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Opinions - Page 18

  • Ces résolutions de l’ONU qui sonnent les Européens

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    A l’ONU, Trump remet les pendules à l’heure

    Inutile de tourner autour du pot et de chercher un quelconque bénéfice dans la rencontre de Macron avec Donald Trump. TOUT N’ETAIT QUE PIPEAU ET MASCARADE DANS LE BUREAU OVALE.

    On se demande d’ailleurs pourquoi Trump fait semblant de s’intéresser aux arguments de l’Europe, alors que sa décision de lâcher l’Ukraine est prise depuis longtemps. Il n’y a que les Européens, Macron en tête, pour croire encore qu’ils peuvent peser dans le débat.

    La vraie politique s’est jouée le même jour dans le dos de Macron et des Européens, à l’ONU. On n’est plus dans le discours mensonger distillé depuis trois ans dans le camp occidental. On est dans le concret. Par trois fois, Moscou et Washington ont manifesté leur même vision de la situation, consacrant le lâchage de Kiev par Washington.

     

    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2143067/onu-vote-resolutions-guerre-integrite-ukraine

     

    1  Première résolution présentée par Kiev et les Européens

    Celle-ci réclamait l’arrêt des hostilités menées par la Russie et le retrait des troupes russes du territoire ukrainien. Ce torchon antirusse a été adopté par 93 voix pour, 18 contre et 65 abstentions, sur 193 États membres.

    Mais Russes et Américains ont voté contre, tout comme la Corée du Nord, la Biélorussie, le Nicaragua, la Hongrie et le Mali.

    2  Deuxième résolution concurrente surprise, à l’initiative des États-Unis

    Celle-ci réclamait également la fin rapide du conflit, mais sans qualifier la Russie d’agresseur ni faire référence à l’intégrité territoriale de l’Ukraine.

    Largement modifiée par les Européens, réclamant l’intégrité territoriale de l’Ukraine et soulignant la responsabilité de Moscou dans le conflit, la résolution a été adopté par 93 voix pour, 8 contre et 73 abstentions.

    Mais face à ce texte modifié les États-Unis se sont abstenus, tandis que la Russie, qui adhérait à la version initiale, a finalement voté contre la version modifiée par les amendements européens.

    3  Mais c’est au Conseil de sécurité que les États-Unis ont enfoncé le clou et représenté leur texte initial, donc expurgé des amendements européens. Une victoire totale.

    Après le rejet de tous les amendements proposés par les quatre membres de l’UE (France, Slovénie, Grèce, Danemark) et le Royaume-Uni, la résolution a été adoptée par 10 voix pour et aucune contre.

    Les cinq mêmes pays européens se sont abstenus, y compris la France et le Royaume-Uni, qui auraient pu choisir de bloquer l’adoption en utilisant leur veto pour la première fois depuis 1989.

    Comme quoi les Européens aboient beaucoup, mais ni la France ni la Grande-Bretagne n’ont osé opposer leur véto à cette résolution d’initiative américaine qui ne leur convient pas.

    Les accolades dans le Bureau ovale n’étaient que de la poudre aux yeux. En suivant aveuglément Biden sans jamais écouter la parole d’un sage comme Viktor Orban, ou d’autres défenseurs de la paix prenant en compte la position légitime de Poutine, l’EUROPE A TOUT PERDU.

    Côté occidental, tout dans ce conflit, absolument tout, a été construit sur le mensonge quotidien, diabolisant Poutine et encensant Zelensky, sans jamais reconnaitre les lourdes responsabilités des Occidentaux qui n’ont jamais accepté le retour de la Russie sur la scène internationale, après l’effondrement de l’URSS.

    Restituer le Donbass et la Crimée pour que Kiev reprenne ses persécutions contre les populations russes, comme ce fut le cas durant huit ans? Du rêve. Jamais Poutine n’acceptera de sacrifier ces martyrs du régime kiévien.

     

    Si les Ukrainiens avaient respecté les accords de Minsk au lieu de les enterrer, jamais Poutine n’aurait eu besoin de voler au secours des populations russes appelant à l’aide. Les dirigeants ukrainiens issus du coup d’État perpétré par la CIA en 2014, sont responsables à 100% des malheurs de leur peuple.

    Depuis 1990, l’Occident a menti aux Russes, en trahissant les promesses faites à Gorbatchev qui rêvait de paix et de rapprochement avec l’Europe.

    Et il faut que ce soit Trump, diabolisé de façon outrancière par les Européens depuis 2016, qui écoute enfin la parole de Poutine. A part Viktor Orbán, diabolisé lui aussi par Bruxelles, pas un seul leader européen n’a l’étoffe d’un vrai chef d’État. Les magouilles électorales écartent toujours les meilleurs. Ce fut d’ailleurs le cas avec l’avènement de Biden, qui a mené l’Europe là où elle se trouve, isolée, sans ressources naturelles, sans armée, envahie par l’Afrique et dernière roue de la charrue sur l’échiquier international.

    Le pire, est que tout cela était écrit d’avance. Car nul ne peut vaincre la Russie. La France sort encore plus ruinée de l’aventure, elle qui croyait achever l’économie russe en trois mois. Visiblement, personne n’a pensé que la Russie est assise sur un pactole géologique qui pèse 20 fois la dette de 3400 milliards de la France. De quoi voir venir…

    Jacques Guillemain

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Où passent nos impôts?

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    image générée par I.A.

    " … Alors que le chantier est bloqué… Aucun représentant des quatre collectivités locales siégeant dans la gouvernance de l’association "Hermione – La Fayette" n’a voté en faveur du budget 2025. Alors que le chantier n’avance plus depuis six mois, l’association leur demande d’"être à la hauteur des enjeux "… (" Sud-Ouest " du 25 février 2025).

    Sarah Knafo, députée européenne de "Reconquête" et compagne d’Eric Zemmour, qui est une valeur montante de la droite nationale, a jeté un pavé dans le marigot politique en dévoilant les sommes pharaoniques allouées par "l’Aide Française au Développement" à divers pays qui, soit sont beaucoup plus riches que nous, soit détestent la France, voire les deux. Il est grand temps que le vulgum pecus comprenne qu’il est gouverné par des incapables et/ou des escrocs.

    Ces gens-là ne rendent jamais de compte, ne sont jamais poursuivis (et donc jamais condamnés). Macron et son complice Bruno Le Maire, qui ont creusé la dette de la France de 1.100 milliards d’euros en sept ans, peuvent dormir tranquilles, ils ne risquent absolument rien!

    Or, un chef d’entreprise, un artisan, un commerçant, un petit patron qui confond chiffre d’affaire et bénéfice, qui n’honore pas ses créances, qui accumule les dettes, qui oublie de payer ses impôts ou ses charges sociales, risque la prison et la liquidation de ses biens propres.

    Notre pays est ruiné, en faillite, il croule sous le poids de sa dette, et l’État, non content d’être totalement incapable de réduire son train de vie, continue à jeter l’argent par les fenêtres, bien souvent pour "arroser " les copains et les coquins. Et cette gabegie financière, on la retrouve à tous les échelons, mais ça ne semble pas choquer grand monde pour une raison toute simple: en France, pays qui a pourtant adopté la devise "Liberté. Egalité. Fraternité" moins de la moitié des foyers est soumise à l’IRPP.

    À un bout de la chaîne vous avez des gens plus ou moins assistés par l’État-providence, et à l’autre des très riches qui vont au Luxembourg ou ailleurs faire de l’"optimisation fiscale". Ajoutez à cela une faune allogène, plus ou moins légale, qui vit de nos aides sociales aussi diverses que variées.

    Ce sont les classes dites "moyennes" qui supportent le poids de l’impôt, et qui vivent à la fois le Grand remplacement et le Grand déclassement.

    Pour illustrer mon propos, aujourd’hui je vais vous parler d’une affaire qui aurait dû, dans un pays tout simplement… normal, créer un scandale et déboucher sur des poursuites judiciaires. Je veux parler de la (re)construction de l’"Hermione", le bateau qui conduisit le marquis de La Fayette aux Amériques en 1780. Au départ, c’était un projet censé médiatiser un département et dynamiser une région en faisant massivement appel au mécénat et au bénévolat. L’idée semblait louable!

    Avant de vous parler de la nouvelle "Hermione", ce gouffre sans fond, disons un mot de la première " Hermione". C’était une "frégate de 12" (en référence au calibre de ses canons) portant 26 canons de 12 livres et 8 canons supplémentaires de 6 livres. En jargon de marine, on la dénommait "frégate de 26 canons", bien que, dès l’origine, elle en ait porté 34.

    L’"Hermione" sera mise en chantier en décembre 1778 à l’arsenal de Rochefort, sur les plans d’Henri Chevillard. On est alors en pleine guerre d’indépendance américaine et les chantiers français fonctionnent tous à plein régime. La frégate est mise à flot le 28 avril 1779, soit moins de six mois après sa mise sur cale, et mâtée le 30 avril. Son armement débute le 1er mai 1779, et se termine le 11 mai.

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  • La décarbonation:

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    image générée par I.A.

    une lubie dogmatique qui sacrifie la France sur l'autel de l'idéologie

    La décarbonation est devenue le nouveau credo de la secte climatiste. Drapés dans leur vertueuse indignation, nos gouvernants et les technocrates de Bruxelles nous imposent un carcan réglementaire suicidaire, pendant que la Chine et l’Inde rient sous cape, brûlant chaque jour davantage de charbon et de pétrole pour alimenter leur expansion économique.

    Ce dogme absurde repose sur une vision partiale et biaisée du carbone, qui serait le mal absolu à combattre. Or, la science nous enseigne que le carbone est un élément fondamental à la vie sur Terre: il est le socle de la photosynthèse, le moteur de la croissance végétale et un régulateur climatique naturel depuis des millénaires.

    La France, déjà l’un des pays les moins émetteurs de CO2 grâce à son parc nucléaire exemplaire, s’acharne pourtant à expier une faute imaginaire. Les fermetures de centrales à charbon, la fiscalité punitive sur l’essence et le gaz, les restrictions absurdes sur l’industrie automobile sont autant de boulets que nous nous imposons volontairement. Résultat? Une destruction de notre industrie, une flambée des prix de l’énergie pour les ménages et une perte de compétitivité face à des nations moins scrupuleuses. Pendant ce temps, l’Allemagne, pourtant donneuse de leçons, relance son industrie charbonnière. Où est la logique?

    Mais cette folie n’est pas seulement écologique et économique: elle est aussi financière. L’arnaque du marché du carbone, avec ses " droits à polluer " achetables et revendables, est devenue une manne pour les spéculateurs. Qui profite de ce système? Sûrement pas les citoyens français, ni les entreprises, rackettés à coups de taxes écologiques et de réglementations liberticides, mais bien les financiers et les bureaucrates européens, toujours plus gourmands en fonds publics.

    Il est temps de réagir. Plutôt que de nous flageller en écoutant les prêches catastrophistes des nouveaux inquisiteurs du climat, reprenons le contrôle de notre politique énergétique. Défendons notre industrie, refusons cette hystérie collective et remettons la science et la raison au centre du débat. La France a besoin d’énergie, de croissance et de liberté, pas d’une austérité écologique mortifère.

    Thomas Joly

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)