Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

actualité - Page 2

  • SCANDALE Gaîté Lyrique

    Imprimer

    révélations sur une occupation controversée, mêlant fonds publics et mécénat privé.

    Le 10 décembre 2024, ~200 jeunes migrants isolés ont investi de force la Gaîté Lyrique, une salle culturelle du 3ᵉ arrondissement de Paris. L’affaire fait grand bruit au point qu’Elon Musk a qualifié l’occupation de "suicidal empathy". Regroupés sous le Collectif des jeunes du parc de Belleville, ils revendiquent un hébergement d’urgence et la reconnaissance de leur minorité légale. Leur nombre double ensuite pour atteindre ~446 occupants fin février, entraînant la fermeture totale du lieu au public.

    Ces "jeunes sans-abri" fréquentaient déjà la Gaîté Lyrique, où ils se sont rassemblés en fin de journée avant de brandir des banderoles et d’annoncer qu’ils ne partiraient pas. Délogés de leurs campements précaires quelques jours plus tôt, ils occupent ce lieu "faute de solution d’hébergement proposée par la mairie ou l’État". Dépassés par leur propre initiative, les responsables du théâtre constatent l’impasse et alertent les pouvoirs publics, en vain.

    "Il fait zéro degré, nous n’allons pas les mettre dehors", déclare le porte-parole du théâtre, dénonçant une situation *"indigne et extrêmement choquante […] en plein Paris". Plutôt que  d’expulser les intrus dans le froid hiverna ", la Gaîté Lyrique suspend sa programmation et laisse les ~300 occupants dormir à même le sol, avec seulement 3 sanitaires disponibles.

    Rapidement, la situation se dégrade: un incendie éclate le 21 février, nécessitant l’intervention des pompiers, et des agressions et troubles à l’ordre public sont signalés. Les 70 salariés du théâtre exercent leur droit de retrait, jugeant le danger "grave et imminent ", et la société gestionnaire (Gaîté Lyrique S.A.S) annonce qu’elle quitte les lieux et suspend son contrat avec la Ville de Paris.

    Même des journalistes venus couvrir l’occupation sont pris à partie: ainsi, un reporter de CNews a été violemment empêché de filmer par des occupants encouragés par des militants, nécessitant une intervention policière. Le média StreetPress (financé par George Soros, des subventions publiques ainsi que des fonds de l’UE) dont les locaux étaient situés sur place, a dû déménager d’urgence du fait de l’insécurité.

    L’ONG SINGA apparaît en coulisses de cette affaire: son directeur n’est autre que Benoît Hamon, ex-ministre socialiste et ex-candidat présidentiel de 2017, qui siège au conseil d’administration de la Gaîté Lyrique.

    La gouvernance du théâtre est ainsi profondément marquée par l’écosystème associatif parisien: on y retrouve, aux côtés d’Hamon, Vincent Carry (directeur d’Arty Farty), Alizée Lozac’hmeur (cofondatrice de makesense) ou Yannick Lacombe (Arte France). De plus, le porte-parolede la Gaîté Lyrique pendant la crise, David Robert, est aussi le directeur du programme "J’accueille" développé par l’association SINGA – un programme dédié à l’accueil de migrants.

    Autrement dit, des responsables de SINGA pilotent la Gaîté Lyrique, un lieu municipal subventionné, et ont directement géré (ou laissé faire) son occupation par des clandestins.

    Benoît Hamon, président de SINGA France et directeur général de SINGA Global depuis 2021, a publiquement pris fait et cause pour l’occupation.

    Lire la suite

  • Les vrais racistes..

    Imprimer

    … ce sont les gauchistes et les Insoumis soumis à l’islam

    La France Insoumise-soumise appelle à une manifestation le samedi 22 mars contre le racisme et l’extrême droite, dans toutes les grandes villes de France.

    " Stoppons l’extrême droite et ses idées. Partout dans le monde, l’extrême droite défend un projet raciste et violent. Dans les sommets internationaux auxquels participe le Rassemblement National, comme dans les discours d’Elon Musk, les saluts nazis sont de retour alors qu’on les croyait disparus à jamais. En France, Le Pen et Bardella surfent sur le racisme pour fracturer l’unité du peuple et assurer la domination des puissants. La violence de l’extrême droite est impunie.

    Avec 220 associations et syndicats, manifestons partout en France le samedi 22 mars. Pour l’unité du peuple contre le racisme. Pour stopper l’extrême droite et ses idées ".

    Les rassemblements sont autorisés par la Marche des solidarités et par le collectif " Né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs, uni-e-s contre le racisme!". Ce collectif est notamment constitué par la Ligue des droits de l’homme, Attac France, La Cimade, la CGT, la FSU, Femmes égalité, le groupe d’information et de soutien des immigrés, le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples, Oxfam France, SOS Racisme, le Syndicat des avocat-es de France…

    Que du beau monde. Plus de 180 rassemblements prévus en France.

    La date du 22 mars a-t-elle été choisie en souvenir du Mouvement du 22 mars 1968? Le Mouvement du 22 mars, naît sur le campus de Nanterre, animé par Daniel Cohn Bendit, un étudiant en sociologie de 23 ans. Le 22 mars, Cohn Bendit et 142 de ses camarades occupent la salle du conseil de la faculté des lettres, à la suite de l’arrestation de militants du comité Vietnam national. Ainsi débute véritablement Mai 68. Les manifestants de France Insoumise-soumise sont les héritiers de ce mouvement.

    Tous dénoncent l’extrême droite, le fascisme, le racisme, avec des arrière-pensées de diabolisation. Le terrorisme intellectuel s’apparente à la fabrication de mythes incapacitants. Il y a des gaz incapacitants: soumis à l’effet de ces armes chimiques, je ne suis plus bon à rien, je ne peux plus réagir, je n’ai plus rien dans la tête. De la même manière, il y a des mythes incapacitants: le mythe de l’antiracisme, le mythe de l’antifascisme: soumis à l’effet de ces mythes, je suis dénigré, calomnié, rabaissé de telle sorte que je ne peux réagir.

    Lire la suite

  • Vous avez dit déficit?

    Imprimer

    La France, ce pays magnifique, ce joyau de l’Histoire, traîne un fardeau d’une pesanteur inouïe, un poids qui l’empêche de se dresser fièrement sur la scène du monde: son déficit abyssal. Ce n’est plus une dette, c’est un gouffre, un abîme où s’engouffrent les rêves d’un peuple, où disparaissent les vestiges de sa grandeur passée. Chaque jour, ce boulet s’alourdit, chaque année, il enchaîne un peu plus la nation, la forçant à courber l’échine sous la férule de ceux qui, au nom d’une modernité sans âme, la réduisent à un conglomérat de dettes et de sacrifices.

    Mais le plus grotesque, le plus accablant, c’est que cette dette colossale, ce monstre que l’on nous présente comme une fatalité, n’est en réalité qu’une immense farce comptable. Qu’on cesse un instant d’alimenter le Moloch bruxellois, qu’on arrête cette saignée insensée vers l’Union Européenne qui n’a fait que dévorer notre souveraineté et siphonner nos ressources, et voilà des milliards libérés!

    Qu’on ose toucher au tabou des subventions, cet opium des clientèles associatives qui vivent aux crochets de la nation, sans compter encore que souvent elles agissent contre la volonté du peuple Français, ici encore des montagnes d’or rendues au bien commun!

    Que dire des commissions Théodule, ces engeances bureaucratiques proliférant à la manière d’une moisissure sur un vieux fromage? Qu’on tranche dans leurs budgets pharaoniques, qu’on arrête de les gaver comme des oies promises à l’abattoir, et c’est tout un pan du gaspillage d’État qui s’effondre.

    Et l’Aide au Développement, ce gouffre insondable, cette générosité pavlovienne qui nourrit les intérêts des autres pendant que nos propres citoyens peinent à boucler leurs fins de mois? Qu’on la réduise à l’essentiel, à l’utile, au strict nécessaire, et déjà l’oxygène financier reviendra.

    Enfin, que l’on ose s’attaquer aux sanctuaires des Autorités Administratives Indépendantes et des Autorités Publiques Indépendantes, ces bastions technocratiques où le pouvoir se disperse, se dilue, se complaît dans une déresponsabilisation générale, et nous verrons renaître une France qui ne mendie plus son avenir, mais le forge à nouveau de ses propres mains.

    Le déficit, nous dit-on, est insurmontable? Quelle farce! Quelle duperie! Il ne tient qu’à nous de nous libérer des chaînes que nous nous sommes imposées. Il ne tient qu’à un sursaut, un acte de volonté, un retour au bon sens, pour que la France redevienne la nation qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être: fière, souveraine, maîtresse de son destin.

    Mais il ne suffit pas de couper dans les dépenses inutiles. Il faut aussi redonner à l’économie les moyens de produire en France. La relocalisation industrielle, le soutien à l’innovation et à l’entrepreneuriat national, la mise en valeur de nos savoir-faire doivent être les piliers d’une nouvelle prospérité. En favorisant la production locale, en encourageant les entreprises à investir sur notre sol plutôt qu’ailleurs, nous renforcerons notre autonomie économique et garantirons des emplois durables.

    Il faut redonner un élan sérieux à la natalité Française et pour cela il faudra inciter, motiver les jeunes couples Français à donner vie à nos chères têtes blondes en plus grand nombre.

    Le déficit, nous dit-on, est insurmontable? Quelle farce! Quelle duperie! Il ne tient qu’à nous de nous libérer des chaînes que nous nous sommes imposées. Il ne tient qu’à un sursaut, un acte de volonté, un retour au bon sens, pour que la France redevienne la nation qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être: fière, souveraine, maîtresse de son destin.

     Jean-Jacques FIFRE

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)