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Religion - Page 2

  • Tombe du Soldat Inconnu profanée

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    le migrant a méprisé les Marocains morts pour la France

    Les lecteurs qui me suivent savent que je m’intéresse de très près – et parfois in situ – à la Première Guerre mondiale, laquelle est, malgré les gesticulations de la gauche nous gavant d’eau de Vichy à longueur de temps, l’un des plus grands drames de l’Histoire de France et du monde.

    Or, j’apprends qu’un immonde migrant vient de profaner la tombe du Soldat inconnu pour… s’allumer une cigarette, regrettant au passage qu’il n’ait pas pris feu. Cette ordure – je ne trouve pas de synonyme –, interpellée depuis, est un multirécidiviste, ce qui n’étonnera personne.

    Et même si, à la suite de son acte d’humiliation contre la France, on lui a retiré son titre de séjour, cet infâme bonhomme restera chez nous, et même s’il a été placé en détention provisoire dans l’attente de sa comparution immédiate, on peut craindre qu’il s’en sortira sans trop de dommages, parce qu’il est un". bon". étranger du point de vue du système pourri jusqu’à la moelle.

    Le migrant en question est un Marocain, ignorant, cet abruti dégénéré, que des tirailleurs marocains ont eux-mêmes donné leur vie pour la Patrie, notamment lors de la très sanglante première bataille de la Marne en septembre 1914, qui mit un coup d’arrêt à l’avancée allemande vers la capitale.

    Mais là n’est pas la question, car ce geste est une énième démonstration de haine allogène de la France, dont cette tombe est un symbole majeur.

    Une tombe dans laquelle repose un homme choisi par un poilu du nom d’Auguste Thin qui, dans la citadelle de Verdun en novembre 1920, eut à choisir entre huit cercueils contenant les dépouilles de soldats non identifiables, portant l’uniforme français et tombés sur les plus grands champs de bataille du front de l’Ouest. L’inconnu choisi rejoindrait début 1921 la tombe placée sous l’Arc de Triomphe, et sous lequel, par respect pour les morts de 1914-1918, plus aucune armée ne passerait. Auguste Thin raconta plus tard qu’il avait choisi le sixième cercueil car il appartenait lui-même au 132e régiment du 6e corps d’Armée, et en additionnant les chiffres de son régiment, cela donnait aussi 6.

    Auguste Thin, auquel je suis allé rendre hommage sur sa propre tombe, repose désormais au cimetière ancien d’Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine).

    Enfin, je m’adresse à toi saloperie de profanateur! Vois-tu j’ai visité un bon nombre de nécropoles nationales où reposent entre autres des soldats musulmans, et si j’avais chopé une saleté de ton espèce en train de profaner leur tombe, je l’aurais cognée. Là est la différence entre nous et toi: nous savons ce qui est sacré et le respectons, au-delà de notre culture et notre couleur…

     (PS: contrairement aux racontars des médias macronistes, le 1er décembre 2018, les Gilets jaunes n’ont JAMAIS profané la tombe du Soldat inconnu. Au contraire, ils l’ont protégée contre des racailles venues dévaster le musée de l’Arc de Triomphe!)

    Charles Demassieux

  • Histoire vraie des faux Palestiniens

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    Signalé par un adhérent de Reconquête! Gironde " Philippe dit le Colleur Fou "

    Un résumé de Pierre Rehoov sur Twitter:

    https://x.com/rehoov/status/1945401285617889498

    Depuis plus de soixante-dix ans, l’opinion mondiale est nourrie du récit d’un peuple palestinien spolié, chassé, privé de patrie et réduit à la misère par l’État d’Israël. Pourtant, une étude rigoureuse des faits historiques, démographiques et géopolitiques révèle une toute autre vérité: celle d’un peuple inventé, façonné à des fins idéologiques, et utilisé comme arme politique contre le seul État juif de la planète.

    UNE TERRE SANS PAYS, UN NOM IMPOSE PAR ROME

    Le terme "Palestine" ne désigne pas un pays ancien, ni un peuple autochtone homogène, mais une région géographique sans entité nationale propre, utilisée à des fins administratives à différentes époques.

    Le nom même de "Palestina*" fut imposé par l’empereur Hadrien au IIe siècle après la destruction du Temple de Jérusalem en 135 ap. J.-C., dans l’intention d’humilier les Juifs et d’effacer le nom de Judaea. Il s’agissait d’un acte de damnatio memoriae.

    *: référence aux Philistins.

    Durant les siècles suivants, cette région fut successivement byzantine, arabe, mamelouke, ottomane, puis administrée par les Britanniques après la Première Guerre mondiale*.

    À aucun moment il n’y eut d’État appelé Palestine, ni de capitale, ni d’institution nationale propre à un peuple dit "palestinie ".

    *: mais aussi les croisés, les Perses avec les califes fatimides qui ont détruit nombre de bâtiments chrétiens, dont l’église du Saint Sépulcre, aux Xe et XIe siècles.

    UNE TERRE VIDE, ABANDONNEE, OU LES JUIFS SONT MAJORITAIRES A JÉRUSALEM

    Lorsque les premiers sionistes commencent à retourner en Eretz Israël au XIXe siècle, ils découvrent une terre abandonnée, insalubre, largement désertée, où les marécages du nord côtoient les friches du sud.

    En 1854, Karl Marx écrivait dans le New York Tribune que Jérusalem était une ville "en majorité juive"*, et l’écrivain Mark Twain, en 1867, décrit dans Innocents Abroad une Palestine "déserte, silencieuse, peuplée de quelques misérables tribus errantes".

    *: https://www.marxists.org/archive/marx/works/1854/03/28.htm

    (4e paragraphe à partir de la fin, en anglais)

    Ce n’est que grâce aux efforts colossaux des pionniers juifs que cette terre va être revalorisée – irrigation, asséchement des marécages, construction d’infrastructures, développement économique*. C’est cette renaissance juive qui attire alors une immigration arabe massive, en quête de travail et d’opportunités.

    *: le régime Ottoman ne s’est pas opposé au retour des juifs même s’il ne l’a pas favorisé, la région étant trop déshéritée.

    UNE IMMIGRATION ARABE OPPORTUNISTE, NON AUTOCHTONE

    Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Entre 1922 et 1947, la population arabe de la Palestine mandataire double — non pas par croissance naturelle, mais du fait d’une immigration arabe venue d’Égypte, de Syrie, du Liban, de Transjordanie, attirée par la prospérité créée par le sionisme. Ces Arabes deviennent plus tard les " réfugiés palestiniens ", revendiquant un droit au retour… dans un pays qu’ils n’ont jamais véritablement habité de façon continue ou souveraine.

    LES PREMIERS LEADERS PALESTINIENS, ALLIES D’HITLER

    Le nationalisme arabe palestinien, embryonnaire dans les années 1930, est profondément marqué par l’idéologie nazie. Le grand mufti de Jérusalem, Hadj Amin al-Husseini, leader incontesté de la cause palestinienne à l’époque, rencontre personnellement Hitler à Berlin en 1941*. Il s’engage dans la propagande antisémite, recrute des divisions musulmanes SS dans les Balkans, et appelle à l’extermination des Juifs du Moyen-Orient.

    *: Documenté sur RR

    Ce passé fasciste est systématiquement effacé des livres d’histoire officiels. Mais il est essentiel pour comprendre que la haine des Juifs, et non la revendication territoriale, est à l’origine du mouvement palestinien moderne.

    LE LIVRE BLANC BRITANNIQUE: EMPECHER LES JUIFS DE FUIR HITLER

    En 1939, alors que le monde s’apprête à sombrer dans la Seconde Guerre mondiale, la Grande-Bretagne cède à la violence arabe et publie le tristement célèbre Livre Blanc: il restreint drastiquement l’immigration juive en Palestine, interdisant à des millions de Juifs persécutés par les nazis de trouver refuge sur leur terre ancestrale. Pendant ce temps, l’immigration arabe reste libre, tolérée, voire encouragée.

    *: https://fr.wikipedia.org/wiki/Livre_blanc_de_1939

    Le monde arabe a contribué ainsi, passivement mais efficacement, à empêcher des millions de Juifs de fuir l’Europe.

    1947-48: UN REFUS DU PARTAGE, UN PROJET D’EXTERMINATION

    En 1947, l’ONU propose un plan de partage: un État juif aux frontières réduites et un État arabe à ses côtés. Les Juifs acceptent. Les Arabes refusent. Le lendemain de la proclamation de l’État d’Israël, cinq armées arabes l’attaquent avec un seul objectif: finir le travail de Hitler. Le secrétaire général de la Ligue arabe l’affirme alors: " Ce sera un massacre comme celui des Mongols ou des Croisades".

    Ils échouent. Israël survit. Et le narratif change: les agresseurs deviennent victimes. Cette défaite honteuse est rebaptisée " Nakba " (la catastrophe) pour inverser les rôles et faire oublier qui a attaqué qui.

    DES REFUGIES ARABES ENCOURAGES A FUIR PAR LEURS PROPRES DIRIGEANTS

    Contrairement à la légende, aucun ordre israélien n’a demandé l’expulsion des Arabes. De nombreux documents prouvent que les chefs arabes ont appelé leurs populations à fuir temporairement, pour laisser le champ libre aux troupes " libératrices "*. D’autres ont fui de peur, ou à cause des combats.

    *: avant même le début des hostilités armées, 300 000 arabes quittent le territoire dévolu à Israël (51% du territoire avec le désert du Néguev)

    La très grande majorité des réfugiés palestiniens de 1948 n’ont pas été expulsés, mais sont partis de leur propre initiative ou sur ordre des leurs. Le reste? Des exagérations, parfois des mises en scène.

    DES CAMPS INSALUBRES CRÉES COMME BOMBES A RETARDEMENT

    Une fois la guerre perdue, les pays arabes refusent d’intégrer les réfugiés arabes de Palestine. Plutôt que de leur offrir la nationalité, comme Israël l’a fait pour les 850 000 Juifs expulsés des pays arabes*, ils les parquent dans des camps insalubres. Le but? En faire des outils de vengeance contre Israël.

    Déjà en 1949, le journaliste Tibor Mendé publie dans Le Monde un article visionnaire: les camps palestiniens, dit-il, sont des poudrières organisées volontairement par les pays arabes, pour maintenir la haine et empêcher tout règlement.

    *: parfois installés depuis des siècles, comme en Tunisie, 6 siècles av JC, des juifs ayant fui la déportation à Babylone. Ils étaient 150 000 en 1948, 1 500 aujourd’hui. Des juifs ayant tout abandonné ou presque, sans compensation…

    L’UNRWA: INSTRUMENT DE PROPAGANDE, PAS DE REHABILITATION

    En 1948 est fondée l’UNRWA, agence unique en son genre: aucun autre groupe de réfugiés dans le monde ne dispose d’une telle structure. Initialement dotée d’un mandat temporaire d’un an,  l’UNRWA existe toujours 75 ans plus tard, ayant entretenu l’idée d’un " droit au retour " irréaliste pour des millions de descendants*.

    *: il n’existe aucun autre exemple de réfugiés enkystés dans un pays 75 ans après, les réfugiés se sont assimilés à leur nouveau pays.

    Loin d’aider à la réinsertion, l’UNRWA endoctrine, finance des manuels scolaires antisémites, et alimente le rêve impossible de la destruction d’Israël par la démographie. Pendant ce temps, les Juifs chassés des pays arabes n’ont bénéficié d’aucune aide, d’aucun droit au retour, d’aucune reconnaissance.

    UN PEUPLE SANS HISTOIRE, MAIS AVEC UNE MISSION: NUIRE A ISRAËL

    Il n’existe aucun document historique, aucune monnaie, aucune langue, aucune dynastie, aucune œuvre littéraire ou culturelle propre à une nation "palestinienne" avant les années 1960.

    Ce peuple est une fabrication politique, un produit du nationalisme arabe et du panislamisme, utilisé pour délégitimer Israël et détourner l’attention des dictatures du monde arabe.

    La cause palestinienne est devenue le levier privilégié des islamistes, des antisémites d’extrême gauche et des complices occidentaux pour attaquer l’Occident en prétendant défendre une injustice. C’est un alibi idéologique, une arme médiatique et un poison moral pour les démocraties.

    LA PLUS GRANDE FRAUDE DU XXE SIÈCLE

    La vraie Nakba, ce n’est pas la création d’Israël. C’est l’instrumentalisation cynique de générations entières d’Arabes, sacrifiés pour une guerre qui n’a jamais cessé.

    Le "réfugié palestinien" n’est pas la victime d’un génocide. Il est le fruit d’une défaite refusée, d’un mensonge entretenu, et d’un projet politique de destruction.

    Israël a construit. Les "Palestiniens", eux, ont été construits.

    Par haine. Par calcul. Et avec la complicité d’une ONU où l’arithmétique des dictatures pro-arabes remplace la morale.

    Jean-Paul Saint-Marc

  • Moi, l’apostat, de loin je voyais les Français comme des géants

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    Avant de venir en France, depuis ma Kabylie natale, je voyais les Français comme un peuple de géants; mais de près, j’ai découvert qu’une partie d’entre eux sont des nains et des pleutres, sans aucune conviction, attirés seulement par le matérialisme et la culture du tube digestif.

    Ils baissent  les yeux devant n’importe quel obstacle pour ne pas affronter le réel. Ils sont plongés dans une léthargie mortifère et refusent d’ouvrir les yeux, de peur de regarder ce qu’ils ont fait de leur pays qu’ils ont transformé en une jungle où le voyou terrorise le citoyen honnête et où l’oligarchie politico-médiatique préfère regarder à l’autre bout de la Terre plutôt que de jeter un coup d’œil sur l’insécurité qui sévit sur la plus belle avenue du monde: les Champs-Élysées.

    Et, cerise sur le gâteau, ils ont décrété que l’islam est une religion de paix et d’amour. Pour la plupart d’entre eux, ils croient dur comme fer que le comportement de certains cavaliers d’Allah n’a rien à voir avec l’islam.

    Les agressions sexuelles que subissent leurs filles ne sont que des comportements de voyous qui ne représentent nullement l’islam. Ils croient fermement qu’avec le temps, le vivre-ensemble finira par vaincre les réticences des uns et des autres. Et l’immigration n’est pas la cause de ces agressions, au contraire, elle apporte la richesse dans ses couffins, notamment celle venant de Dar El-Islam. Et surtout, elle assure le renouvellement de la main-d’œuvre à bon marché et le payement des retraites.

    En décidant collectivement de graver dans le marbre de la Constitution l’interruption volontaire de grossesse ( IVG), leurs élites ont fait la casse du siècle de la Sécurité sociale.

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