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Blog - Page 9

  • La justice, quand elle est politisée, n’a plus rien de démocratique

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    La célèbre morale de la Fontaine, "Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir", semble ne plus être d’actualité puisque la justice n’hésite plus à s’attaquer à un ancien président ou à un ministre, y compris le premier d’entre eux. Une égalité devant la loi qu’une large majorité de citoyens apprécie à juste titre.

    Mais cela ne fait pas pour autant de nos juges des modèles d’impartialité et de rigueur morale, vertus élémentaires que tout citoyen d’une démocratie digne de ce nom est en droit d’attendre de ceux qui sont censés le protéger contre l’arbitraire.

    Car force est de constater qu’une majorité de nos juges, très politisée, rend une justice de gauche. C’est incontestable pour 70% des sondés, selon une étude d’Odoxa-Backbone Consulting pour le Figaro, de 2023.

    Selon ce sondage, seuls les Ecologistes et les sympathisants LFI estiment que nos juges sont impartiaux. C’est tout dire. En clair, face à de nombreux juges, avoir une étiquette de droite, ou pire, d’extrême droite, constitue un sévère handicap devant le tribunal.

    Un second sondage montre que 77% des Français estiment que nos juges sont laxistes.

    C’est également une vérité incontestable, puisque selon l’Institut pour la justice, sur 100 plaintes déposées pour des agressions passibles de prison ferme et arrivant devant les tribunaux, seulement 4 aboutiront à un emprisonnement réel des coupables. Si les prisons sont pleines malgré tout, ce n’est pas parce que la justice est sévère, c’est avant tout parce que la délinquance a été multipliée par cinq depuis les années 1970 et parce que l’Etat refuse de construire les prisons promises depuis quarante ans.

    Très jaloux de leur indépendance face à l’exécutif, les juges n’apprécient guère qu’on s’interroge sur leurs décisions, aussi révoltantes soient-elles. Ils oublient trop souvent qu’ils sont avant tout au service des citoyens de la République. Ils oublient que dans une démocratie, c’est le peuple qui est souverain, pas les juges.

    Leur totale liberté d’interprétation des faits ou des textes, leur accorde un pouvoir exorbitant. Un pouvoir dont certains juges abusent impunément, les poussant à des dérives totalement antidémocratiques, tout en prétendant défendre l’Etat de droit.

    Ils devraient être les défenseurs de nos droits fondamentaux. L’égalité devant la loi, la sécurité et surtout la liberté d’opinion et d’expression. Or, toute justice politisée ne peut que violer ces droits fondamentaux.

    Quand la justice n’est plus impartiale, il n’y a plus de démocratie. C’est la négation de la souveraineté populaire. C’est donc le règne de l’arbitraire.

    Et quand trois citoyens sur quatre n’ont plus confiance en leur justice, c’est que la République n’est plus capable de protéger le peuple.

    Eric Zemmour a parfaitement résumé les dangers du pouvoir des juges:

     " L’Etat de droit* et la démocratie, ça n’a rien à voir. La démocratie, c’est le pouvoir du peuple par le peuple, pour le peuple.

    L’Etat de droit, c’est une théorie du XIXe siècle allemande, qui s’est répandue après la Seconde guerre mondiale en Europe, qui dit que toute action politique doit être contrôlée par le juge. Qu’est-ce que ça veut dire? D’un côté, on a la démocratie, c’est le pouvoir du peuple ; de l’autre, on a l’Etat de droit, c’est le pouvoir des juges".

     

    Jacques Guillemain

     

    *L'état de droit ou les tas de droits??? NDLR

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur

  • La grippe aviaire s'agrave dans les zoos du monde entier

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    Des dizaines d'animaux rares, y compris des tigres, des lions et des guépards, meurent alors que la grippe des oiseaux s'infiltre dans les zoos, avec des "implications graves" pour les espèces menacées, ont averti les chercheurs.

    Alors qu'un nombre croissant de zoos signalent des morts chez les animaux, les scientifiques craignent que les oiseaux sauvages infectés ne débarquent dans des enclos puissent les épandre parmi les animaux captifs.

    Aux États-Unis, un guépard, un lion de montagne, une oie indienne et un kookaburra figuraient parmi les animaux morts dans le zoo mondial de la vie sauvage près de Phoenix, selon les médias locaux la semaine dernière. Le zoo de San Francisco a temporairement fermé ses volières après qu'un faucon sauvage à épaules rouges a été retrouvé mort sur son territoire, puis testé positif pour la grippe aviaire hautement pathogène (HPAIV).

    Une rare oie à poitrine rouge est morte au zoo de Woodland Park à Seattle, provoquant la fermeture des volières et l'alimentation des pingouins pour les visiteurs en novembre. Ces cas font suite à la mort de 47 tigres, de trois lions et d'une panthère dans les zoos du sud du Vietnam au cours de l'été.

    "Compte tenu des conséquences potentiellement fatales d'une infection par le HPAIV chez les oiseaux et chez certains mammifères, comme les grands chats, ces infections peuvent avoir de graves conséquences pour les espèces animales menacées hébergées dans les zoos", a déclaré le Dr Connor Bamford, un virologue de l'Université Queen's de Belfast.

    Les chercheurs affirment que des cas ont probablement émergé dans les zoos à cause de l'entrée et de l'entrée des oiseaux sauvages infectés, et cela a tendance à se produire plus pendant la saison de migration. Un certain nombre d'États américains, dont la Louisiane, le Missouri et le Kansas, ont signalé une augmentation des cas de grippe aviaire, en particulier dans les oies et les oiseaux d'eau. Il y a eu un «saut aigu» de cas dans l'Iowa, selon les autorités de l'État, après « presque un an » sans détection du virus.

    "Nous devons réfléchir à la manière de gérer cette situation, soit en améliorant la biosécurité des zoos, soit en vaccinant les animaux de zoo. Cet exemple nous donne un autre signal d’alarme à l’importance du HPAIV et de ses impacts sur les animaux et les humains", a déclaré M. Bamford.

    Un ibis à crête est vacciné contre la grippe aviaire au zoo de Mulhouse dans l'est de la France en 2020.

    Les chercheurs ont averti pendant des décennies que cette variante de la grippe aviaire pourrait tuer les primates, les rongeurs, les porcs et les lapins, avec des rapports de tigres du Bengale et de léopards assombriss assombriss.

    Les infections dans les zoos n'étaient pas inattendues, a déclaré le virologue Dr Ed Hutchinson de l'université de Glasgow. Les visiteurs des zoos au Royaume-Uni ont peut-être remarqué que les enclos à oiseaux étaient temporairement fermés ou neutralisés lorsque les risques d'infection par la variante de la grippe aviaire H5N1 provenant d'oiseaux sauvages étaient connus pour être élevés, a-t-il déclaré. «Lorsque les zoos s'occupent des animaux d'espèces menacées d'extinction, il est particulièrement important de prendre des mesures pour réduire le risque auquel ces animaux sont confrontés du virus H5N1, par exemple en limitant l'accès des oiseaux sauvages aux enclos.»

     

    Les zoos abritent généralement des densités élevées d'animaux et ont des approches différentes en matière de biosécurité, de santé et de bien-être, ainsi que des possibilités d'être visitées par la faune. Ces facteurs affectent leur vulnérabilité, selon le professeur Rowland Kao, un épidémiologiste de l'université d'Édimbourg. «Il n’y a pas nécessairement une chose et l’on ne peut pas pointer vers un zoo spécifique et dire « ils ont fait ce mal », mais ces facteurs variables, les nombreuses voies que ce virus semble prendre et les faibles doses de virus qui peuvent potentiellement déclencher des épidémies, signifient qu’il apparaîtra dans toutes sortes d’endroits », a-t-il déclaré.

    Les virus de la grippe aviaire peuvent être transmis chez une grande variété d'animaux. En 2020, une variante s'est répandue à travers le monde, atteignant finalement l'Antarctique à la fin de 2023, provoquant la mort de millions d'animaux sauvages à travers l'Eurasie, l'Afrique, l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud sur sa route. Aux États-Unis, il est parfaitement adapté au bétail, augmentant le risque d'infections humaines.

    La propagation se poursuit dans les exploitations laitières, en particulier en Californie – l’État laitier le plus riche en produits laitiers des États-Unis – où près de la moitié des 1 300 exploitations de l’État ont été touchées, et deux travailleurs agricoles ont été testés positifs ce mois-ci. Deux chats d'intérieur sont soupçonnés d'être morts à Los Angeles après avoir bu du lait cru infecté.

    Le professeur Ian Brown, un virologue du Pirbright Institute dans le Surrey, a déclaré: «Il y a toujours un risque, mais les zoos devraient prendre des précautions d’hygiène supplémentaires pour ces espèces – je sais que certains zoos ont confiné des flamants tons à leur maison pendant les périodes de risque de propagation du virus.

    Dans certaines régions, comme le Royaume-Uni et l'UE, les vaccins contre la grippe aviaire autorisés peuvent être utilisés sur des animaux de zoo en captivité. Aux États-Unis, cela n'est pas permis.

  • Vaccins: la science au service du totalitarisme

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    Aux États-Unis, Robert Kennedy Jr, critiqué et harcelé par les médias, lutte contre les lobbys puissants qui influencent la santé publique. Il a défié les normes établies lors de la crise du covid et s’est opposé au diktat du gouvernement. Il persiste dans sa bataille contre les géants de l’industrie pharmaceutique.

    En France, le professeur Raout et ses collègues de l’IHU Méditerranée, le professeur Christian Péronne, le médecin anesthésiste-réanimateur Louis Fouché, et combien d’autres, ont été aussi victimes de ce harcèlement médiatique. Ainsi, des scientifiques internationalement reconnus se retrouvent mis au ban de la société.

    Dans ce débat autour des vaccins-injections, la presse et la science font un mariage de convenance. Les médias scientifiques et les médias généralistes subventionnés mènent des campagnes contre les figures dissidentes. Didier Raout affirme: "Ils sont achetés, ils appartiennent aux plus grandes puissances financières du monde".

    Et il rappelle les liens des fonds d’investissement avec les lobbys, sociétés et revues pharmaceutiques. Cette dépendance financière des médias fausse la perception publique et influence les politiques sanitaires. La vérité scientifique est sacrifiée sur l’autel des intérêts financiers et de l’idéologie.

    En ce qui concerne la covid, le résultat des injections est catastrophique: des millions de morts, de blessés et de handicapés.

    Le train du totalitarisme a bien repris sa course effrénée, dans sa version contemporaine. Les totalitarismes ne sont pas des accidents de l’histoire. Ils réalisent la modernité politique occidentale, débarrassée de la morale et du tabou du meurtre, par la célébration fanatique de la science toute-puissante. Hannah Arendt annonçait le retour de la bio-politique nazie sous l’égide d’un mouvement international. Le totalitarisme se développe à nouveau sous nos yeux.

    Le totalitarisme substitue une pseudo-science, le scientisme, à la morale et à la spiritualité, dans le discours sur le corps.

    Une partie de la population est ainsi écartée de l’humanité, via la figure antique de l’Homo sacer, être exclu de la cité, déconsidéré et voué à mourir, condamné à une irréversible mise au ban, prélude à son élimination physique.

    L’appareil judiciaire devient un instrument de persécution et ne protège plus la dignité humaine. Cette situation juridico-politique met au ban des individus privés de leurs droits et rendus à une existence fondée sur la survie. Dans cet univers, toutes les transgressions sont possibles, le meurtre est non seulement toléré et acceptable, mais encouragé au nom d’une légitimité qui s’affranchit de la morale.

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