de guerre civile dans tout le pays, et même… en Belgique.

    Le bilan de ces journées de quasi-guerre civile a été lourd: des dégradations par centaines, des incendies de voitures et de bâtiments, publics ou privés, pour un montant estimé à 1,7 milliard d’€.

    Voilà où vont nos impôts!

    En France, depuis des années, les choses se passent toujours de la même façon: quand un jeune  issu de l’immigration – généralement "connu des services de police" – est tué, souvent victime de sa propre imprudence, les banlieues s’enflamment et des hordes barbares saccagent tout sur leur passage.

    En revanche, quand c’est un petit Blanc qui est assassiné, lardé au couteau par une racaille, un "malade mental" ou un allogène sous OQTF, pour un regard, un vélo ou un téléphone portable, on pleurniche, on organise des marches blanches, avec des ballons, des fleurs, des peluches et des post-it.

    Sur les plateaux-télé, des sociologues viennent nous dire que la délinquance n’augmente pas et qu’on ne peut pas faire de corrélation entre insécurité et immigration. Et les politiciens – mâles ou femelles – s’inquiètent surtout d’une possible récupération par "l’extrême-drroooaate".

    Depuis la fin des "30 glorieuses" c’est la gauche qui impose sa vision de la France future et, petit à petit, les masques tombent: Jean-Luc Mélenchon vient d’annoncer la couleur; il est favorable au "Grand remplacement" et il le revendique haut et fort.

    Et que fait le camp d’en face, la "droite-cachemire" et même  la droite nationale?

    Soit elle rase les murs, soit elle donne elle aussi dans la repentance honteuse, l’auto-flagellation, le mea-culpa, envers nos anciens colonisés, dans l’espoir – totalement utopique! – de se faire bien voir d’eux.

    Quant à Emmanuel Macron, il continue à caresser la "diversité" dans le sens du poil. Alors que son rôle est de faire respecter l’ordre républicain, il laisse faire les casseurs car ce rôle de pompier-pyromane – diviser pour régner – lui convient bien. Il est vrai qu’il avait annoncé le couleur (sans jeu de mots facile!) lors de la "Fête de la Musique", en 2018, en invitant des invertis allogènes à brailler leur mépris de la France au Palais de l’Elysée.

    Bien que la période des vœux soit passée, je m’autorise à en émettre un: je voudrais que la droite nationaliste, conservatrice, souverainiste, etc… bref MA droite, ait enfin le courage de rendre hommage à quelques Français qui furent de beaux soldats et de grands colonisateurs.

    Des hommes qui, par leur volonté, leur audace, leur hardiesse, leur énergie ont permis que des peuplades africaines ne crèvent plus de faim, qu’elles cessent de s’entre-tuer dans des guerres tribales, ou qu’elles ne soient plus décimées par les maladies tropicales comme la malaria.

    En fait, comme le Français est souvent ignare en histoire, je vais le faire moi-même. Puisse-t-il se dire fier de la grandeur passée de son pays, et oser sans la moindre honte en revendiquer l’héritage!

    Commençons par celui qui donna son nom à la capitale du Tchad – Fort Lamy –  avant qu’elle ne choisisse, en 1973,  de s’appeler N’Djamena pour tirer un trait sur sa période coloniale.

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  • La commission européenne finance l’idéologie transgenre avec nos impôts

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    Au moment même où aux USA, Donald Trump pourfend l’idéologie transgenre et supprime tous les financements fédéraux aux associations wokistes chargées de cette promotion inepte, au moment où en Argentine, Javier Milei agit de même et coupe les vivres aux militants gauchistes et veut supprimer la loi qui permet aux mineurs de changer de sexe sans contrôle, la Commission européenne, elle, nage à contre-courant et dilapide nos sous, appliquant allègrement le principe "dans la gêne il n’y a pas de plaisir!".

    Il est vrai qu’elle n’a aucune légitimité populaire et qu’elle n’a de compte à rendre qu’à elle-même.

    Laurence Trochu, eurodéputée du groupe Identités et Libertés, a jeté un pavé dans la mare en annonçant que près de 8 millions d’euros ont été dépensés dans des projets wokistes, transgenres et déconstructeurs. C’est ainsi 1,5 millions d’euros vont être jetés par les fenêtres pour une étude "visant à étudier l’influence des hormones sur les transgenres et leurs bienfaits psycho-sociaux".

    215 000 euros sont alloués à "un projet de redéfinition de la violence de genre pour y inclure les personnes transgenres et intersexes "!

    Pour 1,26 millions d’euros on pourra "comparer les parcours de trans en Europe et ceux qui immigrent pour se prostituer". Pour boire le calice jusqu’à la lie de l’infamie, 750.000 euros sont attribués à une mission se voulant définir ce qu’est l’hétérosexualité "qui est un vecteur d’intolérance" et aussi "pour rendre les plans d’égalité encore plus inclusifs, car la considération des identités LGBTQI+ et les minorités inter-sectionnelles seraient insuffisantes".

    LA POLICE DE LA PENSEE TERRORISTE BAT SON PLEIN.

    Qu’on en juge.

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  • Que nous cache la nomination de Richard Ferrand au Conseil constitutionnel?

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    On peut s’étonner qu’un personnage mis en examen par le passé pour prise illégale d’intérêts, prenne la tête du Conseil constitutionnel. Cette mise en examen faisait suite à une plainte d’Anticor.

    Certes, la Cour de cassation a bien mis fin à la procédure en prescrivant les faits, mais quand un juge d’instruction vous met en examen, c’est qu’il vous soupçonne d’être l’auteur d’une infraction. Et si la prescription classe l’affaire et vous garantit la présomption d’innocence, elle ne répond aucunement à la plainte initiale ni aux soupçons du juge.

    https://www.la-croix.com/France/Affaire-Richard-Ferrand

    Mais là n’est pas l’essentiel de mon propos.

    Ce qui m’intrigue, c’est que Richard Ferrand, tout comme Emmanuel Macron, a toujours critiqué l’article 6 de la Constitution, qui limite à deux mandats consécutifs de cinq ans l’exercice du pouvoir présidentiel. Un article qui "bride la libre expression de la souveraineté populaire".

    Article 6:

    Le Président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct.

    Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.

    Les modalités d’application du présent article sont fixées par une loi organique.

    Par conséquent, il est permis de se demander ce que cache la nomination de Richard Ferrand, ami fidèle de Macron, à la tête du Conseil constitutionnel.

    MACRON VA-T-IL INTRIGUER POUR EFFECTUER UN TROISIÈME MANDAT?

    "Il faudrait que Richard Ferrand clarifie ses intentions", estime Manuel Bompard.

    Et le député Insoumis Aurélien Saintoul de soupçonner une "grande combine" (Le Figaro).

    Pourquoi ces soupçons aux relents de complotisme?

    Mais tout simplement parce qu’il existe un précédent à la présidence de la Polynésie française.

    Soit il tente de modifier la Constitution, ce qui parait difficile, soit Macron nous la fait à la polynésienne: démission, suivie d’un acte de candidature dans la foulée.

    En 2022, Matignon avait interrogé le Conseil d’État pour savoir comment interpréter la limitation à deux mandats consécutifs, quand un des mandats n’a pas été exécuté dans sa totalité. En effet, le président en place en Polynésie, avait achevé le mandat de son prédécesseur démissionnaire et avait ensuite effectué un deuxième mandat de cinq ans.

    En conséquence, pouvait-il se représenter pour un troisième mandat?

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