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Société - Page 3

  • Le Macron vieillit, s’enlaidit et s’abrutit

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    On a de la peine à le reconnaître. Il vieillit et s’enlaidit. Il a perdu la vivacité de son arrivée à l’Élysée. On s’attendait à ce qu’il mûrisse. Au contraire, il s’abrutit, devient stupide, perd ses facultés intellectuelles et ne peut plus agir ou penser correctement.

    C’est Usain Bolt de la vieillesse et de l’enlaidissement.

    Il n’est plus qu’une serpillière.

    Il donne l’impression de quelqu’un qui a passé une nuit dans un sac de pommes de terre fraîchement récoltées.

    On se demande si la Brigitte en veut encore de lui dans son lit.

    Il fait peur. Il tue le désir.

    Huit ans de pouvoir l’ont complétement usé. Les mensonges, les tricheries et traîtrises, ça use.

    Il voulait détruire la France. Il s’est détruit lui-même.

    Sa fraîcheur de 2017 n’est plus qu’un souvenir d’adolescence.

    On se rappelle comment, en octobre 2018, il était scintillant dans les bras de jeunes virils Antillais. Il était prêt à se donner, et il s’était certainement donné. Aujourd’hui, personne n’en voudra.

    Si jamais il revient au pouvoir en 2032 comme il semble l’envisager, il sera plus vieux que sa Brigitte (d’ici là, on saura si c’est " sa " ou " son " Brigitte).

    Si le rythme de sa décrépitude se poursuit et si jamais il revient à l’Élysée en 2032, ce sera sur un fauteuil roulant poussé par la/le Brigitte. Ce sera l’Ephad Élysée.

    Le François Hollande doit être ravi de cette déliquescence du Macron.

    Trump disait que le président Jimmy Carter "est mort en homme heureux" sachant qu’il n’était pas le pire président américain, refilant le titre à Biden.

    C’est ce que dira le François Hollande. Il n’aura pas été le pire président de la France. Il délègue au Macron le titre si disputé entre lesdits Présidents français, notamment depuis l’arrivée des socialistes au pouvoir.

    Messin’Issa

     

    NB: Les photos dans ce texte ne sont pas retouchées. Elles sont sur Google.

     

    opinion, web,actualité,société,

  • Peut-on battre le hasard? Ce que dit la science des probabilités

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    On l’a tous pensé au moins une fois. "Si je joue intelligemment je peux battre le système". Et pourtant, le hasard, lui, n’en a rien à faire de vos intuitions. Mais alors, est-ce vraiment impossible de le battre? Et pourquoi continue-t-on à essayer? Spoiler: ce n’est pas que pour l’argent.

    LE HASARD, CE PATRON QU’ON NE LICENCIE JAMAIS

    Commençons par une vérité froide: dans les jeux de hasard, l’avantage est toujours du côté de la maison. Et la maison, elle ne dort jamais.

    Parlons de la roulette. La probabilité de tomber sur le rouge, c’est 18 chances sur 37. Donc à chaque tour, vous perdez un petit peu. Pas assez pour le sentir tout de suite, mais assez pour que le casino fasse de l’argent. .

    Même avec des stratégies comme la fameuse martingale (vous doublez votre mise à chaque perte), les maths finissent toujours par vous rattraper. Parce que vos poches, elles, ne sont pas infinies. Et parce que les plafonds de mise existent précisément pour éviter qu’un joueur malin ne retourne la table.

    MAIS LE CERVEAU N’AIME PAS PERDRE.

    En sachant tout ça, on continue à y croire. Pourquoi? Parce que notre cerveau est câblé pour chercher du sens, même là où il n’y en a pas.

    C’est ce qu’on appelle le biais du parieur. Si une roulette tombe cinq fois sur noir, on se dit que "le rouge va bien finir par sortir". Sauf que non. La bille ne garde aucun souvenir de ses tours précédents. Chaque lancer est un nouveau départ.

    C’est comme parier sur le fait qu’il va pleuvoir parce qu’il a fait beau toute la semaine. Ça peut arriver ou pas.

    ALORS POURQUOI JOUE-T-ON ENCORE?

    Parce qu’on ne joue pas seulement contre le hasard. On joue entre nous. Avec des amis, des collègues, en ligne ou autour d’une table.

    Pour beaucoup de joueurs, le plaisir du jeu vient surtout de l’ambiance, du lien social, de la tradition. Le bingo du dimanche avec Mamie. Le ticket de Loto partagé au boulot. Le tournoi de poker du vendredi soir avec chips et bière.

    Et aujourd’hui, les casinos en ligne reproduisent ça à leur façon: chats en direct, classements entre amis, tournois live… tout est fait pour recréer cette énergie collective, ce petit frisson d’être "ensemble contre la chance".

    PEUT-ON BATTRE LE HASARD COLLECTIVEMENT?

    Techniquement non. Mais collectivement, on le rend moins menaçant.

    À défaut de tricher, certains joueurs misent sur la coopération : le syndicat de loterie. Une étude (bien qu’un peu ancienne) montre qu’un groupe bien sauf pourrait espérer des retours de 10% à 25% dans une loterie équitable via achat collectif de tous les numéros possibles.

    Mais cela nécessite des ressources colossales et n’est pas applicable aux jeux de casino standard.Il devient un jeu, une excuse pour se retrouver, raconter des anecdotes, ritualiser le suspense.

    On ne bat pas le hasard. Mais on peut jouer avec.

    Vous ne battrez pas le hasard. Mais vous pouvez apprendre à jouer avec lui, à en rire, à le défier, à le transformer en moment social. Et ça, c’est déjà une belle victoire.

    Au fond, le jeu, c’est moins une bataille contre les probabilités qu’un rituel moderne, où on partage, on espère, et on se crée des souvenirs. Le vrai gain est là.

    Derya Keles

  • Sur un autre blog

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    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2025/08/24/la-politique-de-macron-est-elle-dictee-par-la-rue-arabe-6560052.html