Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

société - Page 5

  • Bienvenue dans l’école de la République en 2025…

    Imprimer

    La militante "décolonialiste" Assa Traoré était au programme de français dans un collège de Vendée. Les parents devait acheter son livre Lettre à Adama, où elle décrit la police comme un   arsenal de guerre " destiné à   soumettre et écrase " la population.

    Heureusement, les Parents Vigilants ont agi: Suite au signalement par les Parents Vigilants, la professeur de français a dû renoncer à faire lire le livre d’Assa Traoré à ses élèves.

    Dans un lycée de Gironde, des élèves assistent à un spectacle où une comédienne mime une pénétration vaginale devant eux, dans une ambiance rouge sexshop, sous prétexte " d’affirmation de soi ". Le spectacle était référencé par le Pass Culture. Financé par vos impôts.

    Dans une école de Normandie, des enfants de 9 ans apprennent que les garçons peuvent se maquiller, porter du vernis et des talons. Ce n'est pas un jeu libre. C'est une consigne de l'enseignante. Une " charte des droits des garçons " accrochée au mur de la classe. Un retournement des valeurs, instillé semaine après semaine.

    Gabriel, 9 ans, rentre chez lui et dit à ses parents: "  La maîtresse nous a dit que vous allez vous opposer, mais ce qu'on dit en classe, c'est ça, la vérité. " 

    Tout cela serait passé inaperçu si les Parents Vigilants n’avaient pas lancé l’alerte.

    Parents du petit Gabriel, Antoine (médecin) et Alicia (psychologue) ont rapidement détecté les signaux d'alerte. Leur fils, qui aimait son enseignante, était de plus en plus mal à l'aise.

     " À 9 ans, les jeux d'identification sont majeurs. Jouer sur le travestissement à cet âge est profondément perturbant pour des cerveaux aussi malléables. En tant que professionnels de santé, nous ne pouvons pas laisser notre enfant face à une telle source de perturbation. "

    Cette alerte des Parents Vigilants est d'ailleurs passée dans l'émission Ligne Droite

    Antoine et Alicia, les parents, ont conclu leur témoignage par ces mots:

     Témoigner auprès de Parents Vigilants, c'est une façon de se battre pour notre patrie et d'avancer".

    Ils ont eu le courage de parler. D'autres parents aussi. Mais des centaines, peut-être des milliers d'autres vivent la même chose sans oser le dire.

    Par peur du regard des autres.

    Par peur de passer pour des "réacs".

    Par peur de ne pas être pris au sérieux.

    Pendant ce temps, les enfants continuent d'être exposés.

    DEFENDEZ VOS ENFANTS!

    Pour protéger les enfants. Pour alerter les autres parents. Pour que cette dérive cesse.

    Pas pour faire du bruit. Pas pour polémiquer.

    Battez-vous avec d'autres parents: il est possible de faire bouger les choses. Il y a cette association Parents Vigilants, cherchez sur internet

  • Le droit à l’oubli sur Google expliqué simplement:

    Imprimer

    qui peut l’utiliser et comment

    Effacez vos traces numériques: découvrez comment exercer votre droit à l’oubli pour retrouver votre vie privée en ligne.

    Vous regrettez quelque chose que vous avez dit ou qu’on a publié sur vous en ligne? Il existe une solution légale: le droit à l’oubli.

    Étape par étape, vous pouvez effacer cette empreinte numérique qui vous poursuit encore.

    Le droit à l’oubli est devenu un outil de plus en plus utilisé pour protéger la vie privée numérique. Reconnue par la réglementation européenne et gérée en Espagne par l’Agence Espagnole de Protection des Données (AEPD), cette mesure permet de demander que certains résultats ou données disparaissent des moteurs de recherche. Si ce que l’on trouve sur vous en ligne vous préoccupe, voici comment agir.

    QUE SIGNIFIE VRAIMENT EFFACER SA TRACE NUMERIQUE?

    Le droit à l’oubli ne supprime pas littéralement les données d’internet, mais il empêche certains résultats d’apparaître lorsque quelqu’un recherche votre nom sur Google ou un autre moteur de recherche. Il a été reconnu par la Cour de Justice de l’Union Européenne en 2014 et fait partie du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD).

    Ce droit n’est pas absolu: il s’applique uniquement si les données sont inappropriées, non pertinentes ou devenues inutiles. En d’autres termes, vous ne pouvez pas effacer une information d’intérêt public ou des faits récents à valeur journalistique.

    Qui peut le demander, et dans quelles situations?

    Tout citoyen européen peut exercer ce droit, à condition de fournir une justification légitime.

    LES CAS LES PLUS COURANTS SONT:

        Erreurs judiciaires résolus ou dossiers classés sans suite.

        Articles anciens sans pertinence actuelle.

        Opinions, photos ou publications personnelles regrettées.

        Diffamations, fausses informations ou contenus sortis de leur contexte.

        Données sensibles (santé, orientation sexuelle, religion…) publiées sans consentement.

    Peu importe si le contenu se trouve sur un réseau social, un forum, un blog ou un média. Ce qui compte, c’est qu’il apparaisse associé à votre nom dans les moteurs de recherche.

    GUIDE PAS A PAS POUR EXERCER VOTRE DROIT A L’OUBLI

    Si vous estimez avoir le droit de supprimer certaines informations, suivez ces étapes:

    1. Identifiez le contenu

    Dressez une liste des liens exacts (URL) que vous souhaitez voir supprimés. Copiez également les textes concernés et prenez des captures d’écran au cas où les pages seraient modifiées plus tard.

    1. Contactez le responsable du contenu

    Si vous connaissez l’auteur ou le site d’origine (par exemple, un blog ou un journal), il est préférable de demander d’abord directement la suppression ou la modification du contenu. Une demande polie et justifiée suffit souvent.

    1. Demandez la suppression à Google

    Google propose un formulaire spécifique pour exercer le droit à l’oubli. Vous devrez y indiquer:

        Votre nom complet.

        Les liens exacts que vous souhaitez supprimer.

        Une brève explication motivée.

        Une copie de votre pièce d’identité.

    Trouvez ce formulaire en cherchant “Google droit à l’oubli” ou via la section confidentialité de son site web.

    1. Adressez-vous à l’AEPD en cas de refus

    Si Google (ou un autre moteur) ne répond pas ou refuse votre demande et que vous estimez avoir raison, vous pouvez déposer une plainte auprès de l’AEPD. Joignez tous les documents précédents, y compris les réponses ou l’absence de réponse.

    Délais et recours possibles

    Google répond généralement en quelques semaines, bien qu’il n’y ait pas de délai légal fixé. Si l’AEPD traite votre dossier, elle peut prendre entre un et six mois pour statuer. En cas de refus, vous pouvez encore faire appel devant les tribunaux.

    Chaque cas est étudié individuellement. L’AEPD cherche un équilibre entre le droit à l’information et votre droit à la vie privée. Si vous êtes une personne privée et non publique, elle vous donne souvent raison.

    CONSEILS PRATIQUES POUR UNE DEMANDE EFFICACE

        Soyez précis: ne demandez pas à effacer toute votre présence en ligne, seulement ce qui est réellement nuisible.

        Fournissez des preuves: démontrez si les données sont fausses, obsolètes ou nuisibles.

        Ne dramatisez pas: si l’information est véridique et récente, il est plus difficile d’obtenir un retrait.

        Rédigez avec calme et clarté: un ton respectueux et une argumentation solide augmentent vos chances.

        Faites-vous aider si besoin: des avocats spécialisés peuvent intervenir dans des cas complexes.

    Votre identité numérique mérite aussi une seconde chance

    Nous vivons à une époque où une publication malheureuse peut vous poursuivre pendant des années. Le droit à l’oubli vous offre une solution légale et raisonnée pour reconstruire votre image en ligne sans renier la liberté d’expression ni la véracité des faits.

    Et vous? Avez-vous déjà essayé d’effacer une trace de vous sur internet? La technologie évolue, mais la législation aussi. Si vous pensez qu’il est temps de nettoyer votre empreinte numérique, n’hésitez plus. Partagez cet article et aidez d’autres personnes à découvrir qu’un nouveau départ numérique est possible.

  • En route vers une nouvelle révolution conservatrice

    Imprimer

    Depuis quelques mois, les symptômes de la décomposition du Système se multiplient. Parallèlement, les signes du réveil des peuples européens et occidentaux s’intensifient. Nous n’allons pas nous en plaindre…

    Il semblerait en effet que la mondialisation économique, l’uniformisation planétaire et la vision " woke " de la société font de moins en moins recette. Pendant des décennies, avec les moyens les plus perfides, les tenants de ce que l’on appelait encore, il y a peu, " l’idéologie dominante ", dont Macron et sa clique ne sont que les actuels petits domestiques, ont voulu nous imposer leur vision, leur conception. Leur but est de détruire les nations, les civilisations et de transformer le monde en un vaste marché planétaire propre à gaver les apatrides puissances de l’argent, naguère dénoncées par Mitterrand.

    Mais, fort heureusement, les pires charlatans finissent toujours par se heurter au scepticisme de ceux qu’ils cherchent à tromper. Des esprits libres ne se laissent pas si facilement abuser par les supercheries des bonimenteurs en costume. " L’avenir radieux " que voulaient nous imposer les thuriféraires du mondialisme se heurte à la volonté des peuples de retrouver leur identité et leur liberté.

    On l’observe depuis quelques années, dans notre pays comme un peu partout en Europe, d’élections en élections: les mouvements nationalistes et identitaires affirmés se renforcent progressivement, avec constance. En France, l’éventualité de l’arrivée au pouvoir d’un candidat national à la prochaine présidentielle, même s’il reste beaucoup à faire, n’est plus une illusion. Que cette élection soit proche ou qu’elle ait lieu dans dix-huit mois, à la date prévue. Cependant, ne soyons pas dupes. Cette " victoire ", loin d’être la conséquence d’une quelconque " dédiabolisation ", qui dans les faits correspond à une suite de reniements, sera le fruit de cinquante années de labeur intensif de la part des différentes composantes militantes de la droite nationale et identitaire, et de l’effondrement des chimères que furent hier le communisme et la démocratie libérale et aujourd’hui le mondialisme et le wokisme.

    Nous assistons donc à l’émergence de ce que nous pouvons appeler " une nouvelle révolution conservatrice mondiale ". Une révolution qui mènera chacune de nos vieilles nations à renouer avec elle-même, et les civilisations à retrouver leurs spécificités et leurs vocations. En couchant sur le papier de tels propos, je ne prends pas mes désirs pour des réalités. Loin s’en faut, les faits sont là…

    LE REVEIL DES PEUPLES S’ACCÉLÈRE, ET C’EST TANT MIEUX…

    Fut un temps, pas si lointain, où en France, la droite nationale se trouvait marginalisée. Électoralement, elle piétinait désespérément autour de 1%. Ailleurs en Europe, il en allait de même, hormis en Italie, avec le MSI (Mouvement social italien, devenu Fratelli d’Italia, le parti de Giogia Méloni), et en Flandre, où les nationalistes avaient gardé une certaine influence. Puis au début des années 1980, il y eut la percée historique du Front national de Jean-Marie Le Pen. Celle-ci bouleversa la donne, non seulement dans l’Hexagone, mais aussi dans l’Europe entière. Ce fut l’étincelle salvatrice. Elle montra aux peuples, qui n’avaient pas oublié totalement qui ils étaient, qu’un autre avenir était possible. Depuis le mouvement n’a cessé de s’amplifier.

    Il est courant de dire que ce qui se passe en Amérique se produit, quelques années plus tard, sur le Vieux Continent. Prenons l’exemple de l’assassinat de Martin Luther King en 1968. L’événement a contribué, entre autres, à l’émergence sur les campus américains, dans les décennies qui suivirent, de l’idéologie "woke".

    Cette dernière, par la suite, s’est imposée chez nous sous différentes formes. Aujourd’hui, nous en subissons toujours les conséquences néfastes. Mais les choses sont en train de changer. Il y a quelques semaines, l’assassinat du jeune leader conservateur américain Charlie Kirk a eu un retentissement mondial. Sera-t-il de nature à mettre un point final à l’expansion de l’idéologie "woke"? Nous l’espérons mais seul l’avenir nous le dira…

    Pour l’heure, les déferlantes migratoires que subissent la France et l’Europe depuis les années 1960 (avec les conséquences parfois dramatiques que celles-ci ont sur le quotidien de nos peuples) ne sont pas de nature à améliorer notre situation.

    Quoi qu’il en soit, force est de reconnaître que les peuples d’Europe, politiquement asservis, économiquement anéantis et démographiquement envahis, entendent reprendre leur liberté et contrarier les plans des mégalomanes à vocation de marionnettistes nichés à Bruxelles, à Davos ou dans certains grands conseils d’administration.

    Une nouvelle révolution conservatrice est en marche. L’heure du grand retour des valeurs ancestrales de nos nations et de notre civilisation approche… Faisons en sorte qu’il soit définitif!

    Roland Hélie